1975 books for « perrin j »Edit

‎Discours de M. Charles-Edmond Perrin, à l'occasion de la mort de M. William Marcais. ‎

‎Paris, Institut de France, 1956 ; in-4, 6 pp., broché. État neuf.‎

‎Discours de M. Charles-Edmond Perrin, à l'occasion de la mort de M. Ernest Hoepffner. ‎

‎Paris, Institut de France, 1956 ; in-4, 5 pp., broché. État neuf.‎

‎Discours de M. Charles-Edmond Perrin à l'occasion de la mort de Gaetano de Sanctis, associé étranger. ‎

‎Paris, Institut de France, 1957 ; in-4, 3 pp., broché. État neuf.‎

‎L'ermite de Montoire. ‎

‎ P., Fasquelle, 1929 ; in-12. 220pp. Demi-basane vert sombre, dos lisse, titre doré. Monogramme R.C. en queue. Couvertures conservées. Bon état. ‎

‎Roman d'aventure qui commence dans les environs de Vendôme, entre Les Roches et Montoire, le long du Loir, où un ancien arquebusier devenu moine pendant un temps, s'était aménagé un repaire dans les grottes de tuffeau. Il recueille une jeune fille survivante d'une attaque de huguenots, ainsi qu'un jeune breton parti rejoindre les armées du roi. Leurs péripécies les mèneront jusqu'à la fortune. Jules Perrin est né à Paris en 1862. Il est l'auteur de nombreux romans, de deux pièces de théâtre et collabora à plusieurs journaux et revues. Membre de la Société des gens de lettres, il reçu la Légion d'honneur en 1919, du Ministre de l'Instruction publique et des Beaux Arts. (Archives nationales, Base Léonore, dossier N° 19800035/387/51953). ² ‎

‎Bulletin de la Résistance. (Mensuel). Organe des : Internés & déportés - Réfractaires et maquisards - Anceiens P.G. et de tous les Patriotes et Résistants de l'Arrondissement de Vitry-le-François. ‎

‎ Vitry-le-François, (Imprimerie Servant-Crouzet, Paris), 1946 ; deuxième année, N° 5, 7, 8 (février, avril, juin). 3 fascicules agrafés de 36pp. Bon état. ‎

‎On joint un numéro spécial du Bulletin de la Résistance consacré entièrement au : "Bombardement de Vitry-le-François le 28 juin 1944". 37pp. illustrations in-texte, avec une carte dépliante hors-texte, exemplaire de luxe tiré à 100 exemplaires numérotés (sur "papier d'avant guerre") et paraphé par Perrin et Sandre. ‎

‎Georges Rougeron (1911-2003).‎

‎ Charroux, Cahiers Bourbonnais, 2003 (addenda au N°185 des Cahiers bourbonnais) ; in-8, broché. 77pp. Portrait en frontispice - 2ff. d'illustrations hors-texte. ‎

‎Jean-Paul Perrin, Rédacteur des Cahiers Bourbonnais, consacre ce numéro spécial à la bio-bibliographie de Georges Rougeron, à l'occasion de sa mort. Il revient sur le parcours de militant socialiste (à 23 ans il devient secrétaire de Marx Dormoy), de résistant (dés 1940), sur la carrière politique (élu président du Conseil Général en 1945 il le restera jusqu'en 1970, puis de nouveau de 1976 à 1979. En 1947 il devient maire de Commentry et sera réélu jusqu'en 1989), sur l'oeuvre d'historien du Bourbonnais (63 livres ou brochures, 252 articles, 610 communications et études). Rougeron s'est intéressé essenteillement à la période moderne (1789 à nos jours) et son importante étude sur "Le département de l'Allier sous la IIIème République 1870-1940" sera le point de départ de la thèse pour le doctorat d'histoire qu'il présentera en 1982, à 71ans. ‎

‎Une sur du Très Saint Sauveur. Sur Joseph-Marie, directrice de l'École d'infirmières et d'assistances sociales de Mulhouse. Simple récit d'un témoin.‎

‎ Colmar, Alsatia, 1956 ; in-8, broché. 315 pp. Portrait en frontispice. ‎

‎Née en 1891 (à Fumay), Charlotte Périn, Sur Joseph Marie en religion, deviendra, après des études d'infirmière, la première directrice de l'école d'infirmières de Colmar en 1927, puis de celles d'infirmières et d'assistantes sociales de Saint-Chamond en 1940 et de Mulhouse en 1945. Elle est morte le 29 mai 1954. ‎

‎Histoire générale du christianisme: Volume I. – des origines au XVesiècle. Volume II. – du XVIesiècle à nos jours. ‎

‎Paris, Presses Universitaires de France, 2010 ; in-8 (146 x 199 mm), XII-1318- + 28 pp. d’extrait du catalogue, broché, couverture illustrée, sous emboîtage illustré. Collection «Quadrige».‎

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‎Les Égarements de Julie. Conte moral. Rémipression textuelle sur la rarissime édition de 1776. Illustrations de L. Sebregts. Culs-de-lampe, lettrines et couverture de G. Jourdan.‎

‎ [Bruxelles], Editions J.-L. Kellinckx, 1958 ; in-4 en feuilles sous chemise et étui d'éditeur. 212 pp.-2 ff. - 8 planches hors-texte dont 4 en couleurs. Exemplaire non coupé parfait état. ‎

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‎Edition tirée à 1000 exemplaires sur bouffant de Hollande, numérotés et nominatifs. Paru anonymement, ce conte licencieux "mais non obscène" avait déjà paru en 1756 (Pia, Livres de l'enfer, p. 227) ; deux autres ouvrages du même genre sont attribués à cet avocat parisien :" Henriette de Marconne, ou Mémoires du chevalier de Présac, 1763 ; et "L'empire des passions, ou Mémoires de M. de Gersan, 1756. (Jules Gay, Bibliographie des ouvrages relatifs à l'amour, III, 148). Lode Sebregts (1906 - 2002) est un peintre, aquarelliste et illustrateur belge. Il fut aussi scénographe et costumier au Théâtre royal d'Anvers et réalisa plusieurs affiches pour cette même ville. ‎

‎Sur le sens du mot «Centena» dans les chartes lorraines du Moyen Âge. ‎

‎Paris, s.e., 1930 ; grand in-8, 36 pp., broché (couverture et dos en mauvais état, déchirure). Extrait du «Bulletin Du Cange», tome V, 1929-1930.‎

‎Histoire méconnue de nos villages: Toulois-Saintois.-Tome I. ‎

‎Malzéville, Éditions Trajectoire Communication, 1990 ; in-8, 250 pp., broché, couverture illustrée. 2ème édition, augmentée et enrichie. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Domérat, la mémoire du temps. Lhistoire de Domérat, des origines à nos jours. Préface de André Touret. ‎

‎ Charroux-en-Bourbonnais, Éditions des Cahiers Bourbonnais, coll. En Bourbonnais N°6, 2000 ; in-4 (30 x 21, 5 cm). 1 f.-383 pp.-(1)-3 ff. - XVI planches hors-texte en couleurs. Nombreuses illustrations in-texte en noir. Reliure déditeur en toile verte avec une vignette en couleur de Rolland Berthelot-Labarre sur plat sup., dos lisse, titre doré. Parfait état. ‎

‎Edition originale tirée à 1599 exemplaires, un des 658 non numérotés. Avec une préface d'André Touret, des recherches documentaires de Jean Parickmiler et Henri Laval, et des dessins aquarellés de Robert Lescure. ‎

‎Les torpilleurs de l’air, prodigieux exploits d’un aviateur français. ‎

‎Paris, La Maison du Livre Moderne, s.d. (vers 1920) ; in-4, 120 pp., broché. État moyen.‎

‎Petit historique du village de Thiéfosse (Vosges). ‎

‎Cornimont, Imprimerie Girompaire, 1967 ; in-8, 72 pp. + 2 pl. hors-texte, couverture et cahier agrafés. Monographie. L’auteur est maire de Thiéfosse. Deux illustrations en noir et blanc.‎

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‎Histoire méconnue de ma vallée. Pont-Saint-Vincent. ‎

‎Nancy, Imprimerie Christmann, 1991 ; in-8 (160 x 240 mm), 240 pp., broché, couverture illustrée. Tome III. Dessins de Daniel Champeaux et Ernest Mamelle. Envoi de l'auteur.‎

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‎Histoire méconnue de nos villages: Toulois-Saintois.-Tome I. ‎

‎Nancy, Imprimerie Christmann, 1983 ; in-8 (160 x 239 mm), 188 pp. + 4 pl. hors-texte, broché, couverture illustrée. 1ère édition. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Histoire méconnue de ma vallée. Challigny-Maron. ‎

‎Essey-lès-Nancy, Imprimerie Christmann, 1985 ; in-8 (160 x 240 mm), 231 pp., broché, couverture illustrée. Nombreuses illustrations en noir et blanc.‎

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‎Les eaux minérales. Leurs modes d'action, leur emploi.‎

‎ P., Flammarion, coll. Bibliothèque des Connaissances Médicales, 1925 ; in-12, broché. 284pp. - 27 figures in-texte et 16 planches hors-texte. on état. ‎

‎Grand-Père raconte... Un bourbonnais, interrogé par ses petits-enfants, leur raconte sa vie (1892-1976).‎

‎ Moulins, Cahiers Bourbonnais, 1977 ; in-8, br. - 200pp. Reproduction photographique en noir, hors-texte. Couverture illustrée d'un dessin du château de Chavroches. Parfait état.‎

‎Le récit de cette vie, racontée au fil des questions des enfants, se lit avec plaisir, et revêt un véritable intérêt pour l'histoire locale. Le "grand-père" évoque sa mobilisation en 1914, sa carrière chez Michelin, en France et en Argentine, le Vichy des "années folles", la Seconde Guerre Mondiale... la vallée de la Besbre et Chavroches. ‎

‎L'agitation moléculaire et le mouvement brownien. (+) La loi de Stokes et le mouvement brownien. Note. (+) L'origine du mouvement brownien. Note. (+) Grandeur des molécules et charge de l'electron. (+) Mouvement brownien et constantes moléculaire (...‎

‎(Paris, Gauthier-Villars), 1908, 1909, 1911. 4to. No wrappers. In: ""Comptes Rendus Hebdomadaires des Séances de L'Academie des Sciences"", Tome 146, No 19. Pp. (951-) 1002. Tome 147, Nos 10, 12 a. 14. Pp. (467-) 482, (507-) 546 a. (579-) 610. Tome 149, Nos 10 a. 13. Pp. (473-) 492 a. (541-) 556. Tome 152, Nos 18 a. 21. Pp. (1133-) 1196 a. (1361-) 1432. (8 entire issues offered). Perrin's papers. pp. 967-70, 477-479, 549-51, 475-476, 530-32, 594-596, 477-479, 549-551, 1165-1168 a. 1380-82. Clean and fine.‎

‎First appearance of these 8 papers constituting Perrin's major work on the Brownian motion and establishing THE REALITY OF THE MOLECULAR-KINETIC VIEW OF MATTER. Perrin's experimental verification of molecular reality and his 'classical' verification of the statistical method was of great importece to the subsequent rise of the quantum revolution with the introduction of quantum mechanics. Perrin's experiments helped to confirm Einstein's analysis of the Brownian movements (1905), and calculated a value for Avogadro's numbers and thereby the size of atoms and molecules.Perrin was awarded the Nobel Prize in physics, 1926 ""for his work on discontinuity in the structure of matter, and in particular for his discovery of the equilibrium of sedimentation"" ""The work for which Perrin is best known is his investigation of Brownian motion, the erratic movements performed by microscopic particles in suspension in a fluid, now interpreted as being caused by the continous, irregular bombardment of the particles by the molecules of the surrounding medium. Perrin thought that collodially suspended particles undergoing Brownian motion would distribute themselves vertically in a definite way at equilibrium. By counting small particles of gum resin suspended in water, Perrin found that their number decreased exponentially with increasing height. He proved that this variation follows from kinetic theory and that from it he could calculate a value for Avogadro's number. Since the size of a water molecule appeared in the equation for the vertical distribution of the brownian motion particles, for the first time the sizes of atoms and molecules could be calculated from actual observations. As henri Poincaré wrote: ""The brilliant determination of the number of atom (in a mole) made by Perrin has completed the triumph of atomism.... The atom of the chemists is now a reality.' "" (Weber ""Pioneers of Science. Nobel Prize Winners in Physics"", pp. 80 ff).Parkinson ""Breakthroughs"", 1908 C a. 1908 P.‎

‎Noces (Les) d'or de M. Agniel curé de Vieu-en-Valromey (Ain).‎

‎Lyon, Imprimerie Alphonse-Louis Perrin et Marinet ; in-16, broché ; (1) f. blanc, 30 pp., (1) f. blanc, couverture à fin décor doré "nid d'abeilles", gravure de l'église de Vieu-Valromey dessinée par l'architecte Sainte-Marie Perrin en frontispice, tiré en sépia.‎

‎Outre les curés des environs qui étaient initiés, figuraient parmi les convives M.M. Terret, président du Tribunal civil de Villefranche ; Sainte-Marie Perrin, architecte à Lyon ; Gabriel Perrin, avocat à Lyon ; Emmanuel Perrin, maître de conférences à la Faculté catholique de droit de Lyon. Quelques toutes petites rousseurs à l'endroit de la pliure, au milieu, bon exemplaire de ce document fort rare. ‎

‎Les idées modernes sur la constitution de la matière - Conférences faites en 1912 , Collection de Mémoires Relatifs à la Physique, 2eme série (Les preuves de la réalité moléculaire - Les grains d'électricité et la dynamique électromagnétique - Les quantités élémentaires d'énergie et d'action - La théorie électronique des métaux - L'ionisation par chocs et l'étincelle électrique -Les gaz ultrararéfiés - Le rayonnement des corps radioactifs -Les transformations radioactives - Les moments magnétiques des atomes et le magnéton - Les rapports de la matière et de l'éther)‎

‎Gauthier-Villars à Paris , Collection de Mémoires Relatifs à la Physique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1913 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu-gris grand In-8 1 vol. - 371 pages‎

‎quelques figures dans le texte en noir 1ere édition, édition originale, 1913 "Contents, Chapitres : Texte, 370 pages, table, i - Jean Perrin : Les preuves de la réalité moléculaire (pages 1 à 53, 6 figures) - Paul Langevin : Les grains d'électricité et la dynamique électromagnétique (pages 54 à 114) - Edmond Bauer : Les quantités élémentaires d'énergie et d'action (pages 115 à 147) - Eugene Bloch : La théorie électronique des métaux - M. A. Blanc : L'ionisation par chocs et l'étincelle électrique - L. Dunoyer : Les gaz ultrararéfiés - Madame Pierre Marie Curie : Le rayonnement des corps radioactifs (pages 272 à 303)- A. Debierne : Les transformations radioactives - Pierre Weiss : Les moments magnétiques des atomes et le magnéton (pages 332 à 356) - Henri Poincaré : Les rapports de la matière et de l'éther (pages 357 à 370) - En 1907-1909, Jean Perrin publie une série d'articles sur le mouvement brownien dont il fait une synthèse sous le titre Mouvement brownien et réalité moléculaire publié dans les Annales de Chimie et de Physique en 1909. Cet article, immédiatement traduit en anglais, contribue à sa notoriété scientifique en France et à l'étranger. En 1910, Jean Perrin est promu professeur de chimie physique à la Sorbonne. En 1911, il est élu membre d'honneur de l'Institut de physique de l'université de Berlin. Il est aussi convié au premier congrès Solvay de physique qui se tient à Bruxelles. Ernest Solvay organise ainsi le premier congrès scientifique qui rassemble une vingtaine des plus grands physiciens de l'époque. Les congressistes doivent envoyer leur communication en avance pour qu'elles soient distribuées aux participants avant la réunion. La conférence de Jean Perrin, intitulée ""Les preuves de la réalité moléculaire"", est si claire et argumentée que tous les participants sont convaincus de l'existence des atomes, même les plus sceptiques. En particulier, Wilhelm Ostwald qui, comme chimiste, n'a pas participé à la réunion et qui avait été un opposant déterminé à l'atomisme défendu par son collègue Ludwig Boltzmann, s'est déclaré converti à la lecture de la communication de Perrin Henri Poincaré, jusqu'alors sceptique sur l'existence des atomes, avoue, après avoir entendu l'exposé de Perrin, que « l'atome des chimistes est devenu réalité ». (wikipedia) - Poincaré, décédé l'année de cette conférence en 1912, aborde les relations entre l'éther et la matière, très importantes dans la relativité restreinte (Loi de Rayleigh, action de la lumière sur les molécules ou l'inverses, par rapport aux travaux d'Einstein et aux quanta). - En 1906, Paul Langevin (1872-1946) prépare un cours sur la théorie électromagnétique pour le Collège de France et aboutit au résultat selon lequel l'inertie de l'électron serait une propriété de lénergie. Quelques mois plus tard, il a l'occasion de lire les publications d'Einstein sur la relativité restreinte et saisit le lien entre ses recherches et cette nouvelle théorie révolutionnaire. C'est à partir de ce moment qu'il passe une partie de son temps à répandre la théorie nouvelle. Il est le promoteur de cette théorie en France. Il enseigne pour la première fois la théorie de la relativité dans ses cours au Collège de France en 1910-1911. Il invente le paradoxe des jumeaux, qu'il présente pour la première fois au congrès de Bologne et à la Société française de philosophie en 1911. En 1922, il invite Einstein au Collège de France pour donner des conférences sur la relativité. Henri Bergson, qui avait assisté au congrès de Bologne et aux conférences d'Einstein au Collège de France, publie Durée et Simultanéité en 1922 et Émile Meyerson La Déduction relativiste en 1925. (wikipedia)" couverture propre, bords des plats à peine jaunis, le dos a été consolidé proprement et renforcé au bas du dos, dos un peu empoussiéré avec une légère déchirure sur le haut du dos et un manque de 1 cm sur le bas, le bord des plats a été collé aux pages de gardes sur 3 cms, l'intérieur est sinon très frais et propre, papier à peine jauni, le volume garde une belle allure malgré les défauts indiqués, ce volume regroupe un ensemble de conférences sur la matière avec l'élite de la physique française de l'époque, Poincaré, Curie (un an après le Nobel de 1911), Langevin, Perrin ou encore Edmond Bauer (Assistant de Perrin et collaborateur de Langevin) et Pierre Weiss (magnétisme et aimantation), André-Louis Debierne (Actinium), elles furent données à la Société de Physique, un an après le premier congrès Solvay de 1911 sur les quanta, et après la présentation de la structure atomique d'Ernest Rutherford en 1911.‎

‎Recueil des lettres de Madame la Marquise de Sévigné, à Madame la Comtesse de Grignan, sa fille.‎

‎Recueil des lettres de Madame la Marquise de Sévigné, à Madame la Comtesse de Grignan, sa fille. Tomes I à IV. A Paris, chez Nicolas Simart, 1734 4 volumes in-12 Suivi de : Recueil des lettres de Madame de Sévigné, à Madame la Comtesse de Grignan, sa fille. Tome V et VI. A Paris, chez Rollin fils, 1738 (de l'imprimerie de Cl. Fr. Simon fils, 1738) 2 volumes in-12 Soit un total de 6 volumes in-12 (17 x 10 cm) de XXXI-(1)-452 ; (2)-483-(1) ; (2)-479-(3) ; (2)-441-(39) ; XIV-482-(5) et (2)-504-(42) pages. Portrait frontispice de la marquise de Sévigné au tome I et Portrait frontispice de madame de Grignan au tome V. Collationné complet. Reliure strictement de l'époque plein veau brun, dos à nerds ornés aux petits fers dorés, tranches rouges mouchetées. Les 4 premiers volumes sont en reliure homogène. Les 2 derniers volumes sont en reliure homogène. Légère différence de fers entre les 4 premiers volumes et les 2 derniers, néanmoins reliures homogènes exécutées à la date d'édition, soit 1734 pour les 4 premiers volumes et 1738 pour les 2 derniers. Usures à l'extrémité des coiffes avec manques (voir photo). Quelques usures aux coins sans gravité, petits défauts d'usage, reliures solides et décoratives. Intérieur frais. Papier avec quelques rousseurs ou parfois un peu plus teinté. Petites taches d'encre dans la marge extérieure du tome IV, sans atteinte au texte. Edition en grande partie originale. Les 4 premiers volumes de 1734 sont en première édition. Les 2 derniers volumes sont en réimpression du premier tirage de 1737. On sait que la première édition des Lettres de la Marquise de Sévigné date de 1725 et a été donnée subrepticement en une mince plaquette de 75 pages regroupant seulement quelques lettres pour la plupart incorrectement retranscrites et fragmentaires (31 fragments). Cette première édition rarissime et quasi mythique n’était connue qu’à 2 ou 3 exemplaires à la fin du XIXè siècle, il ne semble pas qu’on en est répertorié d’autres depuis. Les bibliographes considèrent donc comme véritable seconde édition originale l’édition dite de Rouen publiée en 1726 par les soins du fils de Roger de Bussy-Rabutin (cousin indiscret de la Marquise). On a beaucoup tergiversé pour savoir s’il s’agissait du fils aîné (Amé-Nicolas de comte Bussy-Rabutin) ou bien du cadet, futur évêque de Luçon, abbé de Bussy. Cette édition furtive, désavouée par la petite-fille de Mme de Sévigné, Mme de Simiane, fille de Mme de Grignan, est très rare et les exemplaires en reliure de l’époque en bonne condition se rencontrent difficilement. Les éditions suivantes de 1726, 1728 et 1733 sont également peu communes et reprennent avec des variantes la première édition dite de Rouen en gros caractères citée plus haut. Seule l'édition de La Haye, très rare, apporte de nouvelles lettres (qui se retrouvent dans l'édition de 1728 et 1733 comme nous venons de le voir ci-dessus). Il faudra attendre 1734-1737 avec l'édition pourtant mutilée donnée par les soins du Chevalier Perrin pour avoir à disposition plusieurs centaines de nouvelles lettres (614 lettres contre 134 en 1726). L'édition de 1818, puis l'édition de 1862, données par Monmerqué, puis Charles Capmas (supplément "Lettres inédites" de 1876), donneront un panorama complet du génie épistolaire de la marquise de Sévigné. Notre exemplaire se compose donc des 4 volumes de 1734 en première édition et des 2 derniers volumes en réimpression de 1738 (3 impressions des 6 volumes portant la date de 1738 ont vu le jour). Les 4 premiers volumes à la date de 1734 se rencontrent très rarement. L'ensemble est homogène, relié à l'époque et bien complet des portraits gravés de la marquise et de sa fille. Il s'agit de la première édition autorisée par la petite-fille de la marquise de Sévigné, la comtesse de Simiane. Pour plaire à la famille et respecter la mémoire de la marquise de Sévigné, le Chevalier Perrin pioche parmi les centaines de lettres qui sont mises à sa disposition ; il élague, remanie, supprime. L'ensemble qui en résulte n'apparaît pas de suite tant malmené, mais lorsque les véritables autographes (ou des copies) sont redécouverts ultérieurement, puis édités de manière scrupuleuse par les éditeurs suivants (Monmerqué notamment), puis grâce à la découverte de lettres inédites (manuscrit Capmas) à la fin du XIXe siècle, l'ampleur des malfaçons du Chevalier Perrin sont mises au jour. Néanmoins, pour être honnête, sans le Chevalier Perrin, sans doute la plupart des lettres de la marquise auraient-elles été détruites par ses descendants souhaitant garder le secret sur bon nombre de petites révélations ou avis de la désormais célèbre marquise. Perrin publiera un volume unique en 1751 intitulé Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de madame de Sévigné à madame de Grignan, sa fille, Paris, Rollin, 1751, in-12. Il contient 123 lettres, dont 25 de madame de Sévigné, 3 de madame de Grignan, 29 de Philippe-Emmanuel de Coulanges, 50 de madame de Coulanges, 14 de madame de La Fayette, une du cardinal de Retz et une de La Rochefoucauld. La seconde édition "Perrin" paraîtra en 1754 en 8 volumes in-12, reprenant l'édition de 1734-1737 et de 1751. Le texte de la première édition Perrin, moins remanié que celui de la seconde, est retenu plus volontiers par les éditeurs modernes. Nous connaissons aujourd'hui 764 lettres de madame de Sévigné à madame de Grignan. Pour la moitié d'entre elles, en l'absence d'autographes ou de meilleures copies, le texte connu reste celui des éditions Perrin. Référence : Lettres de Madame de Sévigné, Édition des Grands Écrivains de la France, Tome XI, p. 442-443 (notice n°8). Très bon exemplaire de ce monument de la littérature française. ‎

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‎MOUVEMENT BROWNIEN et GRANDEURS MOLECULAIRES ---- EDITION ORIGINALE ---- TIRE-A-PART (OFF-PRINT) of Royal Institution of Great Britain weekly evening meeting, Friday, February 24, 1911 -- BEL EXEMPLAIRE‎

‎Londres, Clowers and son, 1911, un volume in 8 relié en cartonnage bradel (reliure postérieure), 19pp., 5 figures dont une planche hors texte‎

‎---- EDITION ORIGINALE et TIRE-A-PART (OFF-PRINT) de cette conférence faite en français par Jean PERRIN à la Royal institution of Great Britain le 24 Février 1911 ---- Perrin was awarded the Nobel Prize in physics, 1926 "for his work on discontinuity in the structure of matter, and in particular for his discovery of the equilibrium of sedimentation" --- "The work for which Perrin is best known is his investigation of Brownian motion, the erratic movements performed by microscopic particles in suspension in a fluid, now interpreted as being caused by the continous, irregular bombardment of the particles by the molecules of the surrounding medium. Perrin thought that collodially suspended particles undergoing Brownian motion would distribute themselves vertically in a definite way at equilibrium. By counting small particles of gum resin suspended in water, Perrin found that their number decreased exponentially with increasing height. He proved that this variation follows from kinetic theory and that from it he could calculate a value for Avogadro's number. Since the size of a water molecule appeared in the equation for the vertical distribution of the brownian motion particles, for the first time the sizes of atoms and molecules could be calculated from actual observations. As henri Poincaré wrote: "The brilliant determination of the number of atom (in a mole) made by Perrin has completed the triumph of atomism.... The atom of the chemists is now a reality.' " (Weber - Pioneers of Science. Nobel Prize Winners in Physics)**8636/M2‎

‎Le temple d'Auguste et la nationalité gauloise‎

‎ Lyon, N. Scheuring, libraire éditeur, 1863. In folio (37 x 28 cm) cartonnage éditeur imprimé, xvj p., 12 planches dont une carte en couleurs, 172 pages. Cartonnage défraîchi mais bon état des feuillets et des planches.‎

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‎ Louis Perrin, suit les cours de l'École de dessin et il est formé, à partir de 1818, chez l'imprimeur lyonnais Ballanche, imprimerie rachetée par Mathieu-Placide Rusand. En 1822 il s'associe avec Zacharie Durand, gendre de son ancien patron et qui possède le brevet d'imprimeur, pour racheter l'imprimerie typographique de Siméon Darnaud, qui vient de mourir. Louis Perrin obtient lui-même le brevet d'imprimeur le 1er août 1823, puis celui de libraire, le 28 octobre 1833. L'association de Durand et Perrin dure seulement deux ans et Louis Perrin poursuit l'entreprise sous son propre nom. Il obtient, en 1833, le brevet de lithographe et, le 4 juin 1852, le brevet pour la taille-douce, qu'il pratique depuis déjà longtemps. Louis Perrin, tout en imprimant livres et publications courants, se consacre progressivement à l'édition des beaux livres. En 1846, il doit imprimer le livre Inscriptions antiques de Lyon d'Alphonse de Boissieu. Il estime que les caractères existants, principalement le Firmin Didot, ne conviennent pas à l'ouvrage. Il crée et fait réaliser par le fondeur Francisque Rey un alphabet complet en capitales qu'il appelle « les caractères Augustaux », il crée ensuite les minuscules, ciselées par Jean-Marie Fugère et fondues par Rey. L'imprimerie emploie, dans les années 1850, une dizaine de personnes dont le graveur et lithographe Jean-Marie Fugère, entré à son service vers 1845, qui dessine nombre d'ornements typographiques et de planches. ‎