Paris, d'Hansy, 1760. 350 g In-12, plein veau, dos orné à nerfs, [3] ff., xviii-525-[2] pp.. Le traducteur, Philippe Goibaud-Dubois, était rentré à l'Académie française en 1693. Quelques frottements et taches à la reliure. Ex-libris manuscrit sur le titre. . (Catégories : Religion, Philosophie, )
Paris, Michel Brunet, 1696. 1080 g 8 parties en 4 volumes in-12, plein veau, dos ornés à nerfs, [3] ff., 394 pp., [1] f.; [1] f., 371-[1] pp.,; [2] ff., 385-[1] pp.; [2] ff., 396 pp.. Le titre annonce que cet ouvrage est de Saint-Evremond (orthographié Evremont) mais d'après Quérard (X, 209) le véritable auteur en serait le jésuite Pierre de Villiers (1648-1728). Cette attribution, qui n'est pas reprise par Sommervogel, remonte à Nicéron mais depuis elle a été mise en doute (Revue d'Histoire littéraire, 1918, 315). Edition originale rare, surtout complète des deux derniers volumes. Les tomes III et IV comportent chacun un faux-titre portant ''Suite et conclusion des mémoires ...''. L'achevé d'imprimé du premier volume est de décembre 1695. Légers défauts, petits manques au bas de deux plats. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, 1861. 890 g 2 volumes in-12, demi percaline rouge, [2] ff., 423 pp., [2] ff.; [2] ff., 331 pp., [2] ff.. Tome I: Le dernier fils du Soleil; Une nuit de Noël à Tiabaya; Une cérémonie nautique au bord du lac de Titicaca; Les sources de l'Apurimac; Les ruines d'Ollantaytampu. Tome II :Une expédition malheureuse; La première ascension de l'Urusayhua. Paul Marcoy est le pseudonyme de Laurent Saint-Cricq (1815-1887) qui a fait plusieurs voyages en Amérique du Sud. Reliure signée de A. Poilleux. Quelques petits points de rousseurs. . (Catégories : Voyages, Amérique du Sud, Pérou, )
Paris, Froment, 1825. 120 g In-16, plein maroquin à long grain, dos lisse orné, tranches dorées, [2] ff., vii-xxii-[1]-186 pp.. Illustré d'un frontispice par Derly d'après Desenne. Quelques frottements. . (Catégories : Littérature, Petits formats, Poésie, )
SAINT-GEORGES de BOUHELIER [LEPELLETIER de BOUHELIER (Stéphane-Georges), dit]
Reference : 9284
(1903)
Paris, Bibliothèque Charpentier, Eugène-Fasquelle, 1903. 470 g In-12, demi percaline verte, [2] ff., iii-308 pp.. Envoi de l'auteur à René Viviani. Edition originale assez rare. Ex-libris héraldique aux armes de la famille Bouhelier. Petite trace d'humidité dans la marge intérieure des premiers feuillets. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Alphonse Piaget, 1888. 535 g In-12, demi chagrin brun, dos à faux nerfs, [2] ff., ii-[1]-376 pp., illustrations.. . (Catégories : Théâtre, )
Rouen, Mégard et Ce, 1870. 125 g In-12, cartonnage éditeur, 96 pp., frontispice.. Ouvrage destiné à la jeunesse, édition peu courante. . (Catégories : Littérature, )
Clermont, Ferdinand Thibaud, 1855. 110 g In-18 (14,1*9 cm), cartonnage d'édition, 216 pp., une figure sur le titre et une figure du Christ en croix.. . (Catégories : Religion, Petits formats, )
SAINT-ALLAIS, Nicolas VITON de ( 1773-1842) - avec le concours de Mrs Jean-Baptiste-Pierre de COURCELLES, l'abbé de l'Espines (1759-1834) , de SAINT-PONS & Autres généalogistes célèbres
Reference : 46414
(1872)
1872 PARIS, Lib.Bachelin-Déflorenne - 1872/73 - In-8 (23 cm) - Reliure 1/2 chagrin rouge, coins frottés - Dos à nerfs - - 14/21 volumes - Bel ensemble - PropreFAMILLES :III) BRYAS ou BRIAS, de la VILLE de FEROLLES, BERNARDON, DANZEL de BEAULIEU, d'ALBI FRENCAVEL de WEISS,, COLLIN, GORGUETTE d'ARGOEUVES, LAMBERT, PAYEN ou PAYAN, BROSSARD, MUSSET, O'MAHONY, LE SELLIER de CHEZELLE, LANGUET de SIVRY, GARIAC, FOURNIER de BOISMARTIN et de BELLEVUE, MONTAL ou de MONTALLY, CLICQUOT de TOSSICOURT, SULET d'HEUDICOURT-LENONCOURT, COUASNON, LA CELLE de CHATYEAUCLOS, de BROSSE, CHAMBRAY, CHEVERUE, de TROGOFF, HUGUES, de GIVES, BELOT de FERREUX, GENTIL, VIDAU, DONCQUER de T'SERROELOFFS, LE ROY de la GRANGE, MALLEVAUD, COMPAGNOLT, d'ALEZ d'ANDUSE ou d'ALES, de ALESTO, HONORATI, ALFONSE, SARRET de COUSSERGUES, de FABREGUES, PREVOST de SAINT-CYRLACCAUSSADE, ORO de PONTONX, de POSTEL, COSSERON de VILLENOISY, de RAYMOND, LAISNE de SAINTE-MARIE,, du HOUX, ARGIOT de la FERRIERE, BANYULS de MONTFERRE, GARIDEL, DEMARTIN, de CASTELBAJAC, CHAPT de RASTIGNAC, GUILLAUMANCHESdu BOSCAGE, MONTMORENCY, MILON, DUBOCAGE