Plon 1933 4 volumes in-8 demi-maroquin bordeaux, dos à nerfs, filets noirs, couv. sup. conservées, 285- 345- 328- 344 pp. 4 portraits-frontispice, fac-similé d'autographe. Index. Très bon exemplaire.
Epouse du Prince Antoine Radziwill, membre de la Chambre des Seigneurs de Prusse et général à la suite de Guillaume Ier d'Allemagne, Marie Dorothée de Castellane passa une grande partie de sa vie à Berlin, où elle était, selon Abel Hermant, « le bœuf Apis en personne et la reine de Berlin » La Princesse se lia d’amitié avec le général de Robilant, attaché d’ambassade à Berlin en 1885. Bon état d’occasion
Galerie Georges Petit 1904 Grand in-4. Reliure demi-chagrin havane, dos à nerfs, XXII-125 pp., 35 planches sous serpentes. Petit accroc en tête de dos, coins frottés, intérieur frais.
Catalogue posthume de la collection de S.A.I. Madame la Princesse Mathilde, contenant des tableaux anciens, des tableaux modernes, des objets d'art et d'ameublement. Préface de Fédéric Masson. Bon état d’occasion
[Napoléon] Pellapra, Émilie de (Ctesse de Brigode princesse de Chimay)
Reference : 97334
(1921)
Paris, Aux éditions de la Sirène 1921 In-12 19,5 x 14 cm. Broché, couverture ivoire imprimée de lettres noires, 185 pp., 7 gravures hors-texte, table des matières. Bon exemplaire
Bon état d’occasion
de Maintenon, Madame ; des Ursin, Princesse
Reference : 112468
(2002)
ISBN : 2715223544 9782715223547
Mercure de France, coll. « le temps retrouvé » 2002 Format Poche broché 17,8 cm sur 10,8. 421 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Princesse Bibesco, "La Turquoise", Paris, À l'Enseigne de La Porte étroite, 1928, 32 p., broché sous couverture rempliée (11,5x16,5cm). Édition originale. Exemplaire sur papier du Japon nominatif hors commerce imprimé spécialement la directrice de la maison d'édition À l'Enseigne de la Porte Étroite Madame Pierre de Harting. Envoi autographe signé de la Princesse Bibesco à Madame de Harting sur la page de faux titre : "À Madame de Harting / [La Turquoise] / japonaise, / en témoignage de / sympathie / Princesse Bibesco". Exemplaire broché, non coupé, sous papier cristal. Parfait état, exempt de tout défaut. Il a été tiré de cet ouvrage, le treizième de la Collection "La Porte Étroite", six cent cinquante exemplaires tous numérotés et ainsi répartis : 20 ex. sur Japon numérotés de 1 à 20, 30 ex. sur Whatman numérotés de 21 à 50, 520 ex. sur velin d'Arches numérotés de 51 à 570, 50 ex. sur Madagascar réservés à M. Édouard Champion numérotés de I à L, 30 ex. sur velin bleu teinté réservés à la librairie Dechenne, à Bruxelles, numérotés de L1 à LXXX. Il a été tiré exceptionnellement 150 exemplaires réimposés sur Hollande, sous couverture bleue Turquoise. Le tirage a été exécuté et achevé d'imprimer le 25 avril 1928, sur les presses deCL. Jacob et Cie, 23, rue de la Mare, à Paris (XXe). À l’enseigne de la Porte étroite (à la librairie La Porte étroite, à Paris, au numéro 10, rue Bonaparte) édita une série de 14 textes littéraires, pour la plupart en édition originale, choisis par Madeleine de Harting à l’inspiration d’André Gide, entre 1925 et 1928. La collection, simplement baptisée « La Porte Étroite » (du nom de l'œuvre de Gide) a été tirée sur plusieurs papiers (Japon, Whatman, vélin d'Arches, Madagascar et vélin bleu teinté), avec, pour chaque volume, un tirage unique et strictement justifié à 650 exemplaires sur les presses des Artisans Imprimeurs (23, rue de la Mare, Paris