Paris, Goeury, libraire des ingénieurs et de l'école royale des ponts et chaussées, 1820. In-4 broché de [4]-64 pages et une carte rempliée.
Bien complet de la "Carte de la Route du Simplon entre Brigg et Domo d'Ossola" dessinée par Nicolas Céard, lithographiée par L. Houblou. Édition originale de toute rareté.Ci-dessous la notice rédigée par Georges Savary pour l'association Patrimoine versoisien:Né le 22 janvier 1745 à St Martin d'Arconoisse, Nicolas Céard sort de l'École royale des Ponts et Chaussées en 1769. Une de ses premières missions le conduit sur le chantier de Port-Choiseul à Versoix, seul accès du royaume de France sur la rive nord du lac Léman. En 1774, il épouse une Genevoise, Françoise Massé et achète un domaine aux portes de Versoix (Montfleury). De 1784 à 1786 il est employé à la construction des ports de Cherbourg, du Havre et de Honfleur. Il est ensuite nommé ingénieur en chef de l'Ain en 1791. Maire de Versoix de 1790 à 1792. Contraint à émigrer en Suisse pendant la Terreur, il réalise les plans de nombreux ouvrages d'art sur la rive droite du Léman (port d'Ouchy, pont Saint Antoine à Vevey). De retour en France, il est nommé ingénieur en chef du nouveau département du Léman en 1798 puis inspecteur des travaux du Simplon à partir de 1800. La construction de la route du Simplon va constituer l'œuvre maîtresse de sa carrière et lui assurer la célébrité. D'abord en concurrence avec les militaires et les officiers du génie chargés des travaux sur le terrain, il devient dès 1801 seul responsable de l'ensemble du chantier conduit par une dizaine d'ingénieurs des Ponts et d'élèves ingénieurs sortis depuis peu de la toute jeune Ecole Polytechnique.Des tournées nombreuses, une activité continue, un solide réseau de relations à Paris comme à Milan, l'appui sans faille de son Directeur, Emmanuel Crétet, et la volonté forte de Bonaparte vont lui permettre d'achever la première route alpine moderne en l'espace de quatre années. Il est nommé, en 1805, inspecteur divisionnaire chargé de l'inspection de Lyon tout en conservant l'inspection du Simplon. En 1813, il est la tête de la division de Grenoble avant de prendre sa retraite en 1815. Nicolas Céard participe à de nombreux conseils d'administration des Ponts et Chaussées réunis par l'Empereur. Lors de ces conseils, comme le rapporte le Baron Fain dans ses Mémoires, il est toujours pour Napoléon " l'Homme des Alpes ". Sous la Restauration, la paternité de la route du Simplon est revendiquée par de nombreuses personnes ayant participé à sa construction, ingénieurs des Ponts, généraux, ou officiers du génie. En 1820, pour répondre à ces différentes revendications, Céard écrit ses Mémoires et observations historiques et critiques sur la route du Simplon. Les recherches historiques récentes montrent d'ailleurs le rôle capital qu'il a joué dans cette oeuvre pharaonique. Dans son "Mémoire et observations historiques et critiques sur la route du Simplon et autres objets d'art" il écrit à propos de Versoix: "De retour à Paris, j'eus ordre de me rendre à Versoix pour y prendre part au projet insensé, d'établir en ce lieu une ville de quatre-vingt mille âmes, avec une citadelle bien entendu, un port militaire, etc. etc., pour nuire aux Genevois qui ne firent qu'en rire, et avec raison ; j'étais en sous-ordre, et j'obéissais. Les plans gravés, fournis par moi, ayant été approuvés, des terrains furent concédés, pour y bâtir, à des colons qui s'y ruinèrent. Un canal d'arrosement devait être dérivé de la rivière de Versoix j'en fis le projet et le fis exécuter. C'est la seule chose utile qui ait subsisté de cette folle entreprise." (Nous lui devons aussi le pont sur le Nant-de-Braille qui est à l'origine du lieu-dit Pont-Céard).