de BLEVILLE, BARTBIER de La SERRE, AUCAPITAINE de LIMANGES, MIRON, LE MANCEL, ROUSSEAU de RIMOGNE, MAHY de FAVRAS, PIGAULT de LEPINOY, ESTRICHE de BARACE, TOUSTAIN de FRONTEBOSC, CISTERNES de VINZELLE, du MESNIL de FIENE et de MARICOURT, MANDAT, SAHUGNET + Répertoireuniversel & Héraldique de la noblesse (avec Armoiries), Lettre A.IV) Dissertation sur la noblesse, les armoiries, Tableau historique des grands vassaux , de la couronne, de la Pairie et des Pairs de france, depuis l'institution de la monarchie jusqu'à ce jour - Familles d'USSEL, TAURIAC, GRIFFON, PASQUIER de FRANCLIEU, LAURENCIN, BALAHU de NOIRON, PICOT de PECCADUC, BEAUDRAND de PRADEL et de LA ROUE, GASQUET, AGNEL-BOURBON, BROCHARD de LA ROCHEBROCHARD, BARROIS de SARIGNY, des ESCOTAIS,, de CHABERT, CASTILLON, LE JEUNE de MALHERBE, ERARD, de RAVEL, GROUT, TULLES de VILLEFRANCHE, AUTIER ou HAUTIER de VILLEMONTEE, BENAVENT-RODEZ, de LA MORTE, WENDEL de HAYANGE, GODARD d'HAUCOUR, de CHARLUS de LABORDE, OUTREQUIN, KANDY ou CANDY, PREVOST de SAINT-CYR, de PRESSAC, ROBERT du CHATELET,, ASTORGA, ASTORG ou ASTORGUE, GAUDRY, FALLAGUE, FREVOL d'AUBIGNAC et de RIBAINS, EAUFORT de POTHEMONT, de RANCHER, BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE, de CHATEUFUR, de ROUVROY, AMELINE de CADEVILLE, du MAS de LA ROQUE - Catalogue Général et alphabétique des Familles nobles de france admises dans l'ordre de Malte, suivi de la monenclature générales de chevaliers de Malte - Etat général des chevaliers de Malte publiés en 1789, de la langue de Provence, de la Langue de France, de la langue d'Auvergne, , du Prieuré d'Aquitaine , du prieuré de champagneVI) ISNARD, MAHEAS, JARNO, MOLETTE de MORANGUIES, CAIRE du LAUZET, GUIGNARD de SAINT-PRIEST-COQUEBERT, SERRE de SAINT-ROMAN, GEREAUX, BEAUCHAMP, BLANCHARDE, JACQUEMET de SAINT-GEORGE, SAUVEUR, SALVATOR, SALVAIRE d'ALEYRAC, GIRARD de CHARNACE, BETHUNE, MONTMORENCY-MORRES, du PUY, de GUANTER, ESTRICHE-BARACE, COURTIN, GUYOT, BATZ de TRENQUELLEON,, DEAN, LA CHAPELLE du BOUCHEROUX, LE PIGEON de VIERVILLE, de NAS, PONT de LIGONNES, ALLUIN, HALEWYN, LOUVART ou LOWART de PONT-LE-VOYE, DOMENY de RIENZI, BRIOIS, DIEULEVEULT, BARRES,, COSTART, BOILEAU de CASTELNAU, CAPDEVILLE, GRESLING ou GRELING, HARENG de GAUVILLE, SAINT-MAURIS, LENFANT, de LA TOUR EN VOIVREGIRAUD des ESCHEROLLES, de GALBERT, BARBEROT d'AUTET, RAMOND, + Nobiliaire de NORMANDIE complet + Seigneurs Normands en Angleterre + liste Seigneurs Normands en Terre-Sainte + RôlesVII) COCHEREL, de TOURNIER, ALEXANDRE de HANACHE, de SELLE, de la VILLE, ARMYNOT du CHATELET, ESPAGNET, HENIN de CUVILLIERS, BONNAVENT de BEAUMEVIELLE, de KEMPER ou QUEMPER de LANASCOL,, de MADRON,, de CUGNAC, COURTIN, ANDREE, ,de LAIGUE, de BOUBERS-ABBEVILLEZ-TUNC, LE GRAS du LUART, ROUILLE d'ORFEUIL, DANIEL, BOUTRAY, GENTIL, GAULLIER, de FAYET, LE CLEMENT de SAINT-MARCQ, LAMAJORIE-SOURSAC, de GLASON, BOREL du CHAMBON, LANGLADE du ,CHAYLA de MONTGROS, CLUGNY, GENSOUL, BOUCHEL de MERENVEUE, de la CROIX de CHEVRIERES, GLANS de CESSIAT, TILLY, SIBOUR, LARDENOY ou LARDENOIS, ROSTAING-CHAMPFERRIER, BELVEZER, ANDRE, CARR ou CARRE de LUZANCAY et de CARREVILLE, MONGEOT d'HERMONVILLE et de CHRISTON, BARBEYRAC, BRAGELONGUE, DOYEN, du MAISNIEL, de LAUR, GODDES de VARENNES, du BOURBLANC, de CHARRIER-MOISSARD, GAILLARD DE baccarat de DENOEUVRE, CARRERE, de la GARDE, ,de PASCAL DE saint6juery et de ROCHEGUDE,, CAGNIARD, de RIVIERE, HAYE de PLOUER, de ROCHAS, JACOBSEN ou JACOBS ou JACOBSON , de PRESEAUX d'ARGILLY, CLEREMBAULTde LOUBENS de VERDALLE, de FOUCHER, du COETLOSQUET, FROMENT, de CHOULY de PERMANGLE, THIROUX, de MARINE,, de CARRIERE,, PALYS, GUILHEN ou GUILHEM, CROUSILLACVIII) COCHEREL, TOURNIER, ALEXANDRE de HANACHE, SELLE, de La VILLE, HENIN de CUVILLERS, BONNAVENT de BEAUMEVIELLE, KEMPER ou QUEMPER de LANASCOL, MADRON, CUGNAC, CANEVARO, COURTIN, ABZAC, d'ANDREE, LAIGUE, de BOUBERS-ABBEVILLE-TUNC, Le GRAS du LUART, ROUILLE d'ORFEUIL, ROY de La PRESLE, DANIEL, BOUTRAY, de GENTIL, GAULLIER, de FAYET, LAMAJOPRIE-SOURSAC, DEGLASSON, BOREL de CHAMBON, LANGLADE du CHAYLA de MONTGROS, CLUGNY, GENSOUL, BOUCHEL de MERENVEUE, de La CROIX de CHEVRIERES, GLANS de CESSIAT, ROSTAING-CHAMPFERRIER, BELVEZER, de TILLY, SIBOUR, de LARDENOY, ANDRE, CARR ou CARRE de LUZANCAY & de CARREVILLE, MONGEOT d'HERMONVILLE 1 DE CHRISTON, BARBEYRAC, BRAGELONGNE, DOYEN, MAISNIEL, de LAUR, GODDES de VARENNES, BOURBLANC, de CHARRIER-MOISSARD, de GAILLARD de BACCARAT de DENOEUVRE, CARRERE, de La GARDE, de PASCAL de SAINT-JUERY & de ROCHEGUDE, CAGNIARD, dE RIVIERE, HAYE de PLOUER, ROCHAS, JACOBSEN, JACOBS ou JACOBSON & JACOPSEN, HUMBERT deTONNOY, CHASTEAU ou CHATEAU, ARMYNOT du CHATELET, ESPAGNET, Le CLEM%ENT de SAINT-MARCQ de TAINTEGNIES, GAUTIER, de PRESEAUX d'ARGILLY, CLEREMBAULT ou CLAIREMBAULT, LOUBENS de VERDALLE, FOUCHER, COETLOSQUET, FROMENT, dE CHOULY dE PERMANGLE, THIROUX, de MARINE, de CARRIERE, PALYS, GUILHEN ou GUILHEM, CROUSILLAC.IX) de TRAMECOURT, VERDELHAN, REGNAULD, de GRAVE, WUILLEMOT de NANC, MOUSTIER, BERNON, ORFEUILLE, ARTHHUYS ou ARTUYS, PANTIN de La HAMELINIERE, PANTIN de La GUERE, MAUSSAC, DUMAITZ de GOIMPY, MILLON, LESENS de FOLLEVILLE, CHARBONNEL, du NOGUES de CASTEL-GAILLARD, GRAVIER de VERGENNES, AUTIE de VILLEMONTEE, de RICARD, GOUJON de GASVILLE, de PERUSSE d'ESCARS, ANGLADE, de MIOMANDRE, NOTTRET de SAINT-LYS, PAILLOT de LORMOY, RIOUFFE de THORENC, ROTHIACOB, de COETLOGON, FORTIA CHAILLI, FORTIA d'URBAN, FORTIA MONTREAL, FORTIA de PILES, de COCKBORNE, BAUDRY, ALSACE HENIN LIETARD, LANGLOIS d'ESTAINTOT & LANGLOIS du BOUCHET, de BRANCAS, DEDAUX de LINARET, CHARPENTIER, CHASTEIGNIER, FOURIER de BACOURT, LE MOYNE de MARGON, DORAT de CHATELUS, BOISROT de la COUR, RICHARD, LAMOTE BARACE de SENONNES, BESIADE d'AVARAY, DORIVAL, de SERRES de MESPLEX, MONNIER, VIESSE ou WIESSE, SORET de BOISBRUNET, WERBIER d'ANTIGNEUL, LA FORGUE de BELLEGARDE, de la VILLEON, d'EQUESNE, de BROUSSEL de la NEUFVILLE, d'ALBI-TRENCAVEL ou de WEISS, MONTLEZUN, de MAILLE, MASSON de la MOTTE, RAFELIS de BROVES, VILLICY de TOURVILLE, de LUBERSAC, ESPINCHAL, HAUTECLOCQUEX) RAIMOND, GEMIT de LUSCAN, FRANQUETOT de COIGNY, Le COMPASSEUR de COURTIVRON, AUBRY de La NOE, FOULCO ou FAULCO, aujourd'hui FAUQUE de JONQUIERES, OBERLIN MITTERBACH, AMBLY, de MAILLE, LOUIS de La GRANGE, Le PREVOST DE BASSERODE, BARDON de SEGONZAC, LA TREMOILLE, VERDONNET, BOUTINY ou BOTINI, BELLINGANT, Le CLERC, BEAUVOIR de ROURE, BALBE-BERTON-CRILLON de CRILLON, PREVOST, FAYOLLE, de FAYET, ESCAIRAC-LAUTURE, FREMOND de la MERVEILLERE, MELUN, du MONTER de la TERRADE, du HALLAY, de CHAMPEAUX, CHAUBRY, ROUILLE d'ORFEUIL, de BRUC, de la LANDE, TRION ou TRYON MONTALEMBERT, de JULLIEN de la VILLENEUVE, du TERTRE, COSSE-BRISSAC, LAMBERT + Table Générale des Maisons & Familles mentionnées dans les 10 premiers volumes XI) La CROPTE, VIEIL de MAISONCELLE, CEZAN ou CEZANE, THOUMINI de La HAULLE, de MOLEN de La VERNEDE et de SAINT-PONCY, de GALLWEY, d'HEMERIC d'ESPONDEILHAN, MELLET, FERRON, MAIGRE de La MOTTE, du GAY de PLANHOL, de La GARDE de CHAMBONAS, DAUCHEL, de La RUE, de LANCRAU, CHARBONNEL, GAIGNERON, ACLOCQUE de SAINT-ANDRE et d'HOCQUINCOURT, TREMOLETI de MONTPEZAT, BECA, BECK ou BEC, CHAVANAT, ENNERY de La CHESNAYE, OBERLIN-MITTERSBACH, DAULEDE de PARDAILLAN, des GUILLAUMANCHES du BOSCAGE, BERNARD, d'ALOIGNY, du BREIL de PONTBRIAND, de la RIVALLIERE, de CASTERAS, ou de CASTELLAS, RAIMOND ou RAYMOND de LASBORDES, GUYOT de SAINT-MICHEL de VERSEILLES, THOMAS de la REIGNERAIS, GABORIT de la BROSSE, de RIVIERE de la MURE, de ROCHEFORT, de CALVIMONT, de PASSAC, VILLIERS de l'ISLE-ADAM, VILLIERS-LAUBERDIERE, de MONTALEMBERT, de SAINT-DISIER, de BLIN, TROUARD de RIOLLE, de LAIZER de SIOUGEAT, LANQUET de ROUVILLE et du CHAYLA, BETBEZE de la RUE de SAUVIAC, d'HERBEMONT, - Catalogue Alphabétique des Chanoines, Comtes de Lyon - Depuis l'An 1000 jusq'en 1788XII) de CRUZY de MARCILLAC, DOIRAT de CHATELUS, de PICQUET de JUILLAC de VIGNOLLES, HALLET, GILLABOZ, GRASSIN, LE CLERC de JUIGNE, de CHEVERUE, , de FELETS, de LESPINASSE-LANGEAC, de CUSACK, LE LOU ou LE LOUP de CHASSELOIR, de BAINVILLE, du TILLET, FAUVELET, HORRIC de la ROCHE-TOLAY, LE MOYNE de VILLARSY, ORYOT d'ASPREMONT, de MARTEL de GOURNAY, MONIER ou MONYER, DUFOURC d' HARGEVILLE, de PONS de RENEPONT, VIALETTES d'AIGNAN, RAITY de VITTRE, ALLEMAND, de BRIDIEU, de BRIDIEU, de LONJON,, NOURY, CERIS ou SERIS, de GALZ de MALVIRADE, BOUCHARD de la POTERIE, de BERINGUIER, d'AUSTRY de SAINTE-COLOMBE, de BOHAM, de MARANS, de SAINT-HUBERT, COCHET de SAVIGNY,, AMALRIC, - Catalogue des Gentilshommes