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‎Photographie par Pierre Petit‎

‎Alexandre Dumas père (1802-1870), écrivain & Adah Isaacs Menken (1835-1868), actrice et poète américaine, maîtresse d'Alexandre Dumas. Photo CDV par Pierre Petit, ca.1865. [1] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Alexandre Dumas dit Dumas fils (1824-1895), écrivain. L.A.S., sd [11 juin 178 selon une note], 2p in-8. Il accuse réception du livre envoyé par son correspondant et a écrit à Lévy afin que son correspondant reçoive ses volumes Entr'actes dont seul le premier volume est alors paru. [267] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎ Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., 6 mars 1861, 1p in-12. A Alexandre (mais il ne semble pas que ce soit à Dumas) : « Tu serais bien aimable, mon cher Alexandre, de m'envoyer six billets de [mot illisible] Bonjour & amitié. Maquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée à Francisque Berton‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., 28 novembre, 2p 1/2 in-8. A l'acteur Francisque Berton (1820-1874). Suite à un accident, son bras le fait encore souffrir, « suis-je estropié ? ». « L'un de mes plus vifs déplaisirs, c'est l'interruption du travail que je vous destinais ». Il ne pourra pas le finir pour cette saison. « Quoiqu'il en soit, je travaille, et je vous assure que je serais très heureux de vous donner un beau et bon rôle ; vous êtes de ceux - très rares - que l'écrivain aime à se représenter marchant le pas et parlant la langue de son personnage, et souvent je vous vois dans les petits nuages que soulève ma plume en creusant son modeste sillon ». Très beau courrier à celui qui joua dans des pièces de George Sand ou Alexandre Dumas. [243] ‎

‎Lettre autographe signée à Jules Janin‎

‎Adolphe Dumas (1805-1861), poète, écrivain. L.A.S., île Lacroix [Rouen], 30 septembre 1850, 3p in-4. A l'écrivain Jules Janin (1804-1874). Très belle et longue lettre amicale de Dumas qui dans son île pour deux mois et qui, en rentrant dans sa chambre, se dit : « et mes amours, et mes vers, et Janin. Mes amours sont encore là, avec leurs beaux vingt ans, et dans deux mois elle rentrent au couvent, comme si j'étais Louis XIV. Mes vers, n'entrent pas chez l'éditeur, qui édite tant de pourparlers sans rien dire. Janin laisse entrer chez lui toutes les Judith[?], Brohan, Nathalie et les nouvelles depuis mon départ et tous les amours là sont si plaisants à voir que Janin oublie mes beaux yeux ». Il parle ensuite de divers sujets : la loi sur la presse du 16 juillet 1850, Armand Bertin, Frédérick [Lemaître], etc. Puis il termine par : « voyez comme je bavarde avec vous, on n'est pas plus Sévigné. j'allais dire Balzac, - ma foi, je dis tous les deux car je n'aime ni l'un ni l'autre - lui n'écrivait qu'un corset, et elle. répandait en public son lait de nourrice ». Superbe document [306-2] ‎

‎Le drame romantique. 1832 La Tour de Nesle cinq actes d’Alexandre Dumas. 1830 Hernani cinq actes de Victor Hugo. 1839 Léo Buckart un prologue et cinq actes de Gérard de Nerval et Alexandre Dumas. Première version inédite présentée par Jean Richer. Collection Théâtre.‎

‎ Paris, Club des Libraires de France 1957, 200x130mm, 501pages, reliure d'éditeur sous jaquette. Exemplaire numéroté sur papier bouffant, 2545/5000. Maquettes de Pierre Faucheux. ‎

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‎Causeries d’Alexandre Dumas sur la Mer. Préface et notes de Claude Schopp.Cahier Alexandre Dumas.n° 22.‎

‎ Marly-le-Roi, Editions Champflour 1995, 240x210mm, 144pages, broché. Bel exemplaire.‎

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‎Lettre auographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., Paris, 25 novembre, 1p in-8. « Mon cher ami, Savez-vous pourquoi je vous écris ? C'est pour vous annoncer qu'on ne parle ici que de votre avènement prochain à notre préfecture. Et savez-vous pourquoi je suis très heureux ? C'est que je le crois. Souhaitez-nous donc la bonne année avec cette nouvelle. Et croyez-moi votre vieil ami Maquet ». [135] ‎

‎Lettre avec autographe signée ‎

‎[Offenbach] Mélanie Waldor (1796-1871), poétesse, femme de lettres, maîtresse d'Alexandre Dumas. Lettre imprimée avec note A.S., sd [avril 1853], 1p in-8. A Monsieur Mathon de Fougères [ortographié de Forère]. Lettre imprimée invitant à une « assemblée de charité » en faveur des familles pauvres visitées et secourues par la conférence Saint-Vincent-de-Paul » de la paroisse d'Arcueil. On remarquera que Jacques Offenbach accompagnera la cérémonie. La liste des quêteuses est donnée, évidement que des dames de la sociétés, parmi lesquelles se trouve Mélanie Waldor. Au pied de la lettre, Waldor a ajouté deux lignes : « Monsieur, Votre aumône quelque légère qu'elle soit me trouverait bien reconnaissante. Mélanie Waldor de Villenave ». Belle pièce mentionnant Offenbach. [375] ‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎Mélanie Waldor (1796-1871), poétesse, femme de lettres, maîtresse d'Alexandre Dumas. L.A.S. « M Waldor de Villenave », dimanche 2 avril, 2p in-12. « Voici la lettre de M. Méry, Monsieur, plus une de moi contenant vos états de service. Je demande de l'argent et une représentation. Allez de bonne heure chez M Taylor. Appelez-le M. Le Baron, flattez son amour propre, parlez-lui gaiment de votre malheur, votre douce philosophie excite bien l'intérêt. Méry a dit que vous aviez 80 ans, il le croyait, sa lettre est charmante pour vous. Voici aussi la lettre du ministère, vous toucherez donc ces 80 francs. Montrez-la à votre propriétaire et ayez courage et confiance. Mille voeux et compliments. M Waldor de Villenave ». Il s'agit donc d'une recommandation pour obtenir du baron Taylor un logement, ce que ce correspondant a probablement obtenu avec les recommandations de Joseph Méry et Waldor. Selon une note, le destinataire de cette lettre est M. de Saint Félix, acteur des variétés de Saint Petersbourg. [375] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 2p in-8. A l'écrivain Amédée Achard (1814-1875). Il lui donne un rendez-vous pour parler d'une affaire avant son départ, lui demandant d'apporter les papiers. [346] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., Saint-Mesme, Dourdan, 13 août, 3p 1/2 in-8. Lettre à un M. Billebault, au ton très sympathique, concernant une remise de prix à Saint Mesme le 25 août puis au Hay et au Moutard les 28 et 29 août. [346] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 1p in-12. « Mon cher ami, merci, j'ai reçu le messager hier, grand merci. C'est un peu tard pour vous demander des places, mais il le faut. Avez-vous une petite loge pour des amis de province. Quatre places. Bien à vous de coeur. A Maquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., 22 novembre, 2p in-12. « Mon cher ami, j'ai appris seulement ce matin, à Athis, par le journal, le malheur qui vient de vous frapper. À défaut de consolation que je ne veux pas vous offrir, et d'une poignée de main affectueuse que je ne puis vous donner, recevez l'assurance de ma sincère amitié, qui [mot illisible] tous les mouvements de votre coeur. A Maquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée à Louis Ulbach‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 1p in-12. A l'écrivain et journaliste Louis Ulbach (1822-1889) : « mon cher Ulbach, vous et madame Ulbach vous recevrez une lettre d'invitation à la répet. g.ale de Dimanche. Désirez-vous plus de deux entrées ? A vous cordialement. Maquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée à Albert Vizentini‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., jeudi 17 janvier, 2p in-8. Au compositeur et metteur en scène Albert Vizentini (1841-1906). A propos d'un rendez-vous avec « la commission » pour les « affaires » de Vizentini. [243] ‎

‎Lettre autographe signée à Achille Bourdilliat‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 1p in-8. A l'imprimeur Achille Bourdilliat (1818-1882). Amusante lettre : « mon cher Bourdilliat, on m'a envoyé de Paris à Mermont un paquet d'épreuves par la poste. Coût : 3 francs. J'ai refusé net, bien sur d'avoir les mêmes épreuves pour rien quand vous serez informé que le paquet ne m'est pas arrivé et que je l'attends. Envoyez directement à Mermont. À vous bien cordialement. AMaquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 1p in-8. Probablement à l'imprimeur Achille Bourdilliat (1818-1882). « mon cher Monsieur, nous n'allons plus, évidemment, et voila trois mois ! Après deux feuilles d'épreuves envoyées au commencement du mois, je n'ai plus rien reçu. Bien à vous. AMAquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., 11 novembre, 1p in-8. Probablement à l'imprimeur Achille Bourdilliat (1818-1882) : « cher monsieur, je n'entends plus parler ni de vous ni de notre publication ni même d'épreuves. Nous voila en retard de trois mois et demi sur notre traité et le trou va se creuser de jour en jour. Pour l'amour de Dieu, expliquons-nous en. Quand vous verrai-je ? Croyez à mes sentiments très affectueux. AMaquet ». [243] ‎

‎Lettre autographe signée à Jean-Baptiste-Charles Paya‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., 3 novembre 1840, 2p in-8. A l'éditeur et journaliste toulousain Jean-Baptiste-Charles Paya (1807-1865) : « Voici, mon cher monsieur Paya, le premier des courriers de Paris que je vous ai promis. Il est tout d'actualités intéressantes, & je ne suis pas fâché de l'inaugurer de cette façon. Je n'ai pas signé pour avoir plus de liberté à raconter les petits scandales de la ville, et ne pas divulguer pour vous même les sources auxquelles seront puisées toutes les nouvelles. Mais si vous tenez absolument à signer, (ce que vous ne feriez pas je pense, sans réfléchir aux considérations qui m'ont fait choisir un pseudonyme), signez. La nouvelle que je vous dois, (Jehan de Castillon) est partie ou doit être partie pour Toulouse par une occasion que j'ai eue en envoyant à Bordeaux. Peut-être l'aurez-vous en même temps que cette lettre, peut-être aussi ne la recevrez vous que dans quelques jours. Toujours est-il qu'elle est terminée, expédiée, et que vous en serez content, je l'espère. Je serais charmé de recevoir votre Emancipation comme aussi de savoir si ce courrier vous arrive bien. En partant mardi, Latour veut bien se charger de vous envoyer ces feuillets et ma lettre. J'espère recevoir directement de vos nouvelles et je vous prie d'agréer mes salutations bien affectueuses. Tout dévous. A Maquet. 40 boulevard du Temple. Mardi matin 3 9bre 1840. Si vous m'envoyiez la Mosaïque [du Midi] ? La dernière livraison que j'ai eue date de février 1840. Voici l'hiver, nous allons vous occuper de votre Languedoc, les articles sont prêts ». Des notes ont été ajoutées : « inscrit gratis et jouira au paquet de . » et « inscrit et servi ». Encre un peu pâle. Très belle lettre. [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 2p 1/2 in-8. Très belle lettre relative à La Maison du Baigneur, suite à un article de son correspondant dans la Revue bibliographique : « Publiée en 1856 dans la Patrie, elle avait été plusieurs fois réimprimée et illustrée lorsque parut en 1862 la pièce de l'Ambigu à laquelle vous faites allusion. La priorité, vous le voyez, est bien acquise au livre sur la pièce. S'ils se sont rencontrés, ce n'est pas ma faute. Peut-être les auteurs de la pièce sont-ils été d'accord avec moi, comme vous le dites, mais je n'étais pas d'accord avec eux. J'ai dans ma carrière déjà longue d'écrivain, j'ai trouvé quelque fois. On m'a pris souvent. Je n'ai jamais rendu la pareille - et c'est l'horreur que j'ai de toute imitation )-une faiblesse sans doute - qui m'engage à vous adresser cette petite réclamation, à laquelle, j'en suis sûr, vous ferez droit en véritable écrivain que vous êtes ». Beau document. [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd [mardi soir], 2p in-8. Probablement à l'acteur Maurice Desrieux (1829-1876). « mon cher Desrieux, j'ai vu les consoles. Elles m'ont paru un peu basses et généralement un peu maigrelettes. Croyez-bien qu'avec les réparations, dorures bien faits, & nous arriverions à un prix pour lequel, j'en suis sur, votre bon goût et votre flaire de chercheur trouveront mieux un jour ou l'autre. Comment va votre chère femme, si nous avions eu ici plus de liberté, et meilleure santé, nous l'aurions été voir. Ce qui est différé n'est pas perdu. Aurez-vous l'obligeance de vous remettre en quête, ou bien avez-vous de bons arguments pour soutenir votre premier choix. Mille amitiés à vous deux . AMaquet. Et l'autre chasse, y avez-vous pensé ? ». Desrieux avait créé un rôle dans un drame de Maquet, La belle Gabrielle (1857). [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., lundi 18 mai, 1p in-8. A un duc, pour décliner une invitation à Paris le soir, il est alors à la campagne. [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., sd, 1p in-8. « Mon cher Marquès, je regrette bien que vous vous absteniez ainsi de me venir voir. Est-ce que vous êtes susceptible ? Prenez-garde. Nous autres de Paris, notre temps qui nous dévore nous fait grossiers malgré nous. Pardonnez de ne pas écrire à l'homme qui se repend parfois d'avoir trop écrit. Je n'écris guère mais je me fournis beaucoup. À vous de coeur. AMaquet ». Amusante lettre. [243] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Maquet (1813-1888), écrivain, fameux collaborateur d'Alexandre Dumas. L.A.S., 1er mai [1862], 3p in-8. Belle lettre à un militaire pour lui recommander Lefort, fils d'un photographe « d'un grand mérite », qui a été tiré au sort pour le service militaire. Il se fait son avocat, parlant de sa santé fragile, de la « mauvaise affaire » que ferait l'état en l'admettant, de la rupture dans sa carrière prometteuse - il est alors engagé au théâtre du Gymnase. [243] ‎