164 books for « pinot j »Edit

‎4 images d'Epinal : En avant Fanfan - Cadet-Rousselle - Au clair de la lune - J'ai du bon tabac.‎

‎ Lithographies en couleurs de 41x28 cm environ. La première éditée par Ch. Pinot (actif de 1860 à 1874), et les tois suivantes éditées par Olivier-Pinot (actif de 1874 à 1888). Papier légèrement jauni. Pliures horizontales.Quelques menues déchirures et pliures en marges des feuillets sans atteinte aux sujets.‎

‎Correctes. ‎

‎Les Confessions du Comte de ***, écrites par lui-même à un Ami. Quatrième édition.‎

‎ A Amsterdam, 1742, 2 parties reliées en 1 volume in-16 de 165x95 mm environ, 1f.blanc, 2ff. (titre avec vignette gravée, avertissement), 173-2ff. (faux-titre,titre avec vignette gravée)-141 pages, 1f.blanc, reliure plein veau marbré fauve, dos à 5 nerfs portant titres dorés sur pièce de titre bordeaux, coupes dorés, gardes marbrées, tranches rouges. Restaurations sur le premier contreplat et la page de titre, frottements sur les coins, coupes et la coiffe supérieure, mouillure dans la marge supérieure sur une dizaine de pages (p.169).‎

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‎Charles Pinot Duclos né à Dinan, le 12 février 1704 et mort à Paris le 26 mars 1772, est un écrivain et historien français. Les Confessions du comte de *** sont un roman-mémoires publié en 1742 par Charles Pinot Duclos à Amsterdam. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

‎La vie et l'oeuvre de Robert Pinot.‎

‎ Broché, 23X14 cm, 1927, 356 pages, photo en frontispice, librairie Armand Colin. Non coupé, très bon état.‎

‎ Le magasin est fermé jusqu'au 13 mai inclus, nous reprendrons les expéditions à cette date, merci.‎

‎Les confessions du comte de***.‎

‎Paris, Le Cercle des Bibliophiles Européens, 1967, 1 volume, in-12 étroit, relié, 232 p.. Quatrième volume de la collection "Les petits maîtres galants", 36 illustrations en couleur de Rack-Wilser. Reliure éditeur, plein skivertex orangé, tête dorée.‎

‎Exemplaire du tirage ordinaire. Superbe exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

‎Contes. Avec une notice bio-bibliographique par Octave Uzanne.‎

‎ P., A. Quantin, collection "Petits conteurs du XVIIIe siècle", 1880,In-8, br., XC-251pp. Portrait gravé en frontispice par Lalauze‎

‎dos cassé avec manques,à relier ,dans l'etat, ‎

‎Les confessions du Comte de *** - Ecrites par lui-même à un ami.‎

‎ Bibliothèque amusante, A Londres 1781, in/12, reliure en plein veau de l'époque, dos lisse, pièce de titre vert, dos orné, triple filets sur les plats, des petits manques, doré sur les trois tranches. 258 pages.‎

‎Charles Pinot Duclos né à Dinan en 1704. ‎

‎OEUVRES COMPLETES précédées d'une notice sur la vie et ses écrits par M. Auger.‎

‎P., Janet et Cotelle, 1820-1821 9 volumes in-8 demi veau bleu, dos lisses ornés en long de fers dorés. (Nombreuses rousseurs, une coiffe faible). ‎

‎Nouvelle édition. Charles Pinot Duclos (1704-1772), après des études chez l'abbé de Dangeau, se lie avec Caylus et débute dans les Lettres en imitant Crébillon fils, devenant en 1747 secrétaire perpétuel de l'Académie française. On disait de lui qu'il avait le plus bel esprit de Paris. ‎

‎Les Confessions du comte de *** écrites par lui-même à un ami, Par Charles Pinot Duclos ‎

‎ 1741 Amsterdam,.1741 - Edition Originale - complet des 2 tomes en 1 volume - In-12 - Reliure plein veau (épîdermures, 1 mors fragilisé, manque coiffe supérieure) -Toutes tranches rouges - 175 & 136 pages - Réf. 48316 ‎

‎Roman libertin ayant connu à son époque un succès considérable.Certains ont appelé cet ouvrage un "roman à portraits" et qui forme plutôt d'ailleurs une vraie galerie de portraits, le lecteur trouve les figures successives de la dévote Mme de Gremonville, de la précieuse Mme de Tonins, de Mme de Persigny la dissipée, de la capricieuse Mme d'Albi, de la coquette Mme de Lery, puis de la facile, la libertine, la scélérate, la conseillère, la financière, la bourgeoise, et par-dessus tout la charmante Mme de Selve, qui représente le sentiment, l'amour vrai, et dont l'histoire clôt de façon vertueuse un roman qui n'avait pas commencé ainsi. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

‎Contes de Charles Pinot Duclos.‎

‎Avec une Notice bio-bibliographique par Octave Uzanne.8 Gravures hors-texte, fac-similé d'une lettre de l'auteur, vignettes de titre, lettrines, Portrait de l'auteur par Lalauze.Table : Notice - Confessions du Comte de *** - Acajou et Zirphile.Tirage à petit nombre. Paris, A. Quantin - 1880 - xc et 251 pages. Collection Petits conteurs du XVIIIe siècle.Belle reliure plein chagrin rouge de l'époque. Dos à nerfs. Plats et dos richement orné et doré. Dentelle sur les contreplats et filet pointillé sur les coupes. Tête dorée. Couverture illustrée conservée. Pas de rousseur. Très légers frottements. Très bon état. Format in-8° (21x15).‎

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‎LOS RIOS Ricardo de - LALAUZE Adolphe ‎

‎Les Confessions du Comte de ***.‎

‎ Aux dépens des Editions de La Vielle France 1950. Collection "Les Petits Maîtres Erotiques". Petits in 12 plein basane havane clair, dos lisse orné de fers dorés et pièce de titre, tranches mouchetées, coiffe de tête frottée, petites déchirures le long d'un mors - structure ferme - édition pastiche du 18 ième siècle; reliure et impression, papier marbré sur contre plats et gardes, 250 pp, gravures sur cuivre originales de Pierre Leroy. N° 65 / 900 exemplaires sur Vergé du Marais. ‎

‎Dossier de Presse. Prostitution, un Long-métrage de Jean-François Davy + Mission d'Information sur la Prostitution, Rapport de Guy Pinot, Premier Présisent de Cour d'Appel.‎

‎ Editions Contrechamp, Félix Films 1976. In-8 broché à l'italienne de 26 pages au format 20,5 x 29,5 cm. Couverture avec photo. Contient la fiche technique, un dossier sur la prostitution, un entretien avec le metteur en scène, Jean-François Davy avec sa biographie, et une présentation des prostituées ayant accepter de parler. Belles illustrations en couleurs hors texte.Ce documentaire est composé de témoignages de prostituées, au travers d'une dizaine d'entretiens se rapportant plus spécialement à la biographie des prostituées interrogées, qui tentent de persuader de l'intérêt social de la prostitution, ainsi que des problèmes inhérents qu'elle engendre dans une société répressive....Etat superbe, proche du parfait, Rare édition originale.‎

‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

‎Le Juif-Errant image d'Epinal, Vosges, Gravure sur bois coloriée à la planche‎

‎ Epinal, Vosges, France,19e siècle- Gravure sur bois colorié à la planche collée sur papier fort;Format (64 x 42 cm).Très bon état ,un peu jaunie.‎

‎Un vieil homme, cheveux et barbe blancs et longs, marche en s'appuyant sur un bâton, il est coiffé d'un bonnet de fourrure, d'une tunique rouge, d'un tablier, de bottes, au fond la mer et un navire en difficulté- Imagerie d'Epinal n°113, h d ; complainte du Juif-Errant sur 6 colonnes au-dessous de l'illustrationEdition :Pellerin, imprimeur-libraire à Epinal- Publication :Perrout, René :" Trésor d'images d'Epinal". Paris : jean-Pierre Gyss, 1985, pp. 86 à 94. ‎

‎MEMOIRES POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES MOEURS DU XVIIIe SIECLE‎

‎Desjonquères. 1986. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 147 pages.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎Charles Pinot Duclos...peint les moeurs de la société qui l'entoure, à cette époque déliée où l'esprit était vif, apte à saisir toutes les faces les plus diverses de la mobile vérité... Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎CONTES DE CHARLES PINOT DUCLOS - COLLECTION PETITS CONTEURS DU XVIIIE SIECLE.‎

‎A.QUANTIN. 1879-1880. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Coiffe en pied abîmée, Non coupé. XC + 251 pages - quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte sous serpente dont une en frontispice .. . . . Classification Dewey : 398.2-Conte populaire‎

‎COLLECTION PETITS CONTEURS DU XVIIIE SIECLE - Avec une notice bio-bibliographique par Octave Uzanne - Page de titre daté de 1880 et l'achevé d'imprimer de 1879. Classification Dewey : 398.2-Conte populaire‎

‎Acajou et Zirphile, Conte‎

‎ 1744 "A Minutie", 1744, grand papier, Exemplaire en grand papier avec un frontispice et 9 grandes figures de Boucher gravées par Chedel , 1 fleuron sur le titre , 1 vignette et 1 cul de lampe par Cochin Fils , 1 volume in 4 , haut 271 mm demi reliure veau marbré, avec coins , dos orné, tranches rouges reliure signée de Champs V.Etat comme neuf , impeccable ‎

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‎Ray C3 cord * ‎

‎ Contes de Charles Pinot Duclos - Confessions du Comte de *** - Acajou et Zirphile - Avec une Notice bio-bibliographique par Octave Uzanne‎

‎ 1880 Paris, A. Quantin, Collection Petits conteurs du XVIIIe siècle - 1880 - Tirage à petit nombre sur papier vergé - Broché, dos cassé - In-8°, 21 x 15 cm - Couverture illustrée conservée, légèrement salie - Portrait de l'auteur par Lalauze en Frontispice, Gravures hors-texte, fac-similé d'une lettre de l'auteur, vignettes de titre, lettrines - infimes rousseurs - bon exemplaire - Vicaire, Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle, t. II, col. 956.‎

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‎ - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

‎1- VOLNEY (C. F., comte de). Les ruines ou Méditation sur les révolutions des Empires. Précédé d'une notice par le comte Daru. Paris, Baudouin frères, 1826. xxiv, 297 p., frontispice et titre allégorique gravés, 2 planches dépliantes in fine.2- DUCLOS (Charles Pinot). Considérations sur les moeurs de ce siècle. Paris, A. Hiard, 1831. 235, (1) p.‎

‎ 2 ouvrages reliés en un volume petit in-12, demi-veau bleu nuit de l'époque, dos lisse orné de triple filets dorés. ‎

‎1- Les planches représentent une planisphère et une carte du ciel. On joint un portrait de Volney, contrecollé sur la première page.2- Contient, en plus des 'Considération sur les moeurs', 'Discours d'Académie' et 'Réponse de Bernis'. (Meister, 'Duclos', n°56). ‎

‎ Contes de Charles Pinot - Duclos, ‎

‎ 1880 Paris A. Quantin, imprimeur éditeur, Paris, 1880, in 8 broché,1 portrait en frontispice et 1 hors-texte gravés à l'eau-forte, 1 fac-similé dépliant, bandeaux, lettrines et culs-de-lampe minimes, Collection "Petits conteurs du XVIIIe siècle". Tirage à petit nombre, bon état, qqs rousseurs‎

‎Constructions pour enfants n°7 : Corps de garde‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Déchirures restaurées en marge gauche affectant légèrement la gravure et comportant de petits manques, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions pour enfants n°21 : Cabane du pêcheur‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions n°82 : Prussiens attaquant une place forte‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions n°78 : Sloop, bateau de pêche‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une déchirure restaurée en marge inférieure n'affectant pas la gravure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions mécaniques n°60, fonctionnant au moyen du sable : Bateau pêcheur‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Rousseurs marginales, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Tableaux à mouvements n°50 : le Moulin à vent (ce sujet fonctionne au moyen du sable)‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le Petit constructeur n°41 : Épicerie‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