A Paris, de l'Imprimerie nationale, [1790]. In-8 en feuilles, 20 pp.
Général et homme politique, a participé à la guerre d'indépendance des États-Unis. De Noailles fut député de la noblesse aux État-généraux. A toutes marges, tel que paru, très bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
A Paris, de l'Imprimerie nationale, 1790. In-8 en feuilles, 20 pp.
Séance du 1er février 1790, sur les rapports entre les milices nationales et les troupes réglées, et sur l'avancement des officiers, bas-officiers et soldats.Général et homme politique, a participé à la guerre d'indépendance des États-Unis. De Noailles fut député de la noblesse aux État-généraux. Taches claires en pied des feuillets, à toutes marges, tel que paru, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Imp. Nationale, s.d. in-8, 20 pp., dérelié.
Le document indique improprement "M. de Nouailles".
Paris, Imprimerie Nationale, 1790 in-8, 20 pp., dérelié.
Sur les objets constitutionnels de l'armée ; sur quelques rapports entre les milices nationales et les troupes réglées ; sur la manière dont plusieurs décrets de l'Assemblée doivent être interprétés et exécutés ; enfin, sur l'avancement des officiers, bas-officiers et soldats. L'auteur, militaire de carrière, était également député de la Noblesse du bailliage de Nemours.
A Vienne, 9 juin 1790 , 1 pp. in-folio.
Intéressante lettre du marquis de Noailles, alors ambassadeur de France à Vienne, évoquant les conséquences des troubles de la Révolution sur le commerce maritime ; il accuse réception auprès de son correspondant, consul à Trieste, d'une expédition confidentielle adressée au comte de La Luzerne, ministre de la Marine de Louis XVI ; (…) Je la fait passer à ce ministre par le courier d'aujourd'hui. Les détails qu'elle renferme sur notre novigation dans le lieu de votre résidence méritent la plus sérieuse attention. Je me flatte que lorsque la paix sera rétablie, notre commerce reprendra l'activité que les circonstances du moment l'empêchent d'avoir, d'autant qu'il doit espérer plus de faveur dans les Etats autrichiens sous ce règne-ci que sous le règne précédent (…).Fils cadet du maréchal-duc de Noailles, Emmanuel-Marie-Louis de Noailles (1743-1822) avait été nommé gouverneur de Vannes et d'Auray en 1762 avant d'entrer dans la carrière diplomatique ; il fut successivement plénipotentiaire à Hambourg (1768), ambassadeur auprès des Provinces Unies de Hollande (1771-1776), ambassadeur à Londres (1776-1778) puis à Vienne en Autriche de 1783 au 10 août 1792. Rentré en France, il fut "jeté dans les cachot de la Terreur), libéré après le 9 Thermidor, vivant désormais retiré sur ses terres de Maintenon. Le marquis de Noailles avait été fait premier gentihomme de la Chambre de Monsieur (frère du roi, futur Louis XVIII) à la mort du marquis de La Force, et créé maréchal de camp en 1784. Il avait épousé une Demoiselle Hallencourt de Dromesnil dont descendance.
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