Cambourakis, 2018. In-4 broché, couverture couleurs à rabats. Pli de lecture au dos.
"A l'age de seize ans, Nicole J. Georges a adopté Beija, une chienne tout aussi attendrissante que farouche, un peu à l'image de Nicole elle-même. Pendant les quinze années qui ont suivi, qu'elle dessine, qu'elle offre des concerts punks ou qu'elle se retire a la campagne pour soigner des animaux violentés, Beija ne l'a pas quittée. L'animal ingérable tolérant difficilement une présence autre que celle de Nicole, leur compagnonnage n'a pas toujours été de tout repos. Mais à force de consultations vétérinaires, psychologiques et même de voyante animalière, toutes deux ont développé une relation exclusive et passionnelle absolument unique, retranscrite avec empathie et une grande part d'auto-dérision."
Editions des femmes, 1977. Grand in-4 (24,5 x 35 cm.), cartonnage couleurs. Illustré à toutes pages par Nicole Claveloux.
Un conte de George Sand pour sa petite fille Aurore, une histoire d’amour entre la brise et les roses. « Quand j’étais enfant, ma chère Aurore, j’étais très tourmentée de ne pouvoir saisir ce que les fleurs se disaient entre elles. Mon professeur de botanique m’assurait qu’elles ne disaient rien : soit qu’il fût sourd, soit qu’il ne voulût pas me dire la vérité, il jurait qu’elles ne disaient rien du tout. Je savais bien le contraire. » G.S.
Siméon Jean Pierre - Illustrations de Nicole Claveloux, Henri Galeron et Tina Mercié:
Reference : 24266
(2003)
Seuil, 2003. Grand in-8, cartonnage couleurs (avec menus menus défauts). Illustrations en couleurs, souvent dépliantes, par Nicole Claveloux, Henri Galeron et Tina Mercié.
Grasset jeunesse, 1981. In-4, cartonnage couleurs. En belle condition. Avec les étonnantes illustrations de Nicole Claveloux.
Harlin Quist, 1975. In-12 broché, couverture couleurs. A l'état de neuf (tellement qu'on ose pas ouvrir plus le livre pour vous montre les images de Nicole Clavloux - dommage !).
Folio junior bilingue, 1982. In-12 broché, couverture couleurs. Illustrations in-texte par Nicole Claveloux. En belle condition.
Gallimard, collection Folio benjamin, 1985. In-12 broché, couverture couleurs. Illustré à toutes pages par Nicole Claveloux.
Epuisé, bien entendu, depuis belle lurette.
Harlin Quist, 1970. In-8, cartonnage couleurs.
Illustrée par Nicole Claveloux, cette petite pépite est pratiquement introuvable. . .
Ipomée, 1984. In-8, cartonnage couleurs. En belle condition. Illustré par Nicole Claveloux, avec le brio qu'on lui connaît. . .
Gallimard, collection Découverte cadet, 1988. In-12, cartonnage couleurs.
"Depuis plus de cent ans, la tour Eiffel est visitée par les touristes du monde entier. Emblème de Paris, elle inspire les peintres et illumine les fêtes de la capitale. Découvrez son architecte, Gustave Eiffel, les secrets de sa construction et son rôle indispensable dans les domaines de la météorologie et de la télévision. Les illustrations de Nicole Claveloux, célèbre artiste d'aujourd'hui, nous invitent à rêver et à sourire."
Editions Être, 2001. In-12, cartonnage couleurs. Illustrations par Nicole Claveloux.
Deux drôles de pingouins, un tout petit et un très grand, sont reliés par un cordon. Ils ont sur le ventre un gros bouton qui permet, vrrr…, de se rapprocher d’un seul coup ! Mais les intérêts du petit ne sont pas toujours ceux du grand… Un beau livre sur l'émancipation pour apprendre à grandir et à vivre ensemble.
Le sourire qui mord, 1990. In-12, cartonnage couleurs à l'italienne, dos de toile. Illustrations par Nicole Claveloux. Epuisé depuis belle lurette.
