Paris Lemaire et Fils 1871 Très bel exemplaire de cette satire politique coloriée à la main. Première édition. La lithographie a été publiée comme supplément 14 de La Charge. La feuille est une parodie d'une composition d'Adams. L'esprit de La Charge était clairement défavorable à l'Empire et anti-prussien, ce qui lui valut d'être poursuivie à plusieurs reprises. La feuille mesure 35,5 cm x 28,5 cm. En bon état, propre, avec un peu de froissement dans les coins. Paris Museés ref : 320154195. Zut (Alfred Le Petit) (1841-1909) est un caricaturiste français. Il commence sa carrière de caricaturiste à Rouen. Il s'installe ensuite à Paris, où il collabore à la revue L'Eclipse. En 1870, il fonde Le Charge, dans lequel il critique vivement Napoléon III. Il collabore également au Grelot et au Charivari et fonde Le Pétard et Le Sans-Culotte. Déçu par la politique de Jules Ferry dans les années 1880, Le Petit défend le général Boulanger et prend parti contre Dreyfus dans son uvre. Il finit par être un personnage assez triste, et passe ses dernières années à faire des caricatures de touristes au premier étage de la tour Eiffel, à chanter et à jouer du violon dans les cabarets.
A very nice copy of this hand coloured political satire. First edition. Lithograph was published as supplement 14 of La Charge. The sheet is a parody of a composition by Adams. The spirit of La Charge was clearly unfavourable to the Empire and anti-Prussian which led to it being prosecuted on several occasions. sheet is 35.5cm x28.5cm. In good, clean condition with a touch of creasing to the corners. Paris Museés ref: 320154195. Zut (Alfred Le Petit) (1841-1909) Was a French caricaturist. who began his career as a caricaturist in Rouen. He eventually settled in Paris, where he contributed to the magazine L'Eclipse. In 1870 he founded Le Charge, in which he heavily criticized Napoleon III. He additionally contributed to Le Grelot and Le Charivari and founded Le Pétard and Le Sans-Culotte. Disappointed by the politics of Jules Ferry in the 1880s, Le Petit defended general Boulanger and sided against Dreyfus in his work. He ended being quite a sad character, and spent his final years making caricatures of tourists on the first floor of the Eiffel tower, and singing and playing the violin in cabarets. .
Editions Mornay "Les Beaux Livres" Paris 1927 In-8 carré ( 205 X 155 mm ) de 223 pages, plein maroquin bleu-nuit à bandes, dos lisse orné d'un fleuron et de filets d'encadrement dorés, tête dorée, couverture illustrée et dos conservés. Frontispice et illustrations en couleurs dans le texte de Alfred LE PETIT. Bel exemplaire numéroté sur Rives.
Labor Bruxelles S.D. In-8 carré ( 185 X 115 mm ) de 225 pages, broché sous couverture illustrée. Bon exemplaire.
1876 Paris, Alphonse Lemerre, 1876, fort in-8 de (4)-460-(4), rel. demi-chagrin vert à coins, dos (passé) à 4 nerfs, tête dorée, couvert. et dos imprimés sur velin cons, belles marges, bon ex.
Ed. orig. de cette traduction de l'érudit Louis Petit de Julleville (1841-1900), enrichie de nombreuses notes. Texte original avec la traduction en regard. Un des 100 ex. num. sur Hollande, paraphé par l'éditeur.
René Kieffer Paris 1925 In-8 ( 250 X 170 mm ) de 170 pages, broché sous couverture illustrée en couleurs rempliée. Illustrations en couleurs dans et hors-texte de Alfred LE PETIT. Très bel exemplaire numéroté sur vélin de cuve.
[SNPMD] - PETIT, Henri ; [ SAUTET, Camille ; PETIT, Madame Henry : SUFFRAN, Michel ]
Reference : 54662
(1977)
Texte recueilli par Camille Sautet, un des 450 exemplaires non numérotés (après 50 numérotés), 1 vol. in-4 reliure pleine toile éditeur sous jaquette transparente, sous étui cartonné, collection "L'univers sensible", SNPMD, Paris, 1977, 110 pp. avec Pays de Bourgogne, 1 vol. in-8 br., 1979, pp. 353-417
Remarquable ensemble réunissant : un bel exemplaire de "Paysages" dédicacé par Henri Petit "Pour Michel Suffran, qui sait ma très vive sympathie et aussi ma reconnaissance" ; le numéro spécial d'hommage à Henri Petit publié par la revue "Pays de Bourgogne", accompagné d'une belle L.A.S. (2 pages) de Camille Sautet adressée à l'écrivain bordelais Michel Suffran : "Mon Cher docteur et ami, je vous adresse par le même courrier un exemplaire de la revue "Pays de Bourgogne" qui vient de paraître, où vous trouverez entre autres votre remarquable article "Frère de Silence" en hommage à Henri Petit. Quand je dis "remarquable", il ne s'agit pas d'un mot passe-partout [ ... ]mais de ce qui est proprement digne de retenir l'attention. Je regrette beaucoup que, comme me l'avait fait espérer Yves Leroux, vous n'ayez pas pu, en son temps, lors de la parution de "Paysages", donner à Henri Petit le bonheur de lire quelques pages de vous, de ce ton et de ce style [ ... ] nous nous retrouvons en certains mots : artisanal, race terrienne, contemplation... et je disais souvent que l'athée qu'il disait être avait une pensée et un coeur franciscain et une âme contemplative, parce que le croyant qu'il avait été jusqu'à l'âge de 13 ans cet enfant était toujours près de lui et le suivrait jusqu'au bout de la route. Madame Petit, que je viens de voir à Paris, a beaucoup apprécié et en particulier votre témoignage. Elle vous écrira sûrement" [ ... ]". Michel Suffran a écrit ces lignes sur l'enveloppe : "A la limite, ce n'est pas ce que nous proclamons et analysons qui importe le plus. Ce qui compte (et ce qui nous sera compté), c'est ce qui appartient à l'indicible, ce qui rayonne de nous à notre insu, et peut-être, contre notre consentement. Un andante de Mozart, un crépuscule de Watteau, un page de Nerval témoignent bien plus sûrement de Dieu en l'homme, que la plus ingénieuse des "démonstrations" métaphysiques". On joint la belle lettre autographe (prévue par Camille Sautet) signée par Madame Henri Petit, adressée à Michel Suffran : "Je viens vous remercier très sincèrement du bel article que vous avez consacré à mon mari. Vous dites à son propos des choses que personne n'a encore dites. Vous allez très loin. J'en suis, croyez moi, profondément touchée. Et c'est vrai (souligné). [ ... ]"Né à Avallon (Yonne), l'écrivain bourguignon Henri Petit (1900-1978) fut élève à Louis-le-Grand puis à la Sorbonne, où il rencontre Jean Grenier. Il publie son premier texte ("Vézelay") en 1927, et reçoit le Grand Prix de littérature de l'Académie Française en 1965.
MAILLARD, Olivier. [Jehan PETIT, libraire] [Jean Barbier, Michel Lesclancher, imprimeurs]
Reference : AMO-4519
(1515)
Venundantur Parhisiis in edibus Johannis Petit sub lilio aureo. [Impressus Joannis Barbier.] Impensis Johannis Petit bibliopole Parisiensis. Anno Domini millesimo quingentesimo decimoquinto. Pridie Kalendas Decembris [30 novembre 1515] 108-[92] f. (sign. a-z8, [-]8, [-]8) ; in-8° (collationné complet) Suit l'édition de 1511 imprimée par J. Barbier pour J. Petit (Renouard, ICP, II, 155). Matériel typographique de Jean Barbier. Texte sur 2 col. caractères gothiques, titre en rouge et noir, marque au titre. Références : Renouard, ICP, II, 1169. Renouard, Imprimeurs, III, p. 173, n° 238. Relié à la suite : Quadragesimale opus declamatum Parisiorum urbe ecclesia sancti Johannis in Gravia : per venerabilem patrem Sacre Scripture interpretem divini verbi preconem eximium : fratrem Oliverium Maillardi ordinis fratrum Minorum. Parisius sub eodem recollectum : ac novissime magno labore correctum impressionique traditum. Anno. M. CCCCC. XV. (Et per quendam... impensis vero honestiviri Johannis Petit bibliopole Parisiensis impressorum. Anno M. CCCCC. XVI. Dievero. XXV. mensis. Maii.) [1516] 174-[4] f. ; in-8° (collationné complet). Même pagination que l'édition de 1506 ou 1508 (Jean Barbier pour Jehan Petit également). Texte imprimé sur deux colonnes, caractères gothiques. Relié à la suite : Passio Domini nostri Jesu Christi a reverendo.p.Oliverii Maillard Parisius declamata. (Paris,) : J. Petit, (1519) | Paris : [Michel Lesclancher, imprimeur] : Jean Petit (libraire), Sans date [circa 1519] Sign. A-B (16 feuillets) ; in-8° (collationné complet) Daté d'après la marque de Jean Petit au titre (Renouard, Marques, n° 883). - Caractères gothiques à 2 colonnes. Référence : Renouard, ICP, II, 2136. Haebler, IV (marque de J. Petit) Renouard, 883 (marque de J. Petit) ; BP16_103799 (Bibliographie des éditions parisiennes du 16e siècle); Localisation d'exemplaires dans les fonds publics : Lausanne, BCU London, BL Oxford, BL. Ensemble 3 ouvrages reliés en 1 fort volume petit in-8 (162 mm x 100 mm | Hauteur des marges : 157 mm). Exemplaire avec de bonnes marges. Reliure plein veau brun glacé, dos lisse, filets dorés, titre doré "MAILLARD // SERMONS", doublures et gardes de papier marbré, tranches dorées. Roulette à froid en encadrement des plats. Reliure exécutée dans les premières années du XIXe siècle (sans doute pas après 1825). Reliure fraîche malgré quelques marques et frottements sans gravité, intérieur d'une grande fraîcheur totalement dépourvu de rousseurs, papier bien blanc. Première page de titre légèrement salie. Cachet sur le premier titre (bibliothèque Jean-François [-René-Marie-Pierre] de Kergariou (1779-1849)). Quelques faibles mouillures sans conséquence et peu visibles.
Le premier ouvrage donne quarante sept Sermons pour le dimanche et divers autres sermons dont seize sur les péchés, la mort, etc. Le second ouvrage donne soixante dix autres sermons publiés pour la première fois en 1498. Le troisième ouvrage donne le sermon de la Passion de notre seigneur Jésus Christ. Un exemplaire du premier ouvrage seul était proposé au catalogue Morgand sous le n°2237 (relié en vélin blanc) et coté 100 francs. « Frère Olivier Maillard était un prédicateur du XVème siècle qui acquit beaucoup de célébrité en prononçant plusieurs sermons latins mêlés de français, dans lesquels il déclama contre les vices des grands, des gens d'Église et des hommes de loi. » (Brunet, Manuel du libraire, III, 1318) « Jamais personne n'avait attaqué toutes les classes et toutes les professions sociales avec plus de hardiesse, de virulence et de mauvais goût. Chacun de ses sermons est une satire amère et outrageante, revêtue d'un langage grossier, trivial, et de mots empruntés aux mauvais lieux du plus bas étage » (Hoefer, Biographie universelle). Le libraire Morgand dans son Bulletin de mai 1876 prend la peine de commenter ainsi : « Olivier Maillard jouit d'une immense réputation à la fin du XVe siècle, et les sermons qu'il composa furent imprimés pour servir de modèle aux autres prédicateurs. Ce qui en fait l'intérêt pour nous, c'est qu'ils sont écrits dans un langage strictement populaire. L'orateur évite les périphrases : il n'hésite pas à employer même les mots les plus grossiers s'ils le font mieux comprendre de la foule. Jusque dans ses discours latins, on retrouve le bouffon qui, étant en chaire à Toulouse, entonnait une chanson spirituelle sur l'air : Bergeronette savoisienne. Voici, à titre d'exemple, un fragment d'un discours qu'il adresse aux jeunes filles (f. y i, recto) : « Audistis loqui de quodam frafre patris nostri Francisci qui dicebatur frater Egidius. Dicit quod vidit semel unampulcherrimam filiam cuiusdam militis et habebat unam baguam preciossimam et nichil mundi aliud habebat. Hec filia débet esse anima nostra. Hec habebat quinque fratres qui volebant habere istam gemmam. (Vous avez entendu parler d'un certain frère de notre père François, qui s'appelait frère Egidius. Il dit qu'il a vu une fois la plus belle fille d'un certain soldat et qu'elle avait une bague très précieuse et rien d'autre au monde. Cette fille doit être notre âme. Il avait cinq frères qui voulaient avoir ce joyau.) Venit primus dicens : « Soror mea, date rnichi illam gemmam. » — « Et frater, quid dabitis michi ? » Dixit ille : « Ego dabo vobis de meo ministerio : sum pictor, dabo vobis imaginem quam protraham. » Dixit illa : « Dum dederitis michi et videro, non ero.? 35omellor.-,- ite, non habebitis. » Venit secundus : vidistis ne illos deceptores, sciliéet mimos et lusores de omnibus instrumentis musicalibus ? Dixit sorbH : « Date michi istam baguam : dabo vobis de meo ministerio. Sum mimus; dabo Vobis de quo placuerit. s Cui dixit: « Cum audiero sonum, non ero melior; ite, non habebitis. » Dixerunt alii très : « Habebimus si possumus. » Venit tertius qui petiit istam baguam. Cui dixit : « Quid dabitis michi? » — « Dabo vobis de meo ministerio (iste erat apothecarius et portabat secum odores), dabo vobis de muglias [?]. » Dixit ipsa: « Ite, non habebitis. » Tandem venit quartus, et erat coquus. Cui dicit: «Dabo vobis du saupiquet : sum coquus. » Dixit ipsa : « Dum gustavero, de quo ero hielior ? Vos non habebitis. » Demum venit quintus et rusticior aliis quattuor, qui dixit : « Mea erit illa bagua; date michi. » Dixit illa : « Quid dabitis mihi ? » —. « Dabo vobis de meo ministerio : habeo et dabo, mea, magistros reverendos scholares; scilicet sunt aliqui decuria. Ego sum leno et macquerellus. » Dixit illa : « Rustice et turpissime, ite, non dabo vobis. Nunquam Deo placeat quod unus macquerellus habeat illam preciosam . g«mmam. Tandem et finalitër venit filius Régis qui dulcis erat et honestus et dixit : « Date michi illam gemmam. « — « Quid dabitis mihi ? » Cui dixit : « Arnica mea, non promitto vobis nisi meipsum. » Et tune illa extendit manum et ei dédit. » (Il est venu le premier en disant : « Ma sœur, donne-moi ce joyau. "Et mon frère, qu'allez-vous me donner ?" Il a dit : « Je vais vous parler de mon service : je suis peintre, je vais vous donner un tableau que je vais dessiner. " Elle a dit : " Tant que tu te donnes à moi et que je verrai, je ne le serai pas. « Le second est venu : n'avez-vous pas vu ces trompeurs, habiles mimes et joueurs de tous les instruments de musique ? Sorb a dit: "Donnez-moi cette bague: je vous donnerai de mon service." je suis poète; Je te donnerai ce qu'il me plaira. s A qui il a dit : « Quand j'entendrai le son, je n'irai pas mieux ; allez, vous n'aurez pas » D'autres disaient beaucoup : « Nous l'aurons si nous le pouvons. » Une troisième personne est venue qui a demandé cette bague. A qui il a dit: "Que me donnerez-vous ?" "-" je vous parlerai de mon service (il était épicier et portait des parfums avec lui), je vous parlerai des épouses [?]. Elle a dit: "Allez, vous ne l'aurez pas." Enfin le quatrième arriva, et c'était lui le cuisinier. A qui il dit : "Je vais te donner deux saucisses : je suis cuisinier." " Elle dit : " Pendant que je goûterai, de qui aurai-je le plus froid ? Vous n'aurez pas Enfin vint le cinquième et plus rustique que les quatre autres, qui dit : « Ce sac sera à moi ; donne le moi Elle a dit: "Qu'allez-vous me donner?" » -. "Je vais vous parler de mon ministère: j'ai et je donnerai, mes professeurs, des savants respectés; bien sûr il y a des conseils. Je suis doux et doux. Elle a dit: "Rustique et très moche, allez, je ne vous le donnerai pas." Dieu ne sera jamais content qu'un proxénète ait cette précieuse chose. Enfin et enfin vint le fils de Régis, qui était doux et honnête, et dit : « Donne-moi ce bijou. " - " Qu'est-ce que tu vas me donner ? A qui il dit : "Mon Arnica, je ne te promets rien d'autre que moi." Et puis elle tendit la main et la lui tendit. ») Nous prenons cet exemple au hasard. On rencontre dans les sermons de Maillard une foule d'autres passages qui permettraient de placer ce prédicateur parmi les auteurs macaroniques, et qui lui méritent une place distinguée parmi les prédécesseurs de Tabarin et de Bruscambille. » Références : Cf. Arthur de la Borderie, Œuvres d'Olivier Maillard, Nantes, 1877, Société des Bibliophiles Bretonss, Bibliographie Maillardine, qui cependant ne cite pas exactement ces éditions (pp. 135-162 pour les éditions latines) ; Morgand, Bulletin, mai 1876, n°2237. Provenance : de la bibliothèque de Jean-François [-René-Marie-Pierre] de Kergariou (1779-1849), noble breton devenu sous l’Empire comte d'Empire, chambellan de Napoléon Ier et préfet, sera sous la Restauration préfet de divers départements, conseiller d’Etat et député avant d’être élevé à la pairie. Historien, archéologue, collectionneur de raretés, membre de l’Académie celtique, ce volume vient sans doute de la bibliothèque de son beau-père Pierre-Hyacinthe Chrestien de Treveneuc. Avec son timbre encré avec ses initiales et portant la devise "Là ou ailleurs". Les volumes de sa riche bibliothèque et ses autres collections devaient passer, selon son souhait, à son fils aîné (ou au suivant) avec mission de les conserver et de ne s'en séparer qu'en cas d'extrême nécessité. On comprend la présence de ce volume dans sa bibliothèque où les auteurs bretons avaient une place primordiale. Ensemble rare de trois œuvres du prédicateur Olivier Maillard. Bel exemplaire d'une grande fraîcheur.
Phone number : 06 79 90 96 36
P., Didot, 1774, 3 VOLUMES in 8 reliés en plein veau marbré, dos ornés de fers dorés, tranches rouges (reliures de l'époque), T.1 : 1 PORTRAIT DE PETIT, (5), 104pp., 407pp., T.2 : (1), 8pp., 560pp., T.3 : (1), 8pp., 343pp., 142pp. (SUPPLEMENT par LESNE), 90 PLANCHES DEPLIANTES REPRESENTANT DES INSTRUMENTS DE CHIRURGIE
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE BIEN COMPLET DU PORTRAIT DE PETIT, DU SUPPLEMENT PAR LESNE ET DES 90 PLANCHES REPRESENTANT DES INSTRUMENTS DE CHIRURGIE ---- "Depuis Ambroise PARE, aucun homme n'a autant contribué aux progrès de la chirurgie... Petit a le grand mérite d'avoir défini le premier signe clinique objectif : la crépitation, signe de la fracture. Il insiste aussi sur l'"intervalle libre" comme signe-symptôme qui rend probable l'utilité de la trépanation dans les commotions cérébrales. Il pratique la première trépanation de la mastoide en 1744, ansi que les premières paracentèses… Il invente le lien hémostatique appelé garot. Il innove également en technique chirurgicale : cholecystectomie, cure des hernies, des occlusions intestinales et du cancer du sein, amputations. En urologie il invente une sonde à demeure". (Dictionnaire historique des médecins & Jourdan VI pp. 400/402) ---- Heirs of Hippocrates N° 777 : "Petit was the leading french surgeon of the early eighteenth century and the first director of the Académie de chirurgie in Paris. He was the inventor of the screw tourniquet and developed many new and successful surgical procedures. He made significant improvements in the techniques for performing amputations and herniorrhaphy. Petit was one of the earliest to describe osteomalacia and was a pioneer in cholecystotomy. In volume I of the present work is his account of the first successful operation for mastoiditis (p. 153, 160) and in volume II is his description of Petit's hernia and Petit's triangle in the region of ilium (pp. 256/258). Among the many plates are a fine portrait of Petit and a depiction of his screw tourniquet" ---- GARRISON N° 3357 & 3577 - Waller 7323**8122/B2-7115/ARM4
Fayard Paris 1990 In-8 ( 235 X 155 mm ) de 749 pages, broché sous couverture illustrée. Bon exemplaire.
La Bonne Presse Paris 1943 In-8 ( 205 X 140 mm ) de 204 pages, broché sous couverture imprimée. Bon exemplaire.
Maison Aubanel Père Avignon S.D. In-12 carré ( 145 X 110 mm ) de 116 pages, broché sous couverture illustrée. Bel exemplaire.
Culture Provençale En Méridionale Salon de Provence 1958 In-8 ( 170 X 130 mm ) de 145 pages, broché sous couverture illustrée. Intérieur frais. EDITION ORIGINALE, 1 des 100 exemplaires numérotés sur Alfa Cerunaf. Bel exemplaire.
Collection De Culture Provençale Salon de Provence 1953 2 volumes in-12 ( 165 X 130 mm ) de 151 et 188 pages, brochés sous couvertures illustrées. Intérieur frais. Beaux exemplaires.
Paris, Typ. de Rouge frères et comp., 1870. 2 séries de 13 et 24 livraisons montées en 1 vol. in-folio, demi-basane rouge, dos lisse, premier plat de couverture illustrée conservé portant Album de la Charge (reliure de l'époque).
Importante collection de cette revue satirique, l'une des plus rares de cette période de fin d'Empire. Exemplaire complet des livraisons 13 bis et 14 bis, et de 16 (sur 17) suppléments illustrés.Journal satirique hebdomadaire ayant comme rédacteur en chef le caricaturiste Alfred Le Petit qui avait quitté l'Eclipse pour cause de mésentente avec Polo. Le directeur-gérant en est Charles Virmaitre.Le premier numéro paraît le 13 janvier 1870 encadré de deuil, avec au centre le portrait de Victor Noir ; il paraît sur 4 pages in-folio, et ce jusqu'au 14 avril. Cette première série est imprimée sur papiers de différentes couleurs ; la première page est occupée par le titre dessiné par Alfred Le Petit ; le fond de cette couverture étant couvert d'une foule de petits portraits-charge des célébrités du jour.La seconde série débute le 14 avril de format plus grand. La couverture d'Alfred Le Petit disparaît et la une est réservée à des caricatures coloriées. Le 13 août 1870, la Charge publie Trois baisers, une poésie du jeune d'Arthur Rimbaud agé de seize ans.L'esprit de ce journal est nettement défavorable à l'Empire et anti-prussien ; il fut plusieurs fois poursuivi et même condamné pour la publication de dessins interdits. La majorité des caricatures et des portraits-charge fut, bien entendu, exécutée par Le Petit. Un numéro intéressant est consacré, le 25 juin, aux « célébrités du Salon de 1870 » (Courbet, Corot, Manet, Jongkind, etc.). A ses cotés, retenons une série de dessins d'Henri Somm également consacré au Salon. D'autres collaborations de Amelot, Cham, Choubrac, Faustin, Gilbert-Martin, Montbard, Robida, etc.Bon exemplaire atteint de rousseurs. La couverture porte un envoi autographe signé d'Alfred Le Petit : A mon cher M. Bréard, son jeune ami Alfred Le Petit.Berleux, 112 et 199 ; Jones, 29 ; Watelet, 819 ; Ridiculosa, p.95.
Baratier Et Dardelet Grenoble 1893 In-8 ( 250 X 150 mm ) de 42 pages, broché sous couverture imprimée. EDITION ORIGINALE. Dos abimé, premier plat détaché. Rare.
Cabinet Des Medailles Bruxelles 1976 In-8 ( 205 X 135 mn ) de 88 pages, agrafé sous couverture imprimée. Illustrations dans et hors-texte. Très bel exemplaire.
Paris Pierre Petit Photographe 31, place Cadet 1867 une photographie originale "CARTE DE VISITE" albuminée en noir, format : 5,4 x 9 cm pour la photo, 6,2 x 10,6 cm avec le carton ou la photo est contrecollée, Année : Circa 1867, Paris Pierre Petit Photographe 31, place Cadet,
Pierre Petit, Paris, PORTRAIT (vintage albumen print) DE JULIA ISSON ACTRICE DE L'OPERA(MAITRESSE DU PHOTOGRAPHE PIERRE PETIT).........Pierre Lanith Petit, né le 15 août 1831 à Aups (Var) et mort le 16 février 1909 à Paris, est un photographe français, il apprend la technique photographique avec Eugène Disdéri, l'inventeur de la photo carte de visite. Il est surnommé « Collodion le chevelu». Il installe ses studios à Paris, en 1858 au no 31 rue Cadet................TRES RARE................en bon état (good condition). bon état
Librairie Plon Paris 1885 In-12 ( 170 X 115 ) de 190 pages, broché sous couverture imprimée. Bon exemplaire légèrement gauchi.
A. Delrieu Paris 1928 In-8 carré ( 210 X 130 mm ) de 29 pages, broché sous couverture illustrée. Illustrations dans et hors-texte. Très bel exemplaire.
Dulon, Libraire-Editeur - Aug. Bassy Bagnères de Luchon & Saintes S.D. (vers 1850) Album in-folio à l'italienne ( 400 X 270 mm ), demi basane rouge, dos lisse orné muet, plats de percaline rouge à grain imitant le chagrin, guirlande romantique à froid sur les deux plats, large guirlande dorée avec le titre "Souvenirs des Pyrénées" au centre du premier plat, coupes protégées d'une baguette en laiton, fermoirs en laiton, tranches dorées. Reliure de l'époque. Contemporary half red roan, blind & g. ornated cloth covers. Labarère, 1164-1169 Dendaletche, 1452. Ce très beau recueil composé à l'époque s'ouvre sur une page de titre "Bagnères de Luchon et ses environs" illustrée d'une lithographie ovale, le titre, l'auteur et l'éditeur en lettres rouges et or, suivi de 61 lithographies à fond teinté, sur Chine monté : scènes, vues de villes, et de montagnes, panoramas ( dont 3 sur double planche et 2 sur triple planche ). Gravures fraiches au tirage particulièrement bien contrasté et presque "brillant", sans rousseurs notables, quelques traces de doigt çà et là, belle reliure d'époque. - Les planches 1 à 30 sont numérotées et portent le titre courant "Bagnères de Luchon", la dernière de cette série s'intitule "Vue de la petite ville de Venasque, Espagne". Elles sont du premier tirage, imprimées chez Thierry à Paris. - Les 17 planches suivantes portent le titre courant "Les Pyrénées" ( sauf la seconde "Vallée d'Arreau et chaine des Hautes-Pyrénées vue prise au-dessus du col d'Aspin", non numérotée, et portant cependant le titre courant "Bagnères de Luchon" ). Elles sont imprimées par J. Monrocq à Paris. - Les 14 dernières, à la numérotation aléatoire, proviennent des séries titres courants "Cauterets", "Hautes-Pyrénées", "Basses-Pyrénées", Eaux-Bonnes", ou "Eaux-Chaudes". Elles sont toutes imprimées par Thierry, et publiées par Aug. Bassy. Ex-libris Félix Durosier.
Centre D'estudis Occitans Montpellier 1973 In-12 broché. 143 pages.Universitat de Montpelhièr III.
Imprimerie De Frantin Dijon 1831 In-12 ( 160 X 105 mm ) de XLVIII-323 pages, plein chagrin rouge, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, filets dorés d'encadrement gras et maigres et à froid sur les plats, coupes et coiffes filetées d'or, tranches peignées "à la queue de paon" ( Reliure de l'époque ). D'apre
1916 Auxerre, Gallot, 1916, grand in 8 de (6)-XXIV-352 pp., rel. demi-percaline blanche à coins, pièce de titre de chagrin fauve, fleuron noir central, bel ex. à grandes marges et sans rousseurs.
2e édition illustrée de 331 figures dans et hors-texte, de 7 cartes et plans repliés en couleurs hors-texte et de 2 plans hors-texte en noir.
Adolphe Delahays, Libraire-Editeur Paris 1859 In-12 ( 185 X 120 mm ) de XXIV-309 pages, broché. Couverture fanée, quelques rousseurs.
Quantin Paris 1888 Grand in-8 ( 270 X 190 mm ) de ( 2 ) ff + VII + 583 pp ( chiffrée à tort 383 ), broché, couverture imprimée légèrement défraîchie, grandes marges. Édition originale imprimée sur un beau vergé. Cet ouvrage sera plusieurs fois réédité.