Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain, membre de l'Académie française.
Reference : 016983
Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain, membre de l'Académie française. L.A.S., 10 juin 1859, 1p 1/2 in-8. Au peintre Louis Français (1814-1897). « Monsieur Français, mon cher ami, permettez-moi de vous dire avec tout le respect que je dois à votre beau talent et à votre aimable caractère, que vous être une vieille bête. À quoi riment les remerciements entre nous ? Vous avez fait un bon tableau, j'ai dit ce que j'en pensais, voilà tout, c'est fort simple et ne méritait pas les deux sous de timbre poste que vous avez si follement dépensé à mon intention. Sur ce, pas un mot de plus, sortez ! Si vous voyez Matout, le brave des braves, l'enfant chéri de la victoire, dit Pape à l'oeil ou le Zouave de la réboisière, dites-loi mille tendresse de ma part. Quant à vous, cher Pénitre Passagète, je vous pardonne pour cette fois et vous aime de tout mon coeur. Maxime du Camp ». Il est donc question du peintre Louis Matout (1811-1888). On notera l'expression « Pénitre Passagète » qu'on retrouve aussi dans les souvenirs de Maxime du Camp. Amusante lettre. [396]
Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain, membre de l'Académie française.
Reference : 016984
Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain, membre de l'Académie française. L.A.S., 22 février 1875, 1/2p in-8. « Merci, mon bon ami, de votre aimable et fidèle souvenir ; vous ne m'avez jamais oublié pendant la durée de cette longue et lente publication ; je tiens à vous dire que j'en suis très touché. Tout à vous. Maxime du Camp ». [396]
Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain, membre de l'Académie française.
Reference : 016519
Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain, membre de l'Académie française. L.A.S., Baden-Baden, 16 août 1883, 1p 1/4 in-8. A un abbé. Il se réjouit qu'un article « ait engagé quelques bourses » au profit de son oeuvre. En revanche, il ne peut pas autoriser la publication en brochure illustré car ses études doivent être publiées en volume par Hachette. Il indique donc la personne à contacter. Il s'agit peut-être d'une oeuvre dont Du Camp parle dans La Charité privée à Paris (Paris, Hachette, 1885). [380]