qui ont fait leurs preuves devant les Généalogistes u Roi pour être admis aux ecoles Royales et au Service MilitaireXIII) FIRMAS de PERIES, CROY, REGNARD de LAGNY, GODARD d'AUCOUR, de CLAVEL, BLACAS, COQUEBERT de NEUVILLE, DEL-BIANCO ou du BLANC de BRANTES, JORDAIN ou JOURDAIN de GRAMMOND, du CHAYLARD de LAQUERIE, TAMISIER, COURTAVEL ou COURTALVERT, MAGUELONE-SAINT-BENOIT, PALUSTRE, LE CLERC, WITTONAMYS de PONCEAU, BAZALGETTE,, d'ARON, HURT,d'ORFEUILLE, HACQUET des NAUDIERES, de BLAIR, FRANQUEFORT, VIOT de MERCURE, LE PELLETIER, de SOLMES de VERAC, MOREAU du BREUIL de SAINT-GERMAIN, d'AUBUSSON, de LONGUEIL, de RIVIERE de LABATUT, LUCE de GASPARI, de SAINT-MARTIN du POUY, de CHAPONAY, de BIGU de CHERY, LE GENDRE de la FERRIERE, CHAMBAARLHAC, TAILLEPIED, MALLEVAUD, de GERMIGNEY, SAINT-LEGER, ANDRE de KERLIDEC,, de BARRUELMAYROT, de la CROIX d'AZOLETTE, de BOITOUSET de POINSON, CABOT de DAMPMARTIN, LE TONNELIER de BRETEUIL,,THOLOZAN, ROUGIER, PASCHAL, de PLANTA, MACON,, SAIGNARD ou SAGNARD, d'ESPAGNE de VENEVELLES, de LANGAN de BOIS FEVRIER, ICHER de VILLEFORT, GUILBERT de PIXE, de VAL de TOCQUEVILLE, de LESPINASSE, RECOURT, GUIBERT de la ROSTIDE, de GRIMOARD de BEAUVOIR de ROURE, de POMIEr ou POMMIER, de GOMERXIV) de BIENCOURT, de TAILLEFER, de ROCHEMORE, ESCRAVAYAT de la BARRIERE, de HAUTEFORT, de TOUCHEBOEUF, de LOSTANGES, de COSNAC, AUTHIER, de PONS , de CHAMPAGNE, de l'ESCUYER, HERISSON, de THIEFFRIES, de BARRET, d'IRLANDE, de CASTERAS de la RIVIERE, THIERRY de VILLE-d'AVRAY, de GALBERT, ,de MIRANDOL, , de SALVE, de VILLOUTREYSXV) GRAIMBERG, du THON, du BOIS de SAINT-MANDE, SOLIER, d'AUBIER de LA MONTEILHE, de la PANOUSE,ONFROY ou HONFROY, de LEISSEGUES de LERGERVILLE, MARTIN, GENSOUL, de SAIGNARD, de la FRESSANGE, de CHOUMOUROUX, de SASSELANGES, POYOL, de VILLICY de TOURVILLE, de MACE de GASTINES, CHARPENTIER, de CHARTOGNES, ESPIVENT,, de FADATE de SAINT-GEORGES, de GRASSE, BOURGUIGNON de FABREGOULES, de TREMAUDAN, de MASSELLIERE de COETQUEN,, MECQUENEM, MERCASTEL, MARCHANGY,, BEREN GER, BOISSELI ou BOISSELIN, de JAQUELS de BRAY, TAISNE, LE ROY de BARDE, du VAL de la HOUSSAYE,, LE GRAS de SENECHEVAL et de la CHASTIERE, RIGOLET ou RIGOLEY, NICOLASXVI) FORTIA d'URBAN et de PILES, MONDOT de BEAUJOUR, BECQUET, GUYON deLIGNAC, des CHAMPS, de CULLON, dMONTLIVAULT, d'AGOUT ou d'AGOULT, GRIMOUVILLE, MONIER, LE CLERC de JUIGNE de LASSIGNY, MUTRECY, PUISAYE ou PUIUSET, de DION, BUOR de LAVOY, PEPIN de BELLE-ISLE, TOURNOIS de BONNEVALLET, de PREISSAC, de la ROCHELAMBERT, ,de MOLEN de LA VERNEDE et de SAINT-PONCY, du BOULET de LA BROUE, ROLLET ou ROULET ou RAULET, PAJOT, d'ELBEE, DOUHET, JEHANNOT de BARTILLAT, de LA FOREST, de JANVRE, de NOVILOS, RUALLEM, de CHAVANAT, HARDOUINEAU, de COLMONT de VAULGRELIGNAC, NNAND, SAINT-DENIS de VERVAINE, DANTHOUARD, CARDON de CARDONNE, BABIN de LIGNAC, des CHAMPS, de CULLON, BENEZET, d'ECOSSE, QUENTIN de RICHEBOURG de CHAMCENETZ, MARQUIS dit SALIVET de FOUCHECOURT, de la BRIFFE, DUREY de NOINVILLE, de SEGUR-RAUZAN, BLONDEL,, de RIVOIRE, DESSOFY de CVSERNECK,, de NUCHEZE, de VERINE, BROHON, de la MAZELLIERE, PICOT de PECCADUC,, de la CONDAMINE, GODET, GOUYON ou GOYON, COLMONT de VAULGRENNANDXVII) de SAINT-ASTIER, de CUGNAC, de RELY, de FAUBOIURNET de MONTFERRAND, de VASSINHAC, de JAUBERT, de VIELCASTEL, de ROMANET, de BARRES, du COUEDIC de KERGOUALER et de KERBLEUZEC, etc...
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Très bon état - série complète de ses 31 premier volumes - contient : le saint a New-York, l'héroique aventure, les anges des ténèbres,la justice du saint,le saint et les mauvais garçons, le saint et l'archiduc,le saint a londre,ici le saint, les compagnons du saint, le saint a ténériffe, le saint contre teal, en suivant le saint, le saint s'en va-t-en guerre, le saint contre le marché noir, le saint joue… et gagne, le saint contre mr.Z, le saint à miami, la marque du saint, mais le saint troubla la fête., le saint au far-west, le siant; cookie et cie,le saint conduit le bal, on demande le saint, le saint s'amuse, le saint et les femmes, quand le saint s'en mêle, la loi du saint, le saint ramène un héritier, le saint ne veut pas chanter,le saint et le canard boiteux, le saint et la veuve noire - adapté de l'anglais par M. Michel -Tyl.
Saint-Exupéry écrivant ses dernières lignes, dans la nuit du 29 au 30 mai 1944. Tirage d'époque par John Phillips, offert au général Gavoille. Base d'Alghero, Sardaigne, [30 mai 1944]. Tirage original argentique (90 x 122 mm), noir & blanc, mention du photographe John Philips au verso, à la mine de plomb : « Les derniers jours de St. Ex, 1944, juillet », avec sur le calque de recadrage, « Original. Offert par le Général Gavoille René ». Photographie de Saint-Exupéry écrivant ses dernières lignes.
En mai 1943, après de longues démarches et l'intervention de proches, Saint-Exupéry est réaffecté dans l'armée. Le Petit Prince est en cours d'impression et pas encore diffusé qu'il rejoint sans plus attendre les forces alliées à Alger pour ses premières missions. Mais, en haute altitude, Saint-Exupéry consomme trop d'oxygène et, étourdi, rate, en juillet, un atterrissage. Il est alors cloué au sol sans être autorisé à repartir en mission. Trop risqué, juge le commandement. Son ami et capitaine de l'escadron 2/33, René Gavoille a déjà été affecté en Sardaigne et Saint-Exupéry n'a qu'une envie, le rejoindre. Les deux hommes se sont rencontrés à la base aérienne d'Orconte, dans la Marne. Gavoille, « un des plus chics types que je connaisse », était son instructeur, avant de devenir son ami. Ce même été, John Phillips, né en Algérie d'un père gallois et d'une mère américaine, arrive à Alger. Photographe et journaliste à Life, c'est un familier des lignes de l'Aéropostale en Amérique latine avant la guerre et un admirateur de l'oeuvre de Saint-Exupéry, qu'il avait découverte à New York. Il part aussitôt à sa rencontre et apprend qu'on ne le jugeait plus apte aux missions à haute altitude. Il ne cessera dès lors de plaider sa réintégration, jusqu'à se rendre au haut quartier général de Naples pour l'obtenir, pesant de tout son poids pour convaincre le commandement. Saint-Exupéry lui en est déjà reconnaissant : « je vous donnerai un texte si vous parvenez à me faire réintégrer dans mon groupe » (in Œuvres complètes, La Pléiade, notes et variantes). Le général américain Eaker, commandant de la Mediterranean Allied Air Force, lui accorde cette autorisation au printemps 1944 : il lui laisse la possibilité d'être pilote aux commandes d'un avion non armé, pour un nombre limité - cinq sorties sont prévues, il y en aura neuf - de missions d'observation sur la France ; il accepte également que ce soit au sein du groupe 2/33 de Gavoille en Sardaigne, où il va convoyer aussitôt Phillips pour un reportage. L'obstination de ce dernier - qu'il regrettera par la suite - consacrera l'amitié entre les deux hommes. Le 10 mai, ils arrivent ensemble à Alghero, en Sardaigne, à bord d'un B26. De ce jour et jusqu'au 30 mai 1944, John Phillips réalise un reportage sur l'escadrille : 14 planches contact pour un 165 clichés, dont une vingtaine concernent Saint-Exupéry. Ce reportage ne sera publié qu'en 1989, dans Les Derniers jours de Saint-Exupéry, grâce à Charles-Henri Favrod et à la suite de l'exposition consacrée en avril 1989 à John Phillips au Musée de l'Elysée que Favrod dirigeait, à Lausanne. Phillips doit quitter la base le 30 mai. Lui et Saint-Exupéry traversent la nuit précédente ensemble : c'est celle où Saint-Exupéry va rédiger la Lettre à un américain, où il livre son pessimisme pour l'avenir et livrait une sorte de testament désabusé. Au petit matin, il offre son manuscrit - un premier jet de six feuillets, écrit d'une traite - à John Phillips, pour son départ et pour qu'il le fasse publier : la photographie que nous présentons ici le représente en train d'écrire ce texte, qui exprime son regard sur les Américains, à qui il doit tant. Saint-Exupéry et le groupe 2/33 quitteront la Sardaigne mi-juillet pour la base de Borgo, en Corse. C'est là-bas que, le 24 juillet 1944, le fils de René Gavoille, Christian, sera baptisé en présence de Saint-Exupéry qui en est le parrain. Une semaine plus tard, il décolle au petit matin du 31 juillet 1944. Ce jour-là, Gavoille savait une chose que Saint-Exupéry ignorait : c'était la dernière fois qu'il devait piloter un P38 Lightning. Car le commandant Gavoille a trouvé un stratagème pour sauvegarder l'avenir du déjà légendaire Antoine de Saint-Exupéry, qui fait maintenant partie du cercle familial : il va l'informer des plans pour le débarquement en Provence, imminent. Cette information classée donnée aurait empêché Saint-Exupéry de décoller à nouveau. Mais cette annonce n'aura jamais lieu : Saint-Exupéry ne rentrera jamais de sa mission. Le journaliste de Life, abattu par la nouvelle, ne publia ni la Lettre à un américain, ni son reportage. « La disparition fut un choc terrible pour John Phillips, qui fit hiberner toutes les images. Quarante ans après, je mis beaucoup d'énergie à le décider de les reprendre pour un livre et une exposition itinérante qui retrouva même le terrain d'aviation d‘Alghero, où tout avait commencé dans l'exultation de récupérer enfin les commandes, et celui de Bastia où s'interrompit tragiquement l'aventure ». (Ch.-Henri Favrod, Le Temps, 11 mai 2001). Le texte, quant à lui - le dernier écrit rédigé par Saint-Exupéry -, ne sera publié qu'en 1959, dans une édition confidentielle publiée à Liège par Pierre Aeberts, dans ses éditions Dynamo, à 51 exemplaires. La Pléiade (OC, II, notes) indique, par erreur, que le première publication n'est donnée qu'en 1973 dans la revue Air France toujours (n°1,1er trimestre 1973), avant d'être repris en 1981 dans le n° 96 de la revue Icare. Les six feuillets du manuscrit original seront, in fine, offerts par John Phillips à la Bibliothèque Nationale de France, en 1984, où ils sont aujourd'hui intégrés au fonds Saint-Exupéry de Nadia Boulanger. La photographie - la seule extraite précocement du reportage - a été publiée pour la première fois, prêtée par John Phillips, dans la première biographie de Saint-Exupéry, donnée par Marcel Migeo en 1958, chez Flammarion. La photographie y figure p. 223, non créditée, avec cette légende sans doute volontairement imprécise : « Entre deux raids, il travaille à l'un de ses livres ». Elle sera ensuite présente dans plusieurs autres livres d'hommages rendus à l'écrivain-aviateur et est devenu depuis l'un des plus célèbres portraits d'Antoine de Saint-Exupéry. Le photographe offrira ce précieux tirage à René Gavoille, à une date inconnue, lequel le conservera pendant plusieurs décennies dans son exemplaire de Pilote de guerre, qui en garde la trace. Il extraira le cliché pour en faire don, en 1989, lors de l'exposition de Lausanne, à un passionné de l'oeuvre de Saint-Exupéry qui possédait le texte de La Lettre aux américains dans son édition originale de 1959 : l'un des 11 exemplaires de tête sur hollande. Provenance : John Phillips, René Gavoille. On joint : l'édition originale en grand papier de la biographie de Saint-Exupéry par M. Migeo (Flammarion, 1958) et le catalogue du reportage réalisé par John Phillips où figure cette photographie originale, Les derniers jours de Saint-Exupéry (Musée de l'Elysée de Lausanne).
[Paris], Impriméries d'Éverat, de Carpentier-Méricourt ou de Guiraudet, s.d. (1830-1834) 19 pièces en 3 vol. in-8, [2] ff. n. ch. de faux-titre et de titre en début de chaque volume, puis pagination séparée, demi-basane bleue, dos à nerfs, tranches mouchetées (reliure de la fin du XIXe). Dos passés, rousseurs, coins abîmés.
Cette anthologie a été composée par l'école saint-simonienne elle-même, choisissant parmi les différentes pièces de sa surabondante production celles qui furent jugées les plus aptes à donner une idée précise et synthétique de la doctrine et de l'histoire de la "Religion saint-simonienne", à partir du moment où les destinées du petit groupe furent prises en mains par Prosper-Barthélémy Enfantin. Elle est, en tant que telle, très rare. On a ainsi réuni les textes suivants :- I. Père Enfantin à Charles Duveyrier (juin 1830), à François et Peiffer, chefs de l'Église de Lyon (juillet 1831) : 22 pp. Fournel, Bibliographie Saint-Simonienne, p. 68. - II. Lettre du Père à Charles Duveyrier, sur la vie éternelle (juin 1830) [Paris, Alexandre Joanneau, 1834] : 34 pp. Publication, actualisée à Sainte-Pélagie, d'un texte d'Enfantin éclaircissant ses positions sur la vie éternelle, dans un débat qui divisait les disciples ; enfin, quand on dit "éclaircissant", c'est à la manière du "Père", qui peut difficilement s'exprimer sans utiliser le haut charabia qui lui est spécifique, avec des phrases aussi lumineuses dans leur contenu que : "Ma vie religieuse consiste à vivre pour vous et pour moi (devoir et intérêt) ; par moi et par vous (gloire et humilité) ; en moi COMME en vous (religion)". On est immédiatement édifié. Walch, 323. Rosanvallon, 32.- III. Religion saint-simonienne. Économie politique et politique. Articles extraits du Globe. Deuxième édition [Paris, 1832] : 181 pp., un f. n. ch. de table. L'ouvrage appartient à cette période très riche du développement de la doctrine saint-simonienne très au-delà des idées propres de Saint-Simon, par le zèle de Barthélémy-Prosper Enfantin (1796-1864) et de Bazard. Walch, 315. Fournel, p. 80.- IV. Religion saint-simonienne. Communion générale de la famille saint-simonienne : 40 pp. Tirage à 4000 exemplaires. Réunit les interventions de la plupart des membres importants de la famille saint-simonienne (Olinde Rodrigues, Bazard, Enfantin, Chevalier, Barrault, Fournel, Duveyrier, Talabot, Claire Bazard, etc.) dans la séance du 8 juillet 1831. Les éléments positifs les plus intéressants concernent la diffusion de la doctrine dans les provinces (Lille, Lyon, Rouen, Dijon, etc.), ainsi qu'en Belgique. Fournel, p. 79 (n° 19). Rosanvallon, 93.- V. Religion saint-simonienne. Morale. Réunion générale de la famille. Enseignemens du Père suprême. Les trois familles [Paris, Librairie saint-simonienne, avril 1832] : [2] ff. n. ch., 207 pp., [2] ff. n. ch. de table, avec un portrait-frontipice lithographié sous serpente (Enfantin). - VI. Religion saint-simonienne. Cérémonie du 27 novembre : 24 pp. Tirage à 4000 exemplaires. Comprend, d'Olinde Rodrigues, une pompeuse profession de foi saint-simonienne ("Appel") et les très prosaïques statuts de l'Association financière des saint-simoniens, à la suite. On termine, heureusement pour l'élévation de la pensée au-delà des contingences matérielles, par la prédication du jour, donnée par Emile Barrault. Fournel, p. 83 (n° 12). Rosanvallon, 91.- VII. Religion saint-simonienne. Enseignement des ouvriers. Séance du dimanche 18 décembre 1831 [Paris, au bureau du Globe, 1831] : 23 pp. Première partie seule, qui a connu un tirage de 4000 exemplaires. La séance reproduite tourne en partie sur les leçons à tirer des événements de Lyon (la première révolte des Canuts) et l'organisation des ouvriers. Fournel, p. 84 (numéro 15). Rosanvallon, 106.- VIII. [BÉRANGER (Charles) :] Pétition d'un prolétaire à la Chambre des députés [Paris, au bureau de l'Organisateur, 1831] : 16 pp. Extrait du Globe, du 3 février 1831, tiré à 4000 exemplaires. C'est un exposé très clair de ce qu'était la condition des prolétaires au début de la Monarchie de Juillet. Né à Reims, Charles Béranger (1798-1860) était ouvrier horloger : il joua un rôle important dans le mouvement saint-simonien, et il fit partie en 1832 des Apôtres de Ménilmontant. Après plusieurs séjours parisiens (il demeurait rue du Pont-aux-Choux), il revint à Reims où il poursuivit son militantisme social. Fournel, 81. Rosanvallon, 85. Cf. Maitron I, 196.- IX. Religion saint-simonienne. Politique industrielle et système de la Méditerranée [Paris, 1832] : 150 pp., un f. n. ch. de table. - X. Religion saint-simonienne. La Prophétie. Articles extraits du Globe, du 19 février au 20 avril 1832. Ménimontant, le 1er juin 1832 : 114 pp., un f. n. ch. de table. Tirage à 4000 exemplaires. Il s'agit d'un recueil d'articles d'Enfantin, de Charles Duveyrier, de Michel Chevalier, d'Emile Barrault et de Gustave d'Eichthal sur les missions et l'apostolat. Fournel, p. 85 (n° 11) et p. 101 (n° 2). Rosanvallon, 134.- XI. Retraite de Ménilmontant. 