5 books for « nja mahdaoui »Edit

‎Le Maître d'amour.‎

‎Paris, Albin Michel, 2004. Album in-4°, 130 pages, illustrations en couleurs et or (la plupart en pleine page), cartonnage de l'editeur, jaquette illustree.‎

‎Dos un peu usagé, rousseurs périphériques sinon bel exemplaire. [P-3] ‎

‎Farid Ben Yahia.‎

‎ Tunis 2001, grand in/4 reliure éditeur et jaquette en couleurs, 144 pages, in fine biographie de l'artiste. Illustration en couleurs et en noir.‎

‎Le peintre Farid Ben Yahia, autodidacte, est né en 1951 à Gabès, dans le sud de la Tunisie. Après l'obtention de son diplôme, Farid a étudié l'économie politique à l'Université de Paris. En plus de ses études, il s'occupe principalement de la peinture et d'autres activités artistiques, telles que la conception et la mise en oeuvre d'un théâtre d'ombres, d'activités de festival, etc. Farid choisit le symbolisme pour traiter ses sujets. Dans sa peinture, il y a des éléments que tout le monde dans son environnement peut voir ou ressentir. Farid communique les informations sur les sujets traités. Les couleurs et les formes proviennent de l'environnement et de la nature du pays dans lequel il a vécu. ‎

‎La Poésie palestinienne contemporaine Anthologie‎

‎Messidor 1990,publié avec le concours de l'Unesco.Broché in-8,237 pp.,Ilo-1-éta-2.‎

‎Remarques sur le style précédé de Notes sur Marcel Proust par Paul Morand.‎

‎ S.l., Fata Morgana, (2016). Un vol. au format in-8 (219 x 142 mm) de 35 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.‎

‎ Edition originale. Tirage unique à 500 exemplaires sur vélin. L'ouvrage s'agrémente de graphèmes in et hors-texte par Nja Mahdaoui. ''Une étrangère a élu domicile dans mon cerveau. Elle allait, elle venait ; bientôt, d'après tout le train qu'elle menait, je connus ses habitudes. Je fus surpris de voir qu'elle n'était pas belle. J'avais toujours cru que la Mort l'était. Sans cela, comment aurait-elle raison de nous ?'' Très belle condition. ‎

‎Les poèmes de Djaykoûr.‎

‎<p>“Poète d'avant la poèsie”, “soufi d'avant le soufisme”, “chantre d'une avant-mémoire”… c'est ainsi que Salah Stétié présente Badr Chaker es-Sayyâb. Celui-ci naît en 1926 à Djaykoûr – village du sud de l'Iraq, traversé par la petite rivière Boaïb qui deviendra, par la grâce du poète, fleuve, fleuve de poésie – et meurt à trente-sept ans. Sa langue est “reconnaissable entre toutes à ce mélange en elle de familiarités calculées et de distances provoquées, jamais naïve, certes, mais jamais torturée non plus ni jamais, en ses obscurités obligées du fait de l'obscurité même du sens, armée contre les transparences du cœur ou les fléchissements, d'une douceur par moments inouïe, de la voix”. Calligraphies de Nja Mahdaoui.</p> Saint-Clément-de-Rivière, 2017 Fata Morgana 144 p., broché. 14 x 22‎

‎Neuf‎