Paris Alphonse Giroux 1819 Très rare. Première édition, dans de jolies planches contemporaines turquoises avec des décorations dorées. Avec une page de titre gravée et des portraits de saints gravés. Toutes les tranches sont dorées. Texte en français. Comprend un espace pour les notes et les souvenirs, ainsi qu'un calendrier. [2], 45, [45] pp. 125 x 80 mm (5 x 3Œ inches). Les coins de la reliure sont mous, petite marque d'encre sur le premier plat, et décoloration sous les bordures décorées en doré. Le joint supérieur est fendu et l'intérieur est légèrement roussi ; les charnières ont été réparées à un moment donné. Caroline-Stéphanie-Félicité ou Madame de Genlis (25 janvier 1746 - 31 décembre 1830) est un écrivain français de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle, surtout connu pour ses romans et ses théories sur l'éducation des enfants. Sa dévotion à la religion, à la morale et à la soumission féminine contraste étrangement avec sa propre vie et son art.
Very scarce. First edition, in attractive turquoise contemporary boards with gilt border decorations. With engraved title page and engraved portraits of saints. All edges gilt. Text in French. Includes space for notes / souvenirs, and a calendar. [2], 45, [45] pp. 125 x 80 mm (5 x 3Œ inches). Boards soft at corners, small ink mark to front board, and discolouration under gilt decorated borders. Upper joint split, and inside is slightly foxed; and hinges have been repaired at some point. Caroline-Stéphanie-Félicité or Madame de Genlis (25 January 1746 31 December 1830) was a French writer of the late 18th and early 19th century, best known for her novels and theories on children's education. her devotion to religion, morality, and feminine submission, strangely contrasts with her own life and her art.
Paris Le Prieur 1817 Troisième édition. Un livre français attrayant, avec des leçons pour les jeunes filles. Frontispice et 15 planches à pleine page avec chacune 2 illustrations. Demi-veau contemporain avec étiquette bordeaux. planches à laver bleues. Un peu de fissuration à l'étiquette mais toujours attrayant. Intérieurement propre et bien rangé avec juste une touche d'assombrissement des pages. 396 pages. 165 par 105 mm
Third edition. An attractive French book, with lessons for young ladies. Frontispiece and 15 full page plates each with 2 illustrations. Contemporary half calf with burgundy label. blue wash boards. A little cracking to the label but still attractive. Internally clean and tidy with just a touch of darkening to the pages. 396 pages. 165 x 105 mm (6œ x 4Œ inches).
Paris Emile Guérin / Librairie de Théodore Lefévre et cie 1884 Première édition. Bel exemplaire de ce conte pour enfants. Pas de date mais FirstSearch l'identifie comme étant de 1884. Il s'agit d'une édition de luxe avec des illustrations colorées à la main. Reliure cartonnée rouge, noire et dorée. Les planches sont légèrement marquées, mais la couverture reste attrayante. La reliure est assez secouée et le papier de la première page de titre est fendu (l'ouvrage a deux titres). Le premier titre est de Duhamel et est magnifiquement illustré. En face du deuxième titre se trouve un frontispice illustrant le mariage d'Aladin. Tout au long de l'ouvrage, on trouve de jolies illustrations colorées à la main. Il semble que cet ouvrage ait été généralement publié avec des illustrations en noir et blanc. Nous avons trouvé un exemplaire de bibliothèque avec la même coloration. Texte en français. 48 pages. 320 x 250 mm
First edition. Lovely copy of this children's tale. No date but FirstSearch identifies this as 1884. This is a deluxe edition with hand coloured illustrations. Red, black and gilt embossed hardback binding. There is a touch of marking to the boards, but still an attractive cover. The binding is rather shaken, with splitting to the paper at the first title page (the work has two titles). The first title is by Duhamel, and is beautifully illustrated. Facing the second title is a frontis illustration of the marriage of Aladdin. Throughout the work are lovely hand coloured illustrations. It seems that this work was generally issued with black and white illustrations throughout.We have found one library copy with the same colouring. Text in French. 48 pages. 320 by 250mm (12œ by 9Ÿ inches). .
Paris Ménard et Desenne, Fils 1822 Nouvelle édition. Un bel exemplaire de cet ouvrage illustré. Dos en cuir avec titres dorés et étiquette en cuir. Bon état, quoique légèrement terni. Reliure cartonnée de couleur moutarde avec un peu de frottement sur les bords. L'intérieur est propre et en ordre, mais avec quelques rousseurs légères à modérées. La reliure s'est légèrement détachée de la page de titre, mais tient encore bien. Trois planches pleine page délimitées par Deveria d'après Chollet & Frilley. 347 pages. 16cm x 10cm. "Lettres d'une Péruvienne" est un roman de Françoise de Graffigny, publié pour la première fois en 1747. L'histoire est racontée à travers les lettres écrites par Zilia, une jeune femme inca qui est enlevée par les conquistadors espagnols et emmenée de force du Pérou en France. Après avoir été achetée par un officier français nommé Déterville, elle est introduite dans la société française, où elle apprend progressivement à naviguer et à critiquer son nouvel environnement tout en se languissant de son fiancé Aza, séparé d'elle par la conquête. Le roman se distingue par sa perspective critique de la société française du XVIIIe siècle, de la religion, de l'éducation, du statut des femmes et de la politique, le tout exploré à travers les yeux de Zilia, qui offre un point de vue extérieur. Le récit met en lumière une quête de connaissances et d'émancipation personnelle, Zilia apprenant le français et s'adaptant, pour finalement rejeter le rôle traditionnel de soumission attendu des femmes. Cette fin a été controversée à l'époque, mais a depuis été reconnue pour sa position proto-féministe. Les "Lettres d'une Péruvienne" ont connu une immense popularité à leur époque, ont été traduites dans de nombreuses langues et ont influencé la littérature européenne, mais elles sont ensuite tombées dans l'oubli avant de regagner l'attention des critiques littéraires féministes au XXe siècle. Le roman peut être considéré à la fois comme un récit sentimental et comme une critique des normes culturelles et de genre dans la France du siècle des Lumières.
New edition. A nice copy of this illustrated work. Leather spine with gilt titles and leather label. Good condition, if slightly dulled. Mustard hardback with a little rubbing to the edges. Internally clean and tidy, but with some light to moderate foxing. Binding is fractionally loose to the title page, but still holding well. Three full page plates delineated by Deveria after Chollet & Frilley. 347 pages. 16cm x 10cm. "Lettres d'une Péruvienne" (Letters from a Peruvian Woman) a novel by Françoise de Graffigny, first published in 1747. The story is told through letters written by Zilia, a young Inca woman who is kidnapped by Spanish conquistadors and forcibly taken from Peru to France. After being bought by a French officer named Déterville, she is introduced to French society, where she gradually learns to navigate and critique her new environment while longing for her fiancé Aza, separated from her by the conquest. The novel is notable for its critical perspective on 18th-century French society, religion, education, women's status, and politics, all explored through the eyes of Zilia, who offers an outsider's view. The narrative highlights a quest for knowledge and self-emancipation as Zilia learns French and adapts, ultimately rejecting the traditional submissive role expected of women. This ending was controversial in its time but has since been recognized for its proto-feminist stance. "Lettres d'une Péruvienne" was immensely popular in its era, translated into multiple languages and influencing European literature, though it later slipped into obscurity until regained attention from feminist literary critics in the 20th century. The novel can be seen as both a sentimental narrative and a critique of cultural and gender norms in Enlightenment-era France. .
[Maison Saint-Joseph] - Comtesse de Béarn; Jourgniac de St-Méard ; Mme de Chastenay ; Alexandrine des Echerolles ; L'abbé Sicard ; Mme Latour ; Mme Roland ; Mme Gauchat ; Mme de Genlis ; RIOUFFE ; Louise de Bourbon-Conti ; Hanet Cléry; etc.
Reference : 51603
(1890)
1 vol. in-4 cartonnage édit. pleine percaline bleue, plat sup. avec fers dorés, toutes tr. rouges, ill. noir et blanc, Maison Saint-Joseph, Lille, s.d. (circa 1890), 324 pp. Contient notamment : Comtesse de Béarn : Souvenir de quarante ans ; Jourgniac de St-Méard : Mon agonie de 38 heures ; Mme de Chastenay : une famille noble sous la Terreur ; Alexandrine des Echerolles : Quelques années de ma vie ; L'abbé Sicard : Sur le seuil de l'éternité ; Mme Latour : un lugubre mémorial ; Mme Roland : Derniers souvenirs ; Mme Gauchat : Journal d'une visitandine ; Mme de Genlis : Sur le chemin de l'exil ; RIOUFFE : Mémoires d'un détenu ; Louise de Bourbon-Conti : Vingt années d'infortune ; Hanet Cléry : Réminiscences des mauvais jours ; etc.
