40 books for « predicateur »Edit

‎Exercices de l'Ame, pour se disposer aux sacrements de pénitence et d'eucharistie‎

‎ LYON, chez Perisse Frères/PARIS, chez Méquignon junior - 1822 - In-12 - Reliure pleine basane - Dos lisse à filets dorés - XII-324 pages + (4) de table - bon exemplaire - Envoi rapide et soigné‎

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‎Lettre autographe signée à Henri Brisson‎

‎Hyacinthe Loyson (1827-1912), prêtre, prédicateur, excommunié en 1869. L.A.S., Neuilly, 2 juillet 1898, 2p 1/2 in-8. Très belle lettre de félicitations à Henri Brisson (1835-1912), nouveau président du Conseil des ministres, « Que Dieu lui donne, pour vaincre [les ennemis de la liberté, de la République et de la France] lumière et force ! ». Il fait mention de ces ennemis qu'il a vus présents devant le couvent des Prémontrés de Frigolet avec « une large et séditieuse pancarte, imprimée sous ce titre : sectaire et malotru ». Belle lettre. [397] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Hyacinthe Loyson (1827-1912), prêtre, prédicateur, excommunié en 1869. L.A.S., Neuilly, 9 octobre 1893, 2pœ in-8. Il est très intéressé par les sujets abordés par son correspondant et préférerait en parler de vive voix plutôt que par écrit. Il lui demande de résumer ce qu'il désire. Suis un intéressant passage : « Nous allons aux abîmes, Monsieur, et ceux qui pourraient et devraient nous sauver ne font rien pour cela. Au contraire, par leur aveuglement et leur obstination, ils précipitent notre ruine. Mais Dieu tirera le bien du mal, au temps et de la manière qu'Il a choisis. Heureux les hommes de bonne volonté qui lui serviront d'instruments ! ». Les deux feuillets de la lettre sont séparés. Le destinataire est un prêtre non identifié. Beau courrier. [134b] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Hyacinthe Loyson (1827-1912), prêtre, prédicateur, excommunié en 1869. L.A.S., Neuilly, 19 octobre 1893, 2p in-8. Joli courrier : « Vous souffrez de ce dont j'ai souffert, de ce dont souffrent tant d'âmes, tant d'âmes de prêtres surtout ! Pourquoi faut-il que la clef qui devrait ouvrir, dès ici-bas, pour eux et pour les autres, les vérités et les félicités du Royaume de Dieu, soit précisément celle qui, faussé entre leurs mains, les ferme ? ». Il lui répondra en détail dès qu'il sera remis d'une indisposition. Le destinataire est un prêtre non identifié. [134b] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Hyacinthe Loyson (1827-1912), prêtre, prédicateur, excommunié en 1869. L.A.S., Neuilly, 6 novembre 1893, 8p in-8. Extraordinaire lettre du père Loyson dans laquelle il répond, point par point à son correspondant : « 1° L'un des plus savants théologiens de ce siècle, Doellinger [i.e. Ignaz von Döllinger], me disait, lorsqu'il appartenait encore à l'Eglise romaine, que l'autorité suprême réside dans le concile ocuménique, lorsque ses décrets sont portés par l'unanimité morale de ses membres et revêtus ensuite de l'acceptation de l'Eglise. Il ajoutait que, même dans ce cas, le mot d'infaillibilité n'était pas rigoureusement exact, et qu'il faudrait trouver un autre terme pour exprimer l'autorité dogmatique de l'Eglise. [.] 2° L'interprétation du texte sacré n'est ni définitive, ni complète : il faut donc se garder de la rendre obligatoire. De toutes les révolutions qui se sont accomplies, en ce siècle, la plus profonde est celle de l'exégèse. [.] 3° Je ne crois pas que la confession privée ait été enseignée dans l'Evangile, ni pratiquée dans les premiers siècles. [.] 4° Ce qui domine pour moi tous les textes particuliers dans question de l'enfer, c'est la foi dans la miséricorde et l'amour éternels, infinis en Dieu. S'il créait un seul homme, un seul esprit, non seulement pour être éternellement malheureux, mais pour être éternellement méchant, Dieu serait moins père que les pères de la Terre, ou plutôt il ne le serait plus du tout. [.] 5° [. contre le célibat sacerdotal] Le célibat ne peut être qu'une exception très restreinte, et encore, dans de tels cas, il constitue un état anormal, quoique agréable à Dieu et crée, suivant la parole évangélique, non pas des hommes complets et parfaits, mais des eunuques spirituels [.] Il y a deux portes pour sortir du célibat, l'une inférieure pour éviter le pêché, la maladie ou la folie : l'autre sublime, pour s'élever et se perfectionner dans l'amour conjugal et paternel ». Il parle ensuite de son expérience, s'étant marié après son excommunication. Il espère une réforme de l'Eglise catholique. Toutes les idées de Loyson qui l'ont éloigné du catholicisme sont présentes dans cette lettre. Superbe document Le destinataire est un prêtre non identifié. [134b] ‎

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‎Lettre autographe signée‎

‎Hyacinthe Loyson (1827-1912), prêtre, prédicateur, excommunié en 1869. L.A.S., Neuilly, 6 janvier 1894, 4p in-8. Le destinataire est un prêtre non identifié. Belle lettre de conseils, lui indiquant quelles livres d'Ignaz von Döllinger il faut lui, lui signalant un livre d'Anatole Leroy-Beaulieu, puis développe ses idées : « Pour ma part, je pense que l'omnipotence pontificale, telle surtout qu'elle est sortie du concile du Vatican, a creusé un abîme entre l'Orient et l'Occident. Les Orthodoxes sont encore plus antipapistes que les Protestants ». Etant très fatigué par des conférences données pendant l'avent, il ne peut répondre en détail mais indique quand même : « En règle générale, le mariage me semble très supérieur au célibat, même religieusement et spirituellement parlant, même et surtout pour les prêtres (encore une fois je pose la règle générale sans méconnaître les exceptions. Il va sans dire que ce mariage doit être, non seulement chrétien, mais légal et public. [.] je remercie Dieu, du fond de mon âme, de m'avoir donné le courage d'un tel mariage. La Papauté, la Confession et le Célibat sont les trois abus les plus funestes du système si mal nommé catholique, et qui n'est pas chrétien ». Très beau courrier. [134b] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Henri Lacordaire (1802-1861), prêtre, prédicateur, journaliste. L.A.S., Flavigny, 6 juin 1853, 1p in-4. Au révérend père Benoît Roaldès (né en 1819), rue Vaugirard à Paris. Intéressante lettre sur la vie des Dominicains. Il donne son autorisation pour l'envoi de deux portraits par Roaldès à sa mère, demande des détails sur la somme nécessaire pour un voyage du prieur à Gand et la somme alors présente dans la caisse provinciale. Enfin, il lui demande de dire au R.P. Dominique Souaillard (né en 1816) que l'évêque d'Angers, mgr Guillaume Angebault, a été très satisfait de sa prédication à Angers. [297]‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Henri Lacordaire (1802-1861), prêtre, prédicateur, journaliste. L.A.S., Sorèze, 18 février 1858, 1p in-4. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), alors supérieur du petit séminaire. Il le remercie d'abord pour la remarque sur ses ouvres, i.e. l'oubli d'un petit texte, La vie de Notre Seigneur de Foisset. Ce n'est pas un oubli mais une omission car Lacordaire le considérait « très court et très peu développé ». Il parle ensuite d'un ancien élève de Millault : « votre petit transfuge, m. Etienne Lamy, a bien des choses à faire pour devenir ce que vous voulez qu'il soit. Nous espérons y réussir avec le temps ». Il s'agit bien d'Etienne Lamy (1845-1919), avocat, homme politique, secrétaire perpétuel de l'Académie Française. Il sera avocat à 20 ans, député à 26 ans. Beau courrier. [297]‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Joseph Félix (1810-1891), jésuite, prédicateur notamment pour le carême à Notre-Dame de Paris de 1853 à 1870 (successeur de Lacordaire et Ravignan). L.A.S., Dijon 19 février 1880, 1p in-12. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il accepte de venir à Paris, vraisemblablement pour une prédication, le 4e dimanche après Pâques, le 25 avril. [271] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Joseph Félix (1810-1891), jésuite, prédicateur notamment pour le carême à Notre-Dame de Paris de 1853 à 1870 (successeur de Lacordaire et Ravignan). L.A.S., Le Mans, 8 novembre 1872, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il ne peut répondre positivement à la demande [de prédication] mais préviendra Millault dès qu'il aura une possibilité. [271] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Châtillon, 3 janvier, 1p in-12. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. N'ayant pu venir à Paris lui souhaiter ses voux, il le fait par écrit. [272] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Clermont-Ferrand, 19 août 1883, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il a su que monseigneur Ardin, alors évêque d'Oran, ne pourrait pas venir à Saint Roch le 29 août. Etant à Clermont, il a su que l'évêque de Clermont, Jean-Pierre Boyer, serait à Paris ce jour-là et qu'il pourrait éventuellement présider les vêpres à Saint-Roch. [272] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Diakovar [i.e. Dakovo, en Croatie], 17 juin 1885, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il est alors avec Emmanuel Marbeau, futur évêque de Meaux, et est arrivé à Diakovar où ils sont logés chez l'évêque, monseigneur Josip Juraj Strossmayer (1815-1905), « un grand évêque dans toute la force du mot. [.] Il est difficile de mieux aimer le bon Dieu, les âmes & la patrie, difficile d'en mieux parler pour les faire aimer ». Ils ont parlé de lui à l'évêque qui passera probablement le voir s'il a l'occasion d'aller à Paris. [272] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Cournon (Auvergne), 17 avril 1883, 2p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il se repose à Cournon avant de prêcher une retraite chez les pénitents blancs de Montpellier. Il pense pouvoir s'engager pour la Saint Roch (probablement un prêche) [272] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 1er janvier 1891, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il lui envoie ses voux. Il est en train de corriger les épreuves de son livre et lui enverra un exemplaire dès qu'il sera paru. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 20 octobre 1883, 2p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Etant obligé de garder le lit, il n'a pu venir aux obsèques du neveu de l'abbé et lui demande de transmettre ses condoléances à la famille. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 31 décembre 1883, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il lui présente ses voux et espère pouvoir le voir le lendemain si ses rhumatismes ne le retiennent pas chez lui. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Châtillon, 1er décembre 1881, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il regrette que sa santé l'empêche d'aller à Paris et de déjeuner avec lui. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Châtillon, 12 avril 1882, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il ne peut venir à Paris le jour-même mais viendra le lendemain le voir. Il lui transmet les compliments de monseigneur Eugène Lion (l'archevêque de Damiette) qui arrive à Paris quelques jours plus tard et accepte la proposition de l'abbé Millault de le loger. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Châtillon, 5 septembre 1882, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Lettre pour l'organisation d'une retraite pour les jeunes filles. Ollivier lui demande quand il doit mettre à disposition le cocher. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 12 septembre 1882, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il le remercie pour la retraite donnée aux jeunes filles, n'ayant pu le faire de vive voix, et lui signale avoir rencontré un ami, Lenormand, qui sollicite l'abbé Millault pour un dimanche de l'avent et Ollivier pour un sermon. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 29 octobre 1880, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. La dispersion de son couvent aura lieu le soir-même ou le lendemain. Il viendra donc chercher asile chez l'abbé Millault. En effet, les décrets du 29 mars 1880 tendant à expulser les congrégations. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 28 novembre 1898, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il confirme qu'il sera disponible pour une adoration ou qu'il se trouvera un suppléant s'il part en Italie. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 20 juin 1880, 1p in-8. A l'abbé Sébastien Millault (1809-1896), curé de Saint-Roch à Paris. Il le remercie et lui demande l'hospitalité pour lui et un autre prêtre, Henriot. [273] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Joseph Ollivier (1835-1910), prédicateur dominicain, prêcha le Carême à Notre-Dame de Paris en 1897. L.A.S., Paris, 7 janvier 1868, 2p in-8. A propos d'une visite à Bourges où il représentera une association. Il arrivera à Bourges le samedi. [353] ‎