ATTENTION EXEMPLAIRE NON DATER APPROXI 1930-1950 BROCHE BON ETAT + PLAN Couverture illustrée par André Planson La Haute bretagne Levron Jacques Arthaud
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France Loisirs 1991 353 pages collection La vie quotidienne. in-8. 1991. Cartonné/Jaquette. 353 pages.
Très bon état
Rouff Broché 1976 In-8 (16 x 24 cm), broché avec rabats, couverture illustrée en couleurs, 271 pages, iconographie en noir hors-texte ; pliures au dos, coiffes et bords frottés, couverture défraîchie, assez bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Les Beaux Pays Reliure d'éditeur 1958 In-8 (17,5 x 22,7 cm), reliure d'éditeur pleine toile ornée d'un portrait contrecollé de François Ier par Clouet, ouvrage orné de 179 héliogravures en noir et blanc ; deux petits défauts sur le premier plat, par ailleurs bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Au masque d'or Toile d'éditeur 1955 In-4 (24,5 x 33 cm.), toile d'éditeur, un des 1500 exemplaires numérotés (n°4), LXXXVII planches couleurs ; dos et bords jaunis, par ailleurs très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
B. Arthaud 1946 145 pages in-12. 1946. broché. 145 pages. Avec 4 cartes et 51 illustrations
Etat correct. Dos bruni sinon bon état
Grenoble Editions Arthaud (n° 143 de la Coll. "Les beaux pays") 1962 257 pages in-8. 1962. cartonné. 257 pages. In-8 (226x173 mm) 257 pages. Livre relié Cartonnage toilé et décoré de l'éditeur Couverture de Dignimont Jaquette rhodoïd. Ouvrage orné de 203 héliogravures - Complet de sa carte volante. A noter deux petites coupures au rhodoïd sinon très bon état. Poids : 870 gr
H. Siraudeau & Cie 1974 104 pages in-12. 1974. broché. 104 pages. 11ème édition. Avec des illustrations en noir
Etat correct. Quelques rousseurs à la couverture et un tampon de bibliothèque. INtérieur avec peu de rousseurs
Les Heures Claires Feuilles sous couverture et emboîtage 1955 Deux volumes in-4 (21 x 26,5 cm), exemplaire en feuilles sous couvertures rempliées et emboîtages, 151 et 151 pages, illustré de pointes sèches de Ch. Samson ; quelques frottements sur l'emboîtage du second volume, par ailleurs bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Librairie Félix Alcan Broché In-8 (16 x 24,8 cm), broché, 229 pages, ex-libris d'Olivier Le Dour ; pliure au dos bruni, rousseurs aux tranches et au dos, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Librairie Académique Perrin Présence de l'Histoire Cartonné avec jaquette 1972 In-8 (13.5 x 21 cm), cartonné avec jaquette illustrée en couleurs, 414 pages ; l'ouvrage est équipé d'un protège-livre, jaquette usagée (coiffes et bords légèrement frottés, quelques marques d'usage aux plats), petites traces de ruban adhésif aux gardes, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Siraudeau & Cie Broché 1950 In-4 (16,5 x 25 cm), broché, 55 pages ; tampons de bibliothèque, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Arthaud. Coll. Les Beaux pays, 1962, in-8, broché, 257 pages. Bon état. Ouvrage illustré de 203 héliogravures. Carte en fin d'ouvrage
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Paris, Librairie Académique Perrin, 1976, in-8, relié, 348 pages. Bon état.
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Paris, Moniteur, collection architecture les hommes , 1980, in-8, Broché., 224 pages. Nombreuses illustrations
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Paris, Fernand Nathan, Contes et Légendes de tous pays, 1972, in-12, cartonnage éditeur, 249 pages. Bon état.
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Paris, B. Arthaud, in-8, broché sous couverture rempliée, 219 pages. Bon état. Ouvrage orné de 176 héliogravures. Couverture de André Planson. Carte en annexe.
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JAQUETTE PLASTIQUE ABIMEE EN PARTIE SUPERIEURE, PLIS ET LEGERE TACHE SUR LE DOS DE L OUVRAGE, BORDS DES FEUILLETS LEGEREMENT JAUNIS. BON ETAT GENERAL VOIRE TRES BON POUR UN LIVRE DE CET AGE. PHOTOS SUR DEMANDE
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Arthaud Bellegarde, Impr. Sadag RELIE SOUS JAQUETTE ILLUSTREE. BON ETAT. QUELQUES ROUSSEURS SUR LES TRANCHES, PREMIERES ET DERNIERES PAGES. ILE DE FRANCE. 129 PHOTOGRAPHIES EN NOIR ET 1 CARTE. ARTHAUD, 1964. 255 PAGES. PHOTOS SUR DEMANDE
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Tome 1 seul.
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Editions de l'Ouest. 1947. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Agrafes rouillées, Non coupé. 37 pages de texte+ 5 figures en noir et blanc, hors texte. Coins frottés. Quelques rousseurs. Papier jauni.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: L'ornementation des vases grecs du Musée Pincé par Henry de Morant- Une évacuation d'oeuvres d'art au XVIe siècle par Jacques Levron- La vermoulures des meubles et menuiseries- Les élèves de 5e nouvelle du Lycée du Bellay au Musée Saint-Jean par Madeleine Levasseur-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Librairie acadmique Perrin Reli D'occasion bon tat 01/01/1975 333 pages
Tallandier. 1967. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 224 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et monochrome, dans et hors texte. 2 pages manquantes.. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
"Sommaire: Splendeur de Versailles par Pierre Gaxotte- Un château Bleu, Blanc, Rouge sous Louis XIII par Alain Decaux, 125 ans de travaux par Jacques Levron- La cour du Roi Soleil par Georges Mongrédien- La journée de Louis XIV par le Duc de La Force- Les plaisirs et les ""utilités"" par Jacques Levron- etc. Classification Dewey : 944-Histoire de France varia"
1964 1964 Paris: Sté de Saint-Eloy, 1964. Plaquette petit in-4(279x232mm.) en feuilles, couverture imprimée; chemise à rabats avec étiquette imprimée sur lepremier plat.
EDITION ORIGINALE du texte de Jacques Levron sur la ville de Dourdan illustré par Paul Baudier, de quatreillustrations dont trois aquarelles originales en couleurs et un dessin à la mine de plomb.Tirage confidentiel à 3 exemplaires sur vélin B.F.K. de Rives, numérotés (n°2).Cette plaquette est accompagnée d'une autre plaquette: Hommage à Paul Baudier, texte du Comte Doria, illustré enfrontispice d'un burin original d'Albert Decaris.-Paris, Société de Saint-eloy, 1964.(280x233mm.) en feuilles, couvertureimprimée. Cette dernière a été tirée à 125 exemplaires sur vélin B.F.K. de Rives.
Perrin, 1977, in-8°, 344 pp, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, reliure skivertex éditeur, gardes illustrées, bon état
"Toute biographie, plus ou moins, est une réhabilitation, et plus ou moins passionnée. Disons tout de suite que l’auteur, qui est chartiste et qui occupa une chaire d’histoire médiévale, ne traite pas à la légère un sujet considéré volontiers comme léger, mais par les seuls esprits légers. Toutefois, le secret qu’il va dévoiler est simple et humain : c’est celui d’une femme très intelligente, très raisonnable, d’un goût, d’un sens artistique exquis et rare d’un courage, d’une énergie exceptionels qu’elle eut l’ambition d’appliquer aux affaires publiques, et à qui Versailles, complice de toutes les nobles corruptions, ne pardonna pas, non sa naissance, mais ses vertus bourgeoises. Car elle les avait toutes (sans leurs revers) – y compris la vertu tout court. Jeune fille sage, épouse fidèle, quand elle avait épousé à dix-neuf ans un financier jeune mais pas très beau, elle lui avait dit sérieusement : « je ne vous abandonnerai jamais », ajoutant en manière de tendre plaisanterie : « sauf, naturellement, pour le roi ». Ainsi se prédisait-elle à elle-même son propre destin : Louis XV fut, autant du moins qu’il y a de certitude absolue en ces choses, le premier amant de Jeanne-Antoinette (surnommée dès l’enfance, ce qui était encore une anticipation, « Reinette ») et plus probablement encore le dernier. Elle n’en fut pas moins atrocement, bassement injuriée, brocardée, chansonnée, comme ne le fut jamais la plus dévergondée des duchesses. Duchesse, il lui manqua toujours de l’être pour se faire pardonner. Elle y suppléa de son mieux – qui fut bien. Jeanne-Antoinette avait tout de suite montré de l’ambition : elle voulait s’élever de cercle en cercle – c’est alors qu’elle devint l’amie des écrivains et des philosophes, ce qui devait ajouter au scandale de son règne – et ne mettait sans doute point, à l’avance, de borne à son ascension. Elle ne pouvait que viser la cour, et ce n’est pas par hasard qu’elle traversait les voies du roi à la chasse. Celui-ci, en tout cas, s’éprit de cette Diane qui conduisait elle-même avec témérité un phaéton bleu quand elle était habillée de rose et un phaéton rose quand sa robe était bleue. Tout ce prélude est d’un romanesque achevé. L’aventure alla aussi grand train que le phaéton de la chasseresse, et M. Levron souligne toute la délicatesse, la réserve, la pudeur, l’intelligence enfin que« Reinette » déploya avant et après son « couronnement ». N’ayant pu désarmer ses ennemis qui, le plus souvent, portaient de grands noms et de petites âmes, elle dut s’armer contre eux. Tout autant que la femme, c’est la « reine » que son biographe réhabilite. Il montre que si le règne de Louis XV ne fut pas indigne de celui de Louis XIV, s’il laissa un art et un style, c’est grâce à la marquise de Pompadour, toute née Poisson qu’elle fût. La réhabilitation – sans du tout se présenter comme telle, et par le simple exposé des faits – concerne aussi l’action politique de cette nouvelle Maintenon, d’un esprit autrement ouvert et entreprenant, introduite, comme l’autre, aux affaires par le roi lui-même. Ce qui était, au témoignage du ministre des affaires étrangères, « du bien de son service de la mettre, pour ainsi dire, de moitié dans les affaires publiques . » Car si elle se préoccupa d’abord de politique intérieure, c’est la politique étrangère qui la requit bientôt et la passionna. Elle recevait ministres et ambassadeurs, défaisant ou faisant, le cas échéant, les uns et les autres. Elle envoie Bernis à Venise, et elle bataille longuement et tenacement (jusqu’à se mettre elle-même, dit-on, dans la balance) pour imposer et faire nommer à Rome son protégé, sa découverte : le comte de Stainville, qui deviendra Choiseul. Pendant trois ans, dans une correspondance sérieuse, lucide, volontaire, parfois impérieuse, mais toute mêlée de potins, de coquetteries, de familiarité affectueuse envers « sa petite Excellence bleue » et qui font le charme unique de cette correspondance diplomatique, elle instruit, soutient, exhorte, morigène, encourage, dirige « son » ambassadeur : « Occupez-vous sans cesse des grandes affaires auxquelles je veux absolument que vous réussissiez. » La plus grande affaire, c’est celle du jansénisme qui empoisonne le royaume, détruit la paix intérieure, et qu’elle est d’autant plus ardente à régler qu’elle sent approcher la guerre : « je ne (la) crains que pour le mal qu’elle fait au royaume, je me battrai de toutes mes forces. » Ce n’est pas forfanterie : elle se bat. A travers l’incapacité des ministres, c’est grâce à elle et par elle qu’est connu le traité secret conclu entre Londres et Berlin ; c’est par elle, et c’est chez elle, que se négocie la parade : l’entente avec Vienne. Le fameux renversement des alliances – ou plutôt la riposte à la trahison de Frédéric – est l’œuvre de ce « Cotillon IV » que le Prussien avait tout de suite redoutée. Elle justifia cette crainte avec largesse. Et c’est à elle que l’ambassadeur d’Autriche Kaunitz écrivait, c’est elle qui lui répondait : « C’est avec une grande satisfaction, Monsieur, que je vous fais mes compliments... On dirait du roi lui-même. Les suites furent moins heureuses, par la faute, comme il advient quelquefois, des militaires : elles s’appellent Soubise et Rosbach. Elles n’abattent pas la marquise, dont l’énergie et la constance sont d’une tout autre trempe que celle de la plupart des hommes, le roi en tête : « Je hais le vainqueur plus que jamais, écrit-elle à Kaunitz.Prenons de bonnes mesures, pulvérisons l’Attila du Nord... » Enfin, Stainville devient duc de Choiseul et parvient au pouvoir. Et, peu à peu, volontairement, la marquise s’effacera devant l’homme qu’elle a mis en place, plus digne d’y être que quiconque, et qui fera sa politique. Car elle en eut une : solide, cohérente, clairvoyante. Si cette politique n’a pas réussi, ce n’est certes pas la faute de cette femme, mais celle des hommes qui ne surent ni en procurer les moyens ni en assurer l’exécution. Bien plus qu’eux, elle souffrit de cet échec qui était celui du roi et du royaume, elle s’en désespéra, sans cesser d’entreprendre. M. Levron n’hésite point à parler de la « maîtrise » » politique de la maîtresse royale. Pas plus que sa lucidité et que son courage, on ne peut en tout cas mettre en doute son désintéressement, un sens élevé de ses actes et que nous dirions aujourd’hui « national » : « L’intérêt personnel ne m’a jamais conduite qu’à la gloire du roi, et à ce que je crois bon et honnête... » – Et, après la terrible épreuve de l’attentat de Damiens : « Il vit, tout le reste m’est égal : cabale, indignités, écrits, et je le servirai, quoi qu’il doive m’arriver, tant que je serai en position de le pouvoir. » Ses erreurs ne sont pas contestables ; mais, en vérité, la bourgeoise la plus honnie et outragée de France, pendant sa vie et après sa mort, pourrait bien avoir été une des plus nobles dames de son siècle : et cette femme si féminine fut, à coup sûr, un des rares hommes de la cour et du gouvernement." (Yves Florenne, Le Monde diplomatique)