Editions Gallimard / Série " Art et Artistes " 2005. In-8 broché de 188 pages au format 22 x 16 cm. Couvertures à rabats avec titre imprimé et petite illustration en noir. Dos carré. Plats et intérieur frais. Livre écrit par Catherine Millet, rédactrice d’Art Press, entiérement consacré à Salvador Dali, accompagné de très nombreuses reproductions en noir de ce dernier. Edition originale, en superbe état général, proche du parfait. Précieux exemplaire enrichi d'une cordiale dédicace, autographe, de Catherine Millet.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
S.l., Gallimard / Coll. ''Art et Artistes'', (2005). Un vol. au format in-8 (222 x 163 mm) de 186 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Edition originale agrémentée d'une abondante iconographie photographique. «Si la voix et le discours de Salvador Dalí se caractérisent par leur lyrisme, en revanche ses écrits frappent par leur crudité. La description des corps et l'évocation de la sexualité sont confondantes de réalisme et souvent touchantes dans leur simplicité. Je ne pouvais pas ne pas y être sensible et cela m'a fourni le point de départ d'une réflexion qui, notamment, lie l'hyperacuité visuelle à l'onanisme. Ce livre est une étude de critique d'art qui révèle l'écho souterrain rencontré par l'œuvre de Dalí auprès d'artistes contemporains. On verra, à propos des paradoxes du narcissisme, que c'est aussi un petit précis de morale. Mon approche est objective car elle s'appuie scrupuleusement sur les écrits de l'artiste ainsi que sur son œuvre peinte. Mais j'assume sa part subjective, laquelle tient à la capacité qui a été la mienne de me glisser dans le texte dalinien. Si je me suis engagée dans ce travail, c'est que cette œuvre, depuis longtemps, me touche en profondeur. J'ai choisi de ne pas réprimer ni dissimuler cette implication personnelle. N'est-elle pas le moteur même de la compréhension d'une œuvre ?» Très belle condition.