A Paris, de l'Imprimerie Nationale, 1795. 2 parties en 1 vol. in-4 dérelié de (2)-49-68 pp.
Important rapport qui manque aux bibliographies spécialisées sur la nécessité de libérer et développer les voies navigables sur l'ensemble du territoire, suivi des 2277 rivières de France mises en tableaux selon les bassins des grands fleuves dans lesquels elles se jettent (Loire, Garonne, Seine, Rhône). Jean-Baptiste Marragon (1741-1829) avait épousé la fille du directeur-ingénieur du canal du Midi qui lui apporta une très grosse fortune. Commandant de la Garde nationale de Carcassonne, il fut maire de la ville et député de l'Aude à la Convention où il vota la mort du Roi. Il siégea au Conseil des Anciens et fut nommé ministre plénipotentiaire à Hambourg pour y surveiller les émigrés. Banni au retour des Bourbons, il vécut exilé à Bruxelles où il mourut. Martin & Walter, 23207.
Paris, imprimerie Nationale, an IV (1795) in-4, [2]-49-68 pp., broché sous couverture factice crème rempliée et cousue. Essais de plumes et salissures sur les couvertures, dernier feuillet du texte défraîchi.
Important et rare rapport, divisé en deux parties : un exposé de la situation de déclin de la navigation intérieure ; un ensemble de tableaux sur les 2277 rivières de France, réparties selon les bassins des grands fleuves dans lesquels elles se jettent (Loire, Garonne, Seine, Rhône). Le conventionel Jean-Baptiste Marragon (1741-1829), ancien conseiller des finances et travaux du Canal du Midi et beau-frère de Ramel, était président du Comité des Ponts et Chaussées, et la plupart de ses activités visaient à l'amélioration de la navigation.Martin & Walter, 23207. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT