A Paris, Chez Buisson, 1787. Petit in-8 de 6-[2]-477 pages, plein veau marbré, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, étiquette de titre bordeaux.
Edition originale. Ami de Buffon et d’Alembert, avocat, poète, traducteur, ministre, professeur au Collège de France, le comte de Pastoret (1756-1840), auteur d’un Eloge de Voltaire (1779), est couronné en 1785 par l’Académie des Inscriptions pour ses travaux, au nombre desquels ce Zoroastre, Confucius et Mahomet. "Pastoret défend une idée simple : « Si Mahomet, dit-il, connut mieux que ses prédécesseurs l’art d’enchaîner le peuple par des opinions religieuses, l’art plus grand d’approprier ses dogmes au climat et aux besoins naturels de ceux auxquels il annonçait sa doctrine, on ne peut se dissimuler que Confucius n’ait développé avec plus de sagesse et de profondeur les principes de la morale, et que Zoroastre ne mérite de leur être préféré comme législateur. » Pastoret se rendra plus tard célèbre pour demander la transformation de l’église Sainte-Geneviève en Panthéon patriotique. L’Académie française lui est ouverte en 1820 : il y succède à Volney". [BGE]. Petit manque à la page de titre, sans perte de texte (signature déchirée); tampon Roland Couvreu. Caillet 8367, Quérard VI, 624.
Paris, Imprimerie Nationale, 1792. In-8° de 23 pp. Sans couv. Non rogné. [C30]
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Buisson, 1788. 1 vol. in-8°, basane marbrée, dos lisse orné de fleurons et de roulettes dorées, pièce de titre en maroquin citron, encadrement d'un filet à froid sur les plats, tranches rouges. Reliure de l'époque, un coin émoussé. Bel exemplaire. (2) ff., 599 pp. Quelques rousseurs.
Edition originale de cette étude historique sur les lois religieuses et civiles des Hébreux. Pastoret, député réformiste à la première Assemblée Nationale est à l'origine de la transformation de l'église Ste Geneviève en Panthéon. Quérard VI, 624.
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La Harpe, Jean François de / Murville M. De. [Pierre-Nicolas André, dit] / [Pastoret, Emmanuel marquis de] / Flins de Oliviers, M. [Claude-Marie-Louis-Emmanuel Carbon], de / Nougaret, M. [Pierre-Jean-Baptiste] / Geoffroy, M. [Julien-Louis] / Eloge à Voltaire par l’Académie Française en 1779.
Reference : ALB-161
Buisson 1788 In-8 14 x 22 cm. Cartonnage bradel de l’époque, 599 pp. Quelques rousseurs ou brunissures éparses. Bon exemplaire.
Bon état d’occasion
Paris Buisson 1787 In-8 cuir Bon
Reliure d'époque, basane marron marbré ; dos à nerfs ornés ; pièce de titre vert foncé, étiquette ancienne, tranches rouges, frottements et usures au cuir, coiffe supérieure en partie arrachée ; 6pp+477pp ; Edition originale ; l'auteur était conseiller à la cour des aides, de l'académie ..., il occupa d'autres parts des fonctions administratives importante ; de la collection Carteron (tampon ex-libris sur la page de titre (François Carteron, docteur troyen au XIXème)
Paris Buisson 1788 In-8 cuir Moyen
Reliure d'époque, basane fauve raciné ; double filets sur les plats ; dos à nerfs ornés de filets double et petites étoiles ; pièce de titre rouge foncé, tranches mouchetées rouges, frottements et usures au cuir, coiffe supérieure en partie arrachée ; 6pp+599pp ; traces de mouillures et rousseurs ; Edition originale ; l'auteur était conseiller à la cour des aides, de l'académie ..., il occupa d'autres parts des fonctions administratives importante ; de la collection Carteron (tampon ex-libris sur la page de titre (François Carteron, docteur troyen au XIXème)
1787 1787 Paris Buisson 1787 1 in 12 Reliure plein veau havane , dos orné pièce de titre 375[pp]
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Paris, Buisson, 1787 ; in-8 ; demi-veau havane, dos à faux-nerfs décoratifs dorés, fleurons dorés, pièce de titre vert foncé décorée et dorée, plats de papier peint rose (reliure de l'époque) ; (8), 477, (1) pp.
EDITION ORIGINALE (Caillet, 8367 ; absent de Fesch). Né à Marseille, Pastoret était le fils d'un lieutenant général de l'amirauté de Provence. Après avoir fait ses études à Lyon et son droit à Aix, il devint conseiller à la Cour des aides de Paris. Orateur puis Vénérable de la R.: L.: des Neuf Sœurs à l'O.: de Paris, il joua un rôle assez actif pendant la Révolution Française : Président des assemblées électorales de Paris, Procureur général syndic du département de la Seine, député de Paris à l'Assemblée législative, il en fut le premier Président. Partisan de "l'abolition graduelle et progressive de la traite des Nègres", il fut obligé d'émigrer pendant la Terreur. Rentré sous le Consulat, il fut élu député du Var et siégea au Conseil des Cinq Cents ; membre du Sénat Conservateur en 1809. Il ne s'associa pas à la déchéance de l'Empereur, ce qui ne l'empêcha pas de rallier Louis XVIII et d'être un des principaux rédacteurs de la Charte ; le roi le fit Pair de France. Il était également Comte de l'Empire, Marquis en 1817, Chancelier de France, membre des Académies, Française et des Sciences morales et politiques. En 1830, il refusa de prêter serment à Louis-Philippe et fut destitué. C'est lui qui décida de transformer l'Église Sainte Geneviève, commandée à Soufflot par Louis XV et à peine achevée, en temple destiné à recevoir les cendres des grands hommes dignes de la reconnaissance de la Patrie et qui rédigea l'inscription qui est au fronton du Panthéon, dont l'architecture fut revue par Quatremère de Quincy pour en faire un monument laic (Ligou : Dictionnaire de la Franc-Maçonnerie ; et autres sources). Minuscule accroc au dos, quelques petites rousseurs éparses ; bon exemplaire dans l'ensemble.
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Paris, août, 1807 , 1 pp. in-4.
Pastoret s'entend avec son correspondant pour une prochaine réunion : "Je serai à vos ordres, le jour que vous voudrés, ou chez vous, ou chez moi, come cela vous conviendra davantage. Je vous observe seulement que M. de Montmorency étant souvent à la campagne, il serait bon de s'assurer d'avance qu'il sera à Paris ce jour-là ; nous pourrions nous réunir chez lui, si cela était plus commode. Quand à moi, je vous le répète, je suis à vos ordres, et crois pouvoir en dire autant de M. Parmentier et de M. Delege (…)."Condamné comme Clichyen, Pastoret (1755-1840) était revenu d'exil sous le Consulat, d'abord assigné à résidence à Dijon, puis nommé au Conseil général des hôpitaux, retrouvant sa place à l'Institut en 1804, devenant professeur au Collège de France et à la faculté. Comte d'Empire en 1810, entré au Sénat malgré la réticence de Napoléon, Pastoret ne votera pas la déchéance de l'Empereur. La Restauration le comblera d'honneur, fait pair de France en 1814, créé marquis en 1817, membre du Conseil privé en 1826, chancelier de France en 1829.
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(Paris), 9 mai 1812 , 2 pp. bi-feuillet in-4, adresse au verso.
Longue réponse à une recommandation pour faire entrer le protégé de son confrère de l'Université, à l'Hospice des Ménages ; "(…) Le nom de M. Beaugée ne peut qu'ajouter à l'intérêt qu'une recommandation de vous m'inspire naturellement. Mais je ne dois pas vous dissimuler que le succès de la demande est difficile à obtenir. L'Hospice des ménages est un hospice où l'on n'est admis d'ordinaire qu'en payant comme à celui de Montrouge et à la maison de Sainte-Périne. Pour les Ménages, la somme que nos réglemens ont fixée est de mille francs par personne, pour être fixée dans les dortoir, et de 1600 francs pour avoir une chambre à soi (…), et nombre des inscriptions pour entrer étant déjà considérable, et un passedroit étant sans exemple depuis dix ans que nous avons été apellés au conseil général de cette administration (…). Il parlera cependant du pétitionnaire au prochain Conseil d'administration de l'Hospice.Condamné comme Clichyen, Pastoret (1755-1840) était revenu d'exil sous le Consulat, d'abord assigné à résidence à Dijon, puis nommé au Conseil général des hôpitaux, retrouvant sa place à l'Institut en 1804, devenant professeur au Collège de France et à la faculté. Comte d'Empire en 1810, entré au Sénat malgré la réticence de Napoléon, Pastoret ne votera pas la déchéance de l'Empereur. La Restauration le comblera d'honneur, fait Pair de France en 1814, créé marquis en 1817, membre du Conseil privé en 1826, Chancelier de France en 1829.
[RÉORGANISER LA NATION] PASTORET (Claude-Emmanuel-Joseph Pierre de)
Reference : 204810
Paris, Impr. Nationale, (1792) in-8, 18 pp., cousu sous couverture d'attente.
Pastoret adopta avec modération les principes de la Révolution. Ministre de l'intérieur, en 1790, il fut élu à la Législative et se prononça pour l'abolition de l'esclavage. Il appuya la déclaration de guerre à l'Autriche et présenta un rapport sur la laïcisation de l'état civil. Alors que nos frontières sont menacées par les Prussiens, Pastoret souligne la désorganisation et l'inexpérience de l'administration. L'unité de la Nation est plus que jamais nécessaire au moment où s'agitent les ennemis de l'intérieur (manoeuvres nobiliaires et troubles sacerdotaux).Martin & Walter, III, 26569.
S.l., 28 février, 1825 , 1 pp. bi feuillet in-8, apostille en coin.
Réponse du futur Chancelier de France à une recommandation :"J'ai bien peu de révélation, Madame, avec M. de La Rochefoucauld, mais je saisirai avec empressement la première occasion qui se présentera, de lui dire tout ce que je pense de vos talens et de vos travaux. Je serai heureux de pouvoir joindre mon faible suffrage à celui que vous doivent et vous accordent tous les amis des lettres (…)."Membre de l'Institut, sénateur d'Empire, Pastoret (1755-1840) accumulera les honneurs au retour des Bourbons ; fait pair de France dès 1814, il devint successivement marquis (1817), élu à l'Académie française (1820), vice-président de la Chambre des Pairs, grand-officier (1821) puis grand-croix de la Légion d'Honneur (1823), ministre d'Etat membre du Conseil privé (1826), Chancelier de France (1829). Refusant l'allégeance aux Orléans, Pastoret fut plus tard nommé tuteur des enfants du duc de Berry.
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Marseille, Chez Jombert, 1782. In-32 (75 x 135 mm) maroquin vieux rouge, triple filet doré encadrant les plats avec fleuron en angle, titre en long au dos, roulette dorée sur les coupes et à l'intérieur des plats. 32 pp. (Reliure Xxe, atrribuée à Devauchelle).
C'est durant la première année de ses voyages (en Italie notamment) que Claude Emmanuel de Pastoret écrivit ces pièces en vers. Bel exemplaire, parfaitement relié. Ex-libris D.Labouly.
1787 Paris, Buisson, 1787, 4 parties en 1 volume in-12 relié pleine basane marbrée, 401 pages (pagination continue), dos lisse à 5 faux nerfs orné de fers dorés, pièce de titre rouge, bon état