XXe). Mme Pierre de Harting dirigea à Paris la librairie Champion avant de fonder la sienne. Titres parus GIDE, André. "Caractères", 1925. DUHAMEL, Georges. La Belle-Étoile, 1925. FAYARD, Jean. Dans l’ordre sensuel, 1925. KESSEL, Joseph. Rencontre au restaurant, 1925. GOURMONT, Remy (de). Fin de promenade et trois autres contes, 1925. MAUROIS, André. Lord Byron et le démon de la tendresse, 1925. CARCO, Francis. Le Couteau, 1925. CODET, Louis. Images de Majorque, 1925. LARBAUD, Valéry. Notes sur Maurice Scève, 1926. VALÉRY, Paul. Propos sur l’intelligence, 1926. MARSAN, Eugène. Souvenir de l’exposition, 1926. DUVERNOIS, Henri. La Mort de Prosper Boudonneau Hirondelle, 1927. BIBESCO, Princesse. La Turquoise, 1928. HENRIOT, Émile. Esquisses d’X, 1928. Nous collationnons actuellement la collection des exemplaires nominatifs hors commerce sur Japon de Monsieur et Madame Pierre de Harting et quelques exemplaires de luxe supplémentaires du livre de Paul Valéry (le n°1 sur Japon) et de la Princesse Bibesco. Nous consulter pour plus d’informations ou achat en lot. BIOGRAPHIE DE MARTHE BIBESCO Née en Roumanie, à Bucarest, le 28 janvier 1886. Marthe Bibesco a six ans lorsque son père Jean Lahovary, qui a épousé une jeune femme de la noblesse, est nommé diplomate à Paris et y installe sa famille. Tout en restant fidèle à ses racines, Marthe se crée un nid spirituel dans sa nouvelle patrie. À son arrivée, elle pratique déjà couramment la langue française. Sa mère en était une adepte fervente. Ce n'est que plus tard qu'elle apprendra le roumain. Ses souvenirs d'enfance seront empreints de tristesse. Elle a deux sœurs et un frère; celui-ci meurt à l'âge de dix ans, laissant les siens inconsolables. D'autres drames la marqueront plus tard : une de ses sœurs mettra fin à ses jours en 1918, et deux ans plus tard, sa mère accomplira le même geste fatal. Même si Anna de Noailles, sa cousine, qui ne l'aimait pas beaucoup, mettra un jour en doute la pureté de certaines alliances familiales, elle devra s'incliner devant les quartiers de noblesse du prince Georges Bibesco, fils de la princesse de Chimay, que Marthe épouse, à seize ans seulement, en 1902. C'est à cet âge-là qu'elle commence à fréquenter les salons. La princesse Bibesco rédige le compte rendu d'un voyage en Perse, où elle a accompagné son mari, infatigable voyageur, qui deviendra l'une des grandes figures de l'aéronautique naissante. Les Huit Paradis (1903) est récompensé par l'Académie française. Maurice Barrés l'incite à persévérer. Marthe s'adonne alors à la poésie, et publie, en revues, des sonnets. La princesse cherche à plaire dans les salons, mais sans ostentation conquérante. Sa vie affective est bouleversée par sa mésentente avec son mari et elle sera le plus souvent seule désormais, au gré d'une existence romanesque. Une rencontre va influencer sa destinée littéraire : à un dîner, elle a pour voisin de table l'abbé Mugnier. Ce dernier a l'occasion d'apprécier la jeune Roumaine, chez qui l'esprit le dispute à la beauté. Mais l'Europe est à la veille de s'ensanglanter et de disperser ces grandes familles qui ont des attaches dans tous les pays. Marthe est déchirée entre l'Occident et les Balkans. Elle voue au Kronprinz, fils de l'empereur d'Allemagne, une grande amitié. Leur correspondance, longue et passionnée, est interrompue par la première guerre mondiale, car le Kronprinz est devenu l'ennemi, et Marthe la proie de rivales qui l'attaquent et la couvrent de sobriquets insultants. En 1915, il ne reste plus que l'abbé Mugnier pour la soutenir. Un autre défenseur va apparaître : Henry de Jouvenel, que Marthe détourne de Colette. Avant 1923, où elle publie Isvor, le pays des saules, ouvrage consacré à la Roumanie, la princesse ne fait qu'effleurer les lettres. Sa carrière commence réellement avec la parution, en 1924, du Perroquet vert, peinture de milieux russes en exil, salué comme une révélation par de célèbres auteurs : les frères Tharaud, Max Jacob, l'abbé Bremond et Mauriac, qui dit qu'elle est la vraie héritière de Barrès. La princesse montre face à ces louanges beaucoup de maturité. Son intuition ne la trompe pas, il y a corrélation entre l'élégante beauté de la mondaine et la qualité de son écriture, sa grâce naturelle conférant à son style fermeté et légèreté. Un autre livre va consacrer l'écrivain, un roman largement autobiographique, Catherine-Paris, en 1927. Elle y fait preuve de réels dons littéraires, observe sans pédanterie, et son écriture a d'heureuses tournures qui la font comparer à La Bruyère. Dès ce moment, elle publie beaucoup. En 1928, c'est un premier essai : Au bal avec Marcel Proust. Elle a rencontré ce dernier occasionnellement et publiera en 1949 sa correspondance au duc de Guiche (Le Voyageur voilé). Suit un recueil d'articles parus dans Vogue : Noblesse de robe, où elle dépeint les milieux de la mode. Elle accomplit des voyages et en rapporte des récits : Jour d'Égypte en 1929, et des lettres de Terre sainte, en 1930, Croisade pour l'anémone. Sous le pseudonyme de Lucile Decaux, elle se lance dans le feuilleton populaire. Ce seront, entre autres, Marie Walewska puis Katia, immortalisée au cinéma par Danielle Darrieux. Marthe Bibesco écrit un conte, Turquoise, un roman : Égalité, en 1935, qui aura moins de succès, et de nouveaux essais. Images d'Épinal, en 1937, et Feuilles de calendrier, en 1939, sont consacrés à ses relations mondaines et politiques. Dans la même ligne, elle produira plusieurs textes ayant pour sujets Élisabeth II, Churchill ou de Gaulle. La princesse Bibesco retourne souvent en Roumanie, où elle finit par s'installer, faisant à Paris, chaque fois qu'elle y revient, des séjours remarqués. La seconde guerre mondiale la surprend dans son pays; elle erre alors, d'Istamboul à Bucarest, avant de se fixer à Paris en 1945. Elle ne possède plus rien (ses biens sont confisqués par les communistes) et il faudra toute sa persévérance et le soutien de personnalités pour que sa fille puisse quitter la Roumanie avec son mari et ses enfants. Désormais, pour vivre, elle doit se consacrer totalement à l'écriture. Elle compose des volumes à partir de correspondances conservées. Ce sera Le Confesseur et les poètes, livre dans lequel elle présente les échanges épistolaires entre l'abbé Mugnier, Cocteau, Proust, Valéry, Robert de Montesquieu et le poète anglais Baring. Échanges avec Paul Claudel est un hommage à un auteur qu'elle appréciait beaucoup. Mais c'est surtout La Vie d'une amitié, trois gros volumes (1951-1957), qui doit retenir l'attention. Il s'agit d'un ouvrage construit à partir de la correspondance qu'elle a reçue de l'abbé Mugnier. Marthe Bibesco est élue à l'Académie royale de langue et de littérature françaises le 8 janvier 1955, en même temps que Jean Cocteau. Elle consacre les dernières années de sa vie au projet d'une vaste fresque en plusieurs volumes, liée à l'histoire de l'Europe, et dans laquelle interviendraient ses ancêtres. Seuls La Nymphe Europe, en 1960, et Où tombe la foudre, ouvrage posthume, verront le jour. La princesse Bibesco meurt à Paris le 28 novembre 1973. Oeuvres de Marthe Bibesco - Les huit paradis, Paris, Librairie Hachette & Cie, 1908. - Isvor, le pays des saules, Paris, Plon, 1923. - Le Perroquet vert, Paris, Grasset, 1924. - Catherine-Paris, Paris, Fayard, 1927. - Au bal avec Marcel Proust, Paris, Gallimard, 1928. - Noblesse de robe, Paris, Grasset, 1928. - La Turquoise, Paris, À l'Enseigne de la Porte Étroite, 1928. - Jour d'Égypte, Paris, Flammarion, 1929. - Croisade pour l'anémone, Paris, Plon, 1930. - Égalité, Paris, Grasset, 1935. - Marie Walewska, Paris, Grasset, 1936. - Images d'Épinal, Paris, Plon, 1937. - Katia, Paris, Gallimard, 1938. - Feuilles de calendrier, Paris, Plon, 1939. - Le Voyageur voilé, La Palatine, Genève, 1947. - La Vie d'une amitié (3 vol.), Paris, Plon, 1951-1957. - La Nymphe Europe. Livre I. Mes vies antérieures, Paris, Plon, 1960. - Le Confesseur et les poètes, Paris, Grasset, 1970. - La Nymphe Europe. Livre II. Où Tombe la Foudre. Paris. Grasset. 1976
G. van oest et cie 1923 in8. 1923. Relié. Souvenirs de la princesse de Ligne née princesse Lubomirska -pages détachées de ses cahiers et publiées par la Princesse Ch. de Ligne - 1815-1850 - 2e édition --- illustrations hors texte en noir et blanc - avec hommage de l'auteur
Bon état bords légèrement frottés intérieur propre dorure sur tranche de tête intérieur globalement propre qq rousseurs bonne état de la reliure
Grasset 1935 In-12 broché, non coupé, non rogné, 260 pp. Couverture lég. fanée petites taches et effrangements. Bon exemplaire.
Edition originale collective de ce recueil de contes et de variations sur la mode, l’art et l’histoire. Un des 26 de tête num. sur vélin pur-fil (N°1). Bon état d’occasion
Jean-Claude Lattès 2005 In-8 broché 22,5 cm sur 14,1. 534 pages. Illsutrations en noir et blanc et en couleur in et hors-texte le texte. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
L’Ecureuil, sd (ca 1936) 1936 Petit in-8 broché, couverture illustrée en couleurs, 211 pp. Illustrations dans le texte. Couverture tachée et défraîchie, dos renforcé. Rares rousseurs.
Peu courant. Bon état d’occasion
Librairie Hachette & Cie 1914 In-4 32,5 x 25 cm. Broché, couverture grise rempliée, 171 pp., carte repliée de la Sicile, 5 reproductions en couleurs contrecollées dont vignette de couverture, abondante iconographie photographique. Bon exemplaire.
Table : Naples - Taormina - Catane - Syracuse - Girgenti - Sélinunte - Ségeste - Palerme - Santa Agata di Militello - Messine. Bon état d’occasion
Bernard Grasset 1929 Envoi signé de l’auteur : “A monsieur et madame Gabriel Puaux en témoignage de particulière sympathie avec mon souvenir et mon amitié, Marthe Bibesco 1929”. In-12 relié 19 cm sur 12. 225 pages. Pleine toile jaune pastel avec pièce de titre. Couverture originale conservée. Ex Libris de Gabriel Puaux, diplomate et écrivain français, conseiller d’ambassade en Roumanie et sénateur. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Souvenirs de la Princesse de Ligne, née Princesse Lubomirska, 1815-1850, Librairie Nationale d'Art et d'Histoire, G. Van Test & Cie Editeurs, 1923, pages détachées de ses cahiers et publiée par la Princesse Ch. de Ligne, 2dne édition, 14,5 cm X 22,6 cm, 405 pp +14 planches d'illustration N&B, couverture souple, broché.
