Stock 1973 236 pages in-8. 1973. broché. 236 pages. Avec des illustrations en noir
Bon état
Imprimerie Lacoste 1990 59 pages Mont de Marsan. Grand In-8. 1990. broché. 59 pages. Avec envoi de l'auteur - Illustrations en noir et en couleurs
Très bon état
Editions CNRS 1998 379 pages Paris. in-8. 1998. Broché. 379 pages.
Bon état
Mémoires d'avenir 2013 251 pages Petit In-4 oblong. 2013. broché. 251 pages. Nombreuses illustrations en noir et en couleurs
Bon état
Arthaud 1995 199 pages in-4. 1995. Cartonné/Jaquette. 199 pages.
Bon état
HC Editions 2009 115 pages In-4. 2009. Broché. 115 pages. Avec de nombreuses illustrations. Envoi de l'auteur
Très bon état
La Roche Marie-Catherine de Baussan Olivier Morel Marie-Pierre
Reference : 20999
(2020)
ISBN : 9782732491899
Editions de La Martinière 2020 159 pages Grand In-8. 2020. cartonné. 159 pages. Photographies de Marie-Pierre Morel
Très bon état
CCI Marseille Provence 1996 Marseille. in-4. 1996. broché. Année scolaire : 1996/1997
Bon état
Pearson Education 2002 XII-596 pages in-8. 2002. Broché. XII-596 pages. Seconde édition
Très bon état
Paris Payot (Bibliothèque scientifique) 1957 254 pages in-8. 1957. broché. 254 pages. In-8 broché (229x141 mm) 254 pages. Origines et fondements de la psychothérapie. Couverture en assez bon état un peu salie - Le dos de l'ouvrage se décolle du dos de la couverture (à recoller) - Intérieur propre. Poids : 300 gr
Paris Presses universitaires de france (Collection Premier Cycle) 1991 429 pages in-8. 1991. broché. 429 pages. In-8 broché avec couverture illustrée (217x149 mm) 429 pages. Très bon état général. Poids : 550 gr
Rennes Editions Ouest-France (Collection Mémoires) 2003 126 pages in-8. 2003. broché. 126 pages. In-8 broché et illustré (257x192 mm) 126 pages. Belle iconographie en noir et en couleurs. Très bon état général. Poids : 530 gr
Paris Editions de la revue "en provence" 1928 195 pages in-12. 1928. cartonné. 195 pages. In-12 (188x122 mm) 195 pages. Demi-Cartonnage Couverture conservée (plats). Illustrations en noir de Etienne Laget. Bon état général. Poids : 190 gr
MARTIN (Denis-Constant) ROUEFF (Olivier)
Reference : 9861
(2002)
ISBN : 9782863646182
Editions Parenthèses (Collection Eupalinos) 2002 323 pages in8. 2002. Broché. 323 pages. Poids : 550 gr
Très Bon Etat
Delachaux & Niestlé 1972 442 pages in12. 1972. Cartonné. 442 pages. Cartonnage éditeur sans jaquette. Illustrations en noir et en couleurs
Etat Correct A noter des rousseurs aux tranches et aux premières pages
Payot (Bibliothèque scientifique) 1957 254 pages in8. 1957. Broché. 254 pages.
Etat Correct Couverture brunie notamment au dos avec une coupure à un mors. Des rousseurs à la tranche supérieure sinon intérieur propre
Gal'Art 1999 272 pages collection Art et patrimoine. Petit In-4. 1999. broché. 272 pages. Illustrations en noir et en couleurs
Très bon état
Vigot frères 1967 170 pages in-8. 1967. broché. 170 pages. Avec figures et illustrations en noir. 3ème édition
Etat correct. Deux petites coupures aux mors de la couverture. Intérieur propre
Gallimard 2010 120 pages collection Bayou. in-8. 2010. cartonné. 120 pages.
Très bon état général
Denoël 1990 215 pages in-8. 1990. broché. 215 pages.
Bon état
Belin - Histoire et société 2008 367 pages in-8. 2008. broché. 367 pages. Illustrations en noir - La montagne et l'affirmation de la bourgeoisie cultivée (1786-1914)
Bon état
A. Barthélemy 1999 191 pages Avignon. in-8. 1999. broché. 191 pages. Avec des reproductions photographiques en couleurs
Bon état avec une légère déplastification à un coin
Précieux exemplaire relié en vélin ivoire vers 1660. Paris, Iamet Metayer 1600. Imprimeur ordinaire du Roi Henri IV. In-folio de (8) ff. dont 1 frontispice gravé, 1004 pp. et (10) ff. Plein vélin ivoire, dos à nerfs orné de fers proches de l’Atelier Pierre Rocolet-Antoine Padeloup, vers 1638-1662 selon Raphaël Esmérian. Exemplaire relié vers 1660.
Edition originale rare de «l’extrêmement remarquable Théâtre d’agriculture d’Olivier de Serres». (Pierre Larousse), le premier traité moderne d’agriculture mettant à l’honneur la langue française. Tchemerzine, V, p. 817; Pritzel 8630; Mortimer French Books, 494; Thiebaud 840; Schwerdt II-156/157; Kress 236; En français dans le texte 79. «La prose de Serres, dans le sillage de Montaigne et de Saint François de Sales, est claire et belle. Le titre du Théâtre d’Agriculture, composé de deux groupes de mots usuels unis de façon heureuse et inattendue, dénote une haute maîtrise de la langue. Plus de vingt éditions successives en attestent le succès.» (En Français dans le texte, B.n.F.). Gentilhomme protestant d'Ardèche, Olivier de Serres, dans sa jeunesse, milite dans les rangs des réformés et on le trouve encore, en 1573, au siège de Villeneuve-de-Berg, qui fut suivi d'affreux massacres. Il reprend ensuite, pour un quart de siècle environ, la culture de son domaine du Pradel, pratiquant méthodiquement l'assolement. Son intérêt s'étend à l'irrigation, à l'élevage, aux forêts, à la vigne. Le jardin médicinal ou bouquetier le requiert particulièrement. Il connaît le maïs et la betterave et, près de deux siècles avant Parmentier, la pomme de terre qu'il compare à la truffe et nomme cartoufle. Il s'intéresse à l'utilisation et à la conservation des produits de la terre et découvre d'ingénieuses recettes. Il étudie les ruches et les vers à soie et acquiert une grande maîtrise en matière de sériciculture. En 1599, il publie un petit volume de cent pages, aussitôt traduit en Angleterre et en Allemagne, sur la Cueillette de la soye par la nourriture des vers qui la font. Henri IV lui écrit et lui demande son aide pour l'une des grandes entreprises économiques du règne consistant à planter d'immenses quantités de mûriers. À soixante ans, l'agronome devient le conseiller royal. Il réunit dans son Théâtre d'Agriculture les fruits de son expérience et y prodigue un vaste enseignement inconnu jusqu'alors. Il s'agit là du premier grand traité français d'agronomie. Le livre est orné d'un titre frontispice gravé par Mallery et de figures sur bois dans le texte ; en tête de chacun des huit chapitres, un bandeau, également gravé sur bois, montre des scènes de la vie champêtre. ». (En Français dans le texte. B.n.F.) Son «Théâtre d'agriculture et Ménage des champs», où il consigne avec une simplicité savoureuse les résultats de 40 ans de recherches et de pratique, lui apporta une gloire qui ne s’éclipsera qu’à la fin du XVIIe siècle, devant la vogue, alors, de «La Maison rustique» de Ch. Estienne et Liébault. «Il est divisé en 8 « lieux » chacun illustré d'un bandeau gravé sur bois en rapport avec le titre : (1) connaissance et choix des terres, (2) labourage des terres à blé (pain et légumes), (3) culture de la vigne, (4) bétail à quatre pattes et pâturages, (5) poulailler, colombier, garenne, étang, rucher et ver à soie, (6) potager, verger, herbes condimentaires (dont safran), médicinales et tinctoriales (guède, garance), (7) eaux et bois dont coupes et entretiens, (8) usages des aliments