Bruxelles. La Pierre d'Alun. 1983. In-8° en feuilles sous chemise imprimée. 10 planches hors texte d'Olivier O. Olivier. 57 pages. E.O. 1/520 du tirage de base sur périgord mat.
Très bon état.
La Délirante Paris 1975 In-8 broché ( 240x155 mm ) de 44 pages. Dessins d'Olivier O. Olivier.
Les cahiers dessinés (10/2005)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782283021408
2. Bruxelles, Société des Expositions Palais des Beaux-Arts, 1977, in-8°, ca 28 pp, sewn, orig.wrapper, 13 b.w. plates, 28 items.
Autrement, coll. « Morales », n° 4 1991 In-8 broché. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Buchet Chastel. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 154 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte. + une page en feuillets des éditions à propos du livre.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Dédicace de l'auteur en page de faux titre. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Paris, Galerie Ariel, 1976. Un volume broché (25 x 31 cm) non paginé d'environ 20 pages. Couverture légèrement salie sinon bon exemplaire. Un des 500 exemplaires tirés à l'occasion de l'exposition Olivier Debré à la galerie Ariel. Avec un envoi autographe signé d'Olivier Debré.
1 En feuillets, sous couverture imprimée rempliée d'édition, chemise et étui. 24 x 19 cm, [6]-210pp.-[6]. Paris, À l'enseigne de Colbert, 1947.
Édition illustrée de 26 lithographies originales en couleurs de Maurice Savin, à savoir 11 hors-texte et 15 bandeaux ainsi que des motifs décoratifs, vignettes in-texte et culs-de-lampe imprimés en ocre (dessinés par l'artiste et gravés sur bois par Angiolini). Cet exemplaire est un des 275 numérotés dont le papier n'est pas précisé, avec l'état en couleurs des lithographies (ap. 30 ex. comprenant 3 états). Le texte de ce livre est tiré du Théâtre de l'agriculture d'Olivier de Serres. Très bon état
Daniel [-Olivier] Bonneau (1629-?), conseiller et médecin ordinaire du roi, maintenu dans sa noblesse en 1667 (noblesse du Poitou).
Reference : 013755
Daniel [-Olivier] Bonneau (1629-?), conseiller et médecin ordinaire du roi, maintenu dans sa noblesse en 1667 (noblesse du Poitou). P.S., 18 novembre 1675 (?), 1p in-8. Sur parchemin. Reçu pour le paiement de ses gages, contresignée par un notaire. [279-2]
Olivier de Pompery (1865-ap.1900), membre du conseil héraldique de France.
Reference : 013004
Olivier de Pompery (1865-ap.1900), membre du conseil héraldique de France. L.A.S., Paris, 22 février 1896, 2p in-8. A la femme du chimiste et agronome Georges Ville (1824-1897) qui vient de perdre son époux, le jour-même. Jolie lette de condoléance dans laquelle on apprend que Ville fut le protecteur de Pompery pour son admission à la compagnie du gaz. [92-3]
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux.
Reference : 013133
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux. L.A.S., 1er novembre [après 1841], 1p in-8. Il demande l'hospitalité à un baron après des visites à Bacqueville, Houville et Charval, communes probablement voisines de la demeure du baron. [300-2]
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux.
Reference : 013134
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux. L.A.S. de prêtres du diocèse d'Evreux avec recommandation A.S. de l'évêque, 23 mars 1843, 2p in-folio. Demande à la reine Marie-Amélie, possédant des terres dans la paroisse, d'une subvention pour les travaux dans l'église de Bacqueville, travaux trop importants pour les pauvres habitants de la paroisse. [300-2]
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux.
Reference : 013135
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux. L.A.S., 27 mars [après 1841], 1p in-8. A Amand-Aimé d'Erard d'Hellenvilliers (1808-1876). Lettre de condoléances et de remerciements. [300-2]
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux.
Reference : 013136
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux. L.A.S., 26 novembre, 1p in-8. Il annonce une somme de 8000 francs pour un ouvroir à son correspondant qu'il charge de prévenir les religieuses. [300-2]
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux.
Reference : 013137
Nicolas-Théodore Olivier (1794-1854), chanoine de Notre-Dame de Paris, évêque d'Evreux. L.A.S., 7 mai, 2p in-4. Longue lettre de remerciements à une personne lui ayant envoyé une belle lettre. Il exprime sa volonté de n'exercer que son ministère. Belle lettre. [300-2]
Charles Olivier René Bibard dit Charles-René (1863-1940), pianiste, compositeur, 2e second prix de Rome en 1883 et 1er second prix de Rome en 1884.
