A Paris, Chez Mathurin Henault, 1649 in-4, 8 pp., vélin ivoire, dos muet (reliure pastiche).
Sont reliés à la suite une autre édition de cette mazarinade, mais dont le titre ne comporte pas le nom de l'imprimeur.Inséré entre ces deux éditions, le même texte, mais incomplet car à partir de la page 5, c'est le texte d'une autre mazarinade.Moreau, 3669, pour les deux éditions. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., 1649 in-4, 11 pp., dérelié. Mouillure claire suprapaginale.
Intéressante mazarinade anti-parlementaire, qui dénonce dans les officiers de justice les troisièmes accapareurs de la fortune publique, après les princes et les financiers : "Après la bourse des princes et de quelques partisans, qui possède tout l'argent de France, sinon eux à qui appartiennent les plus riches fermes, les plus superbes chasteaux, les plus belles terres, & les meilleurs fiefs nobles de la campagne?" Ce qui était justement mettre le doigt sur la connivence économique de classes qui s'affrontaient en apparence.Moreau III, 3068.
S.l.n.d. (février 1649) in-4, 19 pp., broché sous couverture de papier crème du XIXe siècle. Une mouillure initiale, importantes rousseurs.
Il y a plusieurs éditions de cette mazarinade "raisonnable", signée "Le Solitaire", et censément composée "Au désert" en février 1649, vraisemblablement plus près des conférences de Rueil que du début du mois.Moreau I, 498.
Paris, Robert Sara, 1649; in-4, 24 pp., broché sous couverture factice de papier bleu XIXe.
Voilà une mazarinade à contenu - ce qui n'est pas si courant -, et qui entame une vraie réflexion politique - ce qui est encore plus rare. L'auteur s'élève contre le principe de l'absolutisme, qu'il a cependant tendance à caricaturer un peu ; et contre les partisans, ce qui est plus commun, il faut dire. Moreau II, 2406 (longue notice, ce qui est inhabituel chez ce bibliographe).
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Paris, s.n., 1652. In-4° surjeté, couv. bleue muette du XIXe s. 20 pp.[C30]
Savoureuse mazarinade rédigée sous forme de proverbes qui épinglent avec esprit les principaux personnages de la cour. Moreau, 4033.
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Paris : Jacques Guillery, 1649 In-4, 12 pages. Broché, extrait d’un recueil.
Mazarinade. “Quand le mensonge et le déguisement de ceux qui sont auprès [du Roi] ne luy font jamais voir la vérité qu’au travers d’un nuage...” Moreau 590.
Paris : 1649 5 opuscules in-8, 8-8-8-8-11 pages. En feuilles, sans couverture.
Les cinq premières parties de cette importante Mazarinade. Dans le Mascurat, Naudé la classe parmi les "plus agréables et ingénieux livrets que l'on ait faits contre le cardinal", "fort naïve en son patois et soutenue de pointes assez gaillardes". Les cinq premières parties furent écrites en 1649. Moreau 54.
1649 ; in-4°, broché, couverture marbrée. - 8 pages - C'est une réponse à la Requête civile contre la conclusion de la Paix . Moreau 95.
Paris, Nicolas Jacquard, 1650. 6 pp. in 4°.
Elle est du 25 octobre. Elle a été traduite par Bugeol, interprète des langues orientales. On faisait de l’affaire de ces Arméniens un grief contre Mazarin. [Moreau, 2115].
Paris : Nicolas Boisset et Jean Brunet, 1649 In-4, 18-8 pages. Broché.
« Naudé revient trois fois sur cette lettre dans le Mascurat, pages 11, 199 et 208 ; et toujours il la cite comme un des plus remarquables pamphlets. Guy Patin la range parmi les meilleurs. » Moreau 2099.
S. l. : 1649 In-4, 7 pages. Broché.
« Assez spirituel, mais trop libre. » Moreau 1927.
S. l. : 1649 In-4, 7 pages. Broché.
« De l’esprit et du libertinage ». Moreau 1940.
S. l. : 1649 In-4, 8 pages. Broché.
« Ni moins spirituel ni moins libre que la Lettre de la petite nichon… » Moreau 2050.
Paris : 1649 In-4, 32 pages. Broché.
« Guy Patin la cite parmi les meilleurs pamphlets. » Moreau 2128.
Paris : Nicolas Jacquard, 1649 In-8, 20 pages. Broché, sans couverture.
Seconde partie de la pièce intitulée "Le second théologien d'état à la reyne, pour faire déboucher Paris." Naudé et Patin citent ce pamphlet parmi les meilleurs. Il est surtout remarquable par la pureté de son style (Moreau n° 3770).
A Paris, Chez Arnould Cotinet, 1649 in-4, 6 pp., broché, sous papier. Petites galeries de vers, sans gravité.
Moreau, II, 1968 : "Datée du 21 janvier, et signée Cusson."
A Paris, 1649 in-4, 24 pp., broché, papier marbré. Rousseurs.
Moreau, III, 3924.
Paris, Pierre Sevestre, 1649 in-4, 6 pp., en feuilles.
Comme plus tard, sous la Révolution, les Parisiens préfèrent garder la personne du Roi dans leurs murs ...Moreau III, 3809.
Paris, Imprimeurs & Libraires ordinaires du Roy, 1649 in-4, 4 pp., en feuille.
Sur les propositions de paix faites par l'Archiduc Léopold de Habsbourg (1614-1662), évêque de Strasbourg, Olmütz et Breslau, pour terminer le conflit entre les deux maisons.Moreau I, 257.
Paris, François Preuveray, 1649 in-4, 12 pp., débroché.
Charles II de Lorraine, duc d'Elbeuf (1596-1657) ne participa point à la Journée des Barricades du 28 août 1648, il suivit même la Reine et Mazarin à Saint-Germain le 6 janvier 1649, mais revint à Paris dès le 7, et se mit dès lors, avec ses trois fils, et 20 cavaliers, à la disposition du Parlement, qui le fit nommer général en chef de l'armée parisienne. Le rôle qu'il aurait pu jouer fut traversé par le cardinal de Retz, qui le détestait.Moreau III, 3267.
Paris, Imprimeurs & Libraires ordinaires du Roy, 1652 in-4, 6 pp., débroché.
Edition originale de cette pièce qui connut au moins trois sorties, et fut lue par le Président de Bellièvre aux parlementaires. Moreau III, 3962.
Anvers [Paris], s.d. (1650) in-4, 7 pp., débroché.
Pièce entièrement en vers, qui égrène les lamentations de Condé après sa défection.Moreau, I, 844.
Paris, 1650 in-4, 7 pp., débroché.
Rare pièce en vers, à allusions semi-érotiques, sur l'emprisonnement de Condé.Moreau III, 3538.
Paris, Pierre Du Pont, 1650 in-4, 14 pp., débroché.
Epître composée dans un style éminemment larmoyant : l'auteur est sans aucun doute un partisans des Princes.Moreau I, 1104.
Paris, Jean Brunet, 1650 in-4, 8 pp., débroché.
Pièce en vers, qui donne une amusante paraphrase du Magnificat, à l'occasion de l'emprisonnement des Princes : "Car il a veu l'humilité / De sa très fidelle servante / Qui malgré la témérité / D'un prince fut tousiours constante / Donc toutes générations / M'estimeront beaucoup heureuse / D'avoir entre les bastions / Renfermé cette âme orgueilleuse [= Condé]".Moreau II, 2340.