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‎Chagall Marc‎

Reference : 12271

(1967)

‎Le message biblique de Marc Chagall‎

‎ 1967 Paris, Musée Louvre / Editions des Musées Nationaux / Galerie Mollien, 1967. Un vol. au format in-4 étroit (318 x 238 mm) de 237 pp., non paginé, broché. Description en noir et couleurs des peintures, gouaches, esquisses préparatoires, gravures, lithographies, céramique, sculptures, tapisserie, mosaïque et vitraux de la donation Marc et Valentina Chagall. ''Le Message biblique a été donné à l'Etat pour permettre la création à Nice d'un ensemble culturel qui groupera en dehors des salles réservés à l'oeuvre, une galerie d'expositions temporaires. tres bon état‎


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Phone number : 01 43 54 04 70

EUR15.00 (€15.00 )

‎Marc Leo Felix‎

Reference : 14841

(2010)

‎WHITE GOLD, BLACK HANDS. Ivory Sculpture in Congo Volumes . 1 ET 2 compiled at the congo basin art history research center brussels, belgium‎

‎ 2010 Gemini sun 2010 2 volumes volumes in4, reliures pleines toiles sous jaquette, 280 +320 pp première édition limitée a 999 expl ici numeros 250 pour le volume 1 et et 446 pour le volume 2‎


‎ bon état ‎

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Phone number : 01 43 54 04 70

EUR390.00 (€390.00 )

‎ BEDARIDA (Marc) ‎

Reference : 7984

(2012)

‎ Fernand Pouillon ‎

‎ 2012 Editions du Patrimoine, 2012 (Carnets d'architectes) In-8° broché, couverture illustrée, 208 pages,très bon état, illustrations‎


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EUR10.00 (€10.00 )

‎ Marc Petit ‎

Reference : 14595

(1995)

‎A Masque découvert - Regards sur l'art primitif de l'Himalaya ‎

‎ 1995 Paris Stock/Aldines 1995 in4,Reliure éditeur toile noire + jaquette + emboitage 286 pp Très nombreuses illustrations, noir et couleurs, in texte et pleine page. Panorama dépliant de l'Himalaya en couleurs. ‎


‎ bon état untout petit accroc etui ‎

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Phone number : 01 43 54 04 70

EUR100.00 (€100.00 )

‎lescarbot Marc ‎

Reference : 14830

(1866)

‎Histoire de la Nouvelle-France contenant les navigations, découvertes et habitations faites par les Français ès Indes occidentales et Nouvelle France avec les Muses de la Nouvelle France. Nouvelle édition‎

‎ 1866 Paris, Librairie Tross, 1866,3 volumes in8 ., brochés,couvertures imprimées 854pp + tables + 83 pp (muses) + 4 grandes cartes depliantes . complet‎


‎ bon état ‎

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Phone number : 01 43 54 04 70

EUR200.00 (€200.00 )

‎Marc Bredel‎

Reference : 14933

(1982)

‎Erik Satie‎

‎ 1982 Paris Musique Mazarine 1982 in8, broché, 232 pp bon état(‎


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EUR15.00 (€15.00 )

‎LABICHE et MARC-MICHEL.‎

Reference : 5246

(1943)

‎Un chapeau de paille en Italie Illustrations de R. PEYNET.‎

‎ 1943 Paris Editions du Bélier, 1943. Grand in-8, broché, couverture illustrée en couleurs, 145 pp.illustrées Illustré en couleurs de dessins dans le texte ou à pleine page par R. Peynet,, Un des exemplaires numérotés sur pur chiffon. Charmant ouvrage en excellente condition‎


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EUR90.00 (€90.00 )

‎ SORIANO Marc ‎

Reference : 13216

(1978)

‎ Jules Verne. Biographie ‎

‎ 1978 paris Julliard 1978, In-8 broché, 412 pagesillustrées bon état (avec un artiche journal de l'époque par saint hilaire‎


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EUR12.00 (€12.00 )

‎ Marc Chadourne / Deslignieres ‎

Reference : 13096

(1936)

‎ 1936 Paris Artheme Fayard, collection "le livre de demain", 1936. Format in8 broche, 127 pages, bon exemplaire‎


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EUR15.00 (€15.00 )

‎ CHASSAIGNE (Marc) ‎

Reference : 12523

(1930)

‎ Etienne Dolet. Portraits et documents inédits. ‎

‎ 1930 P., Albin Michel, 1930. In-8, reliure demi cuirdos lisse 348pp., portrait-frontispice, 20 planches h.-t. (Ames et visages d'autrefois). ‎


‎ bon état, tres peitit manque haut coiffe tres peu visible ‎

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Phone number : 01 43 54 04 70

EUR40.00 (€40.00 )

‎[dignimont] - ‎ ‎Elder Marc‎

Reference : 7723

(1929)

‎La maison du pas périlleux roman inédit, bois de Dignimont‎

‎paris LE LIVRE MODERNE ILLUSTRE; Ferenczi 1929 in8 broché, couverture illustrée en couleurs 157 pp Très plaisante collection, 1er tirage, illustré de bois gravés de Dignimont‎


‎livre moderne illustré numéro 15 ‎

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EUR10.00 (€10.00 )

‎Monnier Marc‎

Reference : 7529

(1880)

‎Les contes populaires en italie‎

‎ 1880 Paris charpentier 1880, in12, demi chagrin, titre doré, 377pp ‎


‎ bon état, ‎

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EUR40.00 (€40.00 )

‎Marc Stéphane‎

Reference : 7013

(1928)

‎Ceux du trimard. Avec un portrait de "Compagnon" et un liminaire quelque peu sauvage.‎

‎paris cabinet du pamphlétaire 1928 in12 broché, 195 pp ‎


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EUR15.00 (€15.00 )

‎BONNEFOY (Marc)‎

Reference : 1145

(1883)

‎Maurice ou le poème d'un étudiant.‎

‎ 1883 P. Léon Vanier 1883 in12, br, 120 pp. envoi de l'auteur.‎


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EUR30.00 (€30.00 )

‎[Marc Chagall] - ‎ ‎GOGOL, Nicolas - CHAGALL, Marc‎

Reference : 3800

(1948)

‎LES ÂMES MORTES. 118 Eaux-fortes originales de Marc Chagall (1948)‎

‎Paris Tériade, 1948. 2 volumes in-folio (385 x 285 cm), en feuilles, 310 pages, sous couvertures imprimées rempliées, chemises cartonnées avec étiquettes titrées au dos, étui général de l'éditeur. 118 EAUX-FORTES ORIGINALES DE MARC CHAGALL (96 en hors-texte, 11 bandeaux-lettrines ornées et 11 planches pour la table illustrée des planches). Le chef-d'œuvre de Gogol et la plus belle suite en noir de Marc Chagall gravée en 1927 pour Vollard, finalement éditée par Tériade en 1948. Tirage : 368 ex. sur vélin d'Arches filigrané. Celui-ci est un exemplaire numéroté au composteur sur vélin d'Arches filigrané, et signé à l'encre par Marc Chagall. Cet ouvrage est le premier grand livre entièrement illustré par Marc Chagall - Historique : Le chef-d'œuvre de l'écrivain russe Nicolas Vassilievitch Gogol (1809-1852): Encouragé par Alexandre Pouchkine (1799-1837), l'auteur du Journal d'un fou accède à la notoriété en 1836 avec sa pièce Le Revizor, dont Nicolas Ier dit " tout le monde en a pris pour son grade, moi le premier ! ". Gogol quitte alors la Russie pour une longue errance de 12 années qui le mène en Allemagne, en Suisse, à Paris, à Nice et enfin à Rome. Dans ses malles, le manuscrit d'une œuvre dont il tient l'idée de son ami Pouchkine, "Les Âmes mortes" (les " âmes " désignant en Russie les serfs mâles). Terminé à Rome, après qu'il y a travaillé 5 ans, le roman narre d'une plume acerbe les aventures d'un petit escroc dans la Russie provinciale vers 1820. Critique impitoyable de la société russe, l'ouvrage est d'abord interdit par la censure pour paraître enfin avec fracas et succès en 1842. Le texte fut traduit pour la première fois en français en 1859. Après que Marc Chagall eut soumis à Ambroise Vollard son souhait d'illustrer le grand roman de Nicolas Gogol, il grava, entre 1923 et 1927, 96 eaux-fortes à pleine page pour l'illustrer et 11 planches de table. Toutes furent tirées sur Arches en 1927 par Louis Fort. Le projet éditorial interrompu, comme le fut aussi celui des Fables de La Fontaine, fut repris par Tériade en 1947. Aux planches initiales conservées telles qu'elles avaient été tirées par Louis Fort, Tériade fit ajouter par l'artiste 11 bandeaux-lettrines gravés. La dernière planche (dernier feuillet de la table des planches, voir nos illustrations) présente les portraits de Gogol et Vollard ainsi que l'autoportrait du peintre. -- ENGLISH DESCRIPTION : Tériade Editeur, Paris 1948. 2 vols folio. (385 x 285 mm). Loose as issued in original publisher's printed wrappers with titles in black to front covers, 3 chemises with labels to spines and slipcase. Gogol's masterpiece illustrated with 96 ORIGINAL ETCHED PLATES and 22 etched initials by Marc Chagall, The tables also engraved 11 leaves recto only for the placement of the engravings. This copy is numbered in the composter on watermarked Arches paper, and signed in ink by Marc Chagall. The 96 prints for Gogol's novel were executed between 1927 and 1930 for Vollard but ublished by Tériade in 1948. Le premier grand livre entièrement illustré par Marc Chagall (1887-1985). L'ouvrage, complet, est en excellent état. Emboîtage présentant quelques traces d'usages et taches. Bibliographie : Cramer, Marc Chagall les livres illustrés, Genève, Cramer, 1995, pp. 48-57, n° 17 - Sorlier, Marc Chagall, Le Livre des livres, Sauret-Trinckvel, 1990, pp. 10-11 - Hommage à Tériade, CNAC-RMN, 1973, pp. 86-87 - Artists' Books in the Modern Era, 1870-2000, Londres, Thames & Hudson, 2001, p. 178, n° 103. - The Artist and the Book, 50. 36 000,00 €‎


‎Le premier grand livre entièrement illustré par Marc Chagall (1887-1985). L'ouvrage, complet, est en excellent état. Le coffret original est également en très belle condition. Photographies supplémentaires sur demande. Bibliographie : Cramer, Marc Chagall les livres illustrés, Genève, Cramer, 1995, pp. 48-57, n° 17 - Sorlier, Marc Chagall, Le Livre des livres, Sauret-Trinckvel, 1990, pp. 10-11 - Hommage à Tériade, CNAC-RMN, 1973, pp. 86-87 - Artists' Books in the Modern Era, 1870-2000, Londres, Thames & Hudson, 2001, p. 178, n° 103. - The Artist and the Book, 50.‎

Phone number : 06 88 90 24 07

EUR34,000.00 (€34,000.00 )

‎[Marc Chagall] - ‎ ‎LONGUS - CHAGALL, Marc‎

Reference : 3115

(1961)

‎DAPHNIS & CHLOÉ. Lithographies originales de Marc Chagall (Paris, Tériade, 1961).‎

‎Paris, Tériade, 1961. 2 volumes in-folio (420 x 322 mm) sous couvertures imprimées, reliures décorées de Paul Bonet, chemises et étuis. 42 LITHOGRAPHIES EN COULEURS dont le frontispice, 25 à pleine page et 16 à double page. Édition à 270 exemplaires sur Vélin d'Arches, celui-ci bien numéroté et signé à l'encre par Marc Chagall. Note historique et bibliographique : L’affection de Tériade pour Daphnis et Chloé est toute particulière puisque l’histoire se déroule sur son île natale, Lesbos. Marc Chagall lui apparaît naturellement comme l’illustrateur approprié pour cette pastorale et en restituer le plus fidèlement l’ambiance. La genèse du travail s’étala sur dix ans : Chagall, dont le souci fut d’abord d’intérioriser l’œuvre de Longus, voyagea en Grèce avec sa femme, une première fois pour réaliser les premières gouaches en 1952, puis une seconde fois en 1954, pour "corriger" ses impressions, et s’assurer que les œuvres reproduisaient l’expérience émotionnelle de ces paysages. Les lithographies sont exécutées sur quatre années à partir de 1957. Chagall, qui travaille avec Charles Sorlier aux Ateliers Mourlot, utilise 25 couleurs, et donc autant de pierres lithographiques, d’où la lenteur du processus, qui s’achève en 1961. Les teintes éclatantes et profondes et leurs multiples variations retranscrivent la lumière baignant les paysages parcourus, et donnent aux images leur force poétique. Correspondant aux épisodes de l’œuvre antique, elles constituent une œuvre indépendante, considérée comme l’un des sommets de l'illustration de Marc Chagall. - L'éditeur : Tériade est l’un des grands éditeurs du XXe siècle ; aux côtés de Skira, il fut le directeur artistique de l’importante revue Minotaure de 1932 à 1936, avant de fonder en 1937 les éditions Verve. Entre 1943 et 1975, il publie 27 livres illustrés, tous des monuments de l’histoire de l’art, dont : Jazz de Matisse (1947), Le Chant des Morts (1948) de Reverdy et Picasso (1948) et Paris sans fin de Giacometti (1969). La collaboration entre Chagall et Tériade donna naissance à cinq livres : Les Âmes Mortes (1948), les Fables (1952), la Bible (1956), Daphnis et Chloé (1961) et le Cirque (1967). "La beauté des nuits, cette qualité de bleu, qui n’appartient qu’aux rivages de la mer inspiratrice des Dieux, trouvent dans la palette du peintre une puissante traduction. Une certaine ingénuité de Chagall convient à ces mœurs pastorales." (Chapon, p. 234). Références : Moulot, II, n° 308-349. -- P. Cramer, Marc Chagall. Catalogue raisonné des livres illustrés, 1995, n° 46. -- Fr. Chapon, Le Peintre et le Livre, 1987, p. 219, p. 234-235. -- Ch. Sorlier, Chagall. Le livre des livres, 1990, p. 86. -- Garvey, S. 44. -- U. Gauss, Marc Chagall, The Lithographs, Hatje, 1998, p. 139. Informations supplémentaires sur demande personnalisée uniquement. Suivez moi sur Instagram : https://www.instagram.com/patjeudy/ PRIX SUR DEMANDE —— ENGLISH DESCRIPTION : Marc CHAGALL - Longus. DAPHNIS & CHLOE. Paris, Teriade, 1961. 2 folio volumes (420 x 322 mm) in two outstanding decorated bindings by Paul Bonet, untrimmed, folders, slipcases. 42 COLOR LITHOGRAPHS including the frontispiece 25 full-page and 16 double-page. Edition of 270 copies on Vélin d'Arches, this one numbered and signed in ink by Marc Chagall to the colophon. Références : Moulot, II, n° 308-349. -- P. Cramer, Marc Chagall. Catalogue raisonné des livres illustrés, 1995, n° 46. -- Fr. Chapon, Le Peintre et le Livre, 1987, p. 219, p. 234-235. -- Ch. Sorlier, Chagall. Le livre des livres, 1990, p. 86. -- Garvey, S. 44. -- U. Gauss, Marc Chagall, The Lithographs, Hatje, 1998, p. 139. Follow me on Instagram : https://www.instagram.com/patjeudy/ ‎


‎Superbe exemplaire du chef-d'œuvre lithographié de Marc Chagall, dans de somptueuses reliures décorées de Paul Bonet.‎

Phone number : 06 88 90 24 07

EUR145,000.00 (€145,000.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 35392

(1981)

‎Portrait d'Andy Warhol. Photographie Originale tirée par l'artiste.‎

‎Par l'auteur | s. l. 1981-1982 | 22 x 22 cm | une planche photographique‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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EUR4,000.00 (€4,000.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62273

(1980)

‎Portrait de Peter Handke. Photographie originale tirée par l'artiste.‎

‎Par l'auteur | s. l. 1980 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier du Prix Nobel de Littérature 2019. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer‎

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EUR800.00 (€800.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62275

(1983)

‎Portrait de Bernard Noël. Photographie Originale tirée par l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1983 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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EUR600.00 (€600.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62282

(1983)

‎Portrait de André Masson. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1983 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62285

(1983)

‎Portrait de René Char à l'Isle sur Sorgue. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1983 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62292

(1988)

‎Portrait de Oé Kenzaburo. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1988 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62294

(1987)

‎Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1987 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62300

(1981)

‎Portrait de André Masson. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1981 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62302

(1987)

‎Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1987 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o‎

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