Reference : 008420
Charles Olivier René Bibard dit Charles-René (1863-1940), pianiste, compositeur, 2e second prix de Rome en 1883 et 1er second prix de Rome en 1884. L.A.S., 15 février 1899, 1p in-12. Carte postale à Cécile Guinand, épouse du poète Edouard Guinand. Il confirme à Mme Guinand un rendez-vous pour le samedi 18 à la mairie du 9e arrondissement rue Drouot, probablement pour son mariage. Notons que Guinand est l'auteur du texte de L'Enfant prodigue, l'ouvre qui permit à Charles-René d'obtenir son prix en 1884. Document plié plusieurs fois dans la longueur anciennement. [279]
Olivier de Gourcuff (1853-1938), bibliophile, écrivain, poète, secrétaire de la Société des Bibliophiles Bretons.
Reference : 008134
Olivier de Gourcuff (1853-1938), bibliophile, écrivain, poète, secrétaire de la Société des Bibliophiles Bretons. L.A.S., Nantes, 25 mai 1883, 1p in-12. Carte postale à Durel. Il lui reproche de ne pas avoir répondu à son dernier courrier pour commander un livre et commande deux autres livres de son dernier catalogue. [261]
Olivier de Gourcuff (1853-1938), bibliophile, écrivain, poète, secrétaire de la Société des Bibliophiles Bretons.
Reference : 008135
Olivier de Gourcuff (1853-1938), bibliophile, écrivain, poète, secrétaire de la Société des Bibliophiles Bretons. L.A.S., Nantes, 10 septembre 1885, 1p in-12. Carte postale à Durel. Il lui commande un ouvrage et lui signale ne plus recevoir ses catalogues. [261]
Olivier Costa de Beauregard (1872-1958), archéologue, numismate, ingénieur agronome.
Reference : 007974
Olivier Costa de Beauregard (1872-1958), archéologue, numismate, ingénieur agronome. L.A.S., 4 avril 1924, 2p in-8. Il exprime à son correspondant sa satisfaction pour le catalogue de porcelaines du comte H Costa de Beauregard. [180b]
Olivier Gouin, rédacteur en chef de l'Armée Territoriale. C.A., sd, 3 lignes. « Félicitation bien sincères et bien cordiales, quoique tardives.. mais j'arrive de la campagne ». Probablement pour la Légion d'Honneur de Scholl. [125]
Éditions Laconti, 1984. 28,5 x 22 cm, 94 pp. Relié cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée. Exemplaire en bon état.
Léopoldville, Union africaine des arts et des lettres, 1953. 26 x 20 cm, 104-[6] p. : ill. Relié, plein chagrin noir, décor de poissons carnassiers estampés et peints au premier plat, dos lisse avec auteur et titre dorés orné de même que le dos des poissons, couv. et dos cons. Édition originale, 1/575 ex. num. sur Hollande Pannekoek. Quelques petits coups et éraflures minimes sur le dernier plat et le dos sinon très bon état. Provenance : Bibliothèque Beenkens. Nous attribuons la reliure à Marc Beenkens.
Galerie Ariel, Paris, 1973. Un volume en feuilles (25 x 31 cm) non paginé. Bel exemplaire. Tirage limité à 500 exemplaires, contient 2 lithographies originales, la couverture et une lithographie sur double page.
Précieux exemplaire relié en vélin ivoire vers 1660. Paris, Iamet Metayer 1600. Imprimeur ordinaire du Roi Henri IV. In-folio de (8) ff. dont 1 frontispice gravé, 1004 pp. et (10) ff. Plein vélin ivoire, dos à nerfs orné de fers proches de l’Atelier Pierre Rocolet-Antoine Padeloup, vers 1638-1662 selon Raphaël Esmérian. Exemplaire relié vers 1660.
Edition originale rare de «l’extrêmement remarquable Théâtre d’agriculture d’Olivier de Serres». (Pierre Larousse), le premier traité moderne d’agriculture mettant à l’honneur la langue française. Tchemerzine, V, p. 817; Pritzel 8630; Mortimer French Books, 494; Thiebaud 840; Schwerdt II-156/157; Kress 236; En français dans le texte 79. «La prose de Serres, dans le sillage de Montaigne et de Saint François de Sales, est claire et belle. Le titre du Théâtre d’Agriculture, composé de deux groupes de mots usuels unis de façon heureuse et inattendue, dénote une haute maîtrise de la langue. Plus de vingt éditions successives en attestent le succès.» (En Français dans le texte, B.n.F.). Gentilhomme protestant d'Ardèche, Olivier de Serres, dans sa jeunesse, milite dans les rangs des réformés et on le trouve encore, en 1573, au siège de Villeneuve-de-Berg, qui fut suivi d'affreux massacres. Il reprend ensuite, pour un quart de siècle environ, la culture de son domaine du Pradel, pratiquant méthodiquement l'assolement. Son intérêt s'étend à l'irrigation, à l'élevage, aux forêts, à la vigne. Le jardin médicinal ou bouquetier le requiert particulièrement. Il connaît le maïs et la betterave et, près de deux siècles avant Parmentier, la pomme de terre qu'il compare à la truffe et nomme cartoufle. Il s'intéresse à l'utilisation et à la conservation des produits de la terre et découvre d'ingénieuses recettes. Il étudie les ruches et les vers à soie et acquiert une grande maîtrise en matière de sériciculture. En 1599, il publie un petit volume de cent pages, aussitôt traduit en Angleterre et en Allemagne, sur la Cueillette de la soye par la nourriture des vers qui la font. Henri IV lui écrit et lui demande son aide pour l'une des grandes entreprises économiques du règne consistant à planter d'immenses quantités de mûriers. À soixante ans, l'agronome devient le conseiller royal. Il réunit dans son Théâtre d'Agriculture les fruits de son expérience et y prodigue un vaste enseignement inconnu jusqu'alors. Il s'agit là du premier grand traité français d'agronomie. Le livre est orné d'un titre frontispice gravé par Mallery et de figures sur bois dans le texte ; en tête de chacun des huit chapitres, un bandeau, également gravé sur bois, montre des scènes de la vie champêtre. ». (En Français dans le texte. B.n.F.) Son «Théâtre d'agriculture et Ménage des champs», où il consigne avec une simplicité savoureuse les résultats de 40 ans de recherches et de pratique, lui apporta une gloire qui ne s’éclipsera qu’à la fin du XVIIe siècle, devant la vogue, alors, de «La Maison rustique» de Ch. Estienne et Liébault. «Il est divisé en 8 « lieux » chacun illustré d'un bandeau gravé sur bois en rapport avec le titre : (1) connaissance et choix des terres, (2) labourage des terres à blé (pain et légumes), (3) culture de la vigne, (4) bétail à quatre pattes et pâturages, (5) poulailler, colombier, garenne, étang, rucher et ver à soie, (6) potager, verger, herbes condimentaires (dont safran), médicinales et tinctoriales (guède, garance), (7) eaux et bois dont coupes et entretiens, (8) usages des aliments dont recettes de divers pains, boissons (hypocras, malvoisie, hydromel, confitures, conserves de fruits ou viandes, sirops, choucroute, truffes, etc.), façon d'accommoder les maisons et les habits à la campagne, médecine des hommes et des bêtes et « de l'honneste comportement [à tenir] en la solitude de la campagne.» Mais pas un instant Olivier de Serres ne cessa de veiller sur sa propriété du Pradel, tout en employant ses dernières années à propager dans la région la culture de la soie. Il vint à un moment décisif de l'économie française, alors que la vie rurale reprenait son essor, que les pillages et les dévastations, suites de la guerre, permettaient un renouvellement des instruments et des méthodes de culture restés inchangés depuis le moyen âge. L’action d’Olivier de Serres, d’abord isolée, devint un symbole du relèvement économique qu’Henri IV s’efforça de susciter. « Il n'est pas besoin d'être un technicien de l'agronomie ni un historien pour trouver plaisir à lire Olivier de Serres : son livre, comme son action, marque bien le moment où la France retourne au calme, où elle retrouve un bon sens alerte, malicieux, la joie profonde d'être naturelle.» Dans son activité de propriétaire rural, Olivier de Serres ne perdait pas de vue l'intérêt national. Il désirait prêcher d'exemple et convaincre les gentilshommes de s'occuper eux-mêmes de leurs terres ; il lut les anciens traités d'agronomie, les trouva insuffisants et vieillis ; aussi, pendant 30 ans, consacra‑t-il ses loisirs à la composition d'un traité qui put rendre service de son temps. L’ouvrage est dédié à Henri IV, qui comprit aussitôt à quel point ce livre pouvait être un appui pour l’œuvre de pacification des esprits et de redressement économique qu’il entreprenait, aussi le roi ne lui ménagea-t-il pas ses éloges. L'utilité de cet ouvrage, la protection royale, son caractère d'actualité lui valurent un immense et durable succès, dont témoignent les nombreuses