État : Bon état - Année : 1947 - Format : in 8° - Pages : 354pp - Editeur : A l'Enseigne du Cheval Ailé - Lieu d'édition : Genève - Type : Broché-cousu - Divers : Non-coupé. Légère brunissure du dos et des franges des plats de couv. un pli de lecture au dos (ouvrage bien solide). Pages un peu jaunies. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/10209-journal-de-l-europe-1946-1947?lrb
En observateur fin et avisé, Alfred fabre-Luce fait, dans cet ouvrage publié en 1947, un tour d'horizon des conséquences politiques ˮà chaudˮ de la fin de la Seconde Guerre mondiale avec en toile de fond la ˮconstruction européenneˮ. L'auteur aborde avec courage tous les problèmes nés des conséquences de la fin de la guerre en france et en europe. Il y observe et étudie ˮles conséquences de la paixˮ, en cinq parties: La naissance de l'Europe; la France, l'Angleterre l'Italie et ce qu'il nomme ˮau coeur de l'Occidentˮ les problèmes moraux et politiques nés des années de guerre.
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État : Bon état - Année : 1946 - Format : in 8° - Pages : 343pp - Editeur : Constant Bourquin, Editeur - Type : Broché - Manque : Genève - Divers : Envoi de l'auteur. Couv très légèrement salie. - Collection : Bibliothèque du Cheval Ailé - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/5726-journal-de-la-france-1939-1944-tome-1?lrb
Initialement, ce journal, celui d'un homme libre mais observateur perspicace, est paru en quatre tomes qui ont la particularité d'avoir été interdits par les autorités de la Libération pour les deux premiers tomes, d'avoir été saisi par les autorités d'occupation pour le tome 3 et d'être catalogué comme publication clandestine de la Résistance pour les deux derniers. Edition définitive en deux tomes. Tome 1 seul avec un bel envoi de l'auteur. Les informations, notées au jour le jour par l'auteur, et ses réflexions, souvent judicieuses, sont indispensables à celui qui veut avoir une vision objective de cette période très controversée, qui s'étend des années d'avant-guerre à la Libération. Toujours d'esprit indépendant, Alfred Fabre-Luce à écrit après-guerre de nombreux ouvrages et à collaboré quelques temps au journal Rivarol.
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État : Bon état - Année : 1941 - Format : in 12° - Pages : 411pp - Editeur : J.E.P. - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Mention fictive de 51ème édition (la première édition est de 1940). Couv un peu usagée (frottée aux franges et légèrement salie). Ouvrage solide et intérieur bien propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/2788-journal-de-la-france-mars-1939-juillet-1940?lrb
Le premier tome du journal, qui en compte quatre, tenu par Fabre-Luce pendant toute la durée de la guerre. Largement diffusé et lu l'année de parution en 1940, ce livre a été interdit en 1945 pour son caractère ˮcollaborationisteˮ. A noter que le chapitre ˮhitlérisme françaisˮ à été supprimé des éditions d'après-guerre. Esprit curieux et indépendant, l'auteur traduit bien dans son journal les tentances du temps sans d'ailleurs prendre position. C'est donc un document intéressant pour bien saisir la mentalité des Français au début de l'Occupation après le choc de la défaite et l'espoir de l'armistice.
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État : Très bon état - Année : 1945 - Format : in 12° - Pages : 155pp - Editeur : Chez l'Auteur - Type : Reliure amateur demi-skyvertex. - Divers : Voir ci-dessus - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/9612-au-nom-des-silencieux?lrb
Esprit indépendant (son journal pendant la guerre fut à la fois interdit par les Allemands et par le Gouvernement provisoire), Alfred Fabre-Luce nous donne dans ce petit ouvrage, publié en décembre 1945, un recueil des articles qu'il a écrit pour s'opposer à la politique du Gouvernement provisoire de la république tant en politique extérieur que surtout dans la politique d'épuration. Un livre courageux publié à compte d'auteur dans un temps où ˮl'Epurationˮ était encore virulente. Exemplaire établi dans une sobre reliure amateur en demi-skyvertex rouge (Plats et dos de couv conservés), à dos plat avec pavé auteur-titre en cuir rouge, en très bon état. Intérieur bien propre (Pages légèrement jaunies).
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État : Très bon état - Année : 1964 - Format : in 12° - Pages : 286 et 167pp - Editeur : J.F.G. et René Julliard - Lieu d'édition : Lausanne et Paris - Type : Reliure plein cuir - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/9549-haute-cour-le-proces-de-haute-cour?lrb
Réunion sous une même reliure de deux livres qui sont complémentaires: - Une oeuvre de fiction politique: Haute Cour (interdit en France) - Le procès qui a suivi la saisi de l'ouvrage précédent. Le premier est une oeuvre de fiction (mais reposant sur des documents historiques) mélant des personnages réels et des témoins fictifs qui relate le procès en Haute Cour de justice du général De Gaulle non pas surtout sur ses actes proprement dits mais pour la manière ˮpeu démocratiqueˮ dont il a ˮconfisquéˮ le pouvoir à deux reprise pour en faire un pouvoir personnel. Le second est bien réel. C'est la sténographie du procès intenté par le Pouvoir devant la 17ème Chambre le 29 novembre 1963 avec un avant-propos de 21 pages de Fabre-Luce. Etabli dans une reliure en plein chagrin rouge, dos à deux nerfs avec pièces de cuir noir et brun pour souligner les deux titres en lettres or, en très bon état. Intérieur également en très bon état.
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État : Bon état - Année : 1947 - Format : in 8° - Pages : 654pp - Editeur : Amiot-Dumont - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Pour moitié non-coupée. Anciennes mouillures au dos (sans répercutions sur les pages du livre). Ouvrage solide et iIntérieur bien propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/8516-journal-de-la-france-1939-1944?lrb
Initialement, ce journal, celui d'un homme libre mais observateur perspicace, est paru en quatre tomes qui ont la particularité d'avoir été interdits par les autorités de la Libération pour les deux premiers tomes, d'avoir été saisi par les autorités d'occupation pour le tome 3 et d'être catalogué comme publication clandestine de la Résistance pour les deux derniers. Edition définitive en un seul volume. Les informations, notées au jour le jour par l'auteur, et ses réflexions, souvent judicieuses, sont indispensables à celui qui veut avoir une vision objective de cette période très controversée, qui s'étend des années d'avant-guerre à la Libération. Toujours d'esprit indépendant, Alfred Fabre-Luce à écrit après-guerre de nombreux ouvrages et à collaboré quelques temps au journal Rivarol.
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État : Bon état - Année : 1941 & 1942 - Format : in 12° - Pages : 411 & 318pp - Editeur : J.E.P. - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Mention fictive de 28ème édition sur le tome 2. SP avec envoi pour le tome 1. Dos un peu pliés. Couv légèrement salies et frottées aux coiffes. Pages un peu jaunies (papier de guerre). En grande partie non-coupé pour le tome 1. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/5713-journal-de-la-france-tome-1-mars-1939-juillet-1940-tome-2-aout-1940-avril-1942?lrb
Envoi de l'auteur sur le tome 1. Les deux premiers tomes du journal, qui en compte quatre, tenu par Fabre-Luce pendant toute la durée de la guerre. Largement diffusés et lus les années de leur parution, en 1940 et 1942, ces livres ont été interdits en 1945 pour leur caractère ˮcollaborationisteˮ. A noter que le chapitre ˮhitlérisme françaisˮ a été supprimé des éditions d'après-guerre. Ouvrages publiés pendant la guerre. Esprit curieux et indépendant, l'auteur traduit bien dans son journal les tentances du temps sans d'ailleurs prendre position. C'est donc un document intéressant pour bien saisir la mentalité des Français au début de l'Occupation après le choc de la défaite et l'espoir de l'armistice.
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État : Très bon état - Année : 1940 - Format : in 12° - Pages : 420pp - Editeur : Sélection Lardanchet. Imprimerie de Trévoux. - Lieu d'édition : Lyon - Type : Reliure demi-chagrin - Divers : Edition originale sur vélin. Très légers frottements en coiffes et aux coins. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/5589-journal-de-la-france-mars-1939-juillet-1940?lrb
Le premier tome du journal, qui en compte quatre, tenu par Fabre-Luce pendant toute la durée de la guerre. Largement diffusé et lu l'année de parution en 1940, ce livre a été interdit en 1945 pour son caractère ˮcollaborationisteˮ. A noter que le chapitre ˮhitlérisme françaisˮ à été supprimé des éditions d'après-guerre. Esprit curieux et indépendant, l'auteur traduit bien dans son journal les tentances du temps sans d'ailleurs prendre position. C'est donc un document intéressant pour bien saisir la mentalité des Français au début de l'Occupation après le choc de la défaite et l'espoir de l'armistice. Très bel exemplaire de l'édition original n°58/120 sur vélin réservés aux sélections Lardanchet établi dans une belle reliure en demi-chagrin vert bouteille (plats et dos de couv conservés), dos à quatre nerfs et motifs or à caissons, à coins et avec tranche de tête dorée (très légers frottements en coiffes et aux coins).
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État : Le premier tome est en très bon état. Le tome 2 est insolé sur le dos, les mors sont fendus et un nom a été découpé sur la première garde (intérieur frais et propre). - Année : 1941 & 1942 - Format : in 12° - Pages : 411 & 318pp - Editeur : J.E.P. - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Mention fictive de 51ème édition (la première édition est de 1940) sur le tome 1 et 23ème édition sur le tome 2. bas du dos un peu fendu. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/3211-journal-de-la-france-tome-1-mars-1939-juillet-1940-tome-2-aout-1940-avril-1942?lrb
Les deux premiers tomes du journal, qui en compte quatre, tenu par Fabre-Luce pendant toute la durée de la guerre. Largement diffusés et lus les années de leur parution, en 1940 et 1942, ces livres ont été interdits en 1945 pour leur caractère ˮcollaborationisteˮ. A noter que le chapitre ˮhitlérisme françaisˮ, dans le tome 1, a été supprimé des éditions d'après-guerre. Ouvrages publiés pendant la guerre. Esprit curieux et indépendant, l'auteur traduit bien dans son journal les tentances du temps sans d'ailleurs prendre position. C'est donc un document intéressant pour bien saisir la mentalité des Français au début de l'Occupation après le choc de la défaite et l'espoir de l'armistice.
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État : Très bon état - Année : 1964 - Format : in 8° - Pages : 270pp - Editeur : La Table Ronde - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Dos un peu plié. Une signature, discrète, sur la page de faux-titre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/2038-le-couronnement-du-prince?lrb
Le général De Gaulle a reçu, outre beaucoup de couronnes de chêne, de myrte et de laurier, quelques couronnes d'épines. Les unes et les autres sont ici examinées de près, l'auteur nous rapelle, avec ses propres commentaires, ce que ses confrères ont dit, en y ajoutant un recensement de ce qu'ils n'ont pas dit. Afred Fabre-Luce reste un opposant et ne s'en cache pas. Un pamphlet roboratif par un auteur déjà spécialiste du ˮminageˮ de la statue du Commandeur avec deux livres antérieurs: ˮle plus illustre des françaisˮ et ˮhaute-courˮ. D'un anti-gaulisme raisonné, intransigeant mais subtil et rafiné, l'auteur nous montre ici les contradictions des contempteurs du général de gaulle toujours prêts à adorer les hommes au pouvoir.
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État : Assez bon état - Année : 1942 - Format : in 8° - Pages : 351pp - Editeur : Editions de la Toison d'Or - Lieu d'édition : Bruxelles - Type : Broché - Divers : Dos et couv un peu salis etjaunis. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/5728-journal-de-la-france-mars-1939-juillet-1940?lrb
Le journal tenu par un Français, nationaliste et pacifiste, impliqué dans la vie politique et culturelle de l'entre-deux-guerre, où il transcrit à chaud les événements importants, ses réflexions politiques et ses pensées sur l'avenir de la France. Un document précieux, et indépendant, sur la ˮdrôle de guerreˮ, sur le désastre de juin 40, sur l'armistice et l'appel au Maréchal Pétain. Tome 1 seul dans une deuxième édition. L'ensemble des quatre tomes de son journal pendant la guerre a valu à l'auteur des ennuis de tous les bords. Les deux premiers tomes ont été inscrits sur la liste des ouvrages collaborationistes en 1945 alors que la diffusion du tome 3 a été interdite par les Allemands. A noter que dans les éditions d'après-guerre le chapitre ˮHitlérisme françaisˮ à disparu. Celle-ci est la deuxième édition de 1942.
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État : Bon état - Année : 1942 - Format : in 8° - Pages : 351pp - Editeur : Editions de la Toison d'or - Lieu d'édition : Bruxelles - Type : Broché - Divers : Dos et couv jaunis et un peu salis. Une petite coupure sur un mors (1cm), bas du dos du premier plat. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alfred-fabre-luce/2050-journal-de-la-france-mars-1939-juillet-1940?lrb
Le journal tenu par un Français, nationaliste et pacifiste, impliqué dans la vie politique et culturelle de l'entre-deux-guerre, où il transcrit à chaud les événements importants, ses réflexions politiques et ses pensées sur l'avenir de la France. Un document précieux, et indépendant, sur la ˮdrôle de guerreˮ, sur le désastre de juin 40, sur l'armistice et l'appel au Maréchal Pétain. L'ensemble des quatre tomes de son journal pendant la guerre a valu à l'auteur des ennuis de tous les bords. Les deux premiers tomes ont été inscrits sur la liste des ouvrages collaborationistes en 1945 alors que la diffusion du tome 3 a été interdite par les Allemands. A noter que dans les éditions d'après-guerre le chapitre ˮHitlérisme françaisˮ à disparu. Celle-ci est la deuxième édition de 1942.
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Julliard, 1981, in-8°, 328 pp, broché, bon état
"Ainsi que son titre l'indique, Alfred Fabre-Luce raconte « douze journées décisives », qui « s'inscrivent dans une histoire continue : celle d'une abdication de l'Europe.» A. Fabre-Luce a du talent et du métier : l'ouvrage se lit comme un roman... Mais l'ambition de l'auteur est celle de l'historien. Dans cette perspective, sa méthode mérite d'être décomposée. – Premier aspect de la démarche : l'histoire de l'Europe, entre 1914 et 1966, se cristalliserait autour de ces douze « journées décisives ». Certes, A. Fabre-Luce est trop intelligent pour oublier que ces journées sont prises dans un tissu épais de faits, d'attitudes et de discours. Pourtant, l'approche de l'auteur finit par suggérer que, comme dans un conte de fées, l'histoire et les hommes retrouveraient leur liberté à chacune de ces étapes : pendant vingt-quatre heures, tout serait ou resterait possible, mais, minuit sonné, les rêves de paix ou d'ordre se dissiperaient devant les réalités de la force et de la guerre ! – Deuxième aspect de la démarche : les « douze journées » sont bien sûr choisies avec soin. Certaines dates, qui semblaient s'imposer – par exemple, Munich (29-30 septembre 1938) et surtout cet acte capital qu'est la signature du pacte germano-soviétique (23 août 1939) – , sont laissées de côté. Avec habileté, A. Fabre-Luce se penche sur des moments qui, tout en ayant un écho moins grand dans les opinions publiques, feraient partie de ces tournants d'autant plus lourds de conséquences que leur importance exacte est mal perçue (par exemple, les 7 mars 1936 – entrée des troupes d'Hitler en Rhénanie –, 30 mars 1939 - octroi par la Grande-Bretagne et la France d'une garantie inconditionnelle à la Pologne – ou 30 août 1954 – refus de l'Assemblée nationale de discuter le traité instituant la Communauté européenne de défense –). A nouveau, en eux-mêmes les choix de A. Fabre-Luce peuvent être interprétés comme ceux d'un homme soucieux d'aller au delà des conformismes. Néanmoins, le lecteur s'interroge : les journées n'auraient-elles pas pour seul rôle de justifier une thèse déjà fixée avant tout examen des événements ? – Les préférences, les amertumes ou même peut-être les embarras de l'auteur font trop souvent dévier les buts de l'écrivain. Ce qui est dit sur Hitler et l'Allemagne nazie aux pages 141 à 143 est assez étrange : par exemple, A. Fabre-Luce écrit : « C'est essentiellement par un progrès de la production 'civile' que le revenu national allemand avait été doublé pendant les premières années d'hitlérisme. C'est seulement après 1936 que le réarmement a joué un rôle important. Ensuite, jusqu'à ses premières grandes déceptions, de l'hiver 1941-1942, Hitler n'a pas fait la guerre totale... » Tous ces clivages oublient simplement l'essentiel : la logique du régime hitlérien, la mobilisation permanente de la population (d'abord, bien sûr, dans des formes civiles), enfin la dissimulation du réarmement dans les premières années du nazisme... – Enfin, dernier aspect de la démarche de A. Fabre-Luce, quelques données fondamentales du XXe siècle sont laissées dans l'ombre. Comment est-il possible d'évoquer le 23 septembre 1917 – rendez-vous avorté du baron allemand Von Der Lacken avec Aristide Briand – ou le 24 janvier 1943 – exigence par Roosevelt et Churchill d'une capitulation inconditionnelle de l'Allemagne – , sans tenir compte de la nature de la guerre moderne, cette « ascension aux extrêmes » selon la définition pour longtemps actuelle de Clausewitz ? Et puis surtout, cette « abdication » de l'Europe, si elle a été amplifiée et accélérée par ses déchirements internes, ne peut être vraiment comprise sans faire sentir l'élargissement du monde, la montée parallèle des États-Unis et de la Russie qu'annonce Tocqueville dans De la démocratie en Amérique ? Les « journées décisives » seraient peut-être alors le « jeudi noir » de Wall Street (24 octobre 1929) ou la prise de Singapour par les troupes japonaises (15 février 1942) !" (Philippe Moreau-Defarges, Politique étrangère, 1982)
[RÉGIONALISME - NANTES - STE LUCE] ALTON ET BRÉTÉCHÉ NOTAIRES ROYAUX DE NANTES
Reference : 28619
(1685)
nantes 1685 1 document original de 4 pages brochées, manuscrites à l'encre brune sur papier vergé crème, ligné et filigrané , format : 33 x 21,5 cm, orné d'un timbre fiscal en noir de Bretagne :"DIX HUIT DENIERS", CONTRAT D'ACQUEST, d'une Terre située à la Gaignerie des Landes, Paroisse de Ste LUCE, vendue par Pierre Veillet, Laboureur et Marguerite Villaine sa Femme demeurants au village de la Beltrie autrement de l'Angle, Paroisse de Ste Luce à Me Gilles PETIT Sieur de l'Aubinière, Notaire à la Cour de Nantes demeurant au carroir des Changes, Paroisse St Saturnin, fait à Nantes, le 22 septembre 1685, signatures manuscrites in-fine des notaires de Nantes: ALTON ET BRÉTÉCHÉ,
DOCUMENT ORIGINAL UNIQUE .... TRÉS RARE ..... en bon état (good condition). en bon état
[RÉGIONALISME - SAINTE-LUCE] PIERRE MAUCLERC DE LA MUZANCHERE ÉVEQUE DE NANTES - MORICET ET JALABER NOTAIRES ROYAUX DE NANTES
Reference : 28601
(1774)
SAINTE-LUCE 1774 1 document manuscrit à l'encre brune sur vélin parchemin de 4 pages, format : 27,5 centimètres de haut sur 20,5 centimètres de large, cachet fiscal en haut de la 1ère page en noir : "BRETAGNE - 1 SOL", signatures historiées des Notaires Royaux de Nantes : MORICET ET JALABER, AFFÉAGEMENT DE LA TERRE DE LA RINTIÈRE, COMMUNE DE SAINTE-LUCE PRÈS DE L'AUBINIÈRE, DE 48 CORDES, PAR PIERRE MAUCLERC DE LA MUZANCHÈRE ÉVEQUE DE NANTES, A PIERRE FRANCOIS GRIBAULT DE LA MOTTE, AVOCAT AU PARLEMENT, PROCUREUR AU SIÈGE PRÉSIDIAL DU COMTÉ DE NANTES, DEMEURANT AU PILORI, PAROISSE DE SAINTE-CROIX A NANTES, LE 9 JUILLET 1774,
TRÉS RARE DOCUMENT ORIGINAL AUTHENTIQUE D'ÉPOQUE ............... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[RÉGIONALISME - SAINTE-LUCE] PIERRE MAUCLERC DE LA MUZANCHERE ÉVEQUE DE NANTES - MORICET ET JALABER NOTAIRES ROYAUX DE NANTES
Reference : 28602
(1774)
SAINTE-LUCE 1774 1 document manuscrit à l'encre brune sur vélin parchemin de 4 pages, format : 27,5 centimètres de haut sur 20,5 centimètres de large, cachet fiscal en haut de la 1ère page en noir : "BRETAGNE - 1 SOL", signatures historiées des Notaires Royaux de Nantes : MORICET ET JALABER, AFFÉAGEMENT DE LA TERRE DU MOTTAY , PAROISSE DE SAINTE-LUCE PRÈS DE L'AUBINIÈRE, DE 57 CORDES, PAR PIERRE MAUCLERC DE LA MUZANCHÈRE ÉVEQUE DE NANTES, A PIERRE FRANCOIS GRIHAULT DE LA MOTTE, AVOCAT AU PARLEMENT, PROCUREUR AU SIÈGE PRÉSIDIAL DU COMTÉ DE NANTES, DEMEURANT AU PILORI, PAROISSE DE SAINTE-CROIX A NANTES, LE 17 DECEMBRE 1774,
TRÉS RARE DOCUMENT ORIGINAL AUTHENTIQUE D'ÉPOQUE ............... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Paris 3 septembre 1895 | 13.50 x 21 cm | 1 page sur un double feuillet remplié
Lettre autographe signée de Camille Pissarro, une page sur un bifeuillet remplié. Quelques déchirures au niveau des traces de pli horizontales et verticales, sans atteinte au texte, petit manque en marge du feuillet vierge. Missive inédite de Pissarro à la graphie particulièrement esthétique adressée àson ami le peintre Maximilien Luce. * Pissarro est peiné d'apprendre l'« affreux malheur » de Maximilien Luce, qui venait de perdre son fils Frédéric, âgé de deux ans : Paris III rue Saint-Lazare 3 sep. 95 Mon cher Luce Nous avons reçu votre lettre hier soir en entre à l'hôtel nous apprenant votre affreux malheur, nous aurions bien désiré aller vous serrer la main en des circonstances si douloureuses, mais les choses sont si mal emmenchées [sic] que nous ne pouvons le faire. Il nous faut partir aujourd'hui à Eragny pour que Lucien prépare son départ définitif à Londres qui a été fort retardé par la maladie de sa petite qui a eu la fièvre scarlatine, de mon côté il faut que je passe chez mon occultiste pour lui montrer mon il qui m'inquiète. Excusez-nous, mon cher ami, croyez que nous prenons part à vos chagrins, et si je puis vous servir je me mets entièrement à votre disposition, présentez, je vous prie nos compliments de condoléance à votre femme, nous vous serrons les mains. Votre ami dévoué, C. Pissarro Après la perte de cet enfant, le peintre et sa femme rejoignirent les Pissarro à Eragny, où Luce réalisa des portraits de Pissarro entouré de ses enfants, désormais conservés au Metropolitan Museum de New York. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
s. d. [1887] | 20.50 x 30.50 cm | une feuille
Rare estampe originale de Camille Pissarro, intitulée "La Sarcleuse", une des 12 épreuves de deuxième état après une épreuve d'artiste de premier état, et trois ou quatre essais en deuxième état. Comme plusieurs autres exemplaires, elle porte la mention au crayon "2e Etat imprimé par F. Jacques". Uniformément brunie, rousseurs éparses, extrémités de la feuille insolées avec d'infimes déchirures. Exceptionnellement enrichie d'un envoi autographe au crayon au grand ami de Pissarro, le peintre Maximilien Luce : "pour l'ami Max Luce" Une autre épreuve donne le contexte de ce beau portrait, qui prendrait son inspiration de la silhouette d'une paysanne aux champs dans le village de Pissarro à Eragny, dans l'Oise. Les eaux-fortes que réalisa Pissarro dans les années 1890 furent presqu'entièrement vouées aux travailleuses campagnardes, évoquant toute une gamme d'activités quotidiennes. L'une des plus raffinées de la série, cette rare et superbe eau-forte est à rapprocher de son tableau éponyme, Les Sarcleuses,Pontoisede 1882, exposé à la VIIe exposition impressionniste. Cette épreuve offerte par Pissarro est la seule dédicacée recensée dans son catalogue raisonné (Loÿs Delteil, 72) avec seulement quatre épreuves répertoriées (Musée du Luxembourg - aujourd'hui BnF -, New York Public Libary, Campbell Dodgson, Alfred Beurdeley). L'oeuvre date par ailleurs de l'année de leur rencontre en1887, lorsque Pissarro, aux côtés de George Seurat etPaul Signac, fait la connaissance deMaximilien Luce au Salon de la Société des artistes indépendants. Leurs affinités seront à la fois idéologiques et artistiques : "Les convictions révolutionnaires de Luce se confirment quand il rencontre Camille Pissarro [...] Les deux hommes ont un goût pour le monde du travail, ouvrier pour l'un, agricole pour l'autre" (Xavier Mauduit). A son contact, Luce adoptera la division des tons chère au mouvement desnéo-impressionnistes, dont Pissarro était la figure de proue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris Editions Jesco - Imagerie de Paris 1963 grand in 4 (30,5x24) 1 volume broché, couverture illustrée, non paginé (16 pages), avec des illustrations en couleurs de illustrations de Luce Lagarde. Les grands albums du coquelicot. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon
Laffont, 1976, in-8°, 244 pp, broché, bon état
La crise que nous traversons nous invite à une prise de conscience libératrice. Alfred Fabre-Luce y contribue par un livre complet, clair, sans jargon, qui n'interpelle pas seulement les experts, mais s'adresse à tous les citoyens. Un thème traverse, comme un fil rouge, les diverses parties de l'ouvrage : l'inflation. Après tant de livres où le phénomène n'était envisagé que sous un angle strictement monétaire ou financier, voici enfin un essai qui va jusqu'aux racines profondes : blocages psychologiques, anticipations de l'avenir, rapports de pouvoirs, etc. On débouche ainsi sur une nouvelle dialectique où les contradictions traditionnelles du marxisme se trouvent dépassées. Une certaine complicité des classes, coexistant avec leur lutte, propage l'inflation au détriment final de tous les intéressés. Une action commune pourrait enrayer le mal. Alfred Fabre-Luce considère aussi la dégradation de la monnaie dans ses rapports avec le jeu, le crime, la permissivité. Toute une époque s'éclaire ainsi, d'autant mieux que l'auteur illustre son propos de choses vues, observées dans les pays fiévreux (Grande-Bretagne, Italie) où il a porté son thermomètre. En le lisant, on s'instruit, on s'amuse parfois, on dépasse les conformismes, on approfondit sa réflexion. On en sort enrichi, mieux armé pour les luttes quotidiennes. — "Le dernier livre d'Alfred Fabre-Luce, “La crise nous révèle”, n'est pas tapageur. Son écriture est lisse et claire, ses mots simples et précis. Pas d'humeurs violentes, mais une simple modulation du ton en phases d'attaque par ironie contenue et en phases de repli par constats lucides et parfois un peu las. En somme une bonne application du principe mille fois éprouvé que les ouvrages les plus « dérangeants » ne sont pas les plus vociférants. “La crise nous révèle” est un livre politique. Alfred Fabre-Luce traite le problème politique de fond qui est, dans les démocraties contemporaines, celui du consensus. (...) En établissant clairement (voir en particulier les chapitres 3 et 4) que l'inflation est un impôt levé par les habiles sur les maladroits, toutes idéologies confondues, Alfred Fabre-Luce jette un pavé dans la mare. Il a raison. L'avertissement peut être entendu par les hommes de bonne volonté. C'est à eux que s'adresse l'homme ou l'écrivain politique. Quant aux habiles, ils n'écoutent que les politiciens." (Richard Sinding, Revue des Deux Mondes, 1976)
Perrin, 1978 in-8°, 347 pp, 16 pl. de gravures hors texte, reliure skivertex éditeur, demi-jaquette illustrée, rhodoïd, bon état
"Vif, direct, rapide, avec des éclairs de bretteur, tel est le talent habituel de M. Alfred Fabre-Luce. Dans ce bel ouvrage, consciencieux et disert, il semble que son scalpel se soit quelquefois ralenti dans les complications et les détours de l'âme et de la vie de son personnage. Les mots « d'équivoque, d'ambigu, de faiblesse de caractère » ne peuvent échapper à la plume de l'analyste. Son héros est-il Suisse ou Français ? Il se marie plusieurs fois et n'ose avouer son ou ses mariages. Il part à la conquête des femmes pour les rejeter. Il s'enchaîne longuement à celle qu'il n'aime pas. Un jour il attaque furieusement Napoléon ; le lendemain se rallie à lui. Tout cela n'est guère plaisant et en tout cas difficile à découper, à recoller, à rebâtir. Et cependant, pour ses contemporains, Benjamin Constant est un grand homme. A sa mort, en décembre 1830, on réclame à hauts cris pour lui le Panthéon ! Pourquoi ? Parce qu'il paraît héraut de la Liberté. Individualiste passionné, également passionné de la chose publique, il voudrait transformer l'esprit de la nation, c'est-à-dire jouer un rôle politique. Être un tribun : il a l'éloquence et la foi. Mais le Tribunat de Bonaparte, où il entre, n'admet pas l'opposition. Dès 1802 Benjamin Constant en est exclu. Rien de plus fort et de plus prophétique contre les dictatures présentes et à venir que son essai sur l'Esprit de conquête et l'usurpation. Enfin, après la seconde Restauration et la dissolution de la Chambre « introuvable », il devient député et prend la tête de l'opposition constitutionnelle. Ce sont les dernières années de sa vie ; dans une atmosphère sentimentale apaisée (il vit enfin avec sa femme Charlotte), il donne toute sa mesure d'orateur, de pamphlétaire et de théoricien politique. Il acquiert alors une immense popularité. (...) Remercions M. Alfred Fabre-Luce de nous avoir montré tous les aspects de cet esprit d'un autre siècle, enchaîné par l'amour et combattant pour la liberté." (Pierre-Olivier Lapie, Revue des Deux-Mondes) — "Alfred Fabre-Luce (1899-1983), auteur de plus de quatre-vingt-dix ouvrages, occupa, pendant plusieurs décennies, une place considérable, retenant l’attention d’un vaste public. D’une inlassable curiosité, il fut un des grands témoins des années 1920-1970. Libéral dans la lignée de Tocqueville, admirateur de Benjamin Constant, à qui il consacra une belle biographie, Fabre-Luce était avant tout un anticonformiste, un inclassable. « Alfred Fabre-Luce, comme Raymond Aron ou Bertrand de Jouvenel, notait Roger Nimier en 1960, appartient à ces esprits qui n’entrent dans une définition ou une case que pour en sortir aussitôt »." (Christian Brosio, 2009)
FROSSAY 16 un document de 4 pages, sur papier vergé, ligné et filigrané : "à l'écu à la Fleur de Lys Royale", manuscrit à l'encre brune, 2 timbre fiscaux imprimés en noir (différents) : "BRETAGNE - DIX HUIT DENIERS" format : 33 x 21 cm, Signature manuscrite de BRETESCHÉ ET BELON NOTAIRES ROYAUX DE NANTES, FAIT A NANTES, LE 24 FEVRIER 1685,
DOCUMENT ORIGINAL D'ÉPOQUE ...... contrat d'acquet ..... RARE DOCUMENT ORIGINAL ...... trés lisible et en trés bon état (good condition). en bon état
Fayard, 1939, in-12, 341 pp, sources et index, reliure bradel papier vert amande, dos lisse, titres et filets dorés (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état. Edition originale sur papier alfa classique
"Libéral dans la lignée de Tocqueville, admirateur de Benjamin Constant, à qui il consacra une belle biographie, Fabre-Luce était avant tout un anticonformiste,un inclassable. « Alfred Fabre-Luce, comme Raymond Aron ou Bertrand de Jouvenel, notait Roger Nimier en 1960, appartient à ces esprits qui n’entrent dans une définition ou une case que pour en sortir aussitôt. »" (Christian Brosio) — "Vif, direct, rapide, avec des éclairs de bretteur, tel est le talent habituel de M. Alfred Fabre-Luce. Dans ce bel ouvrage, consciencieux et disert, il semble que son scalpel se soit quelquefois ralenti dans les complications et les détours de l'âme et de la vie de son personnage. Les mots « d'équivoque, d'ambigu, de faiblesse de caractère » ne peuvent échapper à la plume de l'analyste. Son héros est-il Suisse ou Français ? Il se marie plusieurs fois et n'ose avouer son ou ses mariages. Il part à la conquête des femmes pour les rejeter. Il s'enchaîne longuement à celle qu'il n'aime pas. Un jour il attaque furieusement Napoléon ; le lendemain se rallie à lui. Tout cela n'est guère plaisant et en tout cas difficile à découper, à recoller, à rebâtir. Et cependant, pour ses contemporains, Benjamin Constant est un grand homme. A sa mort, en décembre 1830, on réclame à hauts cris pour lui le Panthéon ! Pourquoi ? Parce qu'il paraît héraut de la Liberté. Individualiste passionné, également passionné de la chose publique, il voudrait transformer l'esprit de la nation, c'est-à-dire jouer un rôle politique. Être un tribun : il a l'éloquence et la foi. Mais le Tribunat de Bonaparte, où il entre, n'admet pas l'opposition. Dès 1802 Benjamin Constant en est exclu. Rien de plus fort et de plus prophétique contre les dictatures présentes et à venir que son essai sur l'Esprit de conquête et l'usurpation. Enfin, après la seconde Restauration et la dissolution de la Chambre « introuvable », il devient député et prend la tête de l'opposition constitutionnelle. Ce sont les dernières années de sa vie ; dans une atmosphère sentimentale apaisée (il vit enfin avec sa femme Charlotte), il donne toute sa mesure d'orateur, de pamphlétaire et de théoricien politique. Il acquiert alors une immense popularité. (...) Remercions M. Alfred Fabre-Luce de nous avoir montré tous les aspects de cet esprit d'un autre siècle, enchaîné par l'amour et combattant pour la liberté." (Pierre-Olivier Lapie, Revue des Deux-Mondes)