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‎[Charles Martin] - ‎ ‎LA FONTAINE, Jean de | MARTIN, Charles (illustrateur) ‎

Reference : AMO-4515

(1930)

‎Les Contes et Nouvelles en vers de Jean de La Fontaine. Illustrés de soixante-quatre hors-texte par Charles Martin. ‎

‎Librairie de France, 110, Boulevard Saint-Germain, Paris, 1930 2 volumes grands in-4 (28,5 x 13 cm) brochés de (6)-XXI-249-(6) et (6)-361-(1) et (17) pages d'introduction signée André Fontainas. Avec 64 illustrations hors-texte de Charles Martin dont 32 rehaussées en couleurs au pochoir à l'aquarelle, les 32 autres étant en noir. Les aquarelles originales de l'artiste ont été reproduites par la photogravure (non interprétées donc). Couvertures imprimées en brun et bleu à rabats. Le texte est imprimé en noir avec encadrements, ornements et décors imprimés en bleu ciel. Exemplaire encore protégé par son papier cristal d'origine et dans son emboîtage spécial en papier bleu titré imprimé. Partiellement non coupé (presque entièrement). Petites amorces de fente du papier au dos du premier volume, sans aucune gravité. Beau papier d'Arches fort resté bien blanc sans rousseurs. Le tirage a été de 3.000 exemplaires. Celui-ci est un des 350 exemplaires sur papier d'Arches. Il a été tiré 15 ex. sur Japon, 50 ex. sur Hollande, 350 ex. sur Arches, 1500 ex. sur vélin pur fil Lafuma et 1500 ex. sur vélin d'alfa Navarre. Notre exemplaire porte le numéro CCCXVII. Notre exemplaire contient livré à part la suite des 15 eaux-fortes libres tirées à très petit nombre. Elles sont tirées en noir sur papier d'Arches également. Notre exemplaire contient livré à part la suite complète des 64 hors-texte (32 coloriés et 32 en noir). Enfin, notre exemplaire contient livré à part 8 aquarelles originales ayant servies à l'impression de l'ouvrage (dont une seule est signée et est l'aquarelle définitive ayant servie au clichage pour l'impression) et une esquisse d'une illustration de la suite libre. Soit un total de 9 oeuvres originales de l'artiste présentes avec cet exemplaire.‎


‎Inutile de revenir sur le texte des Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, paru pour la première fois entre 1665 et 1671 (sans illustrations) et pour la première fois illustré en 1685. Aquarelle originale monogrammée Aquarelle originale signée (définitive) ayant servi au clichage De nombreux artistes ont illustré ces Contes et Nouvelles en vers, toujours lestes ou grivois, avec ou sans l'inspiration délibérément érotique que chacun a pu y mettre depuis la première édition illustrée de 1685. Aquarelle originale monogrammée Les Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, inspirés de plusieurs œuvres françaises et italiennes des XVe et XVIe siècles, dont le Décaméron de Giovanni Boccace, Orlando furioso de Ludovico Ariosto, le recueil anonyme des Cent Nouvelles Nouvelles et l'œuvre de Bonaventure Des Périers, sont mille fois plus réjouissant à lire que les célèbres Fables dont on a rebattu les oreilles de tout élève en devenir d'être un homme. Les Contes et Nouvelles avaient sans l'ombre d'un doute mille fois plus de raisons pour forger un homme près à affronter son destin croisant celui des dames. Chacun cherche son chat ... Aquarelle originale monogrammée Cette édition est à tort négligée des bibliophiles du fait d'un tirage trop important. Il faut rechercher comme ici les exemplaires de luxe. Aquarelle originale monogrammée Les aquarelles originales de Charles Martin sont très prisées des amateurs. Il fut un des grands illustrateurs de la période Art Déco. Charles Martin est né à Montpellier en 1884 et mort à Paris en 1934 à l'âge de 50 ans seulement. Sa production est très importante. Il a contribué à l'illustration de nombreuses revues d'art et de mode depuis 1912 (Gazette du Bon Ton, Femina, etc). La guerre où il sert comme simple soldat d'infanterie stoppe nette sa carrière mais il continue malgré tout à dessiner et à envoyer ses travaux à la presse, tant qu'il peut. Lors d’une permission, il montre son travail à Lucien Vogel, le créateur de la révolutionnaire Gazette du Bon Ton. Enthousiaste, l’éditeur lui propose d’en tirer un album. Sous les Pots de Fleurs (le terme désigne le casque Adrian qui équipe l’armée française) paraît le 1er décembre 1917. Comme un Laboureur ou un Chas Laborde, Martin refuse de se soumettre à la « culture de guerre ». On ne trouve chez lui aucune des outrances et conventions du dessin naturaliste et de son pseudo réalisme. Il revient de la guerre. Le style de Charles Martin, au trait délicat, excelle dans les techniques de l'eau-forte et du pochoir rehaussé d'un trait typographique. Influencé par le cubisme, son style devient épuré et se caractérise par un trait précis, efficace et joyeux. Il s'oriente rapidement vers le luxe et l'art décoratif. Il exerce son talent dans les domaines les plus variés : mode, flacons de parfumerie, meubles, papiers peints, affiches, etc. Charles Martin a illustré une vingtaine de livres dont les Contes et Nouvelles de La Fontaine que nous présentons ici. Nous soupçonnons par ailleurs Charles Martin d'avoir illustré un clandestin totalement érotique en 1926 dont le trait est vraiment typique de l'artiste (mais ...). Aquarelle originale monogrammée Exceptionnel exemplaire contenant 8 aquarelles originales abouties et 1 esquisse pour une composition libre, une suite libre de 15 eaux-fortes en noir et une suite complète des 64 compositions hors-texte (soit 143 estampes au total). Très bon exemplaire tel que paru.‎

Librairie L'amour qui bouquine - Alise-Sainte-Reine

Phone number : 06 79 90 96 36

EUR4,900.00 (€4,900.00 )

‎[Charles Martin] - ‎ ‎MARTIN, Charles.‎

Reference : 1713

(1933)

‎MASCARADES ET AMUSETTES. Exemplaire unique avec 14 dessins originaux de Charles Martin.‎

‎Se trouve pour les amateurs à Paris à l'enseigne du nombril de Vénus (1933). Un Album in-folio oblong (310 x 415 mm), en feuilles, chemise toilé à quadruple rabat. Très rare album commandé à Charles Martin par Marcel Valotaire, Jean Beauclair et Georges Cretté, composé d'un titre illustré et de 12 planches très libres, en couleurs et en noir, gravées à l’eau-forte au repérage par Charles Martin. Chaque planche est présentée dans une chemise légendée. Feuillet de justification en fin d'ouvrage. Celui-ci exemplaire J comprenant : La planche de titre en état définitif couleur, état en noir et état avant la lettre ; les 12 COMPOSITIONS LIBRES EN 4 ÉTATS : couleur, noir, eau-forte pure, état avec très importantes remarques. Cet exemplaire est accompagné de : 6 DESSINS ORIGINAUX AU CRAYONS DONT UN REHAUSSÉ DE COULEUR, 8 DESSINS DÉFINITIFS À L'ENCRE DE CHINE (PLUME) DONT UN ENTIÈREMENT AQUARELLÉ, tous au format 310 x 415 mm et un dépliant, et 4 rarissimes "kodatraces" gravés ayant servis au reports sur cuivre des originaux de Charles Martin. ‎


‎Exemplaire unique et exceptionnel provenant des archives de l'artiste. Rousseurs claires éparses, taches marginales notamment sur certains dessins originaux. Provenance : Archives Charles Martin, collection Yves Plantin (1972). Références : Dutel II, n° 1937.‎

Phone number : 06 88 90 24 07

EUR15,000.00 (€15,000.00 )

‎Martin Charles-Noël‎

Reference : 130664

(1961)

‎L’univers dévoilé d’un infini à l’autre‎

‎Plon, coll. « D’un monde à l’autre » 1961 In-8 cartonnage éditeur sans jaquette 21,5 cm sur 14. 262 pages. Illustrations en noir et blanc in et hors-texte. Bon état d’occasion.‎


‎ Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR21.00 (€21.00 )

‎Charon Jean ; Martin Charles-Noël (préface)‎

Reference : 127671

(1967)

‎Les grandes énigmes de l’astronomie‎

‎Editions Planète, coll. « L’Encyclopédie Planète » 1967 In-12 reliure éditeur pleine toile sans rhodoïd 18,4 cm sur 16,5. 253 pages. Bon état d’occasion.‎


‎ Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR17.00 (€17.00 )

‎[Martin (Charles)] La Fontaine (Jean de)‎

Reference : 24265

(1930)

‎Les Contes et nouvelles en vers.‎

‎Librairie de France 1930 2 volumes in-4 carré, chemises rempliées et emboîtages, XX- 249 -7- 6-361- 21 pp. Illustrés de 64 gravures hors-texte dont 32 en couleurs‎


‎Tirage à 3415 exemplaires numérotés, un des 350 num. sur Arche contenant un état des 15 eaux-fortes. Notre exemplaire comporte en sus une suite non justifiée des 64 gravures en noir et en couleurs, le spécimen de souscription et un dossier de correspondance de l’éditeur relativement à la souscription. Bon état d’occasion Illustrés romantiques et modernes‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR609.00 (€609.00 )

‎Martin Charles-Noël‎

Reference : 27336

(1958)

‎Les Treize marches vers l’atome‎

‎Horizons de France 1958 In-8 cartonné. Très bon état d’occasion.‎


‎ Très bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR19.00 (€19.00 )

‎[MARTIN, Charles ; LISSAC, Pierre ; VALLEE, Armand ; CARLEGLE. ] - ‎ ‎MONTORGUEIL, Georges ; FOREST, Louis ; MARTIN, Charles. ‎

Reference : 2447

(1925)

‎Monseigneur le Vin. ‎

‎Paris, Etablissements Nicolas, 1925-1927. 4 tomes reliés en 2 volumes. In-8 - 14,5 x 20 cm. Reliures modernes en demi-basane fauve racinée, dos lisses titrés à l'or, plats de papier marbré. 120 pp., 1 f. ; 105 pp., 2 ff ; 83 pp. ; 84 pp. Célèbre publication richement illustrée, imprimée par Draeger pour les vins Nicolas, comportant ici 4 des 5 volumes de la série, reliés comme suit : Le premier volume contient : L'art de boire. Préparer, servir, boire [cinquième livre], texte de Louis Forest, dessins de Charles Martin, 8 vignettes (de modèles de verres) contrecollées in-texte, et le Livre quatrième : Anjou-Touraine-Alsace, Champagne et autres grands vins de France, texte de G. Montorgueil et illustrations de Carlègle, avec 4 cartes géographiques, dont 3 en couleurs (1 dépliante) et 1 en noir ainsi qu'un graphique dépliant. Ont été placés ensemble dans le second volume : Livre deuxième : Le vin de Bordeaux, texte de Montorgueil et dessins de Pierre Lissac, avec un tableau graphique dépliant et 1 carte dépliante en couleurs, et Livre troisième : Le vin de Bourgogne, texte de Montorgueil, illustré par Armand Vallée et proposant 2 cartes dépliantes en noir, 1 carte dépliante en couleurs, 1 carte en noir et un graphique dépliant. Le livre premier ( Le vin à travers l'histoire) est ici manquant. Ensemble fort recherché, le dernier volume, sorte de manuel pour préparer, servir et boire le vin, offre de magnifiques illustrations de Charles Martin, dans l'esprit Art Déco, considérées comme ses plus belles réalisations. (Oberlé, Une bibliothèque bachique. Coll. Fritsch, 596).‎


‎ Frottements sur les mors et les coupes, petite déchirure et traces d'adhésif au dos de la carte vinicole du département de la Gironde, 2 cartes du livre 3 montées sur onglets à l'envers, sinon bel ensemble. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding. ‎

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Phone number : +33 6 18 71 03 67

EUR200.00 (€200.00 )
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‎Martin Charles‎

Reference : bf4807

(1913)

‎Modes et Manières d'aujourd'hui : 3 plaques de zinc, pour 5 des 12 compositions de Charles Martin (1913)‎

‎Corrard Pierre Modes et manières d'aujourd'hui Plaque de graveur 1913 "EXCEPTIONNEL ET SANS ÉQUIVALENT ! EXCEPTIONAL AND UNPRECEDENTED ! ""Modes et manières d'aujourd'hui"" est la publication du meilleur de la mode du début du XXe siècle, par les artistes l'ayant faite, au plus haut de leur art. Le projet est porté par Pierre Corrard, écrivain et éditeur de grand talent. Afin d'accompagner la révolution artistique et vestimentaire des années folles, il publie, en 1912, une première chemise, avec des illustrations de Georges Lepape. Devant l'accueil fait à cette première publication, il décide, chaque année, de proposer une chemise identique, avec des auteurs et des artistes différents. Pour la deuxième année, il demande à Nozière et à Charles Martin. Nous proposons ici certaines des plaques de zinc ayant servi à imprimer les compositions de Charles Martin pour la chemise de 1913. Ces 3 plaques ont permis de reproduire 5 des 12 gravures réalisées par Charles Martin (2 présentent deux illustrations, et 1 en présente une seule), à savoir : une plaque pour les planches II (La Neige) et XI (Les Cerises), une pour les planches VIII (Les Lucioles) et IX (La Passerelle), et enfin une pour la planche X (L'Orage). La provenance de cet ensemble est exceptionnelle : il provient directement de la famille Corrard. Nous joignons à ces planches, qui plus est, un bon de commande à l'entête de ""Modes et manières d'aujourd'hui"", vierge, ainsi qu'une carte à l'entête des ""Collections Pierre Corrard"", vierge également. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎(JAMES & C° ) & AUSPITZ Max MARTIN Charles & BENDA G. K.‎

Reference : 55356

(1912)

‎Deux costumes pour les sports d'hiver (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1912 n°2, p.61) [suivi de] Grand manteau d'hermine garni d'un col de zibeline (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1912 n°2, p.62)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1912, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampes originales en couleur réalisées par Charles Martin et G.K. Benda, tirées sur papier vergé et signées en haut à gauche de la planche pour la première et en bas à droite pour la seconde. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR70.00 (€70.00 )

‎DEMAY, Marcelle - [MARTIN, Charles]‎

Reference : 12665

(1912)

‎La Mode en mil neuf cent douze chez Marcelle Demay, 11 rue Royale. Paris‎

‎Paris, Draeger, 1912. 1 vol. in-4. Broché, couverture illustrée en couleurs par Charles Martin avec un bandeau doré au centre, cordelette dorée d'attache. ‎


‎Plaquette publicitaire de mode composée pour la parisienne de 1912, dédicacée à Mademoiselle Berthe Cerny, la parfaite "Parisienne" du Théâtre-Français.Elle est illustrée de quatre planches de chapeaux dessinés au pochoir par Charles Martin, ainsi que de quatre reproductions de photographies de la comédienne portant chacun des modèles de Marcelle Demay.En frontispice, la reproduction du tableau de Jules Cayron : Mademoiselle Berthe Cerny créatrice à la Comédie Française de "la Parisienne" de Becque. Cliché Vizzavona.Belle plaquette illustrée par Charles Martin, en bel état. ‎

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Phone number : 06 87 38 21 05

EUR620.00 (€620.00 )

‎ROSTAND Maurice - MARTIN Charles‎

Reference : 390812

‎La Vie amoureuse de Casanova.‎

‎Flammarion Paris 1930 In-8 ( 268 X 197 mm ) de ( 2 ff. blancs )-200 pp.-( 6 ff. 3 derniers blancs ), broché sous couverture imprimée rempliée, emboîtage de papier noir tacheté, premier plat comprenant une fenêtre circulaire laissant apparaître une illustration de Charles MARTIN, bordée de bandes de papier argenté et de chagrin vieux rose, et surmontée d une pierre rouge incrustée, dos plat comprenant une bande de chagrin vieux rose incrustée au centre, portant le titre en lettres capitales bleues ( étui moderne ). Edition tirée à 215 exemplaires, illustrée de 45 eaux-fortes en couleurs de Charles MARTIN dont un frontispice, 17 bandeaux, 23 vignettes dans le texte et 9 culs-de-lampe. Un des 20 exemplaires sur vélin de Hollande Van Gelder Zonen ( N°34 ), enrichis d une suite de l'état complet des eaux-fortes en couleurs avec remarques sur japon impérial. Cette suite comporte 25 épreuves, il n y figure pas les petits ornements in-texte. Exemplaire très bien conservé dans une présentation fort originale et de grande qualité, enrichi de deux très beaux dessins originaux signés de Charles MARTIN, au format du livre, et de deux illustrations supplémentaires en noir sur japon avec remarques. De la bibliothèque J. C. CHALANSON ( Ex-libris ), qui a vraisemblablement réalisé l'emboîtage.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR1,300.00 (€1,300.00 )