BONNEVILLE [Nicolas de]; CLAVIERE [Etienne]; CONCORDET [Jean-Antoine-Nicolas de Caritat]; MERCIER [Louis-Sébastien]; AUGER [Antoine Augustin]; BRISSOT [DE WARVILLE Jacques Pierre] et al.:
Reference : 12719
A Paris, de l'Imprimerie du Cercle social, 1791 à 1793. 20 numéros (novembre 1791 à juin 1793) en 5 volumes in-8, demi-veau blond à coins, dos orné de roulettes et filets dorés, pièce de titre beige, de tomaison noires, tranches jaunes.
Illlustré de 17 portraits gravés (2+4+4+3+4), la plupart dessinés par François Bonneville. Nicolas de Bonneville "recruta treize autres rédacteurs : Condorcet, Brissot, T. Paine, Clavière, Collot d'Herbois (pour un temps limité), etc. Aucun autre journal révolutionnaire n'employait autant de leaders politiques comme auteurs réguliers. Ils écrivaient pour la nouvelle bourgeoisie sur des thèmes différents : le droit à la propriété, la circulation libre des grains, laissez-faire, protectionnisme dans le commerce étranger ; ils étaient abolitionnistes (mais modérés) au sujet de l'esclavage. En automne 1791 quelques membres du Cercle social furent élus à l'Assemblée législative ; ils y formèrent une minorité radicale et collaborèrent avec les Jacobins modérés (Girondins). Ce groupe eut un grand rayonnement en France et à l'étranger. Il y eut aussi des articles sur le «courage national», sur César, Choiseul, la Ligue" [Dictionnaire des journalistes]. Rarissime ensemble de 20 numéros (sans le dernier, de juillet 1793), bien complet des suppléments pour les n° de novembre et décembre 1792 et février 1793. En plus on a relié en ouverture du premier n°: " Pétition faite à l’Assemblée Nationale par M.Clavière, député suppléant de Paris. Sur le remboursement des créances publiques non vérifiées et sur le paiement des domaines nationaux, en assignats et en espèces effectives, le 5 novembre 1791." avec six correction manuscrites (de l'auteur?); " Nécéssité et moyens d'établir la force publique [...]" de F. Lanthenas; "Instruction sur l'exercice du droit de souveraineté" par Condorcet; " Acte du corps législatif sur la formation de la convention sociale" par Delacroix; "Exposition des motifs d'après lesquels l'Assemblée nationale a proclamé la convocation d'une Convention nationale, et prononcé la suspention du pouvoir exécutif dans les mains du roi." de M.-E. Guadet; "Discours prononcé à la barre de l'Assemblée nationale le premier septembre 1792 [...]" de Goujon; " Adresse de l'Assemblée nationale aux français [18 août 1792], signé Delacroix; " Procès-verbal de l'asemblée nationale [10 août 1792], signé Merlet. Hatin, Biblio. historique et critique de la presse périodique française, 203. De toute raretée. Dos un peu tachés.
Paris, André Cailleau, 1742. In-12 de [4]-VI-354-[6] pages, pleine basane marron du temps, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre. Petit cachet de cire au premier contreplat.
Édition originale rarissime, que de nombreux bibliographes attribuent au genevois Jean-Bapstiste Tollot. Il n’en est rien. Jean-Daniel Candaux, notre éminent compatriote genevois et néanmoins historien érudit et savant bibliophile confirme qu’il s’agit bien de Nicolas Tollot, originaire de Liffol-le-Petit, en Haute Marne. Tollot fut un coéquipier et domestique de La Condamine, et embarqua sur l'escadre de Dugay-Trouin. Le texte relate le voyage au jour le jour et il est plein de détails piquants. C'est en quelques sorte le pendant humain de la publication scientifique que La Condamine fait paraître dans l'Histoire de l'Académie des Sciences en 1735: Observations mathématiques et physiques faites dans un voyage du Levant en 1731 et 1732. Les derniers feuillets sont le Privilège et le catalogue des livres de Cailleau. Mors faibles. Boucher de la Richarderie, I, 220; Chahine, 4817; Candaux: «Lacondaminiana: Le domestique Nicolas Tollot; L’itinéraire du voyage au Levant; Curiosité et consuls» in Sciences, Musiques, Lumières, Mélanges offerts à Anne-Marie Chouillet, Centre international d’étude du XVIIIe siècle, 2002, p. 401-408.