Etat très satisfaisant (couv. lég. frottée en bords, bon état par ailleurs, avec intérieur bien frais et cartonnage très solide).
Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]
Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.
Au bureau du journal.. 21 AVR 1877. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 33 à 48. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Sommaire : LE BOUT DE L'OREILLE ET LE BOUT DE LA QUEUE DE MME DE M***, LA VIE DOMESTIQUE EN ALLEMAGNE DE MME A. AUDLEY, A COTE DE NOUS DE MME DE MAUCHAMPS, LE PALAIS DE JUSTICE DE ROUEN DE ELIE VERNON, UN ENFANT GATE DE ZENAIDE FLEURIOT. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Mme de Staal - Voltaire - Mirabeau - Mme du Deffand - Mlle de Lespinasse - Mme d'Epinay - Frédéric II - Mme Roland - Catherine II - Le Prince de Ligne
Reference : 48317
La Renaissance du Livre sd, in-12 relié demi-cuir à coins, dos à nerfs orné, tête dorée, 220pp - très bon état
« Un best seller sous Louis XVIII » (Lucien Scheler in « Bulletin du Bibliophile », Paris 1988.) Paris, chez Ladvocat, libraire de Son Altesse Sérénissime Monseigneur Le Duc de Chartres, 1824. In-12 de 172 pp. Pte. déch. dans le coin sup. de la page 3 sans atteinte au texte. - [Accompagné de] : Edouard, par l’auteur d’Ourika. Paris, chez Ladvocat, libraire de S. A. R. Le Duc de Chartres, 1825. 2 volumes in-12 de : I/ (2) ff., 238 pp. ; II/ (2) ff., 225 pp., (1) f. de catalogue de l’éditeur, quelques rousseurs. Soit 3 volumes reliés en demi-veau rouge à petits coins, plats de papier rouge gauffré, dos lisses ornés de filets dorés hachurés, tranches jonquille mouchetées de rouge. Reliure de l’époque. 172 x 99 mm.
Éditions parues la même année que les originales, publiées « au profit d’un établissement de charité ». Carteret, I, p. 250 ; Vicaire, III, 535 ; Clouzot, p. 114 ; Vicaire, 535 ; Barbier II, 31 ; Quérard, II, 723 ; Brunet, II, 908. Première édition dans le commerce de ces deux œuvres. L'édition originale d’Ourika fut publiée la même année sans page de titre, imprimée par l'Imprimerie royale en petit nombre (25-40 ex.) pour les amis de la famille. Au verso du faux-titre, on peut lire « Publié au profit d'un établissement de charité ». « La duchesse de Duras (1778-1828), fille d’un capitaine de vaisseau, le comte de Kersaint, mort sur l’échafaud, émigre avec sa mère à la Martinique, puis se fixe à Londres où elle épouse le duc de Duras, un autre émigré. Elle rentre en France après le 18 brumaire, mais, pendant tout l’Empire, vit retirée avec son mari dans son château de Touraine, où elle n’a de relations avec le monde des lettres que son amitié pour Chateaubriand, et surtout pour Mme de Staël. Avec la Restauration, le duc de Duras est nommé maréchal de France et la duchesse rentrée à Paris, tient un salon littéraire assez fermé, où c’est en quelque sorte une consécration mondaine d’être admis. Elle publie ce roman très bien accueilli du public. » (Dictionnaire des auteurs, II, 78). « Sous la Restauration, le salon de Mme de Duras était un des plus brillants. ‘Bientôt, dit Sainte-Beuve, il se forma dans les boudoirs aristocratiques une petite société d’élite, une espèce d’hôtel de Rambouillet adorant l’art à huis clos…’. ». L’esclavage étant interdit sur le territoire français, une mode étrange se répandit dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle : des négrillons arrachés d’Afrique, qu’on sauvait pour ainsi dire de l’esclavage des colonies, étaient offerts ça et là à de riches aristocrates et à des bourgeois qui en faisaient les délices exotiques de leurs demeures ou de leurs salons. C’est ainsi qu’une fillette emmenée du Sénégal recevra une éducation aristocratique et finira sa vie comme religieuse dans un couvent parisien au début du XIXe siècle. C’est de son couvent que la religieuse Ourika, malade, confie à son médecin le chagrin qui a ravagé sa vie et l’a conduite au bord de la tombe. N’est-il pas toujours vrai que pour nous guérir, les médecins ont besoin de connaître les peines qui détruisent notre santé ? Ourika raconte donc son arrivée en France à l’âge de deux ans, son éducation et sa formation intellectuelle auprès de Madame de B. qui « s’occupait elle-même de ses lectures, guidait son esprit, formait son jugement ». Mais, à quinze ans, elle prend brutalement conscience de sa couleur comme le signe par lequel elle sera toujours rejetée, le signe qui la séparait de tous les êtres de son espèce, « qui la condamnait à être seule, toujours seule ! jamais aimée ! » La voilà donc une étrangère parmi ses