dont recettes de divers pains, boissons (hypocras, malvoisie, hydromel, confitures, conserves de fruits ou viandes, sirops, choucroute, truffes, etc.), façon d'accommoder les maisons et les habits à la campagne, médecine des hommes et des bêtes et « de l'honneste comportement [à tenir] en la solitude de la campagne.» Mais pas un instant Olivier de Serres ne cessa de veiller sur sa propriété du Pradel, tout en employant ses dernières années à propager dans la région la culture de la soie. Il vint à un moment décisif de l'économie française, alors que la vie rurale reprenait son essor, que les pillages et les dévastations, suites de la guerre, permettaient un renouvellement des instruments et des méthodes de culture restés inchangés depuis le moyen âge. L’action d’Olivier de Serres, d’abord isolée, devint un symbole du relèvement économique qu’Henri IV s’efforça de susciter. « Il n'est pas besoin d'être un technicien de l'agronomie ni un historien pour trouver plaisir à lire Olivier de Serres : son livre, comme son action, marque bien le moment où la France retourne au calme, où elle retrouve un bon sens alerte, malicieux, la joie profonde d'être naturelle.» Dans son activité de propriétaire rural, Olivier de Serres ne perdait pas de vue l'intérêt national. Il désirait prêcher d'exemple et convaincre les gentilshommes de s'occuper eux-mêmes de leurs terres ; il lut les anciens traités d'agronomie, les trouva insuffisants et vieillis ; aussi, pendant 30 ans, consacra‑t-il ses loisirs à la composition d'un traité qui put rendre service de son temps. L’ouvrage est dédié à Henri IV, qui comprit aussitôt à quel point ce livre pouvait être un appui pour l’œuvre de pacification des esprits et de redressement économique qu’il entreprenait, aussi le roi ne lui ménagea-t-il pas ses éloges. L'utilité de cet ouvrage, la protection royale, son caractère d'actualité lui valurent un immense et durable succès, dont témoignent les nombreuses éditions qui en furent faites dans la première moitié du XVIIe siècle. Souvent l'expression est ingénieuse et raffinée ; il appelle le jardinier « l'orfèvre de la terre, parce qu'il surpasse d'autant plus le simple laboureur que l'orfèvre le commun forgeron ». Il y a parfois dans ce langage, qui n'a rien d'affecté, quelque chose de Montaigne et quelque chose de Saint François de Sales. Pendant plusieurs mois, Henri IV s’en faisait lire des passages, après chaque dîner, une demi-heure durant, et il y eut avant 1675, une vingtaine d'éditions. On l'a réimprimé en 1804. L’ouvrage est illustré d’un titre frontispice gravé par Mallery, de 16 figures sur bois de parterres dans le texte et de 8 bandeaux gravés sur bois en tête de chaque chapitre représentant des scènes de la vie champêtre. Les auteurs contemporains gardent le silence sur Olivier de Serres, excepté le président de Thou. «Deux frères, du nom de Serres dit cet historien, ont rendu ce nom très illustre dans le XVIe siècle: le premier était Jean de Serres, qui s'est fait une grande réputation dans les belles-lettres. L'autre était Olivier, qui a fait un écrit sur la cueillette des vers à soie, pour seconder le désir que le roi Henri IV « avait de propager en France les vers a soie et les mûriers.» Olivier de Serres s’exprime ainsi dans la préface de son Théâtre: « Mon inclination et l'estat de mes affaires m'ont retenu aux champs en ma maison, et faict passer une bonne partie de mes meilleurs ans durant les guerres civiles de ce royaume, cultivant ma terre par mes serviteurs, comme le temps l'a peu supporter. En quoi Dieu m'a tellement béni par sa sainte grâce, que m'ayant conservé parmi tant de calamités, dont j'ai senti ma bonne part, je me suis tellement comporté parmi les diverses humeurs de ma patrie, que ma maison ayant été plus logis de paix que de guerre, quand les occasions s'en sont