Genève, Métropolis, 1992. In-8 broché de 228-[6] pages, couverture illustrée.
21 planches dont 10 d'après des photographies de Nicolas Bouvier. Edition originale.
Genève, Éditions Zoé, 1996. In-8 broché de 156-[4]pages, couvertures illustrée à rabats.
Photographies en noir et blanc réunies dans un cahier central de 16 pages. Édition originale de cette étude consacrée à l'oeuvre de Nicolas Bouvier.
Paris, Éditions du Temps, 1968. In-4 de 407 pages, pleine toile noire d'éditeur, jaquette à rabats illustrée en couleurs, étui en toile noire, orné d'une composition en blanc sur chacun des deux plats.
Catalogue raisonné des peintures figurant 1059 oeuvres. Bel exemplaire.
Montrouge, Impression Draeger, 18,5x24cm, reliure spirale, couverture rempliée, 35p. 6 planches couleurs et nombreuses vignettes en couleurs. Bon état. Joint deux imprimés Nicolas.
Sans lieu, Feuille Centrale de Zofingue, [1968]. Plaquette in-8 de 23 pages brochées sur agrafes, titre au premier plat.
"La section vaudoise de Zofingue a décerné le prix Eugène Rambert 1968 à Nicolas Bouvier pour son livre Japon [...]. La présente plaquette est un tirée à part: elle contient les textes des deux rapporteurs du jury et la réponse du lauréat". Forcément rare. Quelques rousseurs à la couverture.
Genève, Editions Metropolis, 1998. In-8 broché de 119-[8] pages, couverture illustrée couleurs.
2 illustrations couleurs, 6 textes bichrome, 4 illustrations noir/blanc. 7 pages de fac-similé autographe et un portrait en noir de Nicolas Bouvier. Edition originale.
Nicolas Schöffer. Sous la direction de Bernadette Contensou et Eleonore de Lavandeyra
Reference : 76732
Paris, 210x210mm, broché sous couverture à double rabat, (32)p. Contient 16 reproductions. Biographie, bibliographie, liste des films sur les recherches de Nicolas Schöffer, liste des oeuvres exposées. Très bon état.
Montrouge, Impression Draeger, 18,5x24cm, reliure spirale, 44p. Exemplaire de toute fraîcheur présentant néanmoins, comme sur les autres exemplaire de cette publication, une légère altération de l'image au niveau des points de colle des deux illustrations contrecollées. Complet du feuillet volant illustré en couleurs " Appellations d'origine des grands vins de Bourgogne. "
A Constantinople [Paris], sans nom, 1781. 2 tomes en un volume in-18 de [2]-204 et 249 pages, plein veau moucheté, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges.
Ilustré d'un titre gravé et de 6 figures gravées par Fessard d'après Clavareau et 2 vignettes. "Roman exotique, orientaliste, picaresque et libertin. Avec Le Cousin de Mahomet, authentique manifeste du siècle des Lumières, Nicolas Fromaget s’inscrit, obscurément mais brillamment, dans le grand courant de tolérance subversive, de libération sexuelle et d’ouverture idéologique qu’illustreront plus tard, avec plus de bonheur, un Voltaire et un Diderot" Le Figaro - Jean d'Ormesson. [Barbier I, 810 - Cohen 414].