Harlin Quist, 1974. In-8 broché non paginé (32 pages), couverture couleurs. Tout petit accroc au dos.
2e volet des "Grabote", paru comme le précédent chez le premier éditeur de Nicole Claveloux. Dans ce cas, l'album parut d'abord en France, l'édition américaine suivra en 1975. Edition originale donc, fort peu courante.
Le sourire qui mord, collection Les documenteurs, 1985. In-8 à l'italienne, cartonnage illustré. En belle condition.
"Louise XIV (1638-1715). Arrivée au pouvoir en 1661, elle assura la charge des affaires de l'Etat en mélant « l'energie du macaroni cuit à la souplesse du menhir, le tout dans une ambiance d'incertitude permanente ». Nicole Claveloux, sa biographe, nous révèle le véritable portrait d'une reine odieuse, mesquine, tyrannique, pathétique, sournoise, inconsciente et surtout terriblement drôle. Mais tout de même... vivement la Révolution !" - Edition originale en album de ces planches parues en 1981 et 1982 dans Okapi.
Gallimard / Le sourire qui mord, 1995. Grand in-4, cartonnage couleurs, la plupart des pages sont à feuilleter en deux parties, l'une pour l'image, l'autre pour le texte. En belle condition.
Editions des femmes, collection La bibliothèque des voix, sans date (mais à une époque où l'on écoutait des cassettes !). Cassette audio sous emboîtage cartonné illustré.
Sans lieu, , 1715. 2 vol. in-12 de XVII-(1)-642-(6) pp. ; 11-(1)-628 pp., veau fauve glacé, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale posthume établie par Jacques Fouillou et Nicolas Petitpied.« À partir de la campagne des Provinciales (1656-1657), Pierre Nicole (1625-1695) a été le représentant le plus obstiné du petit nombre des jansénistes qui estimaient qu’il leur fallait attester leur conformité au pur thomisme "in materia gratiæ et prædestinationis" pour mieux se défendre de l’accusation d’hérésie. Insensiblement, Nicole s’est converti aux thèses de l’École de saint Thomas, allant même jusqu’à défendre des propositions qui, aux yeux des défenseurs de Jansénius, paraissaient molinistes : d’où son conflit avec Antoine Arnauld aux alentours de 1690 à propos de l’idée d’une grâce générale. (…) les jansénistes Jacques Fouillou (1670-1736) et Nicolas Petitpied (1665-1747) décident d’éditer en deux volumes un Traité de la grâce générale (1715) qui comprend l’ensemble des textes consacrés par Pierre Nicole à la question d’une grâce universelle et en deux autres volumes les écrits d’Antoine Arnauld sur le même sujet. Le public disposait désormais des pièces indispensables à l’examen de la dispute qui avait opposé les deux hommes plus de trois décennies après la campagne des Provinciales, alors que Nicole, qui avait fait un bref séjour bruxellois en 1679 au lendemain de la rupture de la Paix de l’Église, était rentré en France dès 1680 et qu’au contraire, Antoine Arnauld avait enduré l’exil jusqu’à sa mort en 1694. La lecture des textes de Pierre Nicole a provoqué stupeur et consternation chez les tenants les plus effarouchés d’une stricte observance augustinienne. En 1716, le P. Hilarion Monnier (1646-1707), bénédictin de la Congrégation de Saint-Vannes, et le janséniste Jacques-Joseph Duguet (1649-1733) publient une anonyme Réfutation du système de M. Nicole touchant la grâce universelle ; pour sa part, le P. Monnier faisait paraître la même année de critiques Réflexions sur le traité de la grâce générale. Les positions de Nicole avaient apparemment eu le don posthume de susciter l’exaspération d’un parti augustinien particulièrement malmené après la fulmination par le pape Clément XI, le 8 septembre 1713, de la Bulle Unigenitus. Il fallait savoir si l’un des plus proches compagnons d’Arnauld au temps des troubles de Sorbonne avait sur le tard abjuré l’augustinisme pour accepter l’idée d’une grâce suffisante telle que la soutenaient les molinistes » (Sylvio Hermann De Franceschi).Provenance : Catherine-Félicité Arnauld ; ex-libris manuscrit ancien au bas des titre "Arnauld de Torcy" ; Catherine-Félicité Arnauld (1670-1757), fille du ministre des affaires étrangères, Simon Arnauld de Pomponne (1618-1699) et de Catherine Ladvocat (1636-1711). Catherine Félicité épousa avec l'accord du roi, le 2 août 1696, Jean-Baptiste Colbert, marquis de Torcy, l'un des plus remarquables diplomates du règne de Louis XIV. Frédéric Masson, dans l'introduction au Journal inédit de Jean-Baptiste Colbert marquis de Torcy (Paris, Plon, 1884, page XIX) signale : « (...) Madame de Torcy, cette âme nette qui avait rencontré à la Cour, dans un mariage de convenance, un mariage d'amour. Janséniste elle était, et demeura. On en peut fournir pour preuve un modeste livre : le Traité de la fréquente communion de son grand-oncle Arnauld, où elle ne s'est point contentée de signer son nom sur la première page : Arnauld de Torcy, mais où, aux passages qui l'attiraient plus intimement, elle a mis un trait de plume ». Petites taches brunes sur la reliure, petits trous de ver sur le dos au tome II, pâles rousseurs.Sylvio Hermann De Franceschi, « Les Thèses thomistes à l’épreuve du conflit de la grâce générale », Chrétiens et sociétés, 17 | 2011, 9-43.
(Un superbe exemplaire conservé dans une reliure en maroquin rouge à la Duseuil du temps, décoré aux fleurs de lys, probablement destiné à un personnage de la Cour ou du Haut Clergé) NICOLE Pierre. (Chartres 1625 - Paris, 1695) "LA PERPETUITE DE LA FOY DE L'EGLISE CATHOLIQUE TOUCHANT L'EUCHARESTIE, DEFFENDUE CONTRE LE LIVRE DU SIEVR CLAVDE, MINISTRE DE CHARENTON". 1669, Paris, C. Savreux. 3 parties en 1 vol. fort in-4° (264x200 mm) (dimensions pages 253x181 mm) (38) ff. (titre, dédicace, errata, approbations, privilège et préface), 970 pp.; 172 pp.; 86 pp., (6) ff. (tables). Reliure de l'époque en maroquin rouge avec encadrement à la Duseuil. Dos à cinq nerfs avec décor de semis de fleurs de lys doré dans les compartiments; titre en lettres dorées. Coupes ornées et roulette intérieure dorée. Tranches dorées. Papier des gardes décoré. Edition Originale, rare, contenant les trois premières parties, formant un ensemble complet, de l'un des ouvrages principaux de Pierre Nicole. La fin de cet ouvrage fut l'oeuvre d'Eusèbe Renaudot et parut 44 ans plus tard, en 1711 et 1713. Superbe exemplaire, très probablement déstiné à un membre de la Cour ou du haut Clergé, dans une séduisante reliure en maroquin rouge à la Duseuil de l'époque, avec un élégant décor à semis de fleurs de lys sur le dos. Infimes frottements à la reliure et aux mors; trois petits trous de vers aux mors; très petite restauration de papier à l'angle intérieur de la marge supérieure blanche de la page de titre et, sur la même page, une autre petite restauration d'un ancien trou, avec reprise de cinq lettres, sur l'adresse de l'imprimeur. "Pierre Nicole naquit à Chartres où son père, fort lettré, était juge à la Chambre Episcopale. Une santé chétive ne put entraver son ardeur à l'étude. Latiniste consommé, Nicole, qui avait deux tantes religeuses à Port-Royal, se rendit, âgé de 17 ans, à Paris pour se préparer à la prêtrise, mais il ne devait point dépasser les degrés de clerc tonsuré et de bachelier en théologie. Devenu secrétaire, puis l'ami du Grand Arnauld, son destin de professeur, de controversiste et de