3 juin 1832 : 12 pp. Fournel, p. 101, 4. - XII. Retraite de Ménilmontant [6 juin 1832] : 18 pp. Fournel, p. 101, 5. - XIII. Retraite de Ménilmontant. Cérémonie du dimanche 1er juillet, et récit de ce qui s'est passé les jours suivans : 27 pp. Fournel, p. 101, 7. - XIV. Ménilmontant. Mort de Talabot, apôtre : 24 pp. Founrel, p. 101, 9. - XV. Le Père à Fournel, apôtre : 4 pp. Fournel, p. 101, 10. - XVI. Religion saint-simonienne. Procès en la Cour d'assises de la Seine, les 27 et 28 août 1832 [Paris, Johanneau, 1832] : 405 pp., avec deux planches lithographiées hors texte. Paru le 19 octobre 1832 et tiré à 1000 exemplaires, ce volume donne le compte-rendu rédigé à la sauce saint-simonienne du premier procès de l'association, qui eut lieu devant la Cour d'assises de la Seine pour des motifs en réalité assez nébuleux, et qui dissimulaient mal une volonté politique de normalisation, en ce moment encore très instable pour la jeune Monarchie de Juillet. Fournel, p. 110. Rosanvallon, 133.- XVII. Religion saint-simonienne. Procès en police correctionnelle, le 19 octobre 1832. Avec le portrait du Père, d'après un médaillon de M. Caunois, et celui de H. Fournel, d'après M. Decaine [Paris, Johanneau, 1832] : [2] ff. n. ch., 105 pp., un f. n. ch. d'errata, avec deux portraits lithographiés hors texte. Tirage à 1500 exemplaires. Fournel, p. 110. - XVIII. L'Attente : 7 pp. - XIX. Parole du Père, à la Cour d'assises. 8 avril 1833 : titre, ij pp., pp. 3-18. Pièce en vers libres, apparemment composée à Sainte-Pélagie, dans laquelle Enfantin reprend les termes de sa défense au procès d'assises. Walch, 329. Rosanvallon, 31.Exemplaire du Cercle artistique et littéraire, avec chiffre doré poussé en haut des plats supérieurs, et cachet humide. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
[Librairie Adrien Le Clerc et CieSagnier et Bray, etc.] - CORAIL, R.P. Alphonse ; R.P. Crozes ; R.P. Van den Brulen ; Mgr de Rovérié de Cabrières ; R.P. Farjou ; Monseigneur Gastaldi Archevêque de Turin ; R.P. Caussette ; Abbé Félix Laprie ; Mgr. Landriot ; Mgr l'Evêque de Poitiers ; R.P. Adolphe Perraud ; S. G. Mgr. Gaspard Mermillod ; R.P. Alexis-Louis de Saint-Joseph ; R.P. Henri VADON
Reference : 37096
(1871)
1 vol. in-8 reliure demi-basane bleure, dos à 4 nerfs orné (fleruons), contient : Discours prononcé à N.-D.-des-Victoires le jour du couronnement de l'Image de la Sainte Vierge (9 juillet 1853) par le R.P. Alphonse Corail, Sagnier et Bray, Paris, 1853, 45 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Panégyriques des Bienheureux Martyr dominicains et Jésuites Pierre Sanz et ses Compagnons OP, Adolphe d'Acquaviva et ses Compagnons, S.J. prononcés dans l'Eglise Métropolitaine de Toulouse les 9, 10 et 11 avril 1894 par le R.P. Crozes, le R.P. Van den Brule et S.G. Mgr de Rovérié de Cabrières Evêque de Montpellier, Imprimerie Viallele et Cie, Toulouse, 64 pp. [ Suivi de : ] Christophe Colomb. Discours prononcé en l'Eglise Métropolitaine de Toulouse le 16 octobre 1892 par le R.P. Farjou, Imprimerie et Librairie A. Loubens, Toulouse, 1892, 52 pp. [ Suivi de : ] Le Bienheureux Pierre Sanz et ses Compagnons, Martyrs de l'Ordre de Saint Dominique. Panégyrique prononcé dans l'Eglise primatiale Saint-André de Bordeaux le 15 Novembre 1893, par le R.P. Farjou, Imprimerie R. Coussau & F. Coustalat, Bordeaux, 1894, 29 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Saint Thomas d'Aquin. La Science et la Sainteté. Panégyrique de Saint Thomas d'Aquin de l'ordre de Saint Dominique prononcé par Monseigneur Gastaldi Archevêque de Turin. Traduit de l'Italien par l'Abbé Didier, Librairie Internationale Catholique et Scientifique, Chv. L. Romano, Turin, 1883, 26 pp. et 2 f. [ Suivi de : ] Discours prononcé par le R.P. Caussette le 3e jour du triduum des fêtes de la béatification du B. Pierre Lefèvre (3 février 1874), Imp. Hébrail, Durand, Delpuech, Toulouse, 29 pp. [ Suivi de : ] Discours prononcé aux Fêtes publiques de La Trappe de N.-D. du Désert le jour de Saint Bernard (1874) par le R.P. Caussette. Saint Bernard & son oeuvre, Edouard Privat, Toulouse, 1874, 41 pp. [ Suivi de : ] Panégyrique de l'Abbé Louis Beaulieu missionnaire en Corée martyrisé le 8 mars 1866 prononcé dans l'Eglise de Langon le 2 mai 1867, par l'Abbé Félix Laprie, Typographie Ve Justin Dupuy et Comp., Bordeaux, 1867, 47 pp. [ Suivi de : ] Eloge funèbre de Charles-Théodore Baudry, Evêque de Périgueux et de Sarlat, prononcé à Périgueux le 16 juin 1863 par Mgr. Landriot. Seconde édition, Victor Palmé, Paris, Bounet, Périgueux, Deslandes, La Rochelle, 1863, 58 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Monseigneur J.-B.-A. George-Massonnais Evêque de Périgueux prononcée par Mgr l'Evêque de Poitiers, Vor Palmé, Paris, H. Oudin, Poitiers, 1861, 32 pp. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Monseigneur Darboy Archevêque de Paris, fusillé à La Roquette par ordre de la Commune le 24 mai 1871. Prononcé dans l'Eglise métropolitaine de Notre-Dame le mardi 18 juillet 1871 par le R.P. Adolphe Perraud, Librairie Adrien Le Clère et Cie, Paris, 1871, portrait en frontispice et 80 pp. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Monseigneur de La Bouillerie prononcée par S. G. Mgr. Gaspard Mermillod le 11 septembre 1882 dans l'Eglise primatiale de Bordeaux, Revue catholique de Bordeaux, 553-598 pp. [ Suivi de : ] Eloge funèbre historique du T.R.P. Dominique de St-Joseph Général des Carmes-Déchaussés et Restaurateur de son ordre en France, de nos jours, prononcé dans l'Eglise du Noviciat du Broussey le 11 août 1870 par le R.P. Alexis-Louis de Saint-Joseph, L. Pomiès, Carcassonne, 1870, 50 pp. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Notre Tr-s-Saint-Père le Pape Pie IX par le R.P. Henri Vadon. Deuxième édition, Lecoffre Fils et Cie, Paris, Lyon, 1878, 58 pp.