1890 Paris, Lecène, Oudin et Cie, 1890. Nouvelle Bibliothèque de Vulgarisation. Un volume de format in 8° de 240 pp.; nombreuses illustrations en noir par Gilles Baer. Reliure de l'éditeur en pleine percaline rouge. Riche décor style "Art Déco" de guirlandes florales, encadrements d'entrelacs en rose, gris, vert noir et or. Au dos mention "Lycée de Montluçon". Etiquette de prix sur une garde.
Exemplaire bien frais.
1959 Paris, Gallimard, 1959. Collection "Du Monde Entier" CCV. Un volume broché de format in 8° de 384 pp.
N°2 de 41 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. Parfait état.
Paris Cercle du Livre Précieux 1959 6 Ensemble de 6 volumes de format in 8° de : T.I, LVI pp.; 546 pp. ; T.II 658 pp.; T.III 672 pp.; T. IV 658 pp.; T. V 586 pp.; T. VI 628 pp.. Ouvrage illustré de 72 reproductions de gravures de l'époque et de 24 fac-similés. Reliure de l'éditeur en plein simili maroquin vert-empire; décors et titres dorés.
Tirage total à 500 exemplaires; celui-ci N°374. Bel état. Voir les photographies.
[VICTOIRE Mme, Marie Louise Thérèse Victoire de France] PONT Louis de; FRIZON Nicolas:
Reference : 16517
(1744)
A Nancy, chez Abel-Denys Cusson, 1744. 3 volumes petits in-8 de [16]-458; 474; 481 pages, plein maroquin vert olive, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés et fleurs de lys en tête et en queue, plats frappés des armes de Madame Victoire, encadrés de fleurs de lys, filets dorés, grenades et fleurs dorées, filet aux coupes, et chasses ornées de roulette dorée; tranches dorées, gardes de tabis rose. Les trois volumes sous étui en plein maroquin vert, doublé de box chocolat noir.
Orné d'un portrait du révérend père Louis Du Pont, de la compagnie de Jésus. Bel exemplaire de ce manuel de méditation, aux armes de Marie Louise Thérèse Victoire de France, septième enfant du roi Louis XV et de Marie Leczinska, née à Versailles le 11 mai 1733. Les livres de la bibliothèque de Madame Victoire étaient reliés en maroquin olive, ceux de sa sœur aînée Madame Adélaïde étaient reliés en maroquin rouge, et ceux de Madame Sophie, sa cadette, reliés en maroquin citron. A la Révolution, Madame Victoire et sa sœur Madame Adélaïde quittèrent la France en février 1791. Elles se rendirent d'abord à Rome, chez le cardinal de Bernis, puis à Naples, auprès de Ferdinand IV. Elle meurt à Trieste, le 7 juin 1799. Dos légèrement passés. Ex-libris de Mme Victoire de France, gravé par Boiron. Ex-libris moderne de G. Nordbäck; et de Jean-François Chaponnière. Tampon Quentin Bauchart, Les femmes bibliophiles, II, 123; O.H. R. 2514.
Editions Subervie, 1998, 168 pp., broché, boîtier un peu abimé sur les coins, livre ent très bon état, état général correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Carouge, Éditions Zoé, 2008. Grand in-8 broché de 143-[1] pages, couverture illustrée.
Édition originale de cette étude sur "l'univers musical tel que l'a parcouru le voyageur, l'oreille dressée, de trois façons qui s'entremêlent, avec un accent particulier sur le Japon".
1992 Ernst & Sohn Hardcover Good
Hardcover, Jacket: Good, 35 x 25 cm, 206 pp., English, Illustrations, book condition: Good.
A Paris, chez Laurent Le Conte, 1764. In-12 de XX-[4]-.454 pages, plein veau moucheté marron, dos lisse ornés de filets et fleurons dorés, pièce de titre verte, tranches rouge.
