FROMAGEOT (Pierre) - [Marie-Thérèse d'AUTRICHE] - MOREAU le JEUNE (Jean-Michel, gravures de).
Reference : 21191
(1781)
A Paris, chez Nyon l'Aîné / La Porte, 1781. Un vol. au format in-8 (198 x 127 mm) de 1 f. bl., 1 frontispice gravé, 2 ff. n.fol., 332 pp., 2 ff. n.fol. et 1 f. bl. Reliure (sans doute très légèrement postérieure) de plein chagrin glacé vieux-rouge, double filet doré encadrant les plats lesquels s'ornent par ailleurs de deux filets intérieurs d'encadrement dorés, dont un se termine en chacun de ses angles par des arcs-de-cercle, dos lisse orné de doubles filets dorés, chaînettes dorées, semis de pointillés horizontaux dorés, larges fleurons dorés, titre doré, jeu de petits filets obliques dorés sur les coupes, toutes tranches dorées.
Exemplaire revêtue d'une délicate et plein reliure du temps. Il recèle 1 portrait de Marie-Thérèse gravé par Cathelin d'après Ducreux, 2 portraits en médaillon gravés d'après Moreau le Jeune par Gaucher (figurant Marie-Antoinette et Joseph II) ainsi que 4 planches hors-texte par Moreau, gravées par Duclos, de Launay, Prévost et Simonet. ''Un des ouvrages les plus réussis de Moreau le Jeune''. (in Cohen). Impératrice consort du Saint-Empire romain germanique, Marie-Thérèse d'Autriche a été le dernier souverain de la Maison de Habsbourg et la seule femme à régner sur les possessions des Habsbourg: l'archiduché d'Autriche, le royaume de Hongrie, le royaume de Croatie, la Bohême, Mantoue, Milan, Le royaume de Galicie et Lodomeria, les Pays-Bas autrichiens et Parme. Par mariage elle a été également duchesse de Lorraine, grande duchesse de Toscane et impératrice du Saint Empire. Cohen I, Manuel de l'amateur de livres à gravures du XVIIIème siècle, 412 - Boissais, Le Livre à gravures au XVIIIème siècle, p. 81 - Quérard III, La France littéraire, p. 221 - Cioranescu II, Bibliographie de la littérature française du XVIIIème siècle, 29873 (pour une édition de 1775). Angles et coupes très légèrement élimés. Cernes angulaires aux trois premiers feuillets. Papier très légèrement oxydé. Rares rousseurs dans le texte. Nonobstant, belle condition.
Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, imprimé sur alfax Navarre, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces d'auteur et de titre chagrin vert et vermillon, fleurons dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état
Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard)
Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état
Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard)
[Henri IV ; Marie-Thérèse d’Autriche] SAINT-ALBIN, Alexandre de
Reference : 105311
(1874)
Paris, Arts et métiers graphiques 1874 In-8 22,5 x 13 cm. Reliure pleine basane fauve, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre maroquin bleu-marine, VIII-516 pp., table des matières, joint “Manifeste du comte de Chambord” manuscrit en fac-similé [20] pp. 1874 & “Marie-Thérèse reine de France, épouse d’Henri IV”, Origine - Enfance - Vie - Portrait - Avenir par Prosper Védrenne, Paris, Tolra 1871 Ouvrage en bon état.
Bon état d’occasion
Très rare reliure en plein maroquin noir de deuil, suite au décès de Marie-Thérèse d'Autriche. On y remarque l'hermine portant une couronne fleurdelisée entre les nerfs, symbolisant la monarchie française (les rois portaient des manteaux d'hermine). Marie-Thérèse, reine de France, meurt le 30 juillet 1683. Le privilège fut donné en avril 1681 et il eut une première édition en 1681. Ce privilège fut cédé à Josset (registré en octobre 1683) et ce dernier fit donc cette seconde édition en 1683, juste après la mort de la reine. Paris, Hélie Josset, 1683. In-12, [4]-582-[1]p. Tome 1 seul de ce volume dont l'intérêt réside surtout dans la reliure. Plein maroquin noir, emblèmes royaux aux centre et entre les nerfs, tranches dorées. Bel exemplaire, sans provenance connue malheureusement. Très rare reliure (nous n'en avons jamais vu de similaire).
Claude David (?-1700), premier chirurgien de la reine Marie-Thérèse d'Autriche, le professeur de Jean Devaux (1649-1729), chirurgien important de son époque.
Reference : 013788
Claude David (?-1700), premier chirurgien de la reine Marie-Thérèse d'Autriche, le professeur de Jean Devaux (1649-1729), chirurgien important de son époque. P.A.S., 8 août 1698, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance, entièrement autographe, pour le paiement de sa rente. Il est aussi qualifié de « premier chirurgien du roi » dans un bulletin de la société de l'histoire de Paris mais il nous semble que c'est une erreur. [280-2]
[LA VALLIERE Madame de, Marie-Thérèse d'Autriche, Louis XIV.] DUCLOS Abbé H.
Reference : 9390
Paris, Didier et Cie, 1869. Fort in-8, reliure de l’époque.
Edition originale. Bel exemplaire. Poids : 1,4 kg. [9390]
Mercure de France. 1996. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 123 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
(AUTRICHE (d') Marie-Thérèse) / BADINTER Elisabeth
Reference : AUTRICHE582581122
(2020)
ISBN : 9782081518070
Paris, Flammarion, 2020, 14,5 x 22, 280 pages sous couverture souple illustrée. Quelques illustrations couleurs (portraits de la famille impériale).
Très bon état. Complet de son bandeau promotionnel.