1967 Librairie Philosophique J. Vrin 1976 ....1 volume . broché, format in 8, Couverture bon . dos bon . Intérieur bien , 477 .1 volume ., Couverture bon . dos bon . Intérieur bien , 229 pages. Bon exemplaire parfait état
Collection Bibliothèque des textes philosophiques.
1974 STOCK. 1974. format In-12 . Broché. Bon état. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Intérieur frais. 287 pages. bon état
1910 1910. Marseille Ruat 1910. format In-8 2 feuillets non chiffrés 6-379pp 2 feuillets non chiffrés. broché un des 75 exemplaires ( VII ) bon etat général .ph.a.i.
1 tableau à pleine page "main d'oeuvre à l'usine de Rassuen" (genre de travail, prix de la journée, employeur). Bel exemplaire en bon état, complet du texte et du tableau. Intéressant document sur le droit coutumier encore en vigueur dans les Bouches-du-Rhône au début du XXe siècle: exploitation de carrières, servitude des cours d'eau, louage des domestiques, louage des nourrices, louage des ouvriers, pêche des varech et nombreux autres sujets. Les pages 325 à 332 présentent les anciens poids et mesures de la région, comparés au système métrique.
1835 Valence, chez Borel imprimeur. A Paris chez Firmin Didot, Imprimeur-libraire, 1835, in-4,-696 pages ., 7 planches lithographiés (chateau de Grignan, Valence, etc.), 2 cartes dépliantes dont 1 en couleurs, (belle vue de Valence) bien complet de la planche de musique, chant populaire,, légères rousseurs sur quelques feuillets ; demi basan vert Histoire, topographie des anciens peuples et du passage d'hannibal dans le département, population, agriculture, commerce, industrie, (templiers - vaudois et albigeois - muriers - vers à soie - truffes -distillateurs - minéralogie, etc.), important dictionnaire des communes (256 pages): description et état politique. ouvrage en bon etat
s.l.n.d. [Amsterdam, juillet 1767]. 1767 1 feuille de papier vergé 18éme (145 x 215 mm). Dessin à l'encre et lavis d'encre en 3 tons (noir, bleu, sépia). Cadre en bois doré. Etiquette d'exposition au revers "Ozanne".
Beau lavis d'encre en 3 tons, finement exécuté, représentant un quartier dAmsterdam, uvre non signée attribuable à Nicolas Ozanne, exécutée lors de son escale de juillet 1767 à bord de la corvette « Laurore ». Placé face à lintersection de deux voies de navigation, lartiste a représenté au premier plan deux marins en habits de pêche, à bord d'une petite embarcation, accostant un pieu d'amarrage. Sur la gauche, des " tjalks " ( navires fluviaux aux formes arrondies à l'avant et à l'arrière) sont stationnés au pied dune rangée de bâtiments bordant un canal. Les façades sont typiques des étroites maisons à étages de la cité, avec leur potence en bois fixée au faîte permettant le chargement des marchandises dans les greniers. Au pied des maisons, des marins circulent sur des passerelles de bois sur pilotis donnant accès aux bateaux. Au fond, au-dessus des toits, on distingue à peine la silhouette du clocher de la " Westerkerk ". Édifice caractéristique par sa structure pyramidale à étages qui demeure lun des points de repère de la ville dAmsterdam depuis sa construction achevée en 1631. Au centre, une chaloupe manuvrée à 4 avirons s'engage dans le canal aux eaux tranquilles. Sur la droite, un navire arborant le pavillon des Pays-Bas est accosté le long d'un quai de bois. À terre, des dockers actionnent une machine de charge constituée d'une poutre horizontale pivotant sur un mât central et équipée de poulies et d'une roue à rayons. Daprès nos recherches, le quartier de la ville qui correspond le mieux à ce dessin est lintersection de la rivière Amstel avec le canal Zwanenburgwal. (Position du clocher, largeur du canal, habitations sur la gauche, quai dégagé sur la droite, architecture des maisons subsistant). Le papier vergé utilisé est datable de la seconde moitié du 18éme siècle. Travaillant en 3 tons (encres noire, bleue et sépia), lartiste a saisi chaque détail de cette scène dactivité portuaire avec un il de marin, proportionnant avec exactitude chaque élément de la dizaine de navires et embarcations représentés. En bas à gauche subsiste les traces dune signature ou légende devenues illisibles. Cependant, le sujet, le souci du moindre détail (forme des coques, gréements, accastillage) ainsi que les encres utilisées et le style typique permettent didentifier un travail de Nicolas Ozanne (1728-1811), célèbre avec son frère Pierre pour leur uvre maritime et les "60 vues des ports de France" (1775) réalisées à la demande du roi. C'est à bord de la corvette l'Aurore que que Nicolas Ozanne séjourne à Amsterdam du 11 au 22 juillet 1767. Cette corvette, construite sous le contrôle de Nicolas, est armée par François-César Le Tellier de Courtanvaux (1718-1781) pour une mission dexpérimentation des montres marines destinées au calcul de la longitude, expédition en mer du Nord du 12 mai au 1er septembre 1767. A notre connaissance, aucune représentation de la célèbre cité hollandaise par Nicolas Ozanne nest connue à ce jour. Cependant, parmi les gravures de navires publiées par Pierre Ozanne figurent des navires hollandais. 1 laid paper sheet (145 x 215 mm). Ink and wash drawing with 3 tones (black, blue and sepia). Beautiful, finely executed 3-tone ink wash depicting a neighborhood in Amsterdam, an unsigned work attributable to Nicolas Ozanne, executed during his July 1767 stopover aboard the corvette L'aurore. Facing the intersection of two shipping lanes, the artist depicted two sailors in fishing gear in the foreground, aboard a small boat docking at a mooring stake. On the left, tjalks (river vessels with rounded bow and stern) are parked at the foot of a row of buildings lining a canal. The facades are typical of the city's narrow, multi-storey houses, with their wooden gallows fixed to the ridge so that goods can be loaded into the attics. At the foot of the houses, sailors walk on wooden gangways on stilts to access the boats. In the background, above the roofs, the silhouette of the Westerkerk bell tower can barely be made out. This distinctive pyramid-shaped, multi-storey building has been one of Amsterdam's landmarks since it was completed in 1631. In the center, a rowboat maneuvered with 4 oars enters the calm waters of the canal. On the right, a ship flying the Dutch flag is moored alongside a wooden quay. Ashore, dockworkers operate a loading machine consisting of a horizontal beam pivoting on a central mast and equipped with pulleys and a spoked wheel. According to our research, the area of the city that best corresponds to this drawing is the intersection of the Amstel River and the Zwanenburgwal canal (position of the bell tower, width of the canal, houses on the left, open quay on the right, architecture of the remaining houses...). The laid paper used dates from the second half of the 18th century. Working in 3 tones (black, blue and sepia inks), the artist has captured every detail of this scene of port activity with a seafarer's eye, accurately proportioning each element of the dozen or so ships and boats depicted. In the lower left-hand corner, traces of a signature or caption remain, no longer legible. However, the subject, the attention to detail (hull shapes, rigging, fittings, etc.), the inks used and the typical style all point to a work by Nicolas Ozanne (1728-1811), famous with his brother Pierre for their maritime work and the 60 vues des ports de France (1775) commissioned by the King. It was aboard the corvette l'Aurore that Nicolas Ozanne stayed in Amsterdam from July 11 to 22, 1767. This corvette, built under Nicolas' supervision, was armed by François-César Le Tellier de Courtanvaux (1718-1781) for a mission to test marine watches designed to calculate longitude, an expedition to the North Sea from May 12 to September 1, 1767. To the best of our knowledge, there are no known images of the famous Dutch city by Nicolas Ozanne. However, among the ship engravings published by Pierre Ozanne are Dutch ships.
Phone number : 06 81 35 73 35
NICOLAS-VINS. LOUPOT, BRUNHOFF, BUFFET, CASSANDRE, DERAIN, DRANSY, HUGO, IRIBE, VAN DONGEN ...
Reference : 24102
(1927)
Montrouge Imprimerie Draeger 1927-1973 Ensemble complet de 36 listes de prix illustrées des Établissements Nicolas. Montrouge, Imprimerie Draeger, 1927-1973, in-8 et in-4, brochés ou spiralés. Prestigieuse publication illustrée en couleurs par les meilleurs artistes de cette période.
Rare et exceptionnelle collection complète des catalogues de prix Nicolas illustrés et publiés entre 1927 et 1973. Prestigieuses publications Draeger illustrées en couleurs par les meilleurs artistes de l'époque.- 1927 (Dransy, cachets "Documentation" archive Draeger sur la couverture et sur la page de titre), 1928 (Loupot), 1929 (Dransy), 1930 (Iribe), 1931 (Cassandre), 1932 (Edy-Legrand), 1933 (Jean Hugo), 1934 (Latour), 1935 (Darcy), 1936 (Cassandre), 1938 (Galanis), 1939 (Erickson), 1949 (Dignimont), 1950 (Arada), 1951 (Berthommé Saint-André), 1952 (Brunhoff), 1953 (GISCHIA), 1954 (Van Dongen), 1955 (Marchand), 1956 (Oudot), 1957 (Terechkovitch), 1958 (Limouse), 1959 (Caillard), 1960 (Humblot), 1961 (Rohner), 1962 (Minaux), 1963 (Buffet), 1964 (Schurr), 1965 (Chapelain-Midy), 1966 (Guiramand), 1967 (Savin), 1969 (Loriou), 1970 (Ghiglion-Green), 1971 (Sarthou), 1972 (Derain), 1973 (Guerrier).Typographie et mise en page dAlfred Latour de 1951 à 1965 remplacé à sa mort par son fils Jean, en 1966.Nous joignons 5 éditions publicitaires Nicolas-Draeger diverses dont le programme de l'Opéra-Nicolas, 1934 (Georges Scott), les voeux Nicolas Kina Rok (1948), un livret Nicolas et deux livrets "l'Art de Boire". Bel état général, malgré quelques usures, marques et infimes restaurations. Collection Draeger.
Paris, Pierre Lecuire, 1966. In-4 (379 x 264 mm), 80 ff. n. ch., couverture rempliée, illustrée sur le premier plat d'une lithographie de N. de Staël, chemise, avec nom de l'auteur en pied, et étui cartonnés recouverts de papier bleu, auteur en pied, dos de la chemise et étui passés, une partie de l'étui est cassée (cartonnage de l'éditeur).
Édition originale des lettres de Nicolas de Staël à Pierre Lecuire. Cette édition contient cent lettres de Nicolas de Staël, publiées pour la première fois. Ces lettres représentent la totalité de la correspondance du peintre avec l'écrivain Pierre Lecuire. Une lithographie originale et inédite de Nicolas de Staël. La lithographie en couleurs sur la couverture de cet ouvrage reproduit un projet original inédit en papier collé de Nicolas de Staël, que le peintre destinait à une couverture de livres. Cet ouvrage a été tiré à 225 exemplaires. Celui-ci est un des 200 sur grand vélin de Mandeure, après 25 sur papier d'Auvergne. Une amitié exigeante. Nicolas de Staël, né le 5janvier1914 à Saint-Pétersbourg, mort le 16mars1955 à Antibes, est un peintre français originaire de Russie. Sa carrière s'étale sur quinze ans — de 1940 à 1955 —, à travers plus d'un millier d'œuvres, dans une violence de création et une passion rares, et une peinture en constante évolution. Des couleurs sombres de ses débuts, elle aboutit à l'exaltation de la couleur. Refusant les étiquettes et les courants, tout comme Georges Braque qu'il admire, il travaille avec acharnement, détruisant autant d’œuvres qu'il en réalise. Nicolas de Staël meurt en se jetant par la fenêtre de son atelier d'Antibes. Le poète français Pierre Lecuire représente un cas unique dans la création littéraire contemporaine. Il composa et édita lui-même ses livres, travaillant avec des artistes choisis par lui, des typographes, taille-douciers, papetiers. " Je ne fais pas mes livres pour abriter, cacher mes poèmes. Ce ne sont ni mes alibis, ni mes retraites. Ils sont l'expression dernière, monumentale, achevée du Poème. " La rencontre de Nicolas de Staël et de Pierre Lecuire en mars 1945 à Paris fut déterminante pour l'œuvre du jeune poète à la recherche d'une forme d'expression personnelle. De cette exigeante amitié témoignent ces lettres adressées par Nicolas de Staël à Pierre Lecuire. Bel exemplaire.
1934 Etablissements Nicolas Paris Draeger Frères 1934 Catalogue éditeur in-4. Reliure "plastic".30 pages.Couverture rempliée illustrée.Ouvrage illustré de bois en couleurs d'Alfred Latour.Liste des grands vins fins 1934.Bel exemplaire.
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris produit par Eric Losfeld. 1967. In-4°. (112) p. Reliure pleine toile, jaquette illustrée.
Edition originale. - Jaquette légèrement froissée. Sans loupe.
BLANC (Charles) - Jean et François Clouet, Martin Fréminet , Simon Vouet, Nicolas Poussin, Philippe de Champagne, Louis et Henri Testelin, Sébastien Bourdon, Noël Coypel, Claude Lefèvre, Charles De Lafosse, Francisque Millet, Louis de Boullongne, Claude Gillot, Jean Raoux, Antoine Watteau, François Lemoyne, Nicolas Lancret, Jean Restout, Jean-Baptiste Pater, Etienne Jeaurat, Siméon Chardin, Charles Natoire, Maurice Quentin De Latour, Marie-Joseph Vien, Les Lagrenée, Jean-François Bachelier, Jean-Baptiste Le Prince, Jean-Germain Drouais, PIerre Guérin, Xavier Sigalon, Nicolas-Toussaint Charlet .
Reference : 45354
Paris : Henri Laurens, sans date (ca 1900). Un fort volume pleine percaline ornée de motifs art nouveau en deux tons (reliure de l'éditeur). Ce volume abondamment illustré de gravures, comprend des études de Jean et François Clouet, Martin Fréminet , Simon Vouet, Nicolas Poussin, Philippe de Champagne, Louis et Henri Testelin, Sébastien Bourdon, Noël Coypel, Claude Lefèvre, Charles De Lafosse, Francisque Millet, Louis de Boullongne, Claude Gillot, Jean Raoux, Antoine Watteau, François Lemoyne, Nicolas Lancret, Jean Restout, Jean-Baptiste Pater, Etienne Jeaurat, Siméon Chardin, Charles Natoire, Maurice Quentin De Latour, Marie-Joseph Vien, Les Lagrenée, Jean-François Bachelier, Jean-Baptiste Le Prince, Jean-Germain Drouais, PIerre Guérin, Xavier Sigalon, Nicolas-Toussaint Charlet .
Historien de l’art, théoricien, professeur, directeur de revue, directeur de collections, Charles blanc (1813-1882) fut de 1878 à 1881, professeur au Collège de France, titulaire de la chaire d’esthétique et d’histoire de l’art. Charles Blanc est l'inventeur de la première histoire de l’art illustrée, qu'il débute en 1848.
1935 Montrouge, Draeger, 1935, - gr. in-8°, 48 p., pages richement rehaussées de motifs en couleurs, spiralé, belle couverture gauffré et illustrée en couleurs, bel exemplaire. Catalogue de vente de grands crus français distribués par la maison Nicolas. Contient la liste des vins les plus prestigieux avec leurs prix (Château Yquem, etc.). Très finement illustré par A.M. Cassandre et avec une très belle mise en page cette publication charmera autant le bibliophile que l'oenologue.Voir: H. Mouron, A.M. Cassandre (1985) p. 103 et illustr. 222-224.
Très finement illustré par A.M. Cassandre et avec une très belle mise en page cette publication charmera autant le bibliophile que l'oenologue.Voir: H. Mouron, A.M. Cassandre (1985) p. 103 et illustr. 222-224.Large 8vo. 50 pp. including pochoir plates by A.M. Cassandre.Trade catalogue from wine merchants Nicolas SA, Paris, designed by A.M. Cassandre.Publisher's plastic ringbinder, printed stiff wrappers. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1931 Montrouge, Draeger,1931. - 29/24 cm, 31 pp. Reliure spirale plastique , premier plat papier grauffré noir formant encadrement sur un hors-texte en couleurs. Catalogue de vente de grands crus français distribués par la maison Nicolas. Contient la liste des vins les plus prestigieux avec leurs prix (Château Yquem, etc.). Richement illustré en couleurs dans le texte et à pleine page de 6 planches dessinées par Edy Legrand en lithographies ? couleur.
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
VIEILLES MAISONS FRANCAISES. OCT 1997. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 115 pages. Nombreuses photos en couleur et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 720-Architecture
Sommaire : Éditorial : « Préparer ensemble l’avenir »- Nicolas RousseauAvant-propos- par le président du Conseil généralLes quatre temps de Meslay Charles de Boisfleury.La France restaurée..Prix de sauvegarde VMF 1997.Un jardin roman en Saintonge Didier Moulin.L’imprécateur foudroyé..Pierre de Lagarde.De la préhistoire à l’histoire - Henri de Contenson.La maison de pierre ou de terre - Gilbert Rullière.• Tuiles plates ou creuses pour les toits- Gilbert Rullière.Bourgs et bourgades - Fernand Nicolas.• Villages perchés - Fernand Nicolas.Petits édifices ruraux - Gilbert Rullière.Guide détachable de seize pages entre les pages 24 et 25.Grandes demeures - André Strasberg.• Châteaux de femmesCôté jardins - Chantai Duléry.Lamartine et les châteaux - Émile Magnien.•La solitude de Lamartine - Fernand Nicolas.Un grand roman - Chanoine Denis Grivot.•Cluny ou la gloire retrouvée•Peintures murales à Berzé-la-Ville - Fernand NicolasTriade urbaine - Christine Lamarre.•Bourbon-Lancy - Christine Lamarre.•La maison romane clunisoise•Pierre Garrigou Grandchamp et Jean-Denis Salvèque.Le charbon et le fer - Pierre Jugie et François Portet.•L'industrie céramique des rives du canal du Centre-Pierre Jugie et François Portet.Patrimoine..Livres.Expositions Juridique L’Europe Brèves .Friends of VMF..VMF Jeunes..Activités départementalesCarnet.Liste des délégués ..Courrier des lecteurs.Annonces . Classification Dewey : 720-Architecture
Catalogue NICOLAS.- LATOUR Alfred- Georges ROHNER. (illustrations)
Reference : 26158
(1965)
Catalogue NICOLAS. Liste des grands vins 1961. Catalogue publicitaire de vins prestigieux des établissements Nicolas in-8 (19 x 24 cm) , couverture cartonnée à spirales illustrée, 38 pages, illustré en couleurs par Georges ROHNER, typographie et mise en pages d'Alfred LATOUR. Etablissements Nicolas, achevé dimprimer sur les presses de Draeger Frères en 1961. Gastronomie oenologie vigne vin. -220g.L. - Très bon état.
1949 DRAEGER 1949 - in-8 31 p illustrations de Dignimont, joint avec la liste des tarifs vins ,double feuillet, et du modele de l’affiche, reliure spiralée bon état
First and only edition, this wine merchant's catalogue is illustrated throughout with black and white and color reproductions in-texte and hors- texte, all after pen and watercolor drawings by Andre Dignimont depicting various Paris locales. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
A LYON , ET SE VENDENT A VIENNE CHEZ CLAUDE BAUDRAND SOUS LES HALLES , 1659 reliure d'epoque plein veau dos lisse , decoré piece titre verte , bon etat , a noter que la table des matiere est manuscrite d'epoque ray W5
Une des premières histoires de la ville de Vienne, en Dauphiné, par le célèbre historien dauphinois (et viennois) Nicolas Chorier.Alors qu'il vivait encore à Vienne, Nicolas Chorier se consacra à l'histoire de sa province natale. Il annonça la publication d'une histoire du Dauphiné, par un prospectus paru en 1654. Tout en travaillant à cet ouvrage, il s'intéressa aux antiquités de sa ville natale et fit paraître ses Recherches sur les antiquités de la ville de Vienne, en 1658. Chorier se proposait de faire le même travail pour les principales cités du Dauphiné, ce qui explique que le titre de son ouvrage porte : Première partie de la topographie historique des principales villes du Dauphiné. Il n'a pas poursuivi son dessein et seul cet ouvrage a été publié. Cette première partie est donc la seule et unique qui ait paru. Enfin, revenant à son grand projet annoncé, le premier tome de l'Histoire générale de Dauphiné sortit des presses de Jean Nicolas à Grenoble en 1661.Nicolas Chorier lui-même parle plusieurs fois de son ouvrage dans ses Mémoires écrits en latin. Nous nous appuyons sur la traduction publiée par F. Crozet en 1868 à Grenoble (pp. 62-63) :« J'avais appliqué mon esprit à l'investigation des monuments antiques de Vienne dans les décombres et les ruines. Car Jean Le Lièvre n'avait certainement pas livré ce qu'il avait promis sous ce titre, dans un livre publié depuis plus de trente ans [Histoire de l'antiquité et de la saincteté de la cité de Vienne en la Gaule celtique, Vienne, Poyet, 1623]. C'était un homme de bien, mais qui n'avait pas de talent ni de sciences dans ce genre de littérature. Dans le cours de cette année, qui était l'an 1657, j'achevai cet ouvrage difficile, mais très agréable, et il vit le jour à la fin de l'année. Je démontrai que Vienne était la patrie de Claudien, poète très élégant. Je montrai le premier ce que signifiaient, dans les anciennes inscriptions de monuments sépulcraux, ces mots sub ascia dedicare, et je mis à jour beaucoup d'autres choses d'une profonde érudition. Je n'eus pas à me repentir de cette production de mes études, elle donna de l'éclat à l'histoire du Dauphiné. »Le premier auteur à consacrer une longue étude à Nicolas Chorier et à son œuvre est Jules Ollivier, dans les Mélanges biographiques et bibliographiques relatifs à l'histoire littéraire du Dauphiné, parus en 1837 : Histoire de la vie et des ouvrages de Nicolas Chorier (pp. 1-50). Il porte ce jugement sur l'ouvrage de Chorier (p. 4) : Après avoir rappelé qu'il n'existait alors que deux histoires de Vienne relatives aux archevêques, « Chorier consacra ses recherches à l'origine et à la description des monuments antiques de cette ville. Cet ouvrage, dans lequel on eût désiré que l'auteur eût déployé une critique plus rationnelle et des appréciations archéologiques plus saines, est, à tout prendre, un recueil d'inscriptions antiques et de descriptions, d'autant plus précieux que le temps a fait disparaître la plupart des monuments dont l'auteur a consacré le souvenir, et ce n'est pas avec assez de justice que l'ont jugé quelques écrivains modernes. » Il donne ensuite une bibliographie des différentes éditions des Recherches.Edition originaleL'édition originale est :Recherches du Sieur Chorier sur les Antiquitez de la ville de Vienne, métropole des Allobroges, capitale de l'empire romain dans les Gaules, des deux Royaumes de Bourgogne et présentement du Dauphiné. Première partie de la topographie historique des principales villes du Dauphiné.Lyon; Vienne, Claude Baudrand, 1658, in-12, 4 ff. n. chiff.- 71 pp. - 504 pp.- 2 ff. n. chiff. (Errata).Une description plus précise de l'exemplaire de la BM de Lyon :(1-1bl-6-)71 (- 1bl) - 504 (i.e. 514 la pagination sautant de 504 à 495-3-3bl) p. sign. A4, A-C12, A-X12, Y8 , 12°, 135 mm.Gallica en propose une version numérique (voir exemplaire) :L'ouvrage contient :- Titre (pas de faux titre)- Dédicace au consuls de Vienne (4 pp. non chiffrées).- Avis Au lecteur, de Nicolas Chorier (2 pp.). Il indique que cet ouvrage n'est que la première partie d'une série de descriptions des principales villes du Dauphiné, qui doit prendre place dans l'histoire générale du Dauphiné qu'il est en train d'écrire.- Dissertations (pp. 1-59), qui sont des extraits de l'Histoire du Dauphiné à paraître.- Tesmoignages des anciens autheurs, Touchant la ville de Vienne (pp. 60-71). Recueil de textes d'auteurs anciens traitant de la ville de Vienne.- Les 5 livres occupent les pages 1 à 504. Une erreur de pagination fait que les pages 505 à 514 sont numérotées 495 à 504. Contrairement à ce que l'on pourrait comprendre, cette histoire couvre toute la période jusqu'à Louis XIII et pas seulement l'antiquité au sens strict. Une attention particulière est portée aux monuments anciens et modernes et aux inscriptions antiques, dont le texte est donné dans l'ouvrage.- Errata (3 pp. non chiffrées).Les 71 pages de Dissertations et Témoignages semblent manquer dans certains exemplaires (BM Lyon, BMG).Edition de 1659Il s'agit de l'édition de l'exemplaire présenté dans cette page.Dans cette édition de 1659, seule la date a été changée et la dédicace aux Consuls de Vienne a été supprimée. D'après Jules Ollivier, cette dédicace n'a été supprimée que dans quelques exemplaires, au moyen d'un faux titre. Il précise, contre l'avis de N.-F. Cochard, que cette édition est en tout point identique à l'édition de 1658 et ne peut donc être considérée comme une deuxième édition. La comparaison entre l'exemplaire de l'édition de 1658, numérisé par la BNF, et cet exemplaire donne raison à Jules Ollivier. Elles sont en tous points identiques, à la date près. Même les erreurs d'impressions et l'erreur de pagination n'ont pas été corrigées.
Lampsaque, , 1799. 2 vol. in-4 manuscrits de (241) et (269) ff., becquets dans le texte et sur un contreplat, demi-basane blonde à petits coins de vélin, dos lisse orné, pièces de titre en maroquin rouge et noir (reliure de l'époque).
Un manuscrit unique et énigmatique : le Dictionnaire érotique de Nicolas Blondeau et ses avatars révolutionnaires.Le manuscrit du Dictionnaire érotique latin-français attribué à Nicolas Blondeau, figure littéraire du XVIIe siècle, représente une oeuvre aussi rare que controversée. Ce texte, conservé jusqu’à nos jours sous une version augmentée par le latiniste François Noël, traverse les siècles avec une histoire marquée par les bouleversements révolutionnaires et les débats littéraires du XIXe siècle.Origine et contexte du manuscrit. Pierre-Nicolas Blondeau, avocat en Parlement et censeur des livres sous l’Ancien Régime, aurait initialement composé un lexique spécifique intitulé Dictionarium vocum obscenarum quæ apud varios authores reperiuntur ex universali meo decerptum. Ce dictionnaire visait à rassembler et expliquer les termes latins jugés licencieux ou obscènes, dans une démarche érudite teintée de pruderie, où il tentait d'« expliquer la signification des mots de la manière la moins déshonnête qu’il serait possible ».Bien que l’oeuvre originale de Blondeau n’ait jamais été publiée et semble aujourd’hui perdue, elle fut mentionnée en 1788 lors de la vente de la bibliothèque du médecin et bibliophile Hyacinthe Théodore Baron. Acquise par les libraires Née de La Rochelle et Maradan, cette copie manuscrite (désignée dans le catalogue comme une « mise au net » autographe) fut destinée à François Noël, érudit et latiniste, qui entreprit d'enrichir et d’annoter l’ouvrage. Noël, connu pour sa production littéraire prolifique, travaillait à la même époque sur une nouvelle édition du Dictionnaire français-latin de Blondeau, publié ultérieurement en 1807.Le rôle de François Noël dans la transformation du texte. Sous la plume de François Noël, le Dictionnaire érotique fut significativement remanié et augmenté. Caché derrière l’anonymat, Noël ajouta une préface au texte dans laquelle il situait l’oeuvre dans son contexte historique, tout en précisant son propre rôle d’éditeur et d’annotateur :« Un homme de lettres de la fin du dernier siècle, Me Pierre Nicolas Blondeau [...] en composant un petit dictionnaire qui a eu la plus grande vogue, avait mis à part les mots licencieux [...] Son intention était d’en faire un petit dictionnaire séparé. [...] L'on a rien changé au style de l’auteur, mais on a ajouté à sa nomenclature beaucoup de mots employés dans un sens obscène par les auteurs latins ».Malgré l’intérêt de son travail, Noël ne parvint pas à publier cet ouvrage de son vivant. À sa mort en 1841, sa bibliothèque fut vendue, à l’exception de certains manuscrits qu’il légua à son fils Charles Noël. Parmi eux figurait le Dictionnaire érotique, resté inédit, comme l’atteste une note autographe sur la garde du manuscrit : « Légué à mon fils Charles Noël. Le 1er juin 1832. Fr. Noël ».La publication par Isidore Liseux et Alcide Bonneau. Ce n’est qu’en 1885 que le Dictionnaire érotique vit enfin le jour sous une forme imprimée, grâce à l’éditeur parisien Isidore Liseux, spécialiste des textes rares, souvent érotiques ou anticléricaux. Liseux, en collaboration avec Alcide Bonneau, publia le texte sous le titre Dictionnaire érotique latin-français, par Nicolas Blondeau. Cette édition, précédée d’un essai sur la langue érotique signé par Bonneau, distinguait le texte original de Blondeau des annotations de Noël, imprimées en bas de page. Cependant, une grande partie des commentaires manuscrits de Noël ne fut pas retenue dans l’édition.Liseux identifia Noël comme l’auteur des annotations grâce à une analyse comparative de son écriture avec celle de nombreux manuscrits laissés par l’érudit, confirmant ainsi son rôle crucial dans l’enrichissement du texte. Il souligna également que Noël, professeur de Belles-Lettres et inspecteur général de l’Université, était l’auteur du Recueil de Priapées publié anonymement à Paris en 1798 sous le titre d’Erotopargnion.Une oeuvre entre érudition et controverse. Le Dictionnaire érotique, à travers ses multiples avatars et transformations, incarne à la fois l’ambition philologique d’explorer les aspects marginaux de la langue latine et les débats moraux entourant la publication de tels textes. L’intervention de François Noël, bien qu’anonyme, enrichit considérablement l’ouvrage, tandis que l’édition de Liseux et Bonneau permit de préserver une oeuvre qui, sans leur intervention, aurait probablement sombré dans l’oubli.Ce manuscrit, témoin d’une tradition érudite fascinante, illustre également les tensions entre l’héritage littéraire du passé et les sensibilités culturelles de chaque époque. À mi-chemin entre l’érudition académique et la subversion littéraire, il reste une source précieuse pour l’étude des pratiques lexicographiques et des discours sur la morale dans l’histoire littéraire européenne.Seule copie manuscrite d'une écriture parfaitement lisible et sans rature établie par François Noël du dictionnaire érotique latin-français de Nicolas Blondeau.Dans le catalogue de l'Exposition internationale du surréalisme (1959-1960), André Breton rédigea une notice consacrée à ce dictionnaire, « un ouvrage publié sous le couvert de l'érudition à la fin du dix-neuvième siècle, et qui n'en prend que plus de charme » (Site Atelier André Breton, 2005).Pia, Enfer, 207 ; Gay, I, 908 ; Paule Adamy, Isidore Liseux 1835-1894 : Un grand « petit éditeur », Plein Chant (Bassac) 2009 ; Catalogue de la bibliothèque de feu M. Baron (1788), n°4495.
1768 1768 Imprimerie Didot, Paris, 1768. In/4 basane fauve marbrée, dos à nerfs orné d'ancres,152 p., page de titre gravée, 34 planches gravées (cartes) dont 15 rempliées,32 numerotées en continu,la 24 en double,et la carte des Isles Bermudes numerotée T1,N°48.Mouillure generale claire dans la marge superieure sur l’ensemble du volume,page de garde manquante. Armes sur le 2e plat,arrachées ou cachées sur le 1er plat.Coins usés.In-4 carré ( 250 X 195 mm. ) de: [5] ff. ( Titre, Titre gravé, Table des chapitres, Table des cartes et plans ), 152 pages, Joli bandeau allégorique signé Jean CHOFFARD et 34 cartes gravées dont 16 doubles ( 2 dépliantes ) par Nicolas BELLIN. Parmi les 34 cartes qui illustrent louvrage, une carte générale du Nord de St Domingue et de ses cinq débouquements, une du Canal de Bahama représentant le sud du Golfe du Mexique. Rare édition originale de ce routier des Antilles par le premier hydrographe de la Marine royale française, Jacques-Nicolas BELLIN ( 1703-1772 ). ( J. Polak 591 Sabbin, 4552 ).
Un "débouquement" est selon les termes de l'auteur de cet ouvrage "un passage étroit entre des terres, dans lequel il faut faire route pour sortir d'un parage, ou quitter une côte. Ce mot vient des Espagnols qui ayant navigué les premiers dans ces cantons, nommèrent ces passages . bocca, en françois bouches". Sabin 4552.Jacques-Nicolas Bellin (1703-1772) cartographe, hydrographe, ingénieur du Ministère de la marine.Il est chargé, dès la création du Dépôt de la Marine dont il a été l'hydrographe officiel pendant plus de cinquante ans, de compiler les cartes de toutes les mers connues. JN Bellin travaille surtout en bureau sur les documents, les manuscrits et les récits que lui fournissent explorateurs et navigateurs. Il n'effectue lui même aucun voyage exploratoire, et ne semble pas avoir participé à des campagnes de relevés topographiques sur le terrain : c'est un géographe dit de "cabinet". Durant sa carrière, JN Bellin compile l'ensemble des connaissances hydrographiques et géographiques de son époque. Rare first edition of this routier of the Caribean Sea by the famous French hydrographer Nicolas Bellin (1703-1772). Bellin gathered in this work sailing directions for the waters north of St. Domingo. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Phone number : 33 04 94 63 34 56
Plein Chant, Imprimeur-Editeur Barsac 2000 In-8 ( 225 X 145 mm ) de IV-72 pages, broché sous couverture imprimée et jaquette. Très bel exemplaire à l'état de neuf.Pamphlet pittoresque ( ! ), littérario-typographico-bureaucratique, pouvant intéresser toute personne employée, employable, ex-employée. "Réédition du chef-d'oeuvre de Nicolas Cirier, reconstitué par fac-similé, réimposition, impression, découpage, collage, simulation de collages." "curiosité bibliographique devenue d'une rareté insigne" selon Raymond Queneau, il n'avait jamais été réédité depuis sa première publication en 1840 et les spécialistes, dont Didier Barrière, le meilleur biographe de Cirier, le jugeaient "impubliable". Les éditions Plein Chant, la Bibliothèque municipale de Reims et le Collège de 'Pataphysique ont pu réaliser l'"impossible" et permettre aux amateurs de juger enfin sur pièce cet Apprentif Administrateur que Raymond Queneau tenait pour le "chef-d'oeuvre" de Nicolas Cirier. Comme la 'Pataphysique, la typographie selon Nicolas Cirier est la Sciences des Exceptions, par la variété des ajouts qui rendaient chacun des cent exemplaires originaux réellement original. L'exemplaire reproduit ici à l'identique est celui de la Bibliothèque municipale de Reims ( ville où Nicolas Cirier fut lycéen sous l'Empire, puis prote sous la Restauration ) qui a consacré une exposition à Nicolas Cirier ( 1792-1860 ) du 4 mai au 10 juin 2000. Article de N. Galand Nicolas Cirier typographe pamphlétaire ( Arts et Métiers du livre, mai 2000 ). Outre une édition pour le Collège de 'Pataphysique, il a été réalisé 200 exemplaires pour Plein Chant et 200 exemplaires pour la Bibliothèque municipale de Reims.
1934 Montrouge, Draeger, s.d. (1934), - gr. in-8°, 36 p., richement illustré en couleurs dans le texte et à pleine page (6 planches dessinées par Darcy), papier bleuté, spiralé, belle couverture illustrée en couleurs sur papier doré, bel exemplaire. Catalogue de vente de grands crus français distribués par la maison Nicolas. Contient la liste des vins les plus prestigieux avec leurs prix (Château Yquem, etc.). Très finement illustré et avec une très belle mise en page cette publication charmera autant le bibliophile que l'oenologue.
bords couverture illustrée leg.oxydée,complet de la lettre sur papier bleu,sur double page,ainsi que la carte tarif illustrée champagne Doyen, Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
[Nicolas Rauch S.A. Beaux Livres, Nicolas Rauch, E. Engelberts] - RAUCH, Nicolas
Reference : 56641
(1948)
3 numéros en 1 vol. fort in-8 reliure de l'époque demi-chagrin à coins brun, couvertures conservées, Nicolas Rauch S.A. Beaux Livres, Nicolas Rauch, E. Engelberts, Mies (Vaud), Suisse, 1948, 1949, 1949, 284, 187, 223 pp.
Bel ouvrage réunissant les 3 premiers et superbes catalogues de la librairie suisse Nicolas Rauch (rel. un peu frottée, très bon état par ailleurs)
Galerie Jeanne Bucher à Paris 1981, 1981. Book Condition, Etat : Bon broché In-4 1 vol. - 60 pages Contents, Chapitres : Anne de Stael : Esquisse d'un portrait - Jean-Luc Daval : Revoir Nicolas de Stael (une trentaine de pages de présentation) - 64 illustrations dont 7 en couleurs
RAY GAL
Le plus précieux exemplaire passé sur le marché depuis un demi-siècle riche de 75 estampes de Larmessin et 682 planches (au total) de personnages, costumes et métiers du règne de Louis XIV. [Paris], s.n., circa 1700. [Les costumes grotesques et les métiers (= Habits des métiers et professions)]. Dans [recueil de modes du règne de louis xiv]. Paris, 1680-1696. 2 volumes in-folio rassemblant 682 planches gravées à l'eau-forte et au burin, dont 7 coloriées et rehaussées d'argent. Trois estampes restaurées. Plein veau brun moucheté, dos à nerfs ornés, titré doré, armes au centre des plats, coupes décorées. Reliures armoriées de l’époque. 375 x 255 mm.
[video width="1408" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2025/05/copy_DB5C0E83-4557-4947-B2B3-5C43F8B4D7E21.mp4"][/video] Le plus complet recueil de costumes grotesques et de modes du règne de Louis XIV avec celui de la B.N.F (voir ci-après). Exceptionnel recueil, constitué à la fin du XVIIe siècle par Louis 1er de la Tour du Pin de la Charce (1655-1714) et relié à ses armes. Filleul de Louis XIV, issu d’une des plus anciennes familles de France, Louis 1er de La Tour du Pin fut capitaine de cavalerie, chevalier de Saint Louis, membre des États de Bourgogne et premier gentilhomme du prince de Condé. Il portait, entre autres, les titres de marquis de la Charce, comte de Montmorin et d'Oulle et, par son mariage, de marquis de Fontaine-Française et prince souverain de Chaume, figurant autour de ses armoiries. (Richard-Edouard Gascon, Histoire de Fontaine-Françoise, Paris, 1892, pp. 314-315). Ces deux volumes offrent une spectaculaire revue de personnages, costumes et métiers du siècle de Louis XIV. Les « portraits en mode » y sont particulièrement bien représentés, gravés par plusieurs membres de la dynastie Bonnart - Henri II, le plus célèbre, ses frères Nicolas 1er et Robert -, représentant les célébrités de l'époque sous l'aspect de jeunes mannequins attrayants, à commencer par le roi, Madame de Maintenon, la famille royale, la Cour. D'Henri Bonnart figurent également plusieurs estampes de la série de ses allégories mises en mode. Les autres gravures de mode contenues dans ces volumes sont dues à Jean Dieu de Saint-Jean, aujourd'hui considéré comme l'inventeur du genre, et à ses suiveurs parisiens Claude-Auguste Berey, Nicolas Arnoult, ou encore Antoine Trouvain. On y trouve enfin un très important ensemble (75planches) de « costumes grotesques » de Nicolas de Larmessin, fascinante suite de portraits allégoriques composés à partir des outils et produits de leur métier. «Rare suite of 75 folio-size engravings from the printmaker Nicholas II de Larmessin’s (c. 1645-1725) famous series of Grotesque Costumes, first conceived by the artist’s father, Nicholas I, in the 1690s and gradually expanded to include some 100 unique designs issued separately or in various groupings with contents depending on a client’s choice of subjects, a printseller’s pre-selected choix or some combination of the two. Issued without a title page and variously called the Habits des métiers et professions or Les costumes grotesques et les métiers, these folio-size prints depict contemporary tradesmen (and women) wearing costumes composed of the tools, instruments, accessories, and wares used in the exercise of their professions. The project represents an ingenious melding of two well-known genres: the fanciful composite portraits painted by Giuseppe Arcimboldo (1526-93) and the popular prints known as “Cries,” in which readily recognizable street hawkers, peddlers, and local types of various reputation were delineated in a purportedly documentary manner. Recent research suggests that Larmessin was likely also influenced by the ballet costumes designed by Henry de Gissey (c. 1621-73) and Jean Berain (1637-1711), which were published by Jacques Lepautre (c. 1653-84) in the early 1680s (Préaud, p. 244). Here we have, for example, a costume of the printer (Imprimeur en letters) as an unwieldy press fully enclosing the body of the craftsman who skillfully manipulates the letter case, ink ball, tympan, bar, and frisket of his own clothing. The fisherman (Pescheur) is a proud aristocrat with a net for a cape, a crab trap for a scepter, lobsters for greaves, a flounder and perch for a breastplate, and an eel for a belt. Whether more closely related to Ancien Régime stagecraft, to Arcimboldesque capricci, to the exotic costume books of such artists as Jost Amman (1539-91) and Nicolas de Nicolay (1517-83), or to the social realism of such publications as Marcellus Laroon’s (1653-1702) Cryes of the City of London Drawne after the Life (1687), the Grotesque Costumes of Larmessin have long intrigued both casual viewers attuned to the comic charms of these prints and cultural critics in search of a fuller historical context to help explain their eccentricity. Roland Barthes (1915-80), while aware of the simple pleasures of these works, also sees Larmessin’s project as a “superlative case” of a “vestimentary lexicon” that links clothing “either to anthropological states (sex, age, marital status) or to social ones (bourgeoise, nobility, peasantry, etc.).” The work is not as lighthearted as it at first seems, but is the product of “a society which was starkly hierarchical, in which fashion was part of a real social ritual.” Barthes recognizes in Larmessin, “a creation which is both poetic and intelligible, in which the profession is represented by its imaginary essence [;] in this fantasy, clothing ends up absorbing Man completely, the worker is anatomically assimilated to the respective instruments and in the end it is an alienation which here is described poetically: Larmessin’s workers are robots avant la lettre” (Barthes, The Language of Fashion, p. 20). Because of the fragmentary nature in which Larmessin's plates have come down to the present day, the publication history of the Larmessin oeuvre is yet to be fully documented. Examples of complete sets of any issue or state of Larmessin are unknown: The B.n.F. houses a suite of 76 plates, the Metropolitan Museum has a suite of 41, and OCLC locates two U.S. Libraries with Larmessin engravings included as part of larger costume sammelbands, (Brown, Clark Art Institute). Lipperheide cites a volume with 38 plates; but even individual engravings are rare both in institutional collections and on the market. Références : Lipperheide, vol. 2, p. 118, no. 1971 lists a suite of 38 prints; R. Colas, Bibliographie générale du costume et de la mode, no. 1779; Inventaires du fonds français, XVIIe siècle (1973), vol. 6 (Nicolas II de Lermessin), nos. 12-86; IFF XVII (1993), vol. 11, nos. 23-8 (Jacques Lepautre); Maxime Préaud, catalogue entry in P. Fuhring et al., eds., A Kingdom of Images: French Prints in the Age of Louis XIV, 1660-1715, p. 224, no. 86; G. Valck, Fantastic Costumes of Trades and Professions; S. Benni, ed., L’Archimboldo dei mestieri: Visioni fantastiche e costumi grotteschi nelle stampe; Roland Barthes, The Language of Fashion, A. Stafford, trans., (Oxford: Berg, 2006). Pascale Cugy, «La fabrique du corps désirable: la gravure de mode parisienne sous le règne de Louis XIV», Histoire de l’art, n° 66, 2010, pp. 83-93. Le plus précieux, le plus complet et le seul exemplaire en reliure de l’époque armorié passé sur le marché depuis un demi-siècle.
Galerie Erval | Paris 1984 | 11.50 x 18 cm | une feuille rempliée et ajourée
Carton d'invitation au vernissage de l'exposition des oeuvres de Nicolas Alquin, tenue à la Galerie Erval le 29 Février 1984. Le carton d'invitation ajouré est illustré d'une reproduction dépliante d'une sculpture de Nicolas Alquin. Bel exemplaire. Provenance : de la bibliothèque de Georges Raillard, fameux critique d'art, ami et spécialiste de l'oeuvre de Joan Miro et d'Antoni Tapies. Hommage autographe signé de Nicolas Alquin au crayon de papier : "De la part de Nicolas Alechinsky dit Alquin." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
1953 Sculpture en fil de fer forgé avec des marques de peinture de couleurs, présentoir P.L.V., (1953), 90,5 x 44,2 x 32 cm.
Georges Lepape (1887-1971) réalise ce présentoir-sculpture de Nectar destiné au réseau des marchands de vins Nicolas et réservé à un très petit nombre (Références Georges Lepape ou l'élégance illustrée, pp. 164 et 173). Le personnage est représenté avec sa casquette frappée du, ses deux yeux ronds et sa petite moustache tombante, son cou tirebouchonné accentuent l'impression cocasse de ce personnage publicitaire universellement reconnu dans le monde bachique. A bout de bras Nectar porte 6 bouteilles dans chaque main. Taches et petits manques, restaurations aux pieds. Ce personnage Nectar, emblématique livreur des Vins Nicolas, naquit en 1922 d'une idée et dessin de Dransy. Nicolas eut recours à une cinquantaine d'artistes renommés pour vanter ses nectars. Sculpture reproduite numéros 75-77 de l'ouvrage d'Alain Weil "Nectar comme Nicolas".