Rédigé par le bénédictin Dom Nicolas Alexandre, cet ouvrage connu un succès considérable, édité une première fois en 1717, sa dernière édition parue en 1868. Nous citons ci-après l'Avertissement: "Le titre de ce recueil fait connaître le dessein qu’on a eu en le faisant imprimer, qui a été de fournir aux pauvres, sur-tout à ceux de la campagne, qui languissent ou meurent, étant privés des secours que ceux des villes reçoivent des personnes charitables, des moyens sûrs et aisés de se soulager dans leurs infirmités ; ces remèdes étant tirés, ou des aliments et des animaux domestiques, ou des plantes qu’ils trouveront facilement dans les jardins et dans les champs. On s’attend bien qu’étant composés d’ingrédients communs, et même dégoûtants, ils seront méprisés et rejetés par les riches, et par les personnes qui affectant en tout des airs de grandeur, même jusques dans l’usage des remèdes, n’estiment que ceux dans lesquels il n’entre que des drogues rares, venues des Indes, et à grands frais, et dont cependant très-souvent l’effet le plus sensible est de vider leur bourse sans leur rendre la santé, pendant que les gens du commun se guérissent promptement et parfaitement des mêmes maladies par des remèdes simples et familiers, que leurs médecins n’osent souvent leur proposer, ou par crainte de blesser leur vanité et leur délicatesse, ou de passer eux-mêmes pour des médecins à remèdes de bonnes-femmes ; car c’est ainsi qu’on les appelle pour les rendre méprisables, quoiqu’il arrive tous les jours que des malades, après avoir usé très-longtemps et inutilement des compositions les plus pompeuses de la Médecine sont guéris promptement par un remède indiqué par un paysan ou par une femmelette(…)"Papier bruni, quelques mouillures et coins cornés.
Paris Gustave Barba, Libraire, 1836, in-12, modeste demi-reliure éditeur de l'époque, "cartonné à la bradel", 186 & 186p. Bon état. "On connaît mal la vie de Charles-Antoine Guillaume Pigault de l’Épinoy (1753-1835), dit Pigault-Lebrun [3]. Les sources biographiques sont peu nombreuses ; celles qui nous sont parvenues depuis son époque ne sont pas exemptes de jugement de valeur. Il existe bien une Vie et aventures de Pigault-Lebrun publiée sans nom d’auteur par Jean-Nicolas Barba, l’éditeur de Pigault-Lebrun, en 1836. Mais il s’agit d’une biographie apocryphe ; attribuée à Horace Raisson, elle aurait été rédigée par Louis-François Raban (1795-1870), romancier et publiciste. Elle se présente comme un discours élogieux à la gloire de Pigault. Le Journal des savants de 1836 suggère que l’ouvrage pourrait facilement passer pour l’un de ses romans." (Vie et aventures de Pigault-Lebrun Présentation et repères biographiques par Frédérique Péron).
Adam PERELLE (1640-1695), graveur - Nicolas de POILLY l'Ancien (1626-1686), éditeur
Reference : 84028
Paris, Nicolas de POILLY l'Ancien , 37x30cm, demi-vélin, plats papier, pièce de titre, DETAIL DES 127 PLANCHES : CHATEAU DE VERSAILLES (42 planches) : Grande et petite écurie et les deux cours - La fontaine de l'estoille - Le char de triomphe de Palasse - La salle des Danses - Le labyrinthe où l'on voit les fables d'Esope - Trianon de Versailles - Trianon du côté du jardin - Trianon du côté du canal - Cascades du Trianon - La venue et le château de Versailles - L'arc de triophe de Versailles - Château du côté du jardin - Bassin d'Apollon et Canal de Versailles - Bassin de Cérès représentant l'été - La galerie d'eau - La colonnade de Versailles - Château de Versailles avec le parterre d 'eau du côté du jardin - L'orangerie - Parterre d'eau du jardin et canal de Versailles - Les trois bassins de Versailles - La ménagerie de Versailles (planches présentant des taches) - la ménagerie côté canal - le labyrinthe dans les bosquets de Versailles - La ville de Versailles en général - La grande pièce d'eau - L'allèe des fontaines dorées - Château de le Grotte de Versailles - Dragon et cascades de Versailles - Le bassin de l'Encelade - Parterre d'eau des trois fontaines - les sources d'eau de Versailles - Vue générale de la ménagerie - Vue du marais d'eau - Les fontaines dorées (fontaine des enfants) - La grande écurie - Les nouvelles cascades de Versailles - Théâtre d'eau - L'île royale - Bassin de Latone - Vue du château depuis le jardin - Vue de la Girandolle - Vue de la salle des festins. CHATEAU DE MARLY (5 planches) : Entrée du Château de Marly - La nouvelle rivière au Château de Marly - La machine de Marly - Vue du Château de Marly. CHATEAU DE NOISY-LE-ROI ( 2 planches) : Du côté de l'entrée proche de Versailles - Du côté jardin. SAINT-CLOUD (5 planches) : Château et canal de Saint-Cloud - Cacades du Château de Saint-Cloud - Trianon de Saint-Cloud du côté du jardin - Château et canal de Saint-Cloud (autre angle) - Château et cascade de Saint-Cloud. CHATEAU DE MEUDON (4 planches) : L'entrée du Château - Château côté jardin - Pièce d'eau et orangerie - La grotte. CHATEAU DE CHILLY (2 planches) : L'entrée - Vue côté jardin. CHATEAU DE SAINT-GERMAIN-EN-LAYE (4 planches) : L'entrée du château - Côté jardin - Perspective du château - Jardin de Saint-Germaim-en-Laye et de l'avenue pour aller au château de Maison. (Maisons-Laffitte). CHATEAU DE MAISON : Vue depuis le jardin. CHATEAU DE CHANTILLY (9 planches) : Vue du château du côté de l'entrée et du cheval de bronze (taches et rousseurs) - Canal des jardins et du château - Bassin du pavillon des étuves - Serre de l'orangerie et partie de la galerie des cerfs - Petites cascades - Grand bassin - Grande cascade - Vue latérale de l'entrée - Grand jet d'eau (planche tachée). MAISON DE RAINCY (taches sur la planche). CHATEAU DE FONTAINEBLEAU (11 planches ) : Entrée du côté des cuisines - Cour des cuisine à Fontainebleau - Le jardin, l'étang et la cour des fontaines - Cour du cheval blanc - Grand parterre du Tibre et derrière du château - Cour ovale où est le logement du Roi - L'orangerie - Parterre du Tibre, les cacades et le canal - Cour des fontaines et galerie d'Ulysse - Cour des fontaines, l'étang et jardin de la Salle du Conseil - Cascades et partie du grand Canal. CHATEAU DE MONTCEAUX : Vue et perspective du château. CHATEAU DE CLAGNY (2 planches) : Du côté de l'entrée - Du côté du jardin. PALAIS DU LUXEMBOURG : Vue du Palais côté jardin (planche tachée) CHATEAU ROYAL DE CHAMBORD: Vue du château CHATEAU ROYAL DE VILLERS-COTTERETS : Vue et perspective du château. CHATEAU DE LIANCOURT (5 planches) : Vue et perspective de l'entrée du château de Liancourt -Vue du château depuis le jardin - Jardins et cascades - Vue des chandeliers - Vue des 25 fontaines. CHATEAU DE VERNEUIL EN HALATTE : Vue du côté de l'entrée. CHATEAU DE VAUX-LE-VICOMTE (6 planches) : Vue du côté de l'entrée - Du côté du jardin - Perspective du jardin - La fontaine de la couronne - La grotte du château - Les cascades du jardin. PALAIS DES TUILERIES (3 planches) : Vue et perspective de l'entrée - Vue du palais depuis les jardins - Vue des Tuileries et du Jardin. CHATEAU DE VINCENNES : Vue du château. L'EGLISE DE LA SORBONNE: Vue de la place et de l'église. VAL DE GRACE : Vue du côté jardin. L'HOTEL DE MARS DIT LES INVALIDES (2 planches) : Vue générale - Vue du dôme. LE PALAIS ROYAL : le palais vu du côté jardin. PARIS (17 planches) Le Pont-Neuf - Le Louvre - La place Dauphine - La Porte de la Conférence - Vue et perspective depuis de le Pont-Neuf - L'Arc de Triomphe du Faubourg Saint-Antoine - La Porte Saint-Antoine et la Bastille - Ile de Notre-Dame et la Porte Saint-Bernard - Pont de la Tournelle et la porte Saint-Bernard - Vue de derrière l'église Notre-Dame. Vue du mail et de la pointe de l'île - L'Hôtel de Ville - La porte Saint-Denis - La porte Saint-Martin- La porte Saint-Honoré et le dôme des filles de l'Assomption - La place des Victoires - La place Louis le Grand.
Paris Chez la Veuve-Martin & Jean Boudot, rue Saint Jaques , au Soleil d'or, 1634, in-4 (19x25cm), pleine basane du temps, dos à 5 nerfs, roulette sur les coupes, toutes tranches jaspées gras, caissons ornés de fleurons,, 64p., 326p.,18p. Edition originale de la traduction française. Page de titre ornée d'une vignette, bandeau de Pierre le Pautre et lettrine pour la dédicace au Roi. Ne figure pas le portrait en frontispice de Louis XIV. Restauration par un professionnel en coiffes et coins.
A Paris, chez Laurent d'Houry et la veuve de feu Denis Nion, 1688 - 1689. 2 volumes in-8 de [32]-16-[8]- 17 à 712 et [2]-[16]-685-[3] pages, plein veau brun du temps, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre et tomaison bordeaux.
Édition originale de cet important et abondant recueil relatif à la pharmacie, la médecine et la cosmétique.«Apprenti chirurgien à 13 ans, Nicolas de Blégny exerce pendant quatorze ans dans les armées du roi, à l'hôpital général ou dans les boutiques de Paris comme compagnon chirurgien ; remplit, pendant deux ans, les fonctions de chirurgien ordinaire de la Charité de Saint-Côme, puis en 1679, achète un privilège et devient l'un des quatre chirurgiens de la prévôté de l'Hôtel du Roi, en attendant (1680) le titre de «chirurgien ordinaire du corps de Monsieur». En fait, sa formation est essentiellement empirique et «mécanique».Il fonde, vers 1679, une Académie des nouvelles découvertes de médecine sur le modèle de la grande Académie. Sommé de se défaire de sa charge de chirurgien de Monsieur, il prend des lettres de docteur de la faculté de Caen, «devient médecin ordinaire du duc d'Orléans par lettres patentes enregistrées le 25 janvier 1685 à la prévôté de l'Hôtel, obtient encore un privilège d'apothicaire-épicier suivant la Cour et en 1687 celui de médecin ordinaire du Roi». Le 4 juin 1693, un ordre du roi l'envoie au Fort-l'Evêque, d'où il est transféré au château d'Angers où il demeurera huit ans. «Après huit ans de détention à Angers, il fut élargi, gagna l'Italie où il pérégrina quelque temps, revint exercer la médecine à Avignon et y mourut en 1722». Dictionnaire des journalistes (1600-1789), notice 78Ex-libris autographe répété dans les deux volumes: Mr. de Villeparc, aux quatre contreplats. C'est la même main qui a annoté les deux volumes, rapportant sur presque chacune des pages, le sujet traité: fort pratique! Dans le premier volume 8 pages de table des matières ont été reliées entre les p. 16 et 17; au second volume, la table des matières a été placée au début du volume, après la page de titre. Manque aux coiffes supérieures, petite fente à un mors du tome second; papier un peu bruni. Bon exemplaire malgré les défauts signalés, et surtout l'ouvrage est rare.
Montrouge, Imprimé chez Draeger Frères., 1935, in-8 (18,5x24cm), reliure spirale, 48 pages. Bel état. Une magistrale démonstration de typographie et de mise en page. Superbe couverture polychrome tirée en lithographie gaufrée.