Paris, Ernest Leroux, 1926, in-8, [4]-295 pp.; 10 pl. de reproductions photographiques, 1 carte depl, Broché, couverture imprimée de l'éditeur, Édition originale, peu courante. Collection de la Revue du monde musulman. Avec en annexe une carte dépliante du Dahomey et des planches de dessins montrant les scarifications faciales rituelles, les amulettes musulmanes et un fac-similé de l'écriture de Liadu-Ahmidou. Le lieutenant-colonel Marty (1882-1938), officier supérieur français et administrateur colonial, était un érudit et fin connaisseur de la langue arabe. Il appartenait à l'Académie des sciences coloniales et au Comité d'études historiques et scientifiques de l'Afrique occidentale française. Il étudie ici les groupement ethniques du Bas et du Haut Dahomey et s'intéresse plus précisément aux communautés islamiques, ainsi qu'au droit coutumier et aux institutions sociales; il présente également les croyances animistes et les pratiques médico-magiques, notamment des féticheurs. Cachet effacé sur la couverture. Couverture usée. Couverture rigide
Bon [4]-295 pp.; 10 pl. de
Paris, Ernest Leroux, 1916, in-8, 252 pp, Broché, couverture originale imprimée, Rare seconde édition de cette monographie illustrée de reproductions photographiques en noir. Anecdotiques rousseurs, minuscules manques et déchirures au dos. Couverture rigide
Bon 252 pp.
Paris , Ernest Leroux, 1915 , in-8 , 2ff.-478pp.-2ff. , illustré de nombreuses photos , relié demi maroquin , dos à nerfs avec titre , année , couverture conservée ,nombreuses photos ,frottements aux plats , coins usés.
Le lieutenant-colonel Paul Marty, administrateur colonial, connaisseur de la langue arabe, notamment un spécialiste de l'islam subsaharien, nous livre ici une étude sur l’islam au Sénégal , Sierra-Leone , Guinée et en Mauritanie , un région constamment déstabilisé par les différentes factions et confréries présentes ,où la France prenait sa part , on y trouve , à travers le propos de l’auteur une histoire de l’Afrique méconnue dont les tensions sont toujours actuelles . Cheikh Sidïa et sa «voie» , les Fadelïa , les Ida ou Ali , Chorfa Tidianïa de Mauritanie , le groupement de Tidiani d’Al-Hadj Malik , le groupement Bou Kounta , les Mandingues éléments islamisés de Casamance et le Chérif Younous de Casamance constitue les chapitre du livre.P2-5C
<p>Extrait de la «Revue des études islamiques« année 1930.</p> Paris, 1930 Geuthner pp. 334-430, 7 planches N/B, broché. 18,7 x 23,7
Occasion
Musica films. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 4 pages augmentées de partitions en noir et blanc.Saxo alto, accordéon, saxo ténor, tromlpette, clarientte. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Paroles de Derossi et Christabell. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Imp. de sarcelles.. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 20 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Classification Dewey : 792-Théâtre
Paris; Éditions Ernest Leroux, collection de la "Revue du Monde Musulman", 1 volume de format 25 x 16,5 cm, reliure pleine basane, 588 pages, bon état.
Frais de port offerts en colissimo pour la France.
TOULOUSE, Apostolat de la Prière, 1943 -In-8, 15,5 x 21 cm - Reliure toile amateur - Couverture conservée & illustrée en couleurs - n frontispice-carte du portugal - Dessins en N/B de Paul Marty - 224 pages vie secrète et pénitente des voyants de Fatima, dessin de Paul Marthy, nouvelle édition, augmentée de récits nouveaux, tirage spécial pour la Belgique?
- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris H. Piazza 1946 in-8 broché Paris, H. Piazza, 1946. 20,5 x 14 cm, in-8, 151 pp., une illustration en couleurs à pleine page et nombreux ornements en couleurs dans le texte par Marty, broché, couverture blanche rempliée illustrée en couleurs, étui muet de l'éditeur.
Tirage de luxe justifié à 250 exemplaires. Celui-ci l'un des 200 exemplaires sur "crèvecoeur" des papeteries du Marais, deuxième papier après 50 sur Hollande Van Gelder et avant les nombreux exemplaires ordinaires sur vélin Boucher (n° 133). Rare en grand papier. Bel exemplaire. (MONOD, 5294) Très bon
FORT Paul & DRUART René & JAMOT Paul & TOUNY-LERYS & VERANE Léon & WILLETTE Adolphe & DELAW Georges & MAUBLANC René & VAILLAND Roger & MUSELLI Vincent DELAW Georges & WILLETTE Adolphe & LEPERE Auguste & WALBAUM Marcel & MARTY André-Edouard
Reference : 75420
(1922)
Le Pampre, Reims 1922-1926, 16,5x20,5cm, broché.
Collection complète en 24 numéros et 18 fascicules de cette revue littétaire animée par de nombreux poètes. Contributions de Paul Fort, Léon Vérane, Paul Jamot, Gaston Foubert, Germaine Lepage, René Duart, René Maublanc, Mercutio, Roger Vailland, Vincent Muselli, Georges Delaw, Touny-Léris, Paul Neveux, Max Buffenoir, Adolphe Willette, A.M. Gossez, Marcel Sézanne, Emile Sedeyn, Roger Lecomte, Théotime... Illustrations de Georges Delaw, Auguste Lepère, André-Edouard Marty, Adolphe Willette, Léon Bellot, Maurice Louvet, Edmond Chauvet, Eugène Bourgouin, Robert Coutin, Claude Renard, Pierre Subtil, Denise Hubrecht-Petitjean, Bel et rare ensemble bien complet du N°10-11 entièrement consacré au Haïkaï français. Nous joignons une carte de visite de René Druart sur laquelle il a ajouté quelques mots manuscrits ainsi qu'une lettre autographe signée et datée du 4 Janvier 1924 à en-tête de la revue "Le Pampre" également de René Druart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Hachette 1948 1 Un volume cartonné souple de format in 4° de 32 pp.; nombreuses illustrations en couleurs dans le texte par A-E. Marty.
Couverture légèrement brunie sinon bel état. Voir les photos.
Paris, Hachette, 1938 (323x250mm) in-folio broché de 32 pp, dos papier blanc, illustrations par A.E. Marty. L'illustration de couverture représente un ange et une sainte. EDITION ORIGINALE. Rare ENVOI de l'illustrateur A.E. MARTY. (signed by artist). ETAT: Petits manques de papier au dos, légers frottements (coins) sinon couverture en bon état et propre, intérieur en bon état.
Imagée par A.-E. MARTY. Paris. Hachette. 1952. In-f°(237 x 317mm) cartonnage de l'éditeur illustré en couleurs sur les 2 plats, 32 pages, 25 illustrations couleurs dans le texte et grande illustration sur double page par A.-E. MARTY. Petit manque en queue (3cm), menus défauts mais bon exemplaire.
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1940, in-folio, complèt. broché, couverture illustrée en couleurs . Bel état.
Louis Hourticq: Art et travail. / Louis Gielly: L'école espagnole au musée du Prado (16 illustrations en couleurs dont 6 en pleine page). / La Varende: La famille aux champs (9 illustrations de A. Brenet). / Marcelle Maurette: Cathédrales vivantes (8 aquarelles en couleurs de Serge Ivanoff). / Jacques Baschet: Laques et Bronzes (12 illustrations dont une en double page). / Paul Wenz: Les sandales (10 illustrations en couleurs de A.-E. Marty). / Rubrique des usagers de l'automobile. A carburants nouveaux, nouveaux carburateurs.
Phone number : 41 (0)26 3223808
(Paris), (Librairie Hachette), (1938). Un vol. au format in-4 (317 x 242 mm) de 30 pp. Reliure d'édition de plein cartonnage illustré.
Edition originale. Premier tirage des délicieuses compositions en couleurs d'André-Edouard Marty. ''Dont les très nombreux livres qu'il illustra ont su conquérir les amateurs, par la grâce de ses personnages ainsi que du décor qui les entoure''. (in Bénézit). Bénézit VI, Dictionnaire des peintres, p. 228 - Saint-Martin, 5.000 dessinateurs de presse, p. 547. Plats présentant un éclat altéré ainsi que quelques altérations superficielles éparses. Rousseurs dans le corps d'ouvrage. Du reste, bonne condition.
Paris, L'Edition d'art H. Piazza, 1946, in-8, broché sous couverture rempliée et étui, 151 pages. Bel exemplaire très frais. Un des 200 ex. sur Crèvecoeur après 50 ex. sur Hollande. Celui-ci numéroté à la main N° LXXIX. Frontispice en couleurs, bandeaux et culs-de-lampe (pochoir) par A.E. Marty sous jaquette imprimée. Ex-dono.
Paris, Hachette, réédition de 1943,, in-folio (318x250mm) broché de 32 pp, illustrations par A.E. Marty. Petites traces d'usage sur la couverture sinon en bon état, intérieur en bon état (rares rousseurs en marge).
Paris, Hachette, réédition de 1943, (318x250mm) in-folio broché de 32 pp, illustrations par A.E. Marty. Petites traces d'usage sur la couverture sinon en bon état, intérieur en bon état.
Paris, Hachette, 1938 (323x250mm) in-folio broché de 32 pp, dos papier blanc, illustrations par A.E. Marty. L'illustration de couverture représente un ange et une sainte. EDITION ORIGINALE. On joint une illustration à part (la femme idéale) extraite d'une revue. Infimes défauts sur la couverture sinon en très bon état (fraiche), intérieur en très bon état (un cachet en marge, propre et frais). Bel exemplaire.
Paris, Hachette, réédition de 1948, (318x250mm) in-folio broché de 32 pp, illustrations par A.E. Marty. Traces d'usage sur la couverture correcte, intérieur en bon état (traces d'usage). Etat correct.
DAVID R. / MARTY Henri / LAFITTE Robert / GUILLEN Emile / BARRIER Paul
Reference : 10875
Paris, Edition " ARC TENDU ", 1942, format 210x135mm, broché, 112 pages, nombreuses figures sur l'ensemble de l'ouvrage, exemplaire en bon état.
Sommaire : Préface par Henri MARTY, Pourquoi les demi-journées de plein air ?, Comment organiser une demi-journée de plein air, Activités proposées, La Formation Physique, Jeux de plein air, Chants, Danses et Bibliographie.