semblables. Dans sa douleur, la douce compagnie de sa maîtresse et de ses deux fils ne lui sont d’aucun secours. « Je fus rapportée du Sénégal, à l’âge de deux ans par M. Le Chevalier de B. qui en était gouverneur. Il eut pitié de moi, un jour qu’il voyait embarquer des esclaves sur un bâtiment négrier qui allait bientôt quitter le port : ma mère était morte, et on m’emportait dans le vaisseau malgré mes cris. M. de B. m’acheta, et, à son arrivée en France, il me donna à Mme la marechale de B. sa tante, la personne la plus aimable de son temps… » Le charme d’Ourika, c’est que pour la première fois dans la littérature européenne – comme l’a déjà remarqué un romancier anglais – un écrivain blanc pénètre dans une conscience noire avec élégance et sincérité au point de permettre à des lecteurs blancs de s’identifier au personnage. La parution d’Ourika en 1824 procura à la duchesse de Duras l’un des plus grands succès du roman féminin. Instantanément à la mode, cette nouvelle brossait avec finesse l’Histoire d’une jeune esclave noire éprise du fils de ses protecteurs. « Un best seller sous Louis XVIII ». [Lucien Scheler in Le Bulletin du bibliophile, Paris, 1988]. La Duchesse de Duras acquit sa notoriété par de courts romans sentimentaux consacrés à des personnages marginaux et défavorisés par leur condition sociale, comme Edouard, amoureux de la fille de son protecteur. « Mme de Duras a construit un petit roman psychologique très fin et très gracieux, qui peut prendre place entre ‘Adolphe’ et ‘Dominique’ dans la tradition du roman psychologique français. La seule autre œuvre publiée de Mme de Duras est également une longue nouvelle ‘Ourika’ (1823). Ces deux petits chefs-d’œuvre sont injustement oubliés ». (Dictionnaire des Œuvres, II, 514-515). Bel exemplaire de cette réunion des deux grands textes de la Duchesse de Duras conservé dans une jolie reliure uniforme de l’époque. Provenance : ex-libris de la comtesse Victoire de Rigaud de Vaudreuil (1775-1851), épouse du gouverneur du Louvre et contemporaine de Mme de Duras.
Mme de Sévigné. - Mme de Grignan. - Mme de Simiane. - Mme de Maintenon.
Reference : 105779
Paris, Chez Garnery 1829, 145x95mm, reliure d’époque demi-basane brune avec pièces de titre, auteur et tomaison, et filets, encadrements et fleurons dorés au dos. Un filet doré sur les deux plats. Plats, tranches et garde papier marbré. Bel exemplaire, hormis nom du possesseur sur le haut de la page de garde supérieure du tome I.
frontispice - 250 + frontispice - 296 + 286 pages, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Au bureau du journal.. 30 JUIN 1877. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 193 à 208. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Sommaire : LE NAUFRAGE SUR L'HERBE DE MME DE MAUCHAMPS, LE LONG DU DANUBE DE MGR MISLIN, MADAME EGO DE MME DE STOLZ, UNE ADOPTION DE ACHILLE MILLIEN, UN ENFANT GATE XVI DE ZENAIDE FLEURIOT, LA FERME DU MAJORAT XIII DE HIPPOLYTE AUDEVAL. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
1798 Paris, Charles Pougens 1798 [An VI]] First Edition Ouvrage incomplet en 2/3 volumes: 383 + 404 pp., édition originale (1798), 19cm., reliures uniformes d'époque (plats usés ), peu de rousseurs, ensemble,rare, [contient e.a. Pensées et traits, Lettres et fragements de lettres à m. Thomas, de Buffon, de Marmontel, de Saussure sur son plan d'éducation, Moultou, Gibbon, Diderot, Grimm, abbé Galliani, de Chabanon, de Saint-Lambert, Dubucq, etc.],
Pensées, traits et fragments de lettres extraits des carnets de Madame Necker, femme de Jacques Necker, mère de Madame de Staël, et, fondatrice de l'hôpital Necker. Réf. bibliographiques : Quérard, VI-395. Sommaire : Pensées et traits. - Lettres et fragments de lettres : A M. Guibert. - A M.***. - A M. le Ch. Aude. - A M. l'&bbé Barthelemi. - A M. le marquis de Caraccioli. - A M.r ***. - A M. Meister. - A M. de Saussure. - A M. Dubucq. - A M. de Saussure. - A Mme Hubert. -Souvenirs d'une conversation avec M. De Buffon, sur un ouvrage de M. Thomas. - Réflexions grammaticales sur quelques pages d'Emile. - Sur M. Guibert. - Pensées et traits de société. - Lettres et fragments de lettres : A Mme Nadot. - A M. Polier de Saint-Germain. - A M. le docteur Favre. - A M. le comte de Schewalof. - A Mme la comtesse de Montesson. - A M. l'abbé de Lille. - Portrait de Mme Necker. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
BALZAC (Honoré de) - ANICET-BOURGEOIS (Auguste) ; DUMANOIR - Soulié F.- Ponsard - Bayard et Jaime- Delphine de Girardin,Emile de Girardin, Mme - Dumanoir et Mazilier.
Reference : 26345
(1847)
1847 édition du Constitutionnel Imprimerie Boniface, 1847-1848 Paris,reliure in4 demi basane noire,dos lisse à filets dorés, pagination continue 172+ 240p.,texte encadré à 2 colonnes,timbre royal à quelques pages - rare reunion Le Colonel Chabert (version 3e originale),EL VERDUGO,La Grenadiere,Le Réquisitionnaire,La Femme de trente ans ,La Recherche de l’absolu, suivi du Magasin dramatique du Constitutionne comprennant les pieces :ANICET-BOURGEOIS (Auguste) ; DUMANOIR. Le docteur noir, drame en sept actes.edition originale; Soulié F, la cloiserie des Genets- edition originale;Ponsard Agnes de Merane tragedie,Ernest Jaime; Jean-François-Alfred Bayard :Le Réveil du lion, comédie-vaudeville en 2 actes, par MM. Bayard et Jaime ... [Paris, Gymnase dramatique, 2 octobre 1847.].edition originale;Emile de Girardin, Mme Cléopatre; tragédie en cinq actes, en vers, par Émile de Girardin.:edition originale- Le chevalier d'Essonne : comédie-vaudeville en trois actes -Auteur : Charles Dupeuty; Anicet-Bourgeois, M.; A Doche; Théâtre du vaudeville (Paris, France) 1847- edition originale;- Cléopatre; tragédie en cinq actes, en vers, par Émile de Girardin.[Paris, Théâtre-français, 13 novembre 1847.].- edition originale;Les cinq sens, ballet-pantomime en trois actes et cinq tableaux de MM. Dumanoir et Mazilier. Musique d'Adolphe Adam. Décorations de MM. Cambon et Thierry.- edition originale; bon état,trés rare
Textes parus dans le Constitutionnel et reliés ensemble supplément littéraire du Constitutionnel theatre magasin dramatique 1846/1847Le Colonel Chabert sera publié en feuilleton une nouvelle fois dans le supplément littéraire du Constitutionnel en 1847.BALZAC (Honoré de) supplément littéraire du Constitutionnel Eugenie Grandet -En avril 1847, Le Constitutionnel réimprime le roman en cahiers détachables. Le texte compte plusieurs moments de correction, depuis celles du manuscrit et des premières épreuves en placards pour L'Europe littéraire jusqu'à celles faites par Balzac sur le texte publié par Furne, puis le Furne corrigé. Ces modifications successives n'ont pas été sans compliquer quelques données du roman.edition en partie originale;EL VERDUGO (1829)- Œuvre dédiée par Honoré de Balzac A MARTINEZ DE LA ROSALa Grenadiere est une nouvelle d'Honoré de Balzac parue en 1832 dans la Revue de Paris.Le Réquisitionnaire est une nouvelle d’Honoré de Balzac, parue en 1831dans La Revue de Paris et reprise la même année en volume chez Gosselin, puis en 1832 dans les Contes philosophiques chez le même éditeur. Rééditée chez Werdet en 1835 dans la série des Études philosophiques, puis dans l’édition Furne de La Comédie humaine en 1846, elle paraît de nouveau dans Le Constitutionnel en 1847.La Femme de trente ans est un roman d’Honoré de Balzac écrit entre 1829 et 1842. L’ouvrage est classé dans les Scènes de la vie privée de La Comédie humaine et est dédié au peintre Louis Boulanger.La Recherche de l’absolu est un roman d’Honoré de Balzac, paru d’abord en 1834 dans le tome 3 des Études de mœurs, Scènes de la vie privée, puis, fréquemment remanié par l’auteur, il est publié dans une version raccourcie de 40 pages, en 1839, avec une dédicace à Joséphine Delannoy, bienfaitrice du romancier. Enfin, dans sa troisième version (1845), il est classé dans les Études philosophiques de La Comédie humaine.theatre magasin dramatique du Constitutionnel 1847 :ESCLAVAGE). ANICET-BOURGEOIS (Auguste) ; DUMANOIR ; . ANICET-BOURGEOIS (Auguste) ; DUMANOIR. Le docteur noir, drame en sept actes.edition originale;Dès sa création, ce drame fit courir tout Paris. Le célèbre Frédérick Lemaître y jouait le personnage dun esclave affranchi de lîle Bourbon, Fabien le mulâtre, connu dans lîle sous le nom de docteur noir, victime humiliée par amour pour une jeune