‎[MARTIN Charles] - ‎ ‎TOULET P.-J. MARTIN Charles.‎

Reference : EXE-518

(1922)

‎Le Mariage de Don Quichotte.‎

‎Paris, La Renaissance du Livre, 1922. In4° maroquin marron, dos à nerfs orné de petits fers; tête dorée; couverture et dos conservés, étui. Illustré de nombreux dessins par Charles Martin. Tirage à 775 exemplaires, celui-ci sur vélin pur fil Lafuma. ‎


‎Joli exemplaire ce livre illustré de charmants dessins par Charles Martin.‎

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Phone number : + 41 22 310 32 10

CHF250.00 (€255.87 )

‎[Martin (Charles)] La Fontaine (Jean de) :‎

Reference : 20701

‎Contes et Nouvelles en vers de Jean de La Fontaine. Illustrés par Charles Martin.‎

‎Paris, Librairie de France, 1930 ; 2 tomes in-4°, demi-chagrin maroquiné à coins rouge sans, dos à nerfs, décoré d'une sorte de croisillons dorés, titre et tomaison dorés, tête dorée, non rogné, couverture et dos conservés (reliure de l'époque) ; 64 hors-texte en couleurs et en noir de Charles Martin.‎


‎Dos et une partie des plats insolés, intérieur très propre pour ce bel ouvrage. ‎

Librairie Ancienne Clagahé - Saint Symphorien d’Ozon
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Phone number : 06 60 22 21 35

EUR270.00 (€270.00 )

‎DRAEGER COCTEAU Jean, MARTIN Charles.‎

Reference : 488

‎Soignez la gloire de Votre firme et l'excellence de vos marchandises, car, si vous les jugez bonnes, votre intérêt devient l'intérêt général. Cette plaquette, éditée par Draeger frères, pour glorifier les industries des Arts Graphiques, a été écrite par Jean Cocteau et illustrée par Charles Martin.‎

‎ 1 Plaquette brochée à couverture ornée rempl. d'éditeur. 38,5 x 31,7 cm, 4 ff. brochés et 11 planches libres 27,5 x 20,1 cm, support 37,5 x 30,8 cm. Paris, Draeger frères, s.d. [1924]. Edition originale ‎


‎Charles Martin illustre tous les intervenants des métiers de l'Imprimerie en 11 planches volantes, titrées et légendées : - Le Publiciste - Le Littérateur - Le Dessinateur - Le Lithographe - Le Photograveur - Le Graveur - Le Tireur d'Épreuves - Le Fondeur - L'Imprimeur - La Machine - Le Client. Une des planches de cette plaquette est reproduite sur la couverture du catalogue de la vente des Archives de l'Imprimerie Draeger, vente publique de 1990 à Paris. Magnifique état de fraîcheur pour cette splendide publication dans le plus pur style Art-Déco à la gloire des Industries graphiques et des Imprimeries Draeger Frères, bien évidemment. Complet et rare dans un tel état. Très bon état ‎

Librairie L'Abac - Bruxelles
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(CLAM, )

Phone number : +3225025322

EUR1,650.00 (€1,650.00 )

‎Martin (Charles) :‎

Reference : 11842

(1874)

‎Essai critique et descriptif sur les nouveaux vitraux de l’Eglise Notre-Dame de Bourg.‎

‎Bourg, Francisque Martin-Bottier, Imprimerie Comte-Milliet, 1874 ; in-8 ; cartonnage bradel rigide de papier marbré, pièce de titre en long de maroquin vert-lierre (reliure de l’époque) ; VIII, 53 pp. (1 bl.), (1) f. blanc. Avant-propos de Jules Baux.‎


‎Edition originale. Architecte départemental, Charles Martin expose par le détail le travail du vitrailliste Eugène Oudinot qui a précédemment travaillé à Saint-Anne-d’Avray, St Pierre et St Paul de Lille, Sainte-Croix à Liège, Saint-Bénigne dans l’Ain, aux cathédrales d’Ely en Angleterre, de Combray, Montauban, Toulouse, Saint Cervin, Reims, etc. Rares petites rousseurs, bon exemplaire. ‎

Librairie Ancienne Clagahé - Saint Symphorien d’Ozon
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Phone number : 06 60 22 21 35

EUR120.00 (€120.00 )

‎[MARTIN (Charles)] - VALOTAIRE (Marcel).‎

Reference : 13384

(1929)

‎Les Artistes du Livre - Charles MARTIN. Etude critique par Marcel Valotaire. Lettre-préface de Pierre Mac-Orlan. Portrait de Dignimont. ‎

‎ 1929 Paris, Henry Babou, 1928, 1 vol. in-4° (265 x 205 mm) en feuilles sous couverture rempliée rose imprimée en noir et rouge, de 42 pp. (faux-titre et titre compris) - (1) f. (achevé d'imprimer).Dos insolé, très bel exemplaire par ailleurs. ‎


‎2e volume de la collection "Les Artistes du Livre".Tiré à 750 exemplaires, 1 des 650 sur papier vélin blanc des papeteries Johannot (N°301).Portrait de l'artiste par Dignimont en Frontispice, préface de Pierre Mac Orlan reproduite en fac-similé, 16 reproductions d'oeuvres de l'artiste dans le texte dont 4 en couleurs, bibliographie des oeuvres illustrées par Martin (2 pp.), 16 planches hors texte (La duchesse de Padoue (eau-forte en bistre avec cuvette), Le mariage de Don Quichotte (couleurs), Aventures héroïques de Tito Bassi, Lillusion héroïque de Tito Bassi (2 planches couleurs), Les lettres persanes (3 planches dont 1 en couleurs), Contes vénitiens (2 planches dont 1 en couleurs), Sous les pots de fleurs, Deux illustrations anonymes (aquatintes avec cuvette), Carmen (couleurs), Pierrot fumiste (couleurs), Oeuvres de Musset (pochoir contrecollé)). ‎

Bouquinerie Aurore - Belmesnil
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Phone number : 06 76 68 30 76

EUR120.00 (€120.00 )

‎( MARTIN Charles ) - PREVOST ( L'Abbé).‎

Reference : cROU-790

‎Histoire de Manon Lescaut et du Chevalier des Grieux. Illustrations de Charles Martin.‎

‎ Paris, Rombaldi, La Méridienne,1934 ; in-8° broché, étui cartonné ; 211pp., 1p.nch.,1f. ; quelques petites piqûres en début et fin, couverture défraichie (dos) ;1 planche a légèrement déteint sur le feuillet en regard.‎


‎Tirage unique numéroté sur velin de Navarre.19 compositions de Charles Martin dont 14 hors texte coloriées au pochoir."Intéressante publication cotée, illustrée par un artiste de talent". Carteret T.IV, p.325. (GrG) ‎

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Phone number : 33 (0)2 54 49 05 62

EUR61.00 (€61.00 )

‎MARTIN Charles‎

Reference : 84748

(1914)

‎Carrosse automobile de grand gala (pl.53, La Gazette du Bon ton, 1914 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1914, 24x18cm, une feuille.‎


‎Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Une des rares estampes ne figurant pas un modèle vestimentaire. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎MARTIN Charles‎

Reference : 84770

(1914)

‎"Aphrodite" Dans les Jardins de la Déesse (pl.43, La Gazette du Bon ton, 1914 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 2014, 36,5x24cm, une feuille.‎


‎Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, non-signée. Quelques petites taches en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎MARTIN Charles‎

Reference : 84679

(1914)

‎L'Arbre merveilleux. Costumes d'enfants pour Noël (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎MARTIN Charles‎

Reference : 84682

(1914)

‎Les Préparatifs de Noël. Robe d'après-midi de Redfern (pl.4, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎MARTIN Charles‎

Reference : 39003

(1921)

‎Le mariage mélancolique. Modes et manières de Torquate. (La Gazette du Bon ton, n°2. Année 1921 - Planche 10 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 19,5x25cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Quelques petites ombres ne portant néanmoins pas atteinte à l'estampe. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎MARTIN Charles‎

Reference : 39048

(1920)

‎Le Jardin de l'infante. Robe du soir, de Paul Poiret. (La Gazette du Bon ton, n°7. Année 1920 - Planche 52 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎MARTIN Charles‎

Reference : 54520

(1913)

‎La Belle et la Bête. Matinée (pl.2, in La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1913, 19x24,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en haut à gauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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Reference : 54688

(1914)

‎La Légende de Joseph. Scène du IIème acte (pl.65, La Gazette du Bon ton, 1914 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juillet 1914, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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