moraliste se confond avec celui des messieurs de Port-Royal. Son oeuvre sera toute consacrée désormais à la cause janséniste, à ses querelles, à ses polémiques, qui entraîneront au combat le plus pacifique des hommes. Le jansénisme de Nicole est d'ailleurs essentiellement "un jansénisme modéré, non cyranien, parallèle au thomisme" dont la modération même lui valut plus d'un ennui, jusque dans le clan port-royaliste. Ce qui distingue Nicole - en effet - malgré le recours d'une plume parfois acérée - c'est cette tendance où le portait son sens chrétien, comme aussi une modération naturelle, à mitiger le jansénisme. De M.me de Sévigné à Henri Bramons, son profond pessimisme imprégné de douceur chrétienne et le regard si aigu qu'il porte sur les replis insoupçonnés du moi où se terre l'amour-propre, ont trouvé des admirateurs". "Ses oeuvres font de Nicole, dans ses meilleurs pages, un maître de civilité chrétienne dont la réflection suivante donne assez le ton: "L'homme veut se voir parce qu'il est vain. Il évite de se voir parce que, étant vain, il ne peut souffrit la vue de ses défauts et de ses misères". Au cours de ses 8 dernières années, Nicole, sans jamais cesser d'écrire, put connaître enfin cette tranquillité à laquelle il aspirait. Sa correspondance (3 volumes) a été publiée au XVIIIe siècle par son biographe, l'abbé Goujet". (H. Le Breton Grandmaison) Provenance: Etiquette de rangement en papier collé sur le titre. Un cachet humide de bibliothèque jésuite et trois cachets (sur le titre et la page de garde) de bibliothèque de Pères Franciscains. On a retrouvé un seul autre exemplaire, en reliure en maroquin à la Duseuil presque identique (seulement plus petites les fleurs de lys du semis doré au dos), passé sur le marché il y a treize ans (voir Librairie Sourget, cat. XXXIV/2007 n. 39, 13.000,00 euros). (LCPCREL-0004) (7.000,00 Euros) (Tous les livres provenant d'Italie possèdent la licence d'exportation (Attestato di Libera Circolazione) du Ministero dei Beni e Attività Culturali)
(Un superbe exemplaire conservé dans une reliure en maroquin rouge à la Duseuil du temps, décoré aux fleurs de lys, probablement destiné à un personnage de la Cour ou du Haut Clergé) (www.cepays-ci.com)
Genève, Editions du Faubourg, 1939. In-8 broché, couverture illustrée, un peu défraîchie. Illustré de photographies hors-texte en noir.
Hachette jeunesse, 1993. In-8, cartonnage couleurs. En belle condition.
"En 1914, alors que René est à peine adulte, la guerre éclate. Dans les tranchées, il se remémore son enfance, quand il rêvait de devenir aviateur, et, parallèlement, écrit des lettres à sa mère dans lesquelles il raconte son quotidien de poilu. Il parle également des combats aériens, de sa passion pour l'aviation, qui l'aide à tenir le coup... Le texte tout en pudeur de Fred Bernard, qui alterne lettres et souvenirs, évoque avec justesse les destins brisés par la guerre. Les illustrations d'Emile Bravo, en deux ambiances, font le lien entre le monde de l'enfance et celui de la guerre, et apportent la poésie nécessaire pour lire cette histoire."
Bats, Utovie jeunesse, 1999. In-8 broché, couverture illustrée. Impression (texte + illustrations) en vert.
[Genève], Les cahiers de la classe des Beaux-Arts, 1977. Plaquette in-8, couverture de vergé vert orné d'une composition dorée. Illustré de 8 reproductions en noir et de 11 photographies de sculptures de l'artiste.
Gallimard / Le sourire qui mord, 1993. In-12, cartonnage couleurs. En belle condition.
Le sourire qui mord, collection Grands petits livres, 1986. In-8, cartonnage couleurs.
Une histoire muette. . .