Paris, Guiraudet et Jouaust, 1846 in-8, [2]-29 pp., demi-veau vert, dos lisse orné de filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Dos insolé.
Les frères Ratchis et Aistolf, issus des ducs de Frioul, régnèrent sur les Lombards de 744 à 756 : Aistolf fut ce prince désireux d'unifier la Péninsule, qui se heurta à la papauté et aux interventions de Pépin le Bref dans les affaires italiennes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
PARIS. CHAMEROT, LIBRAIRE-EDITEUR. 1843. IN-8 (13,5 X 22 X 3,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (8) + 640 PAGES, RELIURE D’EPOQUE 1/2 VEAU HAVANE, DOS LISSE ORNE DE FILETS ET DE FLEURONS DORES, TITRE DORE. HISTOIRE DU MOYEN-AGE DEPUIS LE 4° SIECLE JUSQU’A LA CHUTE DE CONSTANTINOPLE EN 1453. PETITES TACHES D’ENCRE SUR QUELQUES PAGES, PETITS DEFAUTS EXTERIEURS SANS GRAVITE, SINON BON EXEMPLAIRE.
P., Chamerot, 1841, in-8°, xii-455 pp, généalogie des trois dynasties et des principales maisons féodales (pp. 427-444), reliure demi-basane noire, dos lisse avec titre (“Histoire de France”) et quadruples filets dorés (rel. de l'époque), dos frotté et lég. épidermé, coiffe sup. abîmée, sinon bon état. Edition originale. Peu courant
L'ouvrage traite des Gaulois à 1789. L'auteur était professeur agrégé d'histoire au Collège royal de Bourbon. — Extrait : « Le massacre se propage de ville en ville, à Orléans, à Rouen, à Lyon, à Toulouse, comme les vêpres siciliennes. Plusieurs gouverneurs sauvent les calvinistes en empêchant l'insurrection. Mais il n'y eut point de messages royaux ; et la lettre de Charles IX au vicomte d'Orthez est évidemment apocryphe. Il en est de même des coups d'arquebuse que le roi aurait tirés par une fenêtre du Louvre : la fenêtre n'était pas bâtie. Ces bruits, propagés par les passions, ne se trouvent même pas dans les récits des calvinistes. C'est Brantôme qui a entendu dire que le roi arquebusait ses sujets ; mais cet écrivain est dépouvu de toute autorité ; il se trouvait à Angoulême au moment du massacre. Le jeune Sully, qui y fut compromis, n'en dit pas un mot dans ses Mémoires. » (pp. 286-287)
Paris Amyot février 1844 in-8 broché, couverture imprimée, non coupé, plats détachés
44 pp. (numér. 89 à 132).Ryckebusch 6434. Sabin 61262. Edition originale. Troisième et dernière lettre destinée au duc de Broglie, relative à la question de l'abolition de l'esclavage. L'auteur, né à Etain (Meuse) en 1807, était professeur d'histoire au collège royal de Bourbon. Opposé à l'abolition de l'esclavage, il étudie ici la question financière qui se poserait dans le cas où l'émancipation des esclaves serait décidée. Publiées séparément en 1843-1844, les trois lettres au duc de Broglie firent l'objet d'une édition collective en 1845. Ancien président du Conseil et pair de France, Victor de Broglie était, depuis 1840, président de la commission chargée de préparer l'abolition de l'esclavage.Rare. 3 exemplaires au CCFr, dont 2 à Paris (BnF, Bibliothèque du Protestantisme français) et 1 à Lyon