éditions qui en furent faites dans la première moitié du XVIIe siècle. Souvent l'expression est ingénieuse et raffinée ; il appelle le jardinier « l'orfèvre de la terre, parce qu'il surpasse d'autant plus le simple laboureur que l'orfèvre le commun forgeron ». Il y a parfois dans ce langage, qui n'a rien d'affecté, quelque chose de Montaigne et quelque chose de Saint François de Sales. Pendant plusieurs mois, Henri IV s’en faisait lire des passages, après chaque dîner, une demi-heure durant, et il y eut avant 1675, une vingtaine d'éditions. On l'a réimprimé en 1804. L’ouvrage est illustré d’un titre frontispice gravé par Mallery, de 16 figures sur bois de parterres dans le texte et de 8 bandeaux gravés sur bois en tête de chaque chapitre représentant des scènes de la vie champêtre. Les auteurs contemporains gardent le silence sur Olivier de Serres, excepté le président de Thou. «Deux frères, du nom de Serres dit cet historien, ont rendu ce nom très illustre dans le XVIe siècle: le premier était Jean de Serres, qui s'est fait une grande réputation dans les belles-lettres. L'autre était Olivier, qui a fait un écrit sur la cueillette des vers à soie, pour seconder le désir que le roi Henri IV « avait de propager en France les vers a soie et les mûriers.» Olivier de Serres s’exprime ainsi dans la préface de son Théâtre: « Mon inclination et l'estat de mes affaires m'ont retenu aux champs en ma maison, et faict passer une bonne partie de mes meilleurs ans durant les guerres civiles de ce royaume, cultivant ma terre par mes serviteurs, comme le temps l'a peu supporter. En quoi Dieu m'a tellement béni par sa sainte grâce, que m'ayant conservé parmi tant de calamités, dont j'ai senti ma bonne part, je me suis tellement comporté parmi les diverses humeurs de ma patrie, que ma maison ayant été plus logis de paix que de guerre, quand les occasions s'en sont présentées, j'ai rapporté le témoignage de mes voisins, qu'en me conservant avec eux, je me suis principalement adonné chez moi à faire mon mesnage. Parmentier, si zélé pour la propagation des produits de l'agriculture, profita de la publication d'un Mémoire sur les avantages que le Languedoc pouvait retirer de ses grains (1786) pour retracer le mérite d'Olivier, en faisant observer que plusieurs modernes l'avaient mis à contribution. Broussonnet saisissait toutes les occasions de rappeler au souvenir de la postérité le nom de De Serres. De plus, il fit le fonds d'un prix à l'académie de Montpellier pour le meilleur éloge de cet auteur ; et ce prix fut décerné en 1790, à un discours dans lequel Dorthès fit un bon extrait du Théâtre d’Agriculture. Faujas de St-Fond, toujours zélé pour les entreprises honorables, avait rassemblé des matériaux pour rendre à la mémoire d'Olivier le même service qu'il avait rendu à Bernard Palissy, en faisant une nouvelle édition de ses œuvres. Enfin les étrangers eux-mêmes concoururent à cette sorte de réparation, entre autres Arthur Young, qui comptait au nombre des circonstances les plus heureuses de son voyage agronomique en France d'avoir pu respirer l'air du Pradel, antique manoir d'Olivier. « Je contemplai, dit-il, la résidence du père de l'agriculture française (qui était sans doute un des premiers écrivains sur ce sujet qui eût encore paru dans le monde) avec cette espèce de vénération qui ne peut être sentie que par ceux qui se sont fortement adonnés à quelque recherche favorite, et qui se trouvent satisfaits de la manière la plus délicieuse. » Le voyageur anglais ne s'en est pas tenu à ces simples expressions : dès qu'il connut le projet d'élever, par souscription, un monument à la mémoire d'Olivier, sur la place de Villeneuve de Berg, il s'empressa de s'inscrire sur la liste. Ce n'est qu'en 1804 que ce monument a été exécuté, par les soins de Caffarelli, alors préfet de l'Ardèche. La société d'agriculture a fait aussi frapper une médaille à l'effigié de De Serres. Edition originale rare en reliure ancienne. Le 8 novembre 2006 la Librairie Sourget cataloguait et vendait 50000 € un exemplaire en reliure restaurée du XVIIIe siècle (Cat XXXIII n° 51). Le présent exemplaire nettoyé anciennement avec délicatesse, revêtu de son élégante reliure du XVIIe siècle, est en condition bibliophilique plus désirable. Le 21 mai 2003, il y a 21 ans, la même Librairie Sourget cataloguait et vendait 350000 € l’exemplaire relié en vélin de l’époque aux armes du roi Henri IV.
Stéphane Halgan - Olivier de Gourcuff - Stéphane Halgan, le Comte de Saint-Jean - Olivier Pierre Charles comte de Gourcuff - René Pocard du Cosquer de Kerviler
Reference : 46549
(1884)
1884 Nantes, Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, 1884 - Reliure 12 basane cerise - Dos à nerfs - Grand In-4, grandes marges, sur Vergé - EDITION ORIGINALE numérotée, tirage à 350 exemplaires, celui-ci N° 137 au nom de René de Saint-Pern - Couverture conservée (petite tache) - Frontispice , portrait de René Le Pays - Bandeau, Lettrines et Culs-de-lampe - XVI-283 pages + Table - Bel exemplaire
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