héritière. « Le premier des blancs qui donnerait sa fille à un homme de couleur, celui-là aurait posé les fondements d'une alliance entre les deux races, celui-là aurait bien mérité de la patrie, celui-là serait un grand citoyen ! » (Acte III, scène 7).Soulié F, la cloiserie des genets- edition originale;Ponsard Agnes de Merane tragedie En 1846, son second ouvrage Agnès de Méranie, que l'on prétendit supérieur à Lucrèce, n'obtint pourtant pas le même succès- edition originale;Le Réveil du lion, comédie-vaudeville en 2 actes, par MM. Bayard et Jaime ... [Paris, Gymnase dramatique, 2 octobre 1847.].edition originale;Auteur : Ernest Jaime; Jean-François-Alfred BayardÉditeur: (Paris) : Impr. de Dondey-Dupré, (date de publication non identifiée)Le chevalier d'Essonne : comédie-vaudeville en trois actesAuteur : Charles Dupeuty; Anicet-Bourgeois, M.; A Doche; Théâtre du vaudeville (Paris, France) 1847- edition originale;Cléopatre; tragédie en cinq actes, en vers, par Émile de Girardin.[Paris, Théâtre-français, 13 novembre 1847.].- edition originale;Auteur : Delphine de GirardinAuteur : Emile de Girardin, Mme Cléopatre; tragédie en cinq actes, en vers, par Émile de Girardin.Les cinq sens, ballet-pantomime en trois actes et cinq tableaux de MM. Dumanoir et Mazilier. Musique d'Adolphe Adam. Décorations de MM. Cambon et Thierry.- edition originale;Auteur : Dumanoir, M.; N Mazillier; Adolphe Adam Représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre de l'Académie royale de Musique, le 14 février 1848.Auteur : Dumanoir; N Mazillier; Adolphe Adam; Académie nationale de musique et de danse (France).Éditeur: [S.l.] : [s.n.], [s.d.] Extrait du Magasin dramatique du constitutionnel.Paginé 233-240.Description: [8] p. ; 4°Éditeur: [Paris?] [1848?]Auteur : Emile de Girardin, Mme Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1910 un dépliant publicitaire in-seize (14 x 10,4 cm), comprenant 6 panneaux, 4 panneaux imprimés d'un seul côté et 2 panneau imprimé des 2 côtés, orné de 7 photos en noir avec légende en rouge, sans date (1910), sans nom d'éditeur (A. DURWALL),
1er panneau : "Les Célèbres CHIENS SAVANTS DU PROF. A. DURWALL" : des chiens peints en noir au premier plan tirant un char au dessus du titre avec au centre en haut du titre les portrait photographiés en médaillon de Mr et Mme DURWALL avec noté dessous : SOUVENIR DE M. & Mme DURWALL ET LEURS ARTISTES, le tout dans un encadrement de six filets rouges, 2ème panneau : Photographie en noir de Mr et Mme DURWALL avec le chien BOUDHA au centre, légendée comme suit en rouge : "BOUDHA le Directeur et ses serviteurs", 3ème panneau : photographie en noir d'un kiosque installé sur une place avec un panneau écrit au dessus : "LES CELEBRES CHIENS SAVANTS", légendée en rouge : "Notre Etablissement en plein air", 4ème panneau : photographie en noir d'un chien faisant du vélo et un autre chien tirant une charrette avec un autre chien à bord, légendée en rouge : "La Direction en ballade", 5ème panneau : photographie en noir de tous les chiens, leur vélos et leurs charettes dans l'Escalier du Kiosque à Musique des Sables-d'Olonne, légendée en rouge : "Visite au Kiosque de Musique des Sables-d'Olonne", 6ème panneau : dessin en noir d'exercices d'ensembles des Chiens savants intitulé : Travail Sensationnel, exercices d'Ensemble original", légendé en rouge : "Les Braves Toutous dans leurs Exercices, 7ème panneau : photographie en noir d'un exercice d'équilibre sur une charette pour huits chiens avec Mr et Mme Durwall derrière, devant la Fontaine de Chateaudun, légendée : "l'Apothéose" La Fontaine de Chateaudun, 8ème panneau : poeme imprimé en noir dans un encadrement de 6 filets rouge : "LE CRI DES TOUTOUS" ..... trés beau et TRES RARE .... dépliant d'époque .... en parfait état (as new condition).
[MARANS Mme de, née EDME Henriette, anciennement attribuée à BÉNOUVILLE Mme de]:
Reference : 20126
(1758)
A Londres et se trouve à Paris, Chez Hardy librairie, 1758. In-12 de [4]-200 pages, pleine basane mouchetée brune, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, tranche rouges.
Recueil que l'on a longtemps attribuée à Mme de Bénouville mais que les recherches récentes ont aujourd'hui rectifiées: d'après "Une femme d'encre et de papier à l'époque des Lumières : Henriette de Marans, 1719-1784..." / édition établie, présentée et annotée par Mathilde Chollet et Huguette Krief, 2017, p. 93-107. Mme de Bénouville, mère de Mme de Livry, à qui l'ouvrage est attribué par Barbier III, 823, a probablement collaboré au toilettage du manuscrit en vue de sa publication. Il existe plusieurs éditions de ce texte, toutes à la même date et même adresse. Le fleuron de la page de titre est chaque fois différent, plusieurs éditions ont 334 pages, la nôtre 200, mais le texte est identique, nous avons vérifié. Il est revanche délicat d'identifier quelle est la première. Coins à peine frottés.
Mme Bl Carey (XIXe), écrivain ayant publié une édition annotée de Mme d'Aulnoy.
Reference : 009932
Mme Bl Carey (XIXe), écrivain ayant publié une édition annotée de Mme d'Aulnoy. 2 L.A.S., 11 mai 1876 & 13 juin [1876], 3pœ in-12 & in-8. A Arthur Mangin. La première lettre réclame un article sur la deuxième partie de son édition annotée de Mme d'Aulnoy, la seconde pour remercier de l'article. [299-2]
Hachette, 1926, in-8°, 245 pp, un portrait en frontispice, sources, reliure percaline bleue, pièce de titre maroquin carmin, couv. conservées, bon état (Coll. Figures du passé)
"Mme Saint-René Taillandier va faire paraître, à la librairie Hachette une très intéressante étude sur la princesse des Ursins. Cette Française, aussi spirituelle qu'avisée, fut, envoyée par Louis XIV à la Cour d'Espagne, où le roi Philippe V, âgé de dix-sept ans, venait d'épouser Marie-Louise de Savoie qui en avait treize..." (Le Figaro) — "Mme Saint-René Taillandier continue la série de ses biographies, écrites pour le grand public lettré, et la dernière est peut-être plus séduisante encore que les précédentes. Sans doute il est impossible qu'à vouloir pénétrer ainsi l'intimité des consciences on ne mêle pas quelque peu l'hypothèse à la stricte vérite historique. Sa 'Mme des Ursins', comme naguère sa 'Mme de Maintenon', sont, dans une certaine mesure. des créations de son esprit, si soigneusement et si sincèrement qu'elle ait interpreté ses sources. Mais cette sincérité même, et la psychologie pénétrante, qui caractérise avant tout le talent de Mme Saint-René Taillandier, font l'interêt de ses études et obligent à réfléchir." (G. Pagès, Revue Historique, 1928)
s.l., 1795, 1 br., sans couverture, exemplaire à relier. in-8 de 64 pp. ;
"Aprés la chute de Robespierre, Mme De Staël publie cette brochure qui contient tout ce qu'elle osait exprimer de ses idées sur la situation intérieure et extérieure de la France. C'est par ce fait même un document précieux pour l'histoire de l'esprit de cette époque. Elle s'adresse au premier ministre britanique parce que l'Angleterre devrait être à son avis, le génie impartial des puissances européennes, grace à sa constitution idéale, un chef-d'oeuvre de la raison et de la liberté. Le Royaume-Uni comme protecteur de l'ordre social aurait du éviter les guerres de coalition contre la France, au lieu de s'y allier et d'empécher ainsi le progrés des nations. Dans la première partie consacrée à une analyse de la force actuelle de la