à voter pour l'arrestation de 32 membres de la convention nationale. Paris. Imprimerie du Journal des Hommes Libres. (1793) In-8 (136 x 212mm) broché, sans couverture, 47 pages. papier un peu fragilisé, traces claires d'humidité. Rare.
Homme habile, possédant une profonde connaissance du gouvernement, d'une patience infatigable, d'une perspicacité rare dans les travaux des comités, Robert Lindet fut l'une des grandes figures de la Révolution. (Boursin et Challamel). A l'époque des faits il était membre du Comité de Salut Public.
Saint-Flour, Impr. de G.Sardine, 1793 in-8, 24 pp., en feuilles. Page de titre salie.
La brochure comprend la liste des vingt-et-un conventionnels chargés de rédiger l'acte énonciatif des crimes imputés à Louis XVI. Avocat, député de l'Eure à la Convention, Lindet vota la mort du roi sans appel, contrairement à la position des Girondins. Dans cette brochure, et avant la lecture de l'acte d'accusation, Robert Lindet fait un rapide exposé de la conduite de Louis XVI depuis le début de la Révolution.Martin & Walter, III, 21574.
A Paris, An IV (1795) in-8, 44 pp.
Sous la Convention thermidorienne, l'avocat normand Lindet livre une version très personnelle de son parcours politique durant les trois dernières années, insistant sur sa relative modération (ce qui n'était pas totalement fantaisiste).Martin et Walter, III, 21565.
De l'Imprimerie du Comité de Salut public P., An III de la République, (septembre 1794). In 12, 69 pp. et 1 ff. blanc., couvertures muettes bleues.
Lindet, procureur syndic de son district (1790), élu à l'Assemblée législative, puis à la Convention. Il siéga d'abord avec les députés de la Plaine, puis se rallia à la Montagne. Rédacteur du Rapport sur les crimes de Louis Capet (Louis XVI), il entra au Comité de salut public en avril 1793. Dans le Rapport que nous présentons ici, Lindet prend courageusement la défense de l'oeuvre des comités de gouvernement après leur attaque par les Thermidoriens. Il accompagne sa défense d'un projet visant à affermir, dans les écoles, les principes républicains hérités de la révolution. Le rapport est suivi d'un projet de décrets. [Martin & Walter, III, 21575].
Imprimerie du Journal des Hommes Libres. Non daté. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Déchirures. 47 pages. Pages 17-31 manquantes. Quelques galeries d'insecte altérant la lecture de certaines pages.. . . . Classification Dewey : 94.3-Livres anciens XVIII ème
Vers 1793. 'On conspirait depuis longtemps dans le sein de la Convention Nationale contre la République; on avait embrassé un plan aussi vaste que celui qui avait été conçu par Louis Capet, lorsqu'il voulut asservir la France. (...)' Classification Dewey : 94.3-Livres anciens XVIII ème
A Commune Affranchie, chez Maret, s.d. (1794) in-8, 32 pp., broché. Couverture papier marbré vert postérieur.
Martin et Walter, 21575.
Paris, Imprimerie Nationale, An 3 in-8, 33 pp., broché, sous couv. d'attente bleue. Rousseurs.
Martin et Walter, 21575.
Paris, Imprimerie Nationale, An 3 in-8, 26 pp., dérelié. Rousseurs.
Martin et Walter, 21575.
S.l.n.d. in-8, 53 pp. broché. Quelques pages sur papier bleuté.
Martin et Walter, 21575.
Paris, Imprimerie Nationale, An 3 in-8, 53 pp.
Martin et Walter, 21575.
[Paris], Imprimerie du Comité de Salut public, an 3 [1794-1795]. In-16, 69p. Edition originale de ce rapport fait le 20 septembre 1794. Il est alors encore membre du Comité de Salut public, comité qu'il quitte le mois suivant. Ce rapport est notamment un commentaire des évènements récents, comme le 9 thermidor, auquel il ne participa pas mais sur lequel il déclare : « On ne regardera pas les erreurs de quelques citoyens comme un égarement du peuple. Quelques citoyens avaient été séduits ; mais le peuple entier, attaché aux principes et à la représentation nationale a condamné Robespierre et ses complices. » Le rapport est suivi de 8 décrets de la Convention nationale, conséquences de ce rapport. Lindet vota la mort de Louis XVI. Dérelié, sous couverture marbrée moderne. Rare
[DUMOURIEZ] Pièce signée par les conventionnels Louis Bernard GUYTON-MORVEAU, par Pierre Joseph CAMBON (fils ainé) et par Robert LINDET, sur document en partie imprimé.
Reference : 42C40
Très intéressante pièce relative à la surveillance des courriers se disant porteur d’ordres de la Convention nationale, circulant dans le département de l’Aube et ayant pour destination de colporter de fausses nouvelles, en particulier, « en disant que l’armée de Dumouriez est rentrée en France, et que par cette réunion, la République a plus de troupes qu’il ne lui en faut », défendant ainsi les recrutements. « Nous recommandons à votre surveillance, les auteurs de cette coupable manœuvre, que les ennemis de la République peuvent renouveler dans d’autres départements. Nous vous invitons à déjouer par tous les moyens qui sont en votre pouvoir, ces perfides complots, à faire remettre en état d’arrestation tous les porteurs de faux ordres, de fausses nouvelles, tous les machinateurs qui usurperoient un caractère qui ne leur appartient pas, pour égarer l’esprit public et trahir la Patrie ».