Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier.
Reference : 017354
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier. Dessin original, encre et lavis, signé (et daté ? Illisible) en bas à droite, ca.1825, 148*125mm, collé sur une feuille plus grande. Illustration pour la chanson politique de Pierre-Jean de Béranger, Les Missionnaires, reprenant en légende deux vers de cette chanson : « Les philosophes aussi / Déjà sentent le roussi ». Belle illustration inédite pour une chanson de Béranger. [157]
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier.
Reference : 017355
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier. Dessin original, encre et lavis, signé et daté 1826 en bas à droite, 132*115mm, collé sur une feuille plus grande. Illustration pour la chanson légère de Pierre-Jean de Béranger, L'Habit de cour, reprenant en légende deux vers : « Elle m'entraine à sa chambrette / Si favorable à notre ardeur ». Belle illustration inédite pour une chanson de Béranger. [157]
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier.
Reference : 017356
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier. Dessin original, encre et aquarelle, signé et daté 1846 (?) en bas à droite, 220*157mm. Illustration pour la chanson légère de Pierre-Jean de Béranger, Frétillon, reprenant en légende les vers finaux : « Ma Frétillon, / Cette fille / Qui frétille / Mourra sans un cotillon ». Belle illustration inédite pour une chanson de Béranger. [157]
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier.
Reference : 017357
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier. Dessin original, encre et lavis, signé et daté 1825 en bas à gauche, 215*154mm. Illustration pour la chanson légère de Pierre-Jean de Béranger, Ma grand'Mère, reprenant en légende quatre vers : « Ma grand'mère un soir a sa fête, / de vin pur ayant bu deux doigts / nous disait en branlant la tête : / que d'amoureux j'eus autrefois ! ». Belle illustration inédite pour une chanson de Béranger. [157]
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier.
Reference : 017358
Charles Chabrillac (1804-1879), peintre ; Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier. Dessin original, encre et lavis, signé et daté 1846 en bas à gauche, 131*85mm sur une feuille plus grande. Illustration pour la chanson de Pierre-Jean de Béranger, Les Gueux, reprenant en légende trois vers : « Que de gueux hommes de bien / Il faut qu'enfin l'esprit venge / L'honnête homme qui n'a rien ». Belle illustration inédite pour une chanson de Béranger. [157]
Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), poète, chansonnier. L.A.S., 14 avril [1837], 2pœ in-8. A Edme-Louis-François Masson de Longpré (1793-1863), alors vérificateur des domaines à Loches. Longpré était le propriétaire de La Grenadière, près de Tours. Il y reçut Balzac et Béranger. « Mon cher Monsieur de Longpré, Je reçois la réponse de M. Bérard à la proposition que vous m'aviez autorisé à lui ltransmettre. Elle est conforme à ce que je vous avais fait pressentir, quelque honneur qu'il attacherait à représenter l'arrondissement que vous habitez. Le père de famille a fait à la patrie tous les sacrifices qu'il a dû lui faire, en restant chargé de fonctions publiques à une époque où toutes les fortunes étant menacées, il eut eu besoin de se consacrer entièrement à ses affaires particulières. Les refus de positions avantageuses ne lui ont pas plus coûté que l'obligation à remplir de donner de sages conseils, même lorsque l'on sait d'avance qu'ils ne seront pas bien reçus. Mais une fois délié par ceux qui l'avaient chargé de leur mandat, il s'est crû libre envers le pays, à moins que des circonstances impérieuses ne vinssent lui imposer de nouveaux sacrifices. Nous n'en sommes pas là, heureusement. Ne vous étonnez donc pas, mon cher Monsieur, s'il n'accepte pas la candidature que vous aviez la bonté de lui offrir au nom d'honorables électeurs. Déjà plusieurs fois il a été obligé de faire le même refus, et je n'ai pas besoin de vous dire que cela a toujours été avec le plus vif regret. Aussi me charge-t-il de vous prier d'assurer de sa reconnaissance profonde Mrs les électeurs qui avaient bien voulu agréer son nom. Il me charge également de vous dire combien il vous est obligé d'un pareil témoignage d'estime ; et comme ce qui touche un si excellent homme ne peut être indifférent à ses amis, permettez-moi de joindre mes remerciements aux siens. Faites agréer mes civilités respectueuses à Madame, et recevez avec tous les compliments de ma vieille amie, l'assurance de mon affection toute dévouée. Béranger ». Simon Bérard (1783-1859) refuse donc de s'engager à nouveau en politique. Il avait été député de 1827 à 1834. Il démissionne et se retire en Touraine pour fonder une filature. Il sera en revanche nommé receveur général des finances en 1839. Longue et belle lettre. [133]