Petit manque sur la coiffe de queue, petite déchirure sur le bas du mors du 2ème plat, bords frottés, dos et plats insolés, petit trou sur la page de faux-titre, quelques rousseurs. Très bon état par ailleurs. Intérieur frais.
PRINCESSE MATHILDE. — GIRARDIN (Émile de), Charles BRAINNE, Victor POUPIN.
Reference : 754
(1862)
1862 Paris, Michel Lévy frère, s.d. (1862). In-4, chagrin vert, double filet doré en encadrement, chiffre M couronné doré aux angles et grandes armes impériales dorées au centre, dos lisse orné du même chiffre M couronné, roulette intérieure, tranches dorées (Despierres, rel. de l'Empereur). Édition originale de ce joli recueil présentant une vingtaine de communes autour d'Enghien, avec une notice médicale sur les eaux d'Enghien par le docteur de Puisaye. Elle est illustrée de 22 gravures sur bois d'après les dessins de Victor Giraud et Auguste Gaudry. Exemplaire aux armes de la Princesse Mathilde, évoquée dans l’ouvrage même. La Princesse Mathilde, mécène, amie de nombreux écrivains, est dépeinte avec admiration dans cet ouvrage par Émile de Girardin. Celui-ci offre un tableau idyllique de sa propriété, le château de Saint-Gratien : "il n'en est peut-être pas un seul meublé avec autant de goût", et fait l'éloge de la cousine de Napoléon III, elle qui " a échappé au joug du mauvais goût et du faux luxe" (p. 46). “Il suffit d'entrer dans l'atelier où elle dessine, où elle peint, où elle cause. Si elle a conservé la liberté du goût, c'est à ses crayons et à ses pinceaux qu'elle le doit. C'est une artiste. Art et indépendance sont presque synonymes. (...) À la porte du parc de la princesse Mathilde, sont l'église, la mairie, l'école. Heureux voisinage ! C'est à ce voisinage que la commune de Saint-Gratien doit la reconstruction de son église, de sa mairie et de sa maison d'école, car si la princesse est artiste, l'artiste est princesse.”V.-A. Despierres, ancien doreur de Simier et relieur de l'Empereur, signa cette belle reliure en bas du second plat. Un mors sup. fendillé. Minimes frottements aux coiffes et coins. Plat lég. taché.
Payot, 1936, in-8°, 269 pp, traduit de l'anglais, préface du comte Wladimir d'Ormesson, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
Biographie de l'Impératrice Friedrich, née princesse Victoria de Grande-Bretagne et d'Irlande (1840-1901). Fille aînée de la reine Victoria et du prince Albert, elle épousa en 1858 le prince Friedrich de Prusse (1831-1888), devenu en 1861 prince héritier de Prusse puis, le 9 mars 1888, l'empereur Friedrich III (son règne ne dura que 99 jours). — "J'ai lu avec un vif intérêt le livre, publié il y a deux ans en Angleterre, qu'on vient de traduire, de la princesse Catherine Radziwill sur l'Impératrice Frédéric, que j'avais ouvert, je l'avoue, avec un certain sentiment de défiance. A sa façon, qui est fragmentaire, discutable sur quelques points, qui peut paraître, sur d'autres, assez pénétrante et originale, il évoque le tableau de l'Allemagne. impériale et bismarckienne à l'époque de la constitution du Deuxième Reich et de son apogée. L'auteur a bien connu les personnages mêlés à cette histoire, les dessous du monde de la Cour et de la haute société de Berlin ; il est en état d'apporter des traits et des détails qu'il est souvent bon de savoir pour comprendre les événements..." (Pierre de Quirielle, Journal des débats politiques et littéraires, 1936) — Table : I. La princesse royale d'Angleterre en Prusse ; II. La princesse héritière ; III. L'Impératrice.
S.l.n.d., (ca 1790) H 23.5 x L 35.5 x l 21,5 cm,
Superbe objet historique aux armes de l'épouse de Louis XVIII, roi de France, la Princesse de Savoie.Coffret de voyage en maroquin rouge aux armes qui suivra dans son nomadisme royal et européen Marie-Joséphine, Princesse de Savoie puis comtesse de Provence et surtout épouse du prétendant au trône de France, le futur Louis XVIII, durant son émigration, de 1791 jusqu'à son décès en Angleterre en 1810.Pièce exceptionnelle par sa rareté, sa qualité et son origine princière, ce coffret a été confectionné en France par le maroquinier (ou coffretier-gaineur selon le terme en usage sous l'ancien Régime) A. Lecoq, dont la marque parlante est poussée sur la face postérieure (emblème de coq entourée de son chiffre A L) au fer doré sur le maroquin.Fille de Victor de Savoie, roi de Sardaigne et Marie Antoinette, infante d'Espagne, Marie Joséphine Louise de Savoie, née en 1753, épouse en 1771 Louis-Stanislas de France, frère cadet de Louis XVI, tandis que sa sœur épouse le futur Charles X.Elle ne s'adapte que difficilement voire peu à la cour et mène rapidement une vie isolée, d'autant plus que son union restera sans postérité. Elle terminera sa vie en émigration, en compagnie de sa lectrice, Marguerite de Gourbillon qu'elle aima passionnement, et de membres de sa famille.La comtesse de Provence se piquait de littérature et possédait une importante bibliothèque (plus de 1600 volumes) au moment de la Révolution française, uniformément reliée de maroquin rouge aux armes, tout comme son coffret présenté ici.Son train suivait donc ce canon et ses goûts, et ses fers nous sont donc connus et bien identifiés. Il est à noter cependant que notre exemplaire n'est pas repertorié par OHR même s'ils sont tous gravés selon les mêmes codes. En effet Lecoq était un coffretier-gainier dont le métier, les outils et les collaborateurs différaient certainement quelque peu des relieurs-doreurs, néanmoins les nuances sont minimes.Notre objet consiste en une boîte rectangulaire en bois, recouverte d'un maroquin rouge aux fers dorés, et fermée par un couvercle légèrement cintré retenu à l'ouverture par des rubans de coton bicolore cloutés sur les bords internes.Gainé à l'intérieur d'une doublure de tabis bleu soulignée d'un galon cousu de fil doré roulotté, il est orné d'une roulette de fers dorés courant le long des bords internes. Vide, il ne semble pas porter de marques de compartiments ou plateaux amovibles.Les quatre cotés présentent un gainage de maroquin rouge aux grand fers dorés en encadrements, fers à large dentelle dites "du Louvre" marquée pour chaque en écoinçons par les meubles princiers soit 2 fleurs de lys (Bourbon) et 2 aigle de sable becquée membrée et couronnée d'or (Savoie), chaque en diagonale.Le couvercle gainé de maroquin rouge porte une superbe dentelle dorée dite "à l'oiseau" en encadrement, répétant aussi vers l'intérieur les 2 meubles en écoinçons, mais ici surmontés de la couronne princière (non fermée) pour chaque.Les armes de la Princesse de Savoie, épouse de Provence, sont frappées en écus accolés au centre du couvercle et présentent à gauche l'écu de France "à la bordure engrélée de gueules" (duché de Provence), Marie-Joséphine ayant épousé le futur Louis XVIII alors qu'il n'était pas dauphin ou prétendant au trône de France. L'écu de Savoie à droite étant écartelé et non plein. Le fer est surmonté de la couronne de Prince (non fermée) et bordée de palmettes.Le coffret est fort joliement armé de garnitures de poignées de transports sur deux cotés, charnières et anneau sur le couvercle et d'une serrure ouvragée entourée de 2 loquets, le tout en cuivre doré et travaillé avec de petits motifs floraux.Ce type de mobilier de voyage est un rare témoin du train que suivait toute princesse de France lors de ses déplacements. Ces petites malles pouvaient être destinées au rangement d'accessoires de mode, perruques ou bijoux. Se différenciant du porte-document type de l'époque, plus généralement accessoire masculin, la taille de ce coffret pourrait laisser penser qu'il servit peut-etre à conserver des papiers ou des documents écrits.OHR, 2517 et 2549.Le coffret est dans un très bon état de conservation. Il ne porte que d'anecdotiques marques d'usure d'usage du maroquin, de discrètes salissures (poussière noircie aux garnitures ou face inférieure) ainsi que de petites restaurations (face inférieure ett cordons d'ouverture posés postérieurement, sans doute à la place d'équerres souvent du même métal que les garnitures extérieures sur ce type d'objet).Manquent la clé ainsi qu'une fleurette de cuivre doré sur le devant. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Société française de presse illustrée. 1966. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Papier jauni. 66 + 66 + 66 + 66 pages de bande-dessinées en noir et blanc. Recueil de 4 volumes de Princesse album.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire :Mirietta, princesse d'Orient (n°29) - La sonate inachevée (n°31) - Altal, l'esclave gauloise (n°33) - L'asperge et la libellule (n°35) - La fille sauvage (n°39). Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PRINCESSE DE TARENTE [Louise-Emmanuelle de Chatillon]; LA TREMOILLE Louis de:
Reference : 11345
(1901)
Paris, Honoré Champion, 1901. Petit in-8 de [6]-244-[2] pages, demi-maroquin brun, dos à 4 nerfs avec titre et encadrements dorés, 2 pièces de titre bordeaux. Rousseurs au frontispice.
Un portrait de Louis XVII en frontispice et un de la Princesse en hors-texte. Malgré la Révolution française, la princesse de Tarente refuse de quitter la famille royale et devient témoin de la prise des Tuileries le 10 août 1792. Elle est arrêtée quelques jours plus tard et incarcérée dans la prison de l'Abbaye après avoir refusé de déposer contre la reine. Lors des massacres de septembre 1792, elle réussit à cacher son identité et recouvre la liberté. Elle émigre en Angleterre et vit à Londres. [...] Elle écrit ses Souvenirs où elle retrace les premières années de la Révolution et sa détention. Par leur style sobre et laconique ils se rapprochent du genre de la chronique. La fidélité parfaite de l'auteure à la reine en est le sujet principal. [Elena Gretchanaia, siefar.org]. Un extrait des mémoires du Duc de la Trémoïlle et des lettres de Madame de Tarente terminent le volume. Peu courant.
MAINTENON (Madame de) et Madame la princesse des Ursins.
Reference : 115571
(2014)
ISBN : 9782715235076
Mercure de France, 2014, in-8°, 700 pp, annexes, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Dès 1705 à Marly, madame de Maintenon (1635-1719) et la princesse des Ursins (1642-1722) s'adonnent aux délices de la conversation. Celle-ci se prolongera, après un pacte conclu, par une correspondance hebdomadaire qui va durer dix ans. De cet abondant échange épistolaire ont été retenues les années 1707 et 1709, les lettres de la princesse des Ursins ayant disparu pour l'année 1708. Nous sommes au cour de la guerre de Succession d'Espagne, la France doit affronter l'Europe entière et aux désastres militaires s'ajoute le "grand froid" de 1709 qui fragilise à l'extrême la politique du Roi-Soleil. Madame de Maintenon a soixante-douze ans, elle est l'épouse de Louis XIV depuis 1683, la princesse des Ursins a soixante-cinq ans, elle est camarera mayor de Marie-Louise, la reine d'Espagne, fonction qui lui permet de pénétrer dans l'intimité royale. Malgré des personnalités très opposées, les deux dames jouent un rôle influent sur le sort de leur pays. La princesse dont l'opiniâtreté à continuer la guerre et à réclamer l'aide de la France va sauver la monarchie des Bourbons en Espagne ; madame de Maintenon, elle, n'aspire qu'à la paix, même honteuse. Toutes deux, dans cet échange épistolaire qui va de la conformité des sentiments à la discorde, nous offrent un tableau des événements politiques et militaires, de la vie de cour, des intrigues et des mouvements du coeur qui les rendent si présentes qu'on a le sentiment de partager avec elles le chaos de l'Histoire.
G. Van Oest & Cie 1923 405 pages in-8. 1923. Broché. 405 pages.
Bon état malgré quelques petites rousseurs en début et fin d'ouvrage uniquement
1 vol. in-4 br. sous couverture rempliée, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1913, 115 pp.
Envoi autographe signé de la princesse Marie Wolkonsky "à Madame la Princesse Hohenfelsen, avec mes meilleurs souvenirs". Seconde épouse du grand-duc Paul Alexandrovitch de Russie, Olga Karnovitch, princesse Paley (1865-1929) obtint sur demande de son époux, de la part du prince-régent Léopold de Bavière, le titre de Comtesse de Hohenfelsen, titre transmissible à ses enfants morganatiques. Etat très satisfaisant (dos frotté, bon état par ailleurs).
1985 Paris, Mercure de France, 1985 In huit, 14*20,5, 523 pp, Broché, bon état, sans annotations, couverture illustrée avec rabats,
Édition établie et annotée par Olivier Amiel, préface de Pierre Gascar, tome XXXII de la Collection « le Temps retrouvé».
Anna de Brancovan, Princesse de Faucigny-Lucinge, également connue sous le nom de la Princesse Bibesco, était une romancière, poétesse, et mémorialiste roumaine d'origine roumaine-française. Elle était une figure importante de la noblesse roumaine de robe, une classe sociale qui comprenait des familles nobles non héréditaires, principalement issues du milieu juridique et administratif. La noblesse de robe avait acquis son statut en servant l'État et en occupant des postes gouvernementaux. La Princesse Bibesco était une personnalité littéraire reconnue en son temps. Elle a écrit des romans, des poèmes et des mémoires qui ont été bien accueillis par la critique. Elle était également célèbre pour son cercle social et intellectuel, où elle côtoyait des écrivains, des artistes et des personnalités de l'époque. Son œuvre littéraire et sa position dans la noblesse de robe témoignent de l'importance de cette classe sociale dans l'histoire de la Roumanie et de la France au tournant du 20e siècle. vol broché, 23x18, état neuf, couvertures rempliées, 220pp, avec emboîtage. Exemplaire numéroté 11/100 sur pur fil Lafuma Paris, Bernard Grasset, 1928
ANTINEA - BARBARA - PRINCESSE TAM-TAM Paris 2005-2017 17 catalogues de formats divers ( entre 210 X 150 mm et 100 X 100 mm ) entre 10 et 30 pages chaque, agrafés sous couvertures illustrées en couleurs. Beaux catalogues illustrés de belles photographies en couleurs à pleine page de modèles vêtus des sublimes créations ANTINEA - BARBARA - PRINCESSE TAM-TAM etc.... Très beaux exemplaires. Belle série en bel état.
Librairie nationale d'art et d'histoire 1923 in8. 1923. Broché. illustrations en noir et blanc
couverture défraîchie sous papier de soie tranche fanée intérieur propre pages non coupées sur le dernier quart
Chez l'auteur. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 124 pages. Nombreuses illustrations planches de bande-dessées en noir et blanc. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans et hors texte. Nombreuses pages de texte manquantes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Princesse du cirque - Martine - Lea Glouton - etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues