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L'oeuvre juridique de Jean-Marie Ricard
Beauvais : A. Dumontier 1912 In-8, plein veau brun marbré, dos à nerfs, caissons ornés, encadrements à froid, fleurons à froid et dorés aux angles, dentelles intérieurs, plats biseautés, VIII- 308 pp.
Bel exemplaire sur Arches, très agréablement relié. Jean-Marie Ricard (1622- 1678) fut l'un des plus célèbres avocats consultants du Parlement de Paris Très bon état d’occasion
PRECIS HISTORIQUE SUR BEAUVAIS
Non précisé. Non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos fané, Intérieur acceptable. 170 pages. Illustré de reproductions en noir et blanc sur planches hors texte. 1 planche détachée.. . . . Classification Dewey : 908.4426-Régionalisme : Picardie
'Histoire générale des Communes de France'. Classification Dewey : 908.4426-Régionalisme : Picardie
L.A.S. au citoyen Voisin sous-chef au Bureau des fonds des Colonies
Paris, 23 pluviose an 7, 11 février 1799 , 1 pp. in-4, apostille ; marge de gauche coupée, sans atteinte.
Recommandation du représentant du peuple à St-Domingue, concernant une réclamation d'un officier de marine : "(…) il ya près de 4 mois, je vous addressai les accomptes du citoyen Berniard, enseigne de vaisseau, demeurant à Bourg (Gironde) qu'ils m'avaient fait passer pour obtenir une ordonnance payable à Bordeaux ou à Rochefort (…). Une lettre du Cn Berniard me fait connaitre qu'il n'a rien touché, et le ministre auquel j'avais écrit à ce sujet ne m'a rien fait savoir (…)."Ancien administrateur des colonies, secrétaire de la commission envoyé à St Domingue pour assurer la pacification, Claude Leborgne de Boigne (1762-1832) s'était signalé par la promulgation en 1792 de la loi reconnaissant aux noirs des droits politiques. Il fut envoyé à la Martinique avec Rochambeau et prit une part active dans la défense de l'ile contre la flotte anglaise ; arrêté comme Girondin à son retour en France en 1793, remis en liberté, il fut nommé commissaire ordonnateur du corps expeditionnaire de Saint-Domingue (1796), puis élu député de la colonie au Conseil des Cinq-Cents. En septembre 1799, il avait réclamé l'annulation des nouvelles élections de Saint-Domingue considérées trop influencées par Toussaint-Louverture. Contre le 18 brumaire, il perdit sa place d'ordonnateur et n'eut plus aucune fonction publique.
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Motion d'ordre sur la marine.
Paris, Imprimerie Nationale, An 6 [1797]. In-8 de 14 pp.; cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin brun en long (reliure moderne).
Discours lu lors de la séance du 16 novembre 1797. Le 26 octobre 1797, le Directoire décida du rassemblement d'une nouvelle armée, placée sous le commandement du général Bonaparte, dans le but d'envahir l'Angleterre. Mais, d'après l'orateur, la marine française était en piteux état, faute de moyens et de volonté politique. Il fallait donc la remettre sur pied et il proposa le vote d'une motion pour que la commission des colonies et de la marine se saisisse du problème. Bon exemplaire. Inconnu de Monglond. — Polak, 5508.