présentées, j'ai rapporté le témoignage de mes voisins, qu'en me conservant avec eux, je me suis principalement adonné chez moi à faire mon mesnage. Parmentier, si zélé pour la propagation des produits de l'agriculture, profita de la publication d'un Mémoire sur les avantages que le Languedoc pouvait retirer de ses grains (1786) pour retracer le mérite d'Olivier, en faisant observer que plusieurs modernes l'avaient mis à contribution. Broussonnet saisissait toutes les occasions de rappeler au souvenir de la postérité le nom de De Serres. De plus, il fit le fonds d'un prix à l'académie de Montpellier pour le meilleur éloge de cet auteur ; et ce prix fut décerné en 1790, à un discours dans lequel Dorthès fit un bon extrait du Théâtre d’Agriculture. Faujas de St-Fond, toujours zélé pour les entreprises honorables, avait rassemblé des matériaux pour rendre à la mémoire d'Olivier le même service qu'il avait rendu à Bernard Palissy, en faisant une nouvelle édition de ses œuvres. Enfin les étrangers eux-mêmes concoururent à cette sorte de réparation, entre autres Arthur Young, qui comptait au nombre des circonstances les plus heureuses de son voyage agronomique en France d'avoir pu respirer l'air du Pradel, antique manoir d'Olivier. « Je contemplai, dit-il, la résidence du père de l'agriculture française (qui était sans doute un des premiers écrivains sur ce sujet qui eût encore paru dans le monde) avec cette espèce de vénération qui ne peut être sentie que par ceux qui se sont fortement adonnés à quelque recherche favorite, et qui se trouvent satisfaits de la manière la plus délicieuse. » Le voyageur anglais ne s'en est pas tenu à ces simples expressions : dès qu'il connut le projet d'élever, par souscription, un monument à la mémoire d'Olivier, sur la place de Villeneuve de Berg, il s'empressa de s'inscrire sur la liste. Ce n'est qu'en 1804 que ce monument a été exécuté, par les soins de Caffarelli, alors préfet de l'Ardèche. La société d'agriculture a fait aussi frapper une médaille à l'effigié de De Serres. Edition originale rare en reliure ancienne. Le 8 novembre 2006 la Librairie Sourget cataloguait et vendait 50000 € un exemplaire en reliure restaurée du XVIIIe siècle (Cat XXXIII n° 51). Le présent exemplaire nettoyé anciennement avec délicatesse, revêtu de son élégante reliure du XVIIe siècle, est en condition bibliophilique plus désirable. Le 21 mai 2003, il y a 21 ans, la même Librairie Sourget cataloguait et vendait 350000 € l’exemplaire relié en vélin de l’époque aux armes du roi Henri IV.
Stéphane Halgan - Olivier de Gourcuff - Stéphane Halgan, le Comte de Saint-Jean - Olivier Pierre Charles comte de Gourcuff - René Pocard du Cosquer de Kerviler
Reference : 46549
(1884)
1884 Nantes, Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, 1884 - Reliure 12 basane cerise - Dos à nerfs - Grand In-4, grandes marges, sur Vergé - EDITION ORIGINALE numérotée, tirage à 350 exemplaires, celui-ci N° 137 au nom de René de Saint-Pern - Couverture conservée (petite tache) - Frontispice , portrait de René Le Pays - Bandeau, Lettrines et Culs-de-lampe - XVI-283 pages + Table - Bel exemplaire
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La délirante | Paris 1975 | 15.50 x 24 cm | en feuilles
Edition originale, un des quelques exemplaires d'artiste sur Ingres d'Arches, seuls grands papiers avec 75 exemplaires numérotés sur Ingres d'Arches. Dos très légèrement insolé sans gravité. Ouvrage illustré de deux lithographies originales d'Olivier O. Olivier. Notre exemplaire, à l'instar des 15 premiers exemplaires sur Ingres d'Arches, comporte une suite des deux lithographies, non numérotées mais justifiées par Olivier O. Olivier et qu'il a signées. Envoi autographe signé d'Olivier O. Olivier à Nanie et Jörg (Ortner). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85