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‎XX Siècle. Nouvelle Série. N°39. Décembre 1972. Panorama 72**. Cahiers d'Art publiés sous la direction de G. Di San Lazzaro. Un homme libre : Nicolas de Stael.‎

‎ Société Internationale d'Art XX Siècle, Paris, 1972. Un volume relié (24,5x31 cm) de 156 pp. et 8 pp. de catalogue in fine. Reliure cartonnage d'éditeur illustrée par Nicolas de Stael. Ouvrage en très bon état.Une lithographie originale de Sonia Delaunay. Une lithographie originale de Maurice Estève. ‎

‎Les Contes d'un Buveur de Bière. Dessins originaux. ‎

‎ Éditions Guy Le Prat ( Paris ) / Les Auteurs Associés ( Bruxelles ) 1944. 20 x 14 cm, 214 pp. Broché couverture rempliée, en feuilles non coupé. Sous étui et emboîtage, l'étui est cassé sinon très bel exemplaire. Contes illustrés de 8 magnifiques hors texte en couleurs par Nicolas Eekman, dont le frontispice. Un des 10 exemplaires numérotés hors-commerce sur Nippon Mosmé, réservés aux collaborateurs, avec une suite de décomposition des couleurs soit 80 planches, avec trois dessins originaux et deux "clichés". ‎

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‎Notions élémentaires du nouveau droit civil ou exposé méthodique des dispositions du Code civil pour en faciliter l'intelligence. ‎

‎ A Paris, chez Rodonneau, au Dépôt des Lois, An XII, 1803, An XIII, 1805. 20 x 13 cm, 280-196-304- et xvj-304 pp. Quatre tomes en un volume relié plein veau d'époque, dos lisse, pièce de titre rouge. Reliure usée, épidermures, coins émoussés, une mouillure claire sans gravité sur les premières pages. Sinon bon exemplaire. Ex-libris contrecollé sur le contre plat, de Pierre Culot. Rare. ‎

‎Eustache-Nicolas Pigeau, né le 16 juillet 1750 à Mont-l'Évêque (Oise) et mort le 22 décembre 1818 à Paris, est un jurisconsulte français.Fils d'un artisan, il travaille comme clerc chez un procureur avant de devenir en 1774, avocat au Parlement de Paris. Il devient secrétaire de Marie-Jean Hérault de Séchelles. Il ouvre après la Révolution des cours de droit. Il est nommé par Napoléon Bonaparte membre de la commission chargée de rédiger le Code de procédure civile. En 1805 il est nommé professeur de procédure à l'École de Droit de Paris, poste qu'il conserve jusqu'à sa mort. ‎

‎Soirées bruxelloises. Histoire littéraire de l'année : études critiques et biographiques sur Weustenraad, Walef, Lainez, M. Clesse. ‎

‎ Bruxelles, Libr. Polytechnique d'Aug. Decq, 1854. 16,5 x 11,5 cm, 228 pp. Relié bradel plein papier, étiquette de titre manuscrite. Reliure usée, coins émoussés, petits manques de papier. Provenance : bibliothèque de l'architecte A. Fritz, ex-libris et numéro d'inventaire. ‎

‎Cet ouvrage est l'oeuvre de quatre jeunes écrivains liégeois, Eugène GOFFART, Hyacinthe KUBORN, Nicolas PEETERMANS et A. GILMAN. Pourquoi est-il intitulé Soirées bruxelloises? On ne nous l'apprend pas. Mais en voici le but et le dessein. Les quatre amis se réunissant souvent le soir et causant entr'eux de l'une ou l'autre nouveauté littéraire du pays, regrettoient, disentils, que sa destinée fût de mourir le lendemain. «Ils auroient voulu voir consigner comme dans un registre domestique les succès et les mécomptes de la phalange toujours croissante de nos écrivains, inscrire dans un livre durable les espérances qu'on fondoit sur eux, les conseils ou les cris d'alarme que la critique, sentinelle avancée, leur jetoit de temps à autre au profit de l'art... Alors leur vint l'idée d'analyser le drame, le poème, le roman, que l'année avoit vus éclore, de faire entre eux l'inventaire de toutes ces productions, et d'en dresser comme un bilan à leur usage. » Cependant ils ne vouloient pas se borner au présent; le passé devoit entrer dans cet examen, et il leur sembloit qu'il falloit comparer les productions nouvelles avec celles des temps antérieurs. En conséquence, deux de ces messieurs se chargèrent de faire en quelque sorte revivre le baron de Walef et Lainez, poètes belges du 17° siècle; et les deux autres résolurent de s'occuper des poésies de feu M. Weustenraad et de M. Clesse. ‎

‎Les Oeuvres poétiques françoises de Nicolas Ellain, parisien (1561-1570) publiées par Ach. Genty. ‎

‎ Paris, Librairie Poulet-Malassis, 1861. Un volume broché (12,5 x 16 cm) de 89 pages. Exemplaire quasi non coupé. Quelques rousseurs sur les papiers de doublures des couvertures. Sinon bon exemplaire. Édition à 355 ex. num., celui-ci est un des 145 sur vergé. ‎

‎Le Portrait. Traduction de D. Ergaz. Suivi du Journal d'un fou. Traduction de B. de Schloezer et J. Schiffrin. Ornements de A. Alexeïff. ‎

‎ Paris, Éditions de la Pléiade J. Schiffrin, 1929. 21,5 x 15 cm, 225 pp. Broché, couverture rempliée. Exemplaire non coupé en très bon état. Étiquette ex-libris sur la page de garde. Un des 1550 ex. num. sur vélin du Marais. ‎

‎African Faces, African Figures. The Arman Collection. ‎

‎ Museum for African Art, 1997. 31 x 24 cm, 279 pp. Relié cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée. Bon exemplaire. ‎

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‎Tarass Boulba. Préface de Paul Reboux. Dessins et eaux-fortes de P. Arcangioli. ‎

‎ Sans lieu, Édition d'Art "Les Emeraudes", 1949. 33 x 25 cm, 200 pp. En feuilles, sous couverture rempliée imprimée, sous étui et emboîtage. Étui cassé sinon bon exemplaire. Tirage limité à 400 exemplaires numérotés, celui-ci un des 320 sur vélin de Rives. Les lettrines ont été peintes à la main par P. Arcangioli qui a également exécuté le tirage des 21 eaux-fortes hors-texte (dont le portrait en frontispice) avec sa signature au crayon en marge. ‎

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‎L'arithmétique du Sr Barrême ou livre facile pour apprendre l'arithmétique de soi-même , & sans maître. Nouvelle édition, augmentée de plus de 190 pages. ‎

‎ Rouen, chez Laurent Dumesnil, MDCC. LXXIX. [1779]. 17,5 x 10 cm, 5 ff. 491 pp. et 78 pages non paginées. Nombreuses figures dans le texte. relié plein veau marbré d'époque, dos ànerfs, caissons ornés, pièce de titre, tranches rouges. Légères traces de frottements sinon bel exemplaire. ‎

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‎Le mobilier français du musée Jacquemart-André. ‎

‎ Editions Faton, Mécénat Didier Aaron & Cie, 2006. 30 x 23,5 cm, 262 pp. Relié pleine peau d'éditeur, tête dorée sous étui. Bel exemplaire. Un des 170 ex. num. relié pleine peau. ‎

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‎L'héritage des chasseurs-cueilleurs dans le Nord-Ouest de l'Europe, 10000 - 3000 avant notre ère. ‎

‎ Paris, Errance, 2001. 24 x 16 cm, 207 pages, cartes et figures en noir. Broché, bel exemplaire. Quelques annotations. Envoi autographe signé de l'auteur. ‎

‎Le Néolithique en Europe. ‎

‎ Paris, Armand Colin, 2007. 24 x 16 cm, 380 pp. Broché, quelques annotations sinon bon exemplaire. Quelques annotations.Envoi autographe signé de l'auteur. ‎

‎Loci argumentorum legales, autore D. Nicolao Eueraldo, a middelburgo iv reconsulto magnique Senatus Belgici apud Mechlimiam praeside. Ab eodem ita recogniti & locupletati, ut opus novum videri pofsit. Cum repertorio Caeteris ampliore, alphabetico ordine edite. ‎

‎ Venetiis, Apud Ioan. Baptist Somascum, M. D. LXIIII [1564]. 16 x 10,5 cm, 9 ff. non ch., 324 pp., 17 ff. non ch. Relié pleine peau de truie plats en ais de bois, plats à décor estampé, dos à nerfs, titre manuscrit. Reliure légèrement usée et très poussiéreuses sinon bel exemplaire dans une reliure d'époque. De nombreuses annotations manuscrites d'époque. L'original est paru en 1552. Il s'agit d'un Traité d'argumentations juridiques par Everaerts (1462-1532) juriste, humaniste, écrivain néo-latin néerlandais natif de Grijpskerke ou Middebourg sur l'île de Walcheren. Président du conseil de Hollande et du grand conseil à Malines, il fut ami d'Erasme. ‎

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‎Tableau de l'amour conjugal. Nouvelle édition, ornée de 16 gravures h.-t. ‎

‎ Bruxelles, en vente chez tous les libraires, 1870. 15 x 10 cm, 4 tomes reliés en 1 vol., demi-chagrin cerise (coupes frottées). Qqs rouss. claires.sinon bon exemplaire. "Best-seller" du médecin sexologue français, ici dans une édition peu courante, inconnue à Pia, Dutel, Gay. Complet des 16 figures hors-texte. ‎

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‎Les Jésuites chassés de la maçonnerie, et leur poignard brisé par les maçons. ‎

‎ Les Rouyat, 1979. Reprint de l'édition de 1788. 17 x 12 cm, 136 pp. Broché, bon état. ‎

‎Conversations avec Anatole France ou Mélancolies de l'intelligence. ‎

‎ Paris, Eugène Fasquelle, Bibliothèque Charpentier, 1925. Un volume relié (19 x 12,5 cm) de 204 pages. Reliure demi-chagrin brun, dos à faux-nerfs orné, fleurons et roses rouges mosaïquées, tête dorée, couverture conservée. Bon état. ‎

‎Oeuvres. ‎

‎ Paris, L. de Bure, 1823. Deux volumes in-18 (7,5 x 12 cm) de de (2) ff., VIII, 232 pages - (2) ff., 218 pages. Reliure romantique plein veau bleu marine glacé, double filet et fleurons d'angle dorés en encadrement sur les plats, dos lisses ornés de caissons à palmettes dorés, coupes et bordures décorées, tranches dorées. Très bel exemplaire. Belle édition romantique de Boileau. Portrait gravé de l'auteur en frontispice. Le premier tome contient une notice sur Boileau, le Discours au roi, les Satires et les Epîtres ; le second, L'Art poétique, Le Lutrin, les Odes, Épigrammes et Poésies diverses. ‎

‎Mémoires sur la Bastille.‎

‎ Londres, de l'imprimerie de Thomas Spilsbury & se trouve à Bruxelles, chez B. Le Francq, MDCCLXXXIII [1783]. Un volume broché (14,5 x 23 cm) de [2 bl.]-iv-160-[2 bl.] p., [1] f. de pl. en frontispice. Couverture papier bleu, titre imprimé sur le premier plat. Manques au dos, le papier a uniformément bruni, sinon bon état général. Exemplaire bien complet du frontispice gravé d'après Spilfourg, avec la sentence "Soyez libres : vivez" dans la planche. ‎

‎Édition originale de ce pamphlet contre la Bastille. Publiciste révolté, Linguet s'attaquait dans des pamphlets ou dans son journal Annales politiques civiles et littéraires, aux Philosophes, à l'Académie, et même au pain de blé qui « tient trop de place dans l'alimentation des français ». Ces récriminations et ces mises en cause hardies le conduisirent à la Bastille en 1780 à la suite d'une lettre de cachet. Il y resta près de deux ans. Quand il en sortit, il en jura la perte, et écrivit « ces fameux Mémoires sur la Bastille, qui ont été comme un premier coup de pioche, et qui font de Linguet le véritable démolisseur de cette prison d'état » (Monselet). Effectivement la Bastille tomba précisément le jour de son 53ème anniversaire. Linguet était né le 14 juillet ( ! ) 1736 à Reims. Il fut guillotiné à Paris, le 27 juin 1794. Curieux frontispice, représentant la statue de Louis XVI tendant les mains vers les prisonniers qu'il vient de libérer, à l'emplacement de la Bastille en ruines. Quérard V, 317 ; Cioranescu, 40579 ; Monselet (Oubliés et Dédaignés) I, pp :4 à 49.- ‎

‎Les oeuvres. Avec des éclaircissements historiques. ‎

‎ Paris, Vve Alix, 1740. Deux volumes petit in-folio (22,5 x 29 cm) de LXX-470 et VIII-567 pages. Reliures plein veau d'époque, dos à nerfs ornés, pièces de titre et de tomaison rouges. Un des quelques exemplaires de format petit in-folio. Reliure usée mais encore solide, coins émoussés, mors légèrement fendus, coiffes usées. Intérieur en bel état. Manque le portrait en frontispice. Très belle édition illustrée : 1 fleuron qui sert aux titres, 6 figures hors-texte dessinées et gravées par Cochin entourées d'un cadre historié, 7 vignettes par Trémollières gravées par Ravenet, 38 culs-de-lampe, 6 lettres ornées et 1 fleuron à écusson en tête de la préface. Outre l'existence de quelques exemplaires de format petit in-folio, Cohen (167-168) précise que tous les exemplaires ne possèdent pas les 6 figures de Cochin pour la pièce Le Lutrin, et que le cadre qui les entoure a disparu dans l'édition de 1747. Ce qui donne de l'intérêt à cette belle édition, c'est que l'orthographe de Boileau n'a pas été modernisée, comme dans toutes les autres. Cioranescu 12735, Brunet I-1059 : édition revue et corrigée par l'abbé J.-B. Souchay, les commentaires sont extraits de ceux de Brossette, première édition où l'on ait réuni le Bolaeana de Lesme de Montchesnay. ‎

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‎Chansons et poésies lyriques. Illustrations de Aug. Donnay et Arm. Rassenfosse‎

‎ Liège, Aug. Bénard, 1895. Un volume broché (11 x 17,5 cm) de 243 pages. très beaux bandeaux de Donnay et Rassenfosse. Couverture illustrée. Dos absent, couverture désolidarisée, intérieur en bon état. Exemplaire à relier. ‎

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‎Le Comte de Gabalis ou Entretiens sur les Sciences Secrètes.Précédé de : "Le Roman de Montfaucon de Villars" et l'histoire de " La Rôtisserie de la Reine Pédauque " par René-Louis Doyon et L'ésotérisme de Gabalis par Paul Marteau.‎

‎ Paris, Éditions « La Connaissance » « Les Documents Esotériques »,1921.Un volume broché (13 x 19,5 cm) de LXIII+ 260 pages. Couverture légèrement usée sinon exemplaire en bon état.Ouvrage tiré à 500 exemplaires numérotés, un des 450 sur vergé de pur fil lafuma.Cet ouvrage fut publié pour la première fois en 1670. Dans cette réimpression, René-Louis Doyon a traité la partie historique et littéraire et Paul Marteau la partie ésotérique.L'auteur sous prétexte de les condamner, dévoile les mystères de la Cabale et des Rose-Croix. " C'est un des traités consultés le plus souvent sur la Kabbale. Les révélations que l'auteur y donnent lui valurent sa mort ; il fut retrouvé poignardé aux environs de Lyon. "(Caillet, III, 131). ‎

‎[Amsterdam - Scène dactivité maritime / Maritime scene].‎

‎s.l.n.d. [Amsterdam, juillet 1767]. 1767 1 feuille de papier vergé 18éme (145 x 215 mm). Dessin à l'encre et lavis d'encre en 3 tons (noir, bleu, sépia). Cadre en bois doré. Etiquette d'exposition au revers "Ozanne".‎

‎Beau lavis d'encre en 3 tons, finement exécuté, représentant un quartier dAmsterdam, uvre non signée attribuable à Nicolas Ozanne, exécutée lors de son escale de juillet 1767 à bord de la corvette « Laurore ». Placé face à lintersection de deux voies de navigation, lartiste a représenté au premier plan deux marins en habits de pêche, à bord d'une petite embarcation, accostant un pieu d'amarrage. Sur la gauche, des " tjalks " ( navires fluviaux aux formes arrondies à l'avant et à l'arrière) sont stationnés au pied dune rangée de bâtiments bordant un canal. Les façades sont typiques des étroites maisons à étages de la cité, avec leur potence en bois fixée au faîte permettant le chargement des marchandises dans les greniers. Au pied des maisons, des marins circulent sur des passerelles de bois sur pilotis donnant accès aux bateaux. Au fond, au-dessus des toits, on distingue à peine la silhouette du clocher de la " Westerkerk ". Édifice caractéristique par sa structure pyramidale à étages qui demeure lun des points de repère de la ville dAmsterdam depuis sa construction achevée en 1631. Au centre, une chaloupe manuvrée à 4 avirons s'engage dans le canal aux eaux tranquilles. Sur la droite, un navire arborant le pavillon des Pays-Bas est accosté le long d'un quai de bois. À terre, des dockers actionnent une machine de charge constituée d'une poutre horizontale pivotant sur un mât central et équipée de poulies et d'une roue à rayons. Daprès nos recherches, le quartier de la ville qui correspond le mieux à ce dessin est lintersection de la rivière Amstel avec le canal Zwanenburgwal. (Position du clocher, largeur du canal, habitations sur la gauche, quai dégagé sur la droite, architecture des maisons subsistant). Le papier vergé utilisé est datable de la seconde moitié du 18éme siècle. Travaillant en 3 tons (encres noire, bleue et sépia), lartiste a saisi chaque détail de cette scène dactivité portuaire avec un il de marin, proportionnant avec exactitude chaque élément de la dizaine de navires et embarcations représentés. En bas à gauche subsiste les traces dune signature ou légende devenues illisibles. Cependant, le sujet, le souci du moindre détail (forme des coques, gréements, accastillage) ainsi que les encres utilisées et le style typique permettent didentifier un travail de Nicolas Ozanne (1728-1811), célèbre avec son frère Pierre pour leur uvre maritime et les "60 vues des ports de France" (1775) réalisées à la demande du roi. C'est à bord de la corvette l'Aurore que que Nicolas Ozanne séjourne à Amsterdam du 11 au 22 juillet 1767. Cette corvette, construite sous le contrôle de Nicolas, est armée par François-César Le Tellier de Courtanvaux (1718-1781) pour une mission dexpérimentation des montres marines destinées au calcul de la longitude, expédition en mer du Nord du 12 mai au 1er septembre 1767. A notre connaissance, aucune représentation de la célèbre cité hollandaise par Nicolas Ozanne nest connue à ce jour. Cependant, parmi les gravures de navires publiées par Pierre Ozanne figurent des navires hollandais. 1 laid paper sheet (145 x 215 mm). Ink and wash drawing with 3 tones (black, blue and sepia). Beautiful, finely executed 3-tone ink wash depicting a neighborhood in Amsterdam, an unsigned work attributable to Nicolas Ozanne, executed during his July 1767 stopover aboard the corvette L'aurore. Facing the intersection of two shipping lanes, the artist depicted two sailors in fishing gear in the foreground, aboard a small boat docking at a mooring stake. On the left, tjalks (river vessels with rounded bow and stern) are parked at the foot of a row of buildings lining a canal. The facades are typical of the city's narrow, multi-storey houses, with their wooden gallows fixed to the ridge so that goods can be loaded into the attics. At the foot of the houses, sailors walk on wooden gangways on stilts to access the boats. In the background, above the roofs, the silhouette of the Westerkerk bell tower can barely be made out. This distinctive pyramid-shaped, multi-storey building has been one of Amsterdam's landmarks since it was completed in 1631. In the center, a rowboat maneuvered with 4 oars enters the calm waters of the canal. On the right, a ship flying the Dutch flag is moored alongside a wooden quay. Ashore, dockworkers operate a loading machine consisting of a horizontal beam pivoting on a central mast and equipped with pulleys and a spoked wheel. According to our research, the area of the city that best corresponds to this drawing is the intersection of the Amstel River and the Zwanenburgwal canal (position of the bell tower, width of the canal, houses on the left, open quay on the right, architecture of the remaining houses...). The laid paper used dates from the second half of the 18th century. Working in 3 tones (black, blue and sepia inks), the artist has captured every detail of this scene of port activity with a seafarer's eye, accurately proportioning each element of the dozen or so ships and boats depicted. In the lower left-hand corner, traces of a signature or caption remain, no longer legible. However, the subject, the attention to detail (hull shapes, rigging, fittings, etc.), the inks used and the typical style all point to a work by Nicolas Ozanne (1728-1811), famous with his brother Pierre for their maritime work and the 60 vues des ports de France (1775) commissioned by the King. It was aboard the corvette l'Aurore that Nicolas Ozanne stayed in Amsterdam from July 11 to 22, 1767. This corvette, built under Nicolas' supervision, was armed by François-César Le Tellier de Courtanvaux (1718-1781) for a mission to test marine watches designed to calculate longitude, an expedition to the North Sea from May 12 to September 1, 1767. To the best of our knowledge, there are no known images of the famous Dutch city by Nicolas Ozanne. However, among the ship engravings published by Pierre Ozanne are Dutch ships.‎

‎Liste des Grands Vins Fins Nicolas. Collection complète 1927-1973.‎

‎Montrouge Imprimerie Draeger 1927-1973 Ensemble complet de 36 listes de prix illustrées des Établissements Nicolas. Montrouge, Imprimerie Draeger, 1927-1973, in-8 et in-4, brochés ou spiralés. Prestigieuse publication illustrée en couleurs par les meilleurs artistes de cette période. ‎

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‎Rare et exceptionnelle collection complète des catalogues de prix Nicolas illustrés et publiés entre 1927 et 1973. Prestigieuses publications Draeger illustrées en couleurs par les meilleurs artistes de l'époque.- 1927 (Dransy, cachets "Documentation" archive Draeger sur la couverture et sur la page de titre), 1928 (Loupot), 1929 (Dransy), 1930 (Iribe), 1931 (Cassandre), 1932 (Edy-Legrand), 1933 (Jean Hugo), 1934 (Latour), 1935 (Darcy), 1936 (Cassandre), 1938 (Galanis), 1939 (Erickson), 1949 (Dignimont), 1950 (Arada), 1951 (Berthommé Saint-André), 1952 (Brunhoff), 1953 (GISCHIA), 1954 (Van Dongen), 1955 (Marchand), 1956 (Oudot), 1957 (Terechkovitch), 1958 (Limouse), 1959 (Caillard), 1960 (Humblot), 1961 (Rohner), 1962 (Minaux), 1963 (Buffet), 1964 (Schurr), 1965 (Chapelain-Midy), 1966 (Guiramand), 1967 (Savin), 1969 (Loriou), 1970 (Ghiglion-Green), 1971 (Sarthou), 1972 (Derain), 1973 (Guerrier).Typographie et mise en page dAlfred Latour de 1951 à 1965 remplacé à sa mort par son fils Jean, en 1966.Nous joignons 5 éditions publicitaires Nicolas-Draeger diverses dont le programme de l'Opéra-Nicolas, 1934 (Georges Scott), les voeux Nicolas Kina Rok (1948), un livret Nicolas et deux livrets "l'Art de Boire". Bel état général, malgré quelques usures, marques et infimes restaurations. Collection Draeger. ‎

‎Les Augustes représentations de tous les roys de France depuis Pharamond, jusqu'à Louys XIIII dit le grand A Present Regnant. Avec un Abrege Historique Sous Chacun, Contenant Leurs Naissances, Inclinations, Et Actions plus Remarquables Pendant Leurs Regnes.‎

‎Paris, chez N. De Larmessin, 1688. In-4 de 1 titre gravé et 68 portraits, basane brune, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches mouchetées (reliure de l'époque). ‎

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‎Recueil de portraits gravés par Nicolas de Larmessin précédés du titre gravé à la date de 1688.A la suite des 63 premiers portraits numérotés sont reliés 5 portraits par le même graveur : Louis XIV, Louis Dauphin de France, Louis de France Duc de Bourgogne, Philippe de France Duc d'Anjou, Charles de France Duc de Berry, Nicolas II de Larmessin, dit l'Ancien (1632 -1694), membre de l'une des plus illustres familles de graveurs français du XVIIe et du XVIIIe siècle, était le fils du libraire Nicolas I et de Jeanne Michon. « L'oeuvre de Nicolas II est confondu avec celle de son jeune frère Nicolas III (...) D'ailleurs il n'y a pas de doute possible pour les estampes portant l'adresse de leur auteur ; Nicolas II, l'aîné, demeurait rue Saint-Jacques à l'enseigne de La Pomme d'Or, tandis que son cadet, Nicolas III, habitait la même rue à l'enseigne du Lion Ferré » (Bénézit).Toutes les planches portent l'adresse de Pierre Bertrand, à défaut des sept dernières à l'adresse de son gendre Nicolas de Larmessin.Provenance : Marquise d'Agoult (ex-libris manuscrit), inspiratrice de Choderlos de Laclos pour le personnage de Mme de Merteuil dans les Liaisons dangereuses. ‎

‎Lettres à Pierre Lecuire.‎

‎Paris, Pierre Lecuire, 1966. In-4 (379 x 264 mm), 80 ff. n. ch., couverture rempliée, illustrée sur le premier plat d'une lithographie de N. de Staël, chemise, avec nom de l'auteur en pied, et étui cartonnés recouverts de papier bleu, auteur en pied, dos de la chemise et étui passés, une partie de l'étui est cassée (cartonnage de l'éditeur). ‎

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‎Édition originale des lettres de Nicolas de Staël à Pierre Lecuire. Cette édition contient cent lettres de Nicolas de Staël, publiées pour la première fois. Ces lettres représentent la totalité de la correspondance du peintre avec l'écrivain Pierre Lecuire. Une lithographie originale et inédite de Nicolas de Staël. La lithographie en couleurs sur la couverture de cet ouvrage reproduit un projet original inédit en papier collé de Nicolas de Staël, que le peintre destinait à une couverture de livres. Cet ouvrage a été tiré à 225 exemplaires. Celui-ci est un des 200 sur grand vélin de Mandeure, après 25 sur papier d'Auvergne. Une amitié exigeante. Nicolas de Staël, né le 5janvier1914 à Saint-Pétersbourg, mort le 16mars1955 à Antibes, est un peintre français originaire de Russie. Sa carrière s'étale sur quinze ans — de 1940 à 1955 —, à travers plus d'un millier d'œuvres, dans une violence de création et une passion rares, et une peinture en constante évolution. Des couleurs sombres de ses débuts, elle aboutit à l'exaltation de la couleur. Refusant les étiquettes et les courants, tout comme Georges Braque qu'il admire, il travaille avec acharnement, détruisant autant d’œuvres qu'il en réalise. Nicolas de Staël meurt en se jetant par la fenêtre de son atelier d'Antibes. Le poète français Pierre Lecuire représente un cas unique dans la création littéraire contemporaine. Il composa et édita lui-même ses livres, travaillant avec des artistes choisis par lui, des typographes, taille-douciers, papetiers. " Je ne fais pas mes livres pour abriter, cacher mes poèmes. Ce ne sont ni mes alibis, ni mes retraites. Ils sont l'expression dernière, monumentale, achevée du Poème. " La rencontre de Nicolas de Staël et de Pierre Lecuire en mars 1945 à Paris fut déterminante pour l'œuvre du jeune poète à la recherche d'une forme d'expression personnelle. De cette exigeante amitié témoignent ces lettres adressées par Nicolas de Staël à Pierre Lecuire. Bel exemplaire. ‎