France, Mme de Staël constate que toute la puissance de la Révolution consiste dans l'art de fanatiser l'opinion publique pour des intéréts politiques nationaux. Les échecs de grands hommes comme Necker, La Fayette ou Mirabeau et la faiblesse du Parlement ont préparé la voie au régime sanglant d'un tyran moderne, Robespierre, qui a noyé dans le sang la liberté qu'il prétendait défendre. Or, pour Mme De Staël, c'est avant tout à cause de la pression extérieure que le parti contraire aux jacobins ne pouvait offrir aucune base d'unité intérieure. [...] Mais l'écho aux "Réflexions sur la paix", adressées à l'ennemi le plus farouche de la France, ne sera pas favorable de sorte que Mme de Staël sera présentée dans les gazettes comme une contre-révolutionnaire et que naissent, en 1795 ses premiers conflits politiques avec la Convention." (Alfred Noe). Au Parlement britannique, ce texte recueille les éloges de Fox. "Il y a une inspiration antique dans cette figure de jeune femme qui s'élance pour parler à un peuple, le pied sur les décombres tout fumants."Ref. Biblio.: Lonchamp 25; Monglond III, 495; Martin W. 31986.
Phone number : 06 80 15 77 01
Cleden Renée,Kirk Mme J.C.,Wilding Mme Ralph,Honoré Mme L. - Wilding Ralph - Kirk J.C.,Honoré L.
Reference : 99927
(1933)
Pierre Boujut, Mme A. Freisseix, Mme Cadet, Robert Simonnaud, Jean Tautou, Alain Meunier, Mme Fournier, …
Reference : 22767
(1973)
La Rochelle, Société d’Etudes Folkloriques du Centre-Ouest - Poitou – Aunis – Saintonge - Angoumois, numéro spécial, 1973. Broché, 16 cm x 24 cm, 381 pages, illustrations et photos noir & blanc in et hors-texte. Textes de Pierre Boujut, Mme A. Freisseix, Mme Cadet, Robert Simonnaud, Jean Tautou, Alain Meunier, Mme Fournier, … Bon état
[Mme Ve Louis Janet] - LACROIX, Mme ; [ BIFFE, Apolline ; LACROIX, Mme Paul ]
Reference : 64227
(1854)
Sur acier, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-chagrin rouge, dos à 4 nerfs dorés orné, toutes tranches dorées, doubles filet doré d'encadrement en plats, Mme Ve Louis Janet, Paris, s.d. [ circa 1854 ], VII pp., 3 ff., 197 pp.
Joli keepsake rédigé par Apolline, l'épouse de Paul Lacroix (le "Bibliophile Jacob"). Bon état (reliure un peu frottée avec petit accroc en queue, qq. rouss.)
Lavigne Mme,Donvé Mme,Ghinassi Mme - Chautagne Marc - Monréal Hector,Blondeau,Siraudin Paul
Reference : 93431
(1875)
Avocat Gustave 1875
Bon état Petit format
Au bureau du journal.. 19 JUIN 1875. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 177 à 192. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Sommaire : LES HEROS DES CROISADES DE A. DE COURSON, DISPARUE DE ZENAIDE FLEURIOT, LE MUR MITOYEN DE MME DE STOLZ, L'EGLISE DU VOEU NATIONAL DE ZENAIDE FLEURIOT, SALON DE 1875 DE MME DE MAUCHAMPS, MONSIEUR NOSTRADAMUS XI DE ZENAIDE FLEURIOT, LA PECHE SUR LA COTE D'ARCACHON DE B.H REVOIL, SONGERIES D'UN ERMITE DU COMTE DE NUGENT. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Au bureau du journal.. 10 JUIN 1876. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 176. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Sommaire : LONDRES ET PARIS DE MME DE MAUCHAMPS, LA MORT DANS LA MAISON DE XAVIER MARMIER, UNE NOUVELLE PUBLICATION DE MME DE MAUCHAMPS, SOUVENIRS DE VOYAGE - FRANCFORT-SUR-LE-MEIN DE VICTOR FOURNEL, UN FRUIT SEC XI DE ZENAIDE FLEURIOT, SONGERIES D'UN ERMITE DU COMTE DE NUGENT. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Au bureau du journal.. 14 AVR 1877. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 17 à 32. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque