Paris René Kieffer éditeur 1926 In-8° (240 x 195 mm), [2] pl. - [1] f. - 177 pp. - [10] pl., veau cendre estampé, dos lisse orné, décor doré à la plaque sur le plat supérieur, contregardes et gardes de papier à bandes verticales de différentes teintes de bleu, tête dorée, couvertures et dos conservés (reliure de René Kieffer, étiquette estampée sur la première garde blanche)
« Le mal existe, mais pas sans le bien, comme l'ombre existe, mais pas sans la lumière. » Un des 500 exemplaires sur vélin blanc du tirage courant (n° 291), après 50 exemplaires sur papier Japon agrémentés d'une suite en noir des gravures et d'une aquarelle inédite, pour un tirage totale de 550 exemplaires numérotés. Le présent exemplaire comporte néanmoins 2 aquarelles originales inédites dont l'une, non reliée, signée, adressée « A monsieur René Kieffer » présente un grand portrait d'Alexandre de Médicis. Il est en outre truffé d'une carte postale autographe signée de l'illustrateur présentant un photographie de la ville de Iacobeni en Bucovine « où le beau livre est négligé par le pécheur » et d'une lettre autographe signée de l'illustrateur au sujet de la réception de « quinze cent francs, [...], pour les cinquante aquarelles destinées à illustrer Cornélia de Cervantès et à être encarter dans les volumes sur grand papier ». La peau est estampée sur toute sa surface à la manière de nervures de feuilles ; Sanjuan présente une autre reliure éditeur comportant un décor de gondole et de paysage italien. L'ouvrage est illustré de 10 planches hors-textes par Alexandre Barte. Elles représentent les corps de façon assez stéréotypée : des corps longilignes, des femmes aux seins menus et aux longues jambes tandis que les hommes sont sveltes et montrent leurs muscles. Robert Burnand dit des illustrations d'Alexandre Barte que ce sont des « aquarelles d'un joli sentiment romantique, très agréables à l'oeil ». La typographie est en noir pour les dialogues et en rose fushia pour les didascalies et noms de personnages. Alexandre Barte collabore à deux reprises avec René Kieffer, pour Lorenzaccio et pour La Princesse de Babylone de Voltaire. L'édition de Cornelia dont il est question dans la lettre ne semble jamais avoir vu le jour. A Florence en 1537 le duc Alexandre de Médicis dirige la ville en faisant régner la terreur. Son cousin Lorenzo décide de le tuer... Monod 8556 ; Sanjuan 74 (planche XXXI). Dos et pourtours des plats insolés et quelques frottements
LEMAISTRE DE SACY (Louis-Isaac, trad.) / BIDA (Alexandre, ill.)
Reference : 598
(1882)
Paris Librairie Hachette 1882 In-f° (43 x 61.5 cm), [2] ff. bl. - [2] ff. - 38 pp. - [12] pl. - [3] ff. bl., en feuilles sous chemise éditeur imprimée fermée par des rubans.
12 EAUX-FORTES ORIENTALISTES EN PREMIER TIRAGE, UN DES 20 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE HOLLANDE. Édition originale de l'illustration d'Alexandre Bida. Un des 20 exemplaires sur Hollande, après 10 exemplaires sur Chine et 20 exemplaires sur Whatman. L'ouvrage est illustré de bandeaux, vignettes et culs-de-lampe ainsi que de 12 eaux fortes sous serpentes légendées, le tout d'après Alexandre Bida. Ce volume est le dernier d'une série de publications issue de la collaboration entre Hachette et Bida : aux monumentales Saintes Évangiles illustrées de 128 eaux-fortes (1873) s'ajoutent Le Livre de Ruth (1876), L'Histoire de Joseph (1878) et L'Histoire de Tobie (1880). 21e livre de la Bible hébraïque, le livre d'Esther est compris dans la tradition chrétienne parmi les "livres historiques" de l'Ancien Testament. Esther, épouse du roi de Perse Assuérus, parvient à obtenir de lui qu'il mette fin aux intrigues du vizir Haman qui projette d'exterminer la population juive. Élève de l'atelier d'Eugène Delacroix, Alexandre Bida (1813-1895) affine son trait orientaliste au cours de plusieurs voyages qui le mènent en Turquie, en Syrie, au Liban, en Grèce, en Égypte... les dessins à caractère quasi-ethnographique qu'il en rapporte intriguent à Paris : il est notamment le premier européen à représenter des personnes juives en prière devant le mur des Lamentations (Le Mur de Salomon, 1857). Exposé aux Salons de Paris puis aux expositions universelles de 1855 et 1867, il y figure curieusement parmi les peintres, bien qu'il travaille exclusivement au crayon, au fusain et au lavis de gris. Théophile Gautier comment à ce sujet : "M. Bida ne fait pas de peinture ; il est vrai qu'il n'en a pas besoin. Ces dessins sont colorés comme des Descamps et des Marilhat. Avec du noir et du blanc, il est parvenu à rendre la lumière, la chaleur ardente et l'éclat de ces belles contrées animées de soleil." (Les Beaux-Arts en Europe, 1855, p. 151) Son choix du noir et blanc, rare parmi les orientalistes, rend son travail particulièrement propice à la reproduction par la gravure. Le fait n'échappe pas à Hachette, et Bida passe contrat avec la maison d'édition pour l'illustration d'une Bible. En 1861, il part pour la Palestine, accompagné de Georges Hachette et d'un photographe, afin de réunir la documentation iconographique nécessaire au projet (le récit d'une partie de son voyage, "Excursion au Mont-Sinaï", paraît en 1864 dans la revue Le Tour du Monde dont il est l'un des illustrateurs). Ce Grand oeuvre occupera vingt années de sa carrière, s'achevant en 1882 avec la parution de L'Histoire d'Esther. La critique est unanimement positive : mêlant réalités contemporaines de l'orient à une riche documentation archéologique, Bida contribue avec sa Bible au développement d'une nouvelle iconographie sacrée. Jean de l'Hers, dans un article nécrologique de L'Art méridional, estime ainsi : "Il fut, dans tous les cas, le premier à rendre aux personnages de l'Histoire sainte les caractères de leur race, les moeurs de leur pays, leurs costumes traditionnels, en outre qu'il les replaça dans leur milieu, comme paysage et comme habitations. Il a ainsi restitué aux scènes de l'ancien et du nouveau Testament, la réalité orientale et leur a donné toute la vérité probable [...]" (15 janvier 1895, p. 11) Quelques feuillets et serpentes effrangés. Malembits Michèle. "Alexandre Bida : un Orient en noir et blanc." In Histoire de l'art, N°51, 2002. pp. 101-113.
Paris Librairie Hachette 1880 In-f° (40.5 x 58 cm), [1] f. bl. - [2] ff. - 48 pp. - [14] pl. - [1] f. bl., en feuilles sous chemise éditeur imprimée fermée par des rubans.
14 EAUX-FORCES ORIENTALISTES EN PREMIER TIRAGE, UN DES 50 EXEMPLAIRES SUR WHATMAN. Premier tirage de l'illustration d'Alexandre Bida. Un des 50 exemplaires sur Whatman, après 10 exemplaires sur Chine. Suivent 150 exemplaires sur Hollande. L'ouvrage est illustré d'une quarantaine de bandeaux, vignettes et culs-de-lampe ainsi que de 14 eaux fortes sous serpentes légendées, le tout d'après Alexandre Bida. Ce volume est l'avant dernier d'une série de publications issue de la collaboration entre Hachette et Bida : aux monumentales Saintes Évangiles illustrées de 128 eaux-fortes (1873) s'ajoutent Le Livre de Ruth (1876) et L'Histoire de Joseph (1878). L'Histoire d'Esther suivra en 1882. Livre du canon catholique et orthodoxe, le livre de Tobie est l'unique à citer l'archange Raphaël : il y intervient pour aider Tobie, jeune israëlite de la tribu de Nephthali, à guérir son père aveugle et délivrer sa future épouse de l'influence du démon Asmodée. Élève de l'atelier d'Eugène Delacroix, Alexandre Bida (1813-1895) affine son trait orientaliste au cours de plusieurs voyages qui le mènent en Turquie, en Syrie, au Liban, en Grèce, en Égypte... les dessins à caractère quasi-ethnographique qu'il en rapporte intriguent à Paris : il est notamment le premier européen à représenter des personnes juives en prière devant le mur des Lamentations (Le Mur de Salomon, 1857). Exposé aux Salons de Paris puis aux expositions universelles de 1855 et 1867, il y figure curieusement parmi les peintres, bien qu'il travaille exclusivement au crayon, au fusain et au lavis de gris. Théophile Gautier commente à ce sujet : "M. Bida ne fait pas de peinture ; il est vrai qu'il n'en a pas besoin. Ces dessins sont colorés comme des Descamps et des Marilhat. Avec du noir et du blanc, il est parvenu à rendre la lumière, la chaleur ardente et l'éclat de ces belles contrées animées de soleil." (Les Beaux-Arts en Europe, 1855, p. 151) Son choix du noir et blanc, rare parmi les orientalistes, rend son travail particulièrement propice à la reproduction par la gravure. Le fait n'échappe pas à Hachette, et Bida passe contrat avec la maison d'édition pour l'illustration d'une Bible. En 1861, il part pour la Palestine, accompagné de Georges Hachette et d'un photographe, afin de réunir la documentation iconographique nécessaire au projet (le récit d'une partie de son voyage, "Excursion au Mont-Sinaï", paraît en 1864 dans la revue Le Tour du Monde dont il est l'un des illustrateurs). Ce Grand oeuvre occupera vingt années de sa carrière, s'achevant en 1882 avec la parution de L'Histoire d'Esther. La critique est unanimement positive : mêlant réalités contemporaines de l'orient à une riche documentation archéologique, Bida contribue avec sa Bible au développement d'une nouvelle iconographie sacrée. Jean de l'Hers, dans un article nécrologique de L'Art méridional, estime ainsi : "Il fut, dans tous les cas, le premier à rendre aux personnages de l'Histoire sainte les caractères de leur race, les moeurs de leur pays, leurs costumes traditionnels, en outre qu'il les replaça dans leur milieu, comme paysage et comme habitations. Il a ainsi restitué aux scènes de l'ancien et du nouveau Testament, la réalité orientale et leur a donné toute la vérité probable [...]" (15 janvier 1895, p. 11) Quelques feuillets et serpentes effrangés. Malembits Michèle. "Alexandre Bida : un Orient en noir et blanc." In Histoire de l'art, N°51, 2002. pp. 101-113. Vicaire IV, 146
Paris Chez l'Auteur 1927 Plaquette in-16, couverture orange Agrafé. EDITION ORIGINALE imprimée à Strasbourg, et publiée à compte d'auteur en septembre 1927. Premier livre de Maxime Alexandre, dont le tirage est à petit nombre. ///Maxime Moïse Alexandre, né le 24 janvier (1899- 1976), est un poète et auteur dramatique alsacien et témoin du surréalisme des premières années. /// Bel exemplaire bien frais.
Paris Michaud frères 1810 In-12° (149 x 99 mm), 175 pp., demi-basane, dos lisse orné, plats de papier rose à la colle, coins de vélin, tranches jaunes (reliure de l'époque)
Seconde édition de ce long poème d'Alexandre Soumet, avec un rare ex-dono autographe manuscrit de l'auteur à l'encre brune sur la page de titre. Ce poème composé en défense de la foi chrétienne se déroule en trois chants. Le premier examine l'influence des systèmes irréligieux sur les événements de la Révolution française. Dans le deuxième chant, l'auteur s'attache à établir l'existence de dieu et l'immortalité de l'âme. Enfin, le troisième chant est consacré à l'histoire du christianisme, à ses dogmes et à certaines de ses cérémonies. Bien qu'il soit peu lu aujourd'hui, le dramaturge et poète Alexandre Soumet (1786-1845) connut de son vivant un immense succès : membre du cercle romantique « Le Cénacle », il y côtoya Honoré de Balzac, Alfred de Musset ou encore Prosper Mérimée, et fut notamment admiré de Victor Hugo. Ses poèmes parurent dans La Muse française tandis que ses tragédies inspirées par l'Antiquité triomphaient à l'Odéon. L'ouvrage est bien complet du frontispice gravé par Baquoy d'après Mirys représentant Alvare en prière. Légers frottements et petite tache noire sur les plats, petit défaut de papier p. 1 ayant pour résultant un petit trou sans perte de texte, feuillets légèrement brunis, rares rousseurs.
Vers Malte 1914-1915 [80] cahiers de [2] ff. (205 x 150 mm) - [3] ff. (205 x 150 mm) + [8] cahiers de [2] ff (350 x 210 mm) + [16] ff. (151 x 100 mm) + [11] cahiers de [2] ff. (310 x 205 mm) + [17] ff. de formats divers
Le journal méticuleusement tenu d'un commissaire de la Marine à bord des cuirassés "Vérité" et "Paris" Le journal inédit tenu par Louis Alexandre Auguste Lelaidier entre le 23 avril et le 9 juin 1914 et du 15 novembre 1914 au 26 juillet 1915, alors qu'il exerçait comme commissaire à bord des cuirassés « Vérité » puis « Paris » dans le cadre du blocus de l'armée austro-hongroise en mer Adriatique. Il relate notamment les suites de l'attaque du « Jean Bart », torpillé par un sous-marin autrichien le 21 décembre 1914. Ces notes, par leur fourmillement de détails, fournissent quantité de données précieuses sur les événements de la Grande Guerre ; mais elles traduisent également toute la confusion qui règne au sein de l'escadre : les déplacements des navires s'apprennent au hasard des conversations ; les nouvelles du front sont contradictoires. Angoissé pour son fils qui combat dans les tranchées, Lelaidier consacre une grande partie de son temps à la « douce et amère occupation de l'enregistrement et analyse de [s]es correspondances familiales » (01/12/ 1914), qu'il copie minutieusement. Cette attente est pour Lelaidier la source d'une grande détresse : « L'idée de cette guerre qui n'en finit pas me lancine plus que d'ordinaire : l'impression que les anglais n'en souffrent pas assez pour qu'ils s'efforcent de l'abréger me domine, et l'horreur que ce peuple de marchands n'en profite au contraire finit par me pénétrer. » Stationné dans le port de La Valette, il parcourt la ville et en donne de scrupuleuses descriptions. Ces déambulations lui donnent l'occasion de fuir ses collègues, qu'il n'estime que peu (« Loizeau et Monge, celui-là un couillon et celui-ci un fourbe et un poseur, le premier tondu de naissance et le second par goût et par application » [26/06/1915]) ; c'est, suppose Lelaidier, la jalousie qui motive leur antipathie : l'apparition du nom du commissaire sur un tableau d'honneur le 27 juin 1915 devient en effet la cause de quelques conflits. Après bien des difficultés (personne n'étant disponible pour le remplacer à bord du « Paris »), Lelaidier obtient, pour des raisons de santé, un repos d'un moisévénement qui marque la fin du journal. Lelaidier apporte à ses notes un soin méticuleux qui force l'admiration : en plus de rendre compte des événements de la journée et de ses impressions, le commissaire consigne les températures, ses lectures, l'heure de son réveil, son alimentation, son traitement médicamenteux, toute douleur ou symptôme de maladie, sa toilette, et encore d'autres détails plus intimes pudiquement encryptés par des lettres grecques L'ensemble comprend également : 8 cahiers de 2 ff. d'analyses de ses correspondances, 16 ff. d'un journal allant du 21 mai 1931 au 31 mai 1931, 17 ff. de formats divers Louis Alexandre Auguste Lelaidier fut décoré de la légion d'honneur en 1918 à Bizerte.
Autrement - L'ART, 1983, 1983. In-4, broché, couverture à rabats, 79 pages, illustrations hors-texte en noir et en couleurs.-410g.L. - Très bon état.
Fario, 2015 In-8° oblong broché, couverture illustrée, non paginé, illustrations, exemplaire légérement voilé mais bon état général.
Paris, Emile-Paul, Collection " Portrait de La France " N° 3, 1926. In-8 broché (20 x 15 cm), couverture illustrée et rempliée, 119 pages, illustré d'un frontispice sous serpente, réalisé par de Wauquier. Edition originale : Un des 1500 exemplaires numérotés sur vélin Lafuma (n° 1360).- Henry de Waroquier (1881-1970) est un peintre, sculpteur, dessinateur et graveur français, rattaché à l'École de Paris. Exemplaire en très bon état.
1867 Couverture rigide Paris, Michel Lévy frères, libraires éditeurs, 1867. Un volume in-8 (24 x 16 cm), reliure demi-maroquin vert bouteille, dos à cinq nerfs, titre doré, tranche supérieure dorée, reliure signée R. Petit au bas du dos. Feuillets de faux-titre et de titre, 119 pages, exemplaire grandes marges, beau papier avec filigrane. Envoi manuscrit de l'auteur : "à Camille Doucet, souvenir affectueux". Poète et auteur dramatique français, Camille Doucet connut un certain succès à la fin du 19ème siècle. Ex-libris gravé et contrecollé au premier contre-plat. La pièce de théâtre “Les idées de Madame Aubray” fut représentée pour la première fois au théâtre du Gymnase-Dramatique le 16 mars 1867. Comme son père, Alexandre Dumas fils connut de grands succès comme romancier et auteur dramatique, notamment “La Dame aux camélias". Très marqué par son enfance douloureuse, il se fait le porte-parole des causes peu soutenues à son époque et critique vivement le sort réservé par la société aux femmes et aux enfants illégitimes. Bon exemplaire de cette édition originale, dans une belle reliure signée.
Très bon
Bruxelles, chez Vve Ferdinand Larcier, 1922. EDITION ORIGINALE. 2 volumes in-4 brochés (24,5 x 17,5 cm), couverure imprimée avec un médaillon-portrait en relief au premier plat, II-348 & 600 pages, table des matières, table des figures, illustré de 60 planches photographiques hors-texte et complet de la carte dépliante in fine.- Passionnants récits de voyage doublé d'un album-photo de cet explorateur belge de l'État indépendant du Congo. II a découvert de vastes zones du Congo au début de la période coloniale. Il a remonté de nombreuses voies navigables du bassin du Congo et mené une importante expédition au Katanga entre 1890 et 1893.- Intérieur très frais, très bon état.- ENVOI AUTOGRAPHE DE L'AUTEUR (dédicace) sur la page de garde, bel ex-libris. De la bibliothèque de la Fondation Robert Ardouvin. Complet en deux volumes, devenus rares.
Payot, 1936. EDITION ORIGINALE. 2 volumes in-8 reliés pleine toile bise, titre doré sur pièce de basane verte (23 x 14,3 cm), couverture conservée (plats et dos) 2 vol. (515, 580 p.) avec 64 gravures. De la bibliothèque de la Fondation Robert Ardouvin.-1,9kg.- Intérieur très frais, reliures en parfait état et homogènes.
Edition Alan Sutton, 2004. In-8 broché de 126 pages, illustrations.- Grâce à une sélection de plus de 200 photographies, cartes postales et autres documents anciens, c'est un retour dans le passé qui nous est proposé; c'est aussi la vie quotidienne des habitants au cours du XXe siècle qui est retracée.Grâce à une sélection de plus de 200 photographies, cartes postales et autres documents anciens, c'est un retour dans le passé qui nous est proposé; c'est aussi la vie quotidienne des habitants au cours du XXe siècle qui est retracée.- Ex-dono, on joint un article de journal sur la parution.- 300g. Très bon état.
Editions Traditionnelles, 1985. 2 volumes in-8 brochés (22 x 13,5 cm), 683 pages + table.- Très bon état.
Paris- idem de l'Imprimerie des sciences et des arts- Chez l'auteur [1801] - 1816 In-16° (164 x 103 mm), [1] f. - ii pp. - 152 pp - 180 pp., cartonnage à la Bradel, dos lisse orné de filets, tranches mouchetées (reliure de l'époque)
Rares catalogues des deux plus importants musées de la période post-révolutionnaire Deuxième édition comprenant 945 numéros (contre 944 numéros pour l'originale et 948 pour la 3e) de ce catalogue des tableaux des écoles française, flamande et italienne exposés dans la Grande Galerie du Musée du Louvre, alors connu sous la dénomination de Musée Central des Arts. Organisées alphabétiquement par nom de l'artiste, les notices comprennent une courte description et parfois quelques notes explicatives. La grande galerie, suite à des travaux entrepris par Jean-Arnaud Raymond en 1796, rouvrit ses portes en deux temps : le 7 avril 1799 rendit accessibles les collections de peintures françaises et flamandes ; le 14 juillet 1801, la galerie fut ouverte dans sa totalité, et accueillit une collection de tableaux italiens "moissonnés" lors des campagnes napoléoniennes et nouvellement restaurés. On notera que le musée, destiné en priorité à la formation des artistes, n'était alors ouvert au grand public que le dimanche. Suit une 12e édition du catalogue (576 numéros) du Musée des monuments français, avec les « observations » et « introduction » de la 10e édition. L'originale aurait paru l'année précédente. Une intéressante « Notice sur les costumes français et l'usage de la barbe » conclut l'ouvrage. Ouvert en 1795, ce musée parisien, hébergé dans l'ancien Couvent des Petits-Augustins, exposait les pièces architecturales, tombeaux et sculptures rescapés des destructions de la Révolution. Les collections, organisées par époque, furent bientôt complétées par la création des « jardins Élysée » où l'on pouvait contempler les sépultures des hommes illustres. Jouissant d'un immense succès auprès du public, le Musée, sous la direction du peintre Alexandre Lenoir, contribua à définir les notions de mémoire et de patrimoine ; Jules Michelet déclarait ainsi y avoir vécu l'émotion fondatrice de sa pensée historique. La suppression du musée fut prononcée par Louis XVIII en 1816 et ses pièces furent dispersées. Mouillure marginale angulaire restreinte ; Pour le 1er volume : Marquet de Vasselot, Répertoire des catalogues du Musée du Louvre (1793-1926), 115
Paris Théophile Belin 1902 In-4° (241 x 175) de [1] f. - 189 pp. - [1] f., demi-basane maroquinée à coins lie-de-vin, dos à 4 faux-nerfs triples orné, tête dorée, couverture et dos conservés (reliure de l'époque).
La haute et la petite couture dans le Paris de 1900. Édition originale tirée à 300 exemplaires numérotés ornée de 40 eaux-fortes de François Courboin dont 5 hors-texte sous serpente avec le frontispice, 15 bandeaux et 17 culs de lampe. Le présent, un des 100 exemplaires sur papier des Manufactures impériales du Japon (avant 200 exemplaires sur papier vélin d'Arches), contient 2 états supplémentaires des eaux-fortes sur Japon : eau-forte pure avec remarque et avec remarque. Soit une illustration en 3 états avec celui définitif. L'ouvrage témoigne de la vie des modistes et des couturières dans le Paris de 1900 : le travail à l'atelier, le choix des tissus, l'essayage, la livraison des chapeaux, le bal, les repas des « Midinettes » au jardin public, la promenade sur les Grands Boulevards. François Courboin, graveur, bibliothécaire et historien de l'estampe (Chaumont-Porcien : 1865-Ajaccio : 1926), élève des artistes Achille Gilbert, Félix Buhot et Félix Bracquemond est l'auteur d'une centaine d'estampes exécutées de 1883 à 1908. Il fut aussi chargé de l'illustration de plusieurs ouvrages de littérature ou d'histoire de l'art. Il fut directeur du Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale de 1906 à 1925. Quelques frottements.
Paris, Gallimard, 1946 In-8° broché, couverture blanche (dos insolé), 119 pages, intérieur fais, édition originale (pas de grands papiers), bon état
PUF, 1998 (Thémis Philosophie) In-8° broché, couverture verte, 261 pages, bon état
1912 Couverture rigide Paris, Goupil - Manzi-Joyant, 1912. Fort in-4, reliure demi-maroquin rouge, dos à 5 nerfs orné, couvertures et dos conservés. 176 pages, nombreuses héliogravures et reproductions hors-texte, sous serpente. Edition tirée à 1000 exemplaires sur papier à la cuve, tous numérotés (notre exemplaire n°319). Documentation importante d'un ensemble de l'art français au 19ème siècle, comprenant notamment des reproductions de Corot, Daumier, Degas, Millet, Millet, Jonkkind, Monet, Manet, Tassaert. Bel exemplaire de ce catalogue.
Très bon
1930 Couverture souple A Paris,aux Éditions Bernheim Jeune et Renaissance de l'Art, 1930. In-4 broché non-coupé de 126 pages, 4 pages non chiffrées de table des illustrations. Couverture rempliée. Texte sur papier Chesterfield vergé et planches sur couché mat teinté. Planches en noir et blanc et en couleur. Bon état intérieur pour cet ouvrage consacré à l'impressionnisme. Bel exemplaire.
Très bon
Edisud , 1988. In-8 broché (24 x 15,8 cm), 159 pages.- 320g.L. - Envoi autographe de l'auteur (dédicace) Très bon état.
GRIMOD DE LA REYNIERE (Alexandre Balthazar Laurent ) - 20 novembre 1758 - 25 décembre 1837
Reference : 27652
(1803)
Paris, Chez Maradan, 1803, 2 tomes in-8 (130 x 200 mm),VIII, 400 et 408 pages à tranche supérieure dorée, demi-reliure dépoque à coins, titres, tomaisons, fleurons et filets dorés sur dos à 4 nerfs. Reliure solide, décoloration du dos, frottis sur la partie haute du dos du tome 1er.- journaliste, feuilletoniste et écrivain français qui acquit la célébrité sous Napoléon Ier par sa critique spirituelle et parfois acerbe, ses mystifications et son amour de la gastronomie. Il est considèré, aux côtés de Brillat-Savarin, comme lun des pères fondateurs de la gastronomie occidentale moderne. "L'alambic littéraire" est un ensemble de livres parus à l'époque, dont l'auteur présente un extrait, une critique et des éléments biographiques.-930g.C. - Edition originale, fort rare, bon état général.
Lausanne, Favre, 1989. In-8 broché (23,5 x 15 cm), 264 pages.Couverture illustrée couleurs (Roger Violet Chine Guerre des Boxers, 1900 le Petit Journal). Carte et illustrations en fin de volume.-460g.L. - Bon état.
A Paris, Au Bureau de la Petite Bibliothèque des Théâtres, 1784, 1785, A Paris, Chez Bélin, Libraire et Chez Brunet, Libraire, 1787, in-12 regroupant 7 pièces de théâtre, reliure plein veau d'époque à dos lisse, encadrement doré sur les plats, titres dorés sur pièces, dos agréablement ornementé, VI, 31 pages ; VIII, 36 pages ; IV, 27 pages ; IV, 56 pages ; IV, 20 pages ; VIII, 55 pages ; X, 73 pages. Corps d'une rare fraîcheur, reliure en très bon état. C200g. BEL EXEMPLAIRE. ///// Automatically translated into English : In Paris, 1784, 1785, In Paris, Chez Bélin, Bookseller and Chez Brunet, Bookseller, 1787, in-12 collection of 7 theater plays, binding full calf period with smooth back, Gold framing on the dishes, titles gilded on pieces, pleasantly ornamented back, VI, 31 pages; VIII, 36 pages; IV, 27 pages; IV, 56 pages; IV, 20 pages; VIII, 55 pages; X, 73 pages. Body of a rare freshness, binding in very good condition. C200g. BEL EXEMPLARY.
Tous nos ouvrages sont collationnés et complets, sauf mention particulière.
Paris, en vente au Secrétariat du Souvenir Africain, s.d. (vers 1914). in-4 broché, couverture d'origine vert-pâle imprimée en noir, 487-1 pages. "Prêtre et savant, A. Le Roy a été un des spécialistes les plus avertis de la nature et de l'homme africains à la fin du XIXe siècle. En 1890, il est le premier Français à gravir les pentes du Kilimandjaro qui avait été découvert en 1847 par l'Allemand Rebmann et escaladé en 1889 par H. Meyer et L. Purtscheller. Faute d'équipements spéciaux, les Français doivent s'arrêter vers 4800 m ("au pied du plus grand autel que Dieu ait placé sur ce continent"), ce qui n'empêche pas Le Roy d'étudier à fond l'Olympe africain : constitution géologique, étagement des climats et des zones de végétation opposition entre les populations Masaï du versant nord et des Tchaga du sud. Le Roy rapporte aussi plus de six cents espèces de plantes dont la plus curieuse est le fameux seneçon géant (Senecio gigantus), connu seulement depuis quatre ans." ///-1230g.C. -Illustré de 100 gravures in et hors-texte, Intérieur très frais exempt de rousseurs, bon état.