Mercure de France.11989.In-8,couv.souple ill.en couleurs.TBE.
A Paris, chez Treuttel et Wurtz. 1841. 1ère édition illustrée et aussi 1er tirage des illustrations sur bois. Frontispice et nombreuses vignettes in-texte. 2 vol. in-8. Demi-reliure imitation chagrin bleu foncé. Pièce de titre en veau rouge. Rousseurs in-texte.Ex-libris.
MADOL (Madeleine Delvigne, baronne Olivier d'Ambricourt).
Reference : AMO-2687
(1907)
Paris, P.-V. Stock, 1907 1 volume in-18 (19 x 13 cm) de (4)-288 pages. Reliure de l'époque demi-toile lie de vin, pièce de titre en cuir caramel, fleuron doré au centre du dos, millésime doré en queue, relié sur brochure (non rogné), couvertures et dos du brochage conservés en parfait état. Le premier plat est illustré en couleurs par L. Vallet. Édition originale. Rarissime tirage de tête, 1 des 5 exemplaires sur Hollande, numéroté et paraphé à la plume par l'éditeur P. -V. Stock. Exemplaire de dédicace offert par l'auteure à Monsieur Guido Diaz de Soria, ex-directeur du journal La Vie Parisienne (en 1905-1906). "Vous l'avez bien mérité ! Souvenir amical d'une collaboratrice de la Vie Parisienne restée très docile aux conseils de son directeur. signé Madol." L'auteure fut assassinée trois ans plus tard en 1910 à l'âge de 33 ans. Quelle histoire que celle de cette auteure ! La baronne Olivier d'Ambricourt, Madol de son nom de scène fut assassinée par son amant le capitaine Meynier. L'histoire est assez complexe à résumer mais elle défraya la chronique à l'époque d'à peu près tous les journaux (*). L'amant éconduit l'étouffa et la chloroforma dans son appartement. L'assassin prit la fuite et ce ne fut que plusieurs mois plus tard qu'il fut enfin arrêté. Il avoua, fut condamné. Il se rétracta inventant une histoire à dormir debout et son pourvoi en cassation fut rejeté. La personnalité de la pseudo-baronne d'Ambricourt n'en ressorti pas lavée pour autant. Cette dernière a semble-t-il forcé le destin par diverses pirouettes sentimentalo-financières propres à une personnalité quelque peu débordante ... On lui doit outre ce roman de mœurs militaires un peu légères, le Journal d'un mannequin (elle était mannequin semble-t-il également). Dans ce roman Ces Dames du Régiment, on a plaisir à lire un style qui lui est propre, voire singulier. Une belle plume en somme. Un critique de l'époque écrit à son sujet : "Madol est une femme et une femme d'esprit curieuse de ce qui se passe autour d'elle, et passée maître dans l'art de bien observer et de bien dépeindre, d'une plume alerte, dans un style dégagé, alerte et mordant, ce qu'elle a vu. Est-elle, elle-même, une de« ces dames du régiment » qu'elle fait vivre, évoluer, comploter, potiner, médire sous nos yeux et nos oreilles ? Peut-être à coup sûr elle les a beaucoup fréquentées. Il y a dans cevolume des types, des histoires qu'on n'invente pas. Ce livre est fort divertissant et si quelqu'une de ces dames s'y reconnaît, elle sera la première à sourire. Madol a assaisonné les anecdotes de tant d'esprit qu'on ne saurait lui en vouloir d'avoir, parfois, égratigné ses modèles." (Eug. R.(Journal des débats politiques et littéraires, mardi 30 juillet 1907). (*) Autour du Drame de la rue de Rome. "Les dépêches nous ont apporté d'abondants détails sur le drame qui s'est déroulé à Paris, dans un hôtel meublé de la rue de Rome. Voici quelques mots biographiques sur la victime et sur son meurtrier présumé : La baronne Olivier d'Ambricourt demeurait, 34, rue Desbordes-Valmore, à Passy, avec sa fille Paulette, âgée de huit ans et Mme Olivier, sa belle-mère. Elle était connue dans le monde des arts et des lettres et collaborait à plusieurs publications. Fille de M. Delvigne, huissier à Nemours (Seine-et-Marne), née en 1877, elle avait épousé, voilà quelques dix ans, M. le baron Olivier, homme de lettres. Pour incompatibilité d'humeur, d'un commun accord, les deux époux avaient divorcé vers la fin de 1909. Mais la jeune femme divorcée voulut se faire une nouvelle vie, fonder un foyer. Peu après son divorce, elle fit la connaissance de M. de C..., venu du Brésil à Paris pour s'occuper d'affaires financières. Une idylle s'ébaucha bientôt entre M. de C... et la jolie divorcée. La baronne partit au Maroc en compagnie de M. de C.... qui devait l'épouser. Pour certaines raisons, le mariage fut rompu. La baronne en conçut un grand désespoir. Attristée de l'isolement dans lequel elle vivait, elle voulut à toute force prendre mari. Elle s'adressa, dit-on, à une agence matrimoniale, et c'est ainsi qu'elle fit la connaissance de celui qui devait la tuer. C'est sous le pseudonyme de "Madol" tiré de son prénom de Madeleine que la baronne d'Ambricourt fit, il y a quelques années, de timides essais de littérature : elle collabora irrégulièrement d'ailleurs, à divers périodiques, et publia même en 1907 un roman de mœurs militaires, qui eut un succès bien médiocre. C'est encore sous ce nom que ses intimes la désignaient ; habituée des maisons de thé du quartier de la Madeleine, elle était connue aussi dans de nombreux restaurants de nuit et établissements montmartrois ; fort coquette, adorant le flirt, elle avait toujours autour d'elle une foule d'adorateurs. Ces détails peuvent expliquer la folle jalousie du capitaine. On a saisi à son domicile deux télégrammes adressées le jour du drame à sa belle-mère et dans lesquels la baronne s'excusait de ne pas rentrer, étant partie pour Mantes avec des amis. Quant au capitaine Meynier, né le 1er mai 1874, à Saint-Menehould, il était sorti de Polytechnique et était en disponibilité depuis le 5 novembre 1908. Le 5 novembre 1904, alors qu'il était capitaine en second d'artillerie coloniale, il avait été mis en congé de trois ans pour infirmité temporaire contractée au Tonkin. En 1907, il avait repris son service au 3e régiment d'artillerie coloniale, à Toulon, mais au bout d'un an il avait dû abandonner la carrière. Il est âgé de 36 ans. Il est originaire, nous le disons plus haut, de Saint-Menehould, où réside encore sa famille. Marié, puis divorcé, il tomba dans une tristesse profonde, devint joueur, dissipa son patrimoine et s'adonna à l'absinthe. L'autorité militaire le mit en disponibilité. Depuis, il s'occupait d'affaires et ne fut pas toujours heureux dans ses spéculations. Voici son signalement, qui a été transmis, hier soir, dans toutes les directions : taille 1 m. 70, forte corpulence, cheveux châtains abondants, légèrement frisés, moustache peu fournie. Vêtu habituellement d'un complet veston gris et coiffé d'un chapeau melon." (Est-Républicain du 20 novembre 1910). Madeleine Delvigne repose au cimetière de Nemours. Nous laissons le soin aux plus curieux de se renseigner sur cette affaire de crime passionnel. Émouvant exemplaire dédicacé du très rare tirage de tête. Bel exemplaire dans sa condition d'époque.
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s. l. 9 janvier 1809 | 11.70 x 18.30 cm | deux pages sur un bifeuillet
Lettre autographe signée de Germaine de Staël, datée de sa main du 9 janvier 1809 adressée à Julie Nigris, fille d'Elisabeth Vigée-Lebrun. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Adresse autographe au verso et traces de cachet portant ses armes, ainsi que des tampons postaux. Plis inhérents à l'envoidéchirure avec manque, sans atteinte au texte, sur le feuillet d'adresse, dû à l'ouverture du cachet. Publiée en addendum dans les Souvenirs de Madame Vigée Lebrun, 1837, t. III, pp. 264-265. Germaine de Staël s'impatiente de recevoir son portrait sous les traits de son héroïne Corinne, commandée à la célèbre portraitiste Elisabeth Vigée-Lebrun. La lettre est un précieux maillon de la longue et fascinante histoire de ce portrait, que la baronne découvrira quelques mois plus tard. "J'ai renoncé Madame, à la gravure du portrait de Madame votre mère, c'est trop cher pour ma fantaisie et je viens d'éprouver un procès considérable qui m'oblige à des ménagements de fortune. Mais avez-vous la bonté de me dire quand le portrait de Corinne me sera remis par Mad. Le Brun ? Mon intention était de lui envoyer mille écus en le recevant mais n'ayant pas de ses nouvelles je ne sais pas du tout ce que je dois faire. Soyez assez bonne pour vous en mêler, et me négocier à cet égard ce que je désire. Une négociation qui me serait bien douce aussi c'est celle qui vous amènerait en Suisse cet été. Prosper dit qu'il y viendra. M. de Maleteste ne se laisserait-il pas séduire par cette réunion de tous ses amis ? J'ose me mettre du nombre. En le voyant une fois il m'a semblé que je rencontrais une ancienne connaissance." Germaine de Staël s'adresse à la fille de Vigée-Lebrun, Julie, en l'invitant ainsi que sa mère à égayer son exil. Elle tente également de rassembler à Coppet son propre amant ainsi que celui de Julie - Prosper de Barante et le marquis de Maleteste. Abhorrant la solitude, elle était résolue à inviter une foule de personnalités intéressantes. Deux ans plus tôt, Vigée-Lebrun avait commencé chez la baronne le portrait d'après nature de cette dernière sous les traits de l'héroïne de son dernier roman Corinne. L'artiste y avait rencontré les célèbres protagonistes du fameux groupe de Coppet : Frédéric de Prusse, Benjamin Constant et Juliette Récamier. Germaine avait déjà requis un changement auprès de Vigée Le Brun à peine la toile commencée et demandé un différent paysage de fond. Consciente de l'aspect ingrat de son modèle - ni elle ni la baronne ne s'en cachent - Vigée-Lebrun livrera un portrait ambitieux, à l'antique certes, mais à l'allure furieusement romantique, capturant le regard inspiré de la baronne au détriment de l'aspect néo-classique attendu.Malgré ses enthousiastes premières réactions, Germaine de Staël en commandera un autre à l'artiste local Firmin Massot. Ce dernier réalisera une piètre quoique fidèle copie de la composition originale, à l'exception du visage, et tout particulièrement du regard qu'il fait vide de toute émotion. La réaction de la baronne illustre le dilemme irréconciliable dont souffraient les femmes de lettres en ce début de XIXe siècle : tiraillées entre l'exercice d'un art intellectuel que Vigée-Lebrun avait magnifiquement capturé dans ce portrait, etles critères normatifs de la féminité auxquels Germaine de Staël voulait ressembler. Précieux feuillet de correspondance, quiréunit deux femmes illustres, la commanditaire et l'artiste dont les visions de la féminité s'affronteront bientôt de part et d'autre du chevalet. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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STAEL, Madame la Baronne de (Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël).
Reference : 111105
Treuttel et Würtz, Editeurs, 1841, 2 volumes in-8 de 235x150 mm environ, Tome 1. faux-titre, frontispice, titre avec vignette, 425 pages, 1f. (table), - Tome 2. faux-titre, titre avec vignette, 504 pages, 1f. (table), demi maroquin à coins cerise, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de caissons à motifs dorés, cuir souligné d'un filet doré, tranches de tête dorée, gardes marbrées. Des rousseurs et mouillure très claire, petits frottements sur les coupes et le cartonnage au centre des plats, cahiers 57 (p. 457-461) et 58 (p. 449-456) inversés, infime manque de papier marbré sur le dernier plat du tome 1. Complet du frontispice de Godard, enrichi de nombreuses illustrations, vignette, lettrines et culs-de-lampe par divers artistes, gravées sur bois.
Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël, est une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 18174. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Nelson Collection Nelson Cartonné avec jaquette 1936 In-12 (11,2 x 16,2 cm), cartonné avec jaquette, 280 pages ; quelques petites marques d'usage sur la jaquette, par ailleurs bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Henri Gautier éditeur Blériot Cartonné In-12 (12 x 18 cm), cartonné toilé, 318 pages, sans date ; coiffes et coins frottés, quelques marques d'usage sur les plats, légères rousseurs en début et fin d'ouvrage, intérieur frais, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Garnier Frères Relié In-12 (18 x 12 cm.), relié demi-basane, dos à 4 nerfs, titre et filets dorés, sans date, XV+504 pages ; coins usés, légers frottements aux coiffes et dos, quelques petits défauts à la reliure, intérieur frais, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
[SAINT-REAL (César de) ; AULNOY (baronne d') ; SENECE (de)]
Reference : 526390
(1761)
A Genève, sans nom, 1761. 2 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane havane, dos à 5 nerfs, pièce de titre maroquin grenat, tomaison basane bleu nuit, roulette à froid aux coupes, tranches mouchetées bleu pâle, 462 + 429 pp., [1] f.
Ex-libris manuscrit ancien au contreplat sup. : "Marchioness of Antrim" (Irlande). "Zeneyne" est anonyme. Très bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Editions Auguste Picard, 1937. In-4 broché, couv. rempliée bleu gris, 3 ff., 135 pp., 79 pl. en n/b., appendice (description des chapiteaux), liste des planches, table alphabétique in fine. Pt. ex-libris au tampon.
Couv. un peu défraichie, très bonne condition par ailleurs. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Mégard et Cie Cartonnage Romantique 1865 In-12 (10,5 x 17,5 cm), cartonnage romantique, 80 pages, gravure en frontispice ; petits manques aux coiffes, coins usés, plats et dos frottés, quelques traces et rousseurs à l'intérieur, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Editions Gérard et Co. Marabout géant Dos carré collé In-12 (11,5 x 18,2 cm), dos carré collé, 443 pages, sans date ; pliures au dos et dans les coins des plats, mors frottés, papier bruni, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Nelson Editeurs Collection Nelson Cartonné avec jaquette 1952 In-12 (11 x 16 cm), cartonné avec jaquette, 281 pages ; jaquette usée (manque à la coiffe supérieure, restauration en queue, déchirures sans manque au quatrième plat, gommette au dos, marques d'usage sur les plats), ancien exemplaire de bibliothèque (tampons en début et fin de volume, rousseurs à l'intérieur, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Le livre de Paris 1945 In-12 (12,3 x 19 cm), broché, 253 pages ; dos et bords des plats brunis, quelques rousseurs au quatrième plat, par ailleurs assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Editions J. Ferenczi et fils Relié In-8 (16 x 24,5 cm), cartonné, dos toilé, couvertures conservées, bien complet de toutes les livraisons, 480 pages ; coiffes, coins et coupes usés, papier bruni, assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
P., N. Blanpain, s. d. In-12, bradel, rel. demi-toile grise, dos lisse orné d'un fleuron, pièce de titre rouge, , papier marbré sur les plats, rel. de l'époque, 216 pp.
Pamphlet dirigé contre Louis-Philippe et sa prétendue origine illigitime. Dos passé, bon état. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Aurillac, Imprimerie moderne, 1933. Fort volume petit in-4 broché, couv. rempliée, 440 pp., un tabl. généalogique sur 2 ff. hors-texte, nombr. illustr. hors-texte d'après des photographies, bibliogr., index des noms. Tiré à petit nombre ; exemplaire sur papier vergé.
La couv. et la page de titre portent "1932", l'achevé d'imprimer est de 1933. Bel exemplaire non coupé. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Plon Nourrit et Cie Broché 1898 In-8° broché, 213 pp., un portrait gravé en frontispice ; une déchirure sur la couverture, couverture piquée, intérieur frais, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Nilsson La bibliothèque merveilleuse Cartonnage souple avec jaquette In-24 (11.5x8 cm), sans date, cartonnage souple sous jaquette, 247 pages ; petits défauts à la jaquette, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Chartres, L'Oeuvre des Clercs de Notre-Dame de Chartres, 1873. 2e éd. revue, augmentée et enrichie de gravures. In-12 broché, 172 p. Bon état : rousseurs.Ecrit avec l'approbation de Monseigneur L'Evêque de Chartres.
1933. Paris. Plon, La Palatine. In-8. Br. 10 gravures H.T. XXIX + 240 p. Exemplaire N° 340 sur papier d'Alfa.BE.
Paris. KRA. 1928. Introduction et notes par Paul L. Léon. Avant-Propos de G. Rudler. Petit In-8. Br. Couv. rempliée. Un Fac-Similé. 164 p. Edition originale. Ex. N° 138 /600 sur Vélin.Bon état intérieur. Dos insolé.
Chez Treuttel et Würtz | Paris 1820 | 13 x 20.50 cm | 17 volumes reliés
Première édition, en partie originale, des oeuvres complètes de l'auteur. Notre exemplaire est bien complet, en frontispice du premier volume, duportrait de la baronne de Staël gravé par Müller. Quelques petites rousseurs, rares éraflures sans gravité sur quelques plats, trous en pied de la dernière garde de papier à la cuve du neuvième volume. Reliures en plein veau glacé framboise, dos lisses ornés de doubles caissons dorés richement décorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert olive, dates dorées en queues, doubles filets dorés en encadrement des plats frappés en leurs centres d'armoiries dorées, coupes soulignées d'une roulette dorée, gardes et contreplats de papier à la cuve, encadrement d'une dentelle dorée sur les contreplats, toutes tranches dorées, très élégantes reliures anglaises de l'époque. D'après Clouzot, il s'agit de la première, la plus recherchée, et la meilleure des éditions des oeuvres complètes de la baronne de Staël. Mise au point par le baron Auguste-Louis de Staël-Holstein (1790-1827) et le duc Achille-Charles-Léonce-Victor de Broglie (1785-1870), l'un, fils aîné, et l'autre, gendre de Mme de Staël, cette collection des Oeuvres complètes est bien composée, soigneusement imprimée et sans fautes. Élaborée avec une véritable piété filiale et un respectueux esprit de famille, elle présente, du point de vue littéraire, le meilleur texte de la version définitive de chacune des oeuvres complètes de la baronne. Très bel exemplaire établi dans une parfaite reliure décorative aux armes et en plein veau glacé de l'époque. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
VIEILLES MAISONS FRANCAISES. JUIL 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 103 pages. Nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 720-Architecture
Sommaire : Le Périgord, par la Baronne H. de Bastard Hautefort, par Jean Secret Beynac, par Z...Biron, par Max SarradetLe château de Fages, par L. DurandLechâteaude Fayrac, parLizzieVanNieuwenhuyseLechâteaudes Bories, parJ. deLarydeLatourLe repaire d’Ygonie, par Marie-Berthe Arbellot de VacqueurLe château de Puyguilhem, par Dominique PaladilheLechâteaude la Gazaillejpar J.LeluChâteau deVeyrignac, parX...Le château de Grolejac, par Yann LeclercA Sarlat, par Jean MaubourguetPérigueux, par H. dê> SegogneMaisons de Périgueux, par J. BeauchampsLe parc de Shoppenwihr, par Isabelle de Watteville-BerckheimLe château de Marchais (Aisne), par M. J. SalmonExpositions V.M.F. dans 40 Villes des U.S.A.Musique à la Rougerie (Dordogne)Festival de Sully-sur-Loire Un enseignement nouveau à la Sorbonne Le congrès de l’I.B.I.Portes ouvertes en France :Chaitreuse de Milhale (Dordogne) — Château de la Treyne (Lot).Château de Beauvais (Dordogne) — Château de Penne (Tarn).Château de Regagnac (Dordogne) — Château de Commarque (Dordogne) — Gouts-Rossignol (Dordogne).Récompenses accordées aux chantiers de jeunes en 1976 A Sarlat pour la 26e fois, par Michel Escande Route du Périgord, par la Baronne H. de BastardPourquoi les châteaux doivent rester si possible des demeures habitées La cour de Louis XIV à Vaux-le-Vicomte Le patrimoine culturel et les jeunes en Lozère Le 16 avril : journée de l’arbreUne découverte capitale dans le domaine de l’archéologie médiévale Les enduits et joints au mortier de chauxLe visage de la France : Les mesures législatives et réglementaires prises pour sa protection, par B. Dumas de RaulyFoire de Paris, par Béatrice de Andia Mille châteaux ouvrent leur porte Jeunesse et PatrimoineDes chantiers de jeunes pour nos vieilles maisons Assemblée généraleJournée des Vieilles Maisons Françaises Délégués départementaux Activités régionalesLes expositions de Pierre Sabatier -Ouvrages reçus — Sociétés amies — Revues La critique de Jacques de RicaumontCarnetAnnonces Classification Dewey : 720-Architecture
Paris, Delloye, Paris, Delloye1838 ; in-8, broché, couv. imprimée. 2 ff., VIII pp., 375 pp., 2 ff. (table et errata) - 4 lithographies hors-texte.ÉDITION ORIGINALE rare. La baronne de Montaran (1796 - 1870), née Marie Constance Albertine MOISSON DE VAUX aimait l’Italie. En 1836 elle avait publié un recueil de souvenirs de ses voyages à Naples et Venise. Deux ans plus tard, elle décide de parler de Rome et Florence. L’ouvrage est composé comme un journal (du 16 août 183.. au 1er mars 183..) La baronne décrit les lieux qu’elle visite et “relate ses impressions à la vue des monuments de Rome comme le Capitole, Saint-Jean de Latran, Ste. Marie Majeure, le Panthéon, et de Florence avec la chapelle des Médicis, Santa Croce, le Palais Pitti, puis elle parle de Dante ou de Machiavel... Elle consacre deux courtes pages aux villas romaines...” Minischette, Dotoli... Le voyage français en Italie au XIXe s. p. 513.Elle récidivera en 1852 avec des excursions dans les états vénitiens, le Tyrol... La baronne de Montaran est sensible et cultivée, mais elle n’est pas Stendhal. Elle était aussi poète, une longue élégie sur Florence clôt le recueil. Comme elle était également peintre, on peut supposer que les 4 lithographies du volume ont été faites d’après ses dessins.