Paul Féval (1816-1887), écrivain. L.A.S., sd [avril-mai 1874], 2p in-12. A l'écrivain et journaliste Gustave Claudin (1819-1896). « Mon cher Claudin, Il faudrait être encore plus sauvage et bretonnant que je ne le suis pour être mécontent (Le encore est de vous) par votre charmant article. J'en suis enchanté au contraire et vous en remercie de tout coeur. Vous partagez bien un peu mon avis au fond, et moi, j'admets toutes vos réserves. Mon thème est peut-être une utopie, mais la discussion de ce thème est bonne. L'alchimie a créé la chimie. Merci encore et sincèrement à vous. Paul Féval. Vous seriez bien bon de faire mettre dans vos journaux cette note qui, au moins, ne contient pas de longueurs. La causerie de Paul Féval sur le théâtre moral est en vente à la librairie Dentu ». Cette causerie fut lue à la séance d'ouverture de la Société pour l'Amélioration du Théâtre en France le 28 avril 1874. La publication a probablement suivi de quelques jours tout au plus. Jolie lettre. [383]
Paul Féval (1816-1887), écrivain. L.A.S., sd [mercredi, ca.1870], 1p in-12. Probablement à Edouard Thierry (1813-1894). Il a vendu sa Tache rouge au Paris-journal, probablement pour un feuilleton, et n'a plus rien pour son correspondant. [317]
Paul Féval (1816-1887), écrivain. L.A.S., sd [dimanche soir], 1pœ in-8 (16 lignes). Il remercie Scholl de l'avoir défendu. « je suis donc deux fois heureux en voyant que j'ai été défendu (chose rare) et défendu par vous ». Il le remercie et lui rendra la pareille si nécessaire. [124]
Paul Féval (1816-1887), écrivain. C.A., sd, 6 lignes. Amusante carte : « Bravo ! Vous voilà guéri ! Je savoure (?) votre premier article charmant comme toujours et plus républicorhomboïdal que jamais. Moi qui ne suis jamais incommodé par la politique, je vous serre les mains de tout cour ». [124]
1 page in8 + enveloppe - bon état -
Sa lettre lui a fait à la fois plaisir et peine - "puisqu'on me dit que vous avez été chagriné plus encore que je ne pouvais le croire...Je vous remercie de me l'avoir écrite...J'accepte avec reconnaissance la main que vous me tendez"...-