Bon état (anciens cachets d'institution religieuse, petite étiquette de cote au plat sup.) pour ce recueil de discours et d'oraison funèbre (toutes, hormis 2, en édition originale), dont la très rare édition originale de l'oraison funèbre de Mgr. Darboy.
Par Saint-Victor, Jacques-Maximilien Benjamin Bins de (1772-1858). Le comte de Saint-Victor est un homme de lettres et poète français, né à Cap-Français (Saint-Domingue) le 14 janvier 1772 et mort à Paris le 8 août 18582. Pendant le Premier Empire, il est arrêté comme conspirateur royaliste et incarcéré à Paris. Après la chute de Napoléon, il figure parmi les rédacteurs du Journal des débats et collabore également au Drapeau blanc. Ayant tenté sans succès, avec Lamennais, de fonder une librairie, il s'exile quelque temps en Amérique. À son retour, il collabore au journal La France. Outre ses œuvres poétiques et une traduction d'Anacréon en vers, Jacques Bins de Saint-Victor a publié plusieurs études historiques ainsi que trois livrets d'opéra. Son fils, Paul de Saint-Victor, se fit connaître comme essayiste et critique. L'auteur présente, quartier par quartier, l'histoire de Paris à travers ses principaux monuments. L'un des guides les plus complets avec une description des sites et monuments Tome I. 558pp. Quartier de la cité - Saint Jacques de la Boucherie -Sainte Opportune - du Louvre ou Saint germain l'Auxerrois. Tome II. 550pp. suite du quartier du Louvre - Palais-Royal - Saint-Eustache - Les Halles Tome III. 645pp. Quartiers; Saint-Denis - Saint-Martin - de la grève - Saint-Paul ou de la Mortellerie -Saint-Avoie - Du temple ou du Marais - Saint-Antoine - de la Place Maubert. Tome IV. 675pp. Quartier; suite de la Place Maubert - Saint-Benoît Tome V. 676pp. Quartier; Saint André des Arcs - du Luxembourg - Saint Germain des Près - Paris sous Louis XIV - Paris sous la Régence et Louis XV. Complet en 5 volumes grands in8, demi cuir, accrocs & frottements, bel état intérieur, 21x13, rares exemplaires. Tournay, Librairie Casterman, 1830
Collectif ; Compagnie des Mines d'Anzin ; Compagnies réunies de Thivencelles, Escaupont et Saint-Aybert ; DUVERGIER ; BILLAULT
Reference : 66043
(1849)
1 vol. fort in-4 reliure de l'époque demi-chagrin noir, circa 1843-1849 : 1 f. (titre général), [ Recueil de 30 ouvrages et brochures relatifs au procès de la Compagnie des Mines d'Anzin contre Thivencelles - Collection des Mémoires, Avis du Conseil d'Etat, Jugemens & Arrêts relatifs à la Concession de Vieux-Condé. 1e Procès Lassalle Année 1806 2e Procès contre les Société réunies d'Escaupont, Thivencelles et Saint-Aybert, Années 1843 à 1849 ] Mémoire pour MM. Desandrouin, Taffin et leurs associés, Formant la Compagnie des Mines d'Anzin, contre MM. Lassalle et Compagnie, Réimpression, s.l.n.d., 66 pp. [ Suivi de : ] Lettre des Représentans de la Compagnie Propriétaire des Mines d'Anzin à M. le Ministre des Travaux Publics, tendant à fire ordonner la cessation des travaux entrepris par la Compagnie de Thivencelles, sur une partie de la concession dite de Vieux-Condé, Imprimerie de Madame de Lacombe, s.d., 14 pp. et 1 f. n. ch. [ Suivi de : ] Requête tenand à ce qu'il soit procédé au bornage de la Concession de Condé, Vieux-Condé et Hergnies, Imprimerie de Madame de Lacombe, s.d., 30 pp. et 1 f. n. ch. [ Suivi de : ] Défense pour les trois Sociétés réunies de Thivencelles, Fresnes-Midi et Condéenne contre la Cie D'Anzin, Imprimerie de A. Prignet, Valenciennes, s.d., 104 pp. [ Suivi de : ] Mémoire pour la Compagnie propriétaire des Mines d'Anzin, Fresnes, Vieux-Condé, etc., contre les Trois Sociétés réunies d'Escaupont, Thivencelles et Saint-Aybert, Imprimerie de Paul Dupont et Comp., Paris, s.d. 54 pp. [ Suivi de : ] Observations pour la Compagnie d'Anzin, contre les Compagnies réunies de Thivencelles, Escaupont et Saint-Aybert, Imprimerie de Paul Dupont et comp., s.d., 8 pp. [ Suivi de : ] Copie d'un Manuscrit appartenant aux Archives de la Maison de Croÿ (composé vers 1650), Imp. de Marc-Aurel, Paris, s.d., 8 pp. [ Suivi de : ] Analyse des faits principaux servant de base aux moyens développés dans le Mémoire de M. Vivien (du 23 décembre 1843), pour la Compagnie d'Anzin, en réfutation de celui de M. Daverne, avocat de la Compagnie d'Escaupont, Thivencelles et St-Aybert, Imprimerie de A. Prignet, Valenciennes, s.d., 12 pp. [ Suivi de : ] Réponse des Sociétés réunies de Thivencelles, Fresnes-Midi et Condéenne au Mémoire de la Compagnie d'Anzin du 23 décembre 1843, Imprimerie de Boucher-Moreau, Anzin, 45 pp. et 1 f. blanc [ Suivi de : ] Note supplémentaire pour la Compagnie d'Anzin sur l'autorité de la Chose jugée résultant de l'avis du Conseil d'Etat, approuvé par l'Empereur le 31 mars 1806, Imprimerie de A. Prignet, Valenciennes, s.d., 23 pp. [ Suivi de : ] Extrait du Conseil général des Mines Séances des 25, 26 et 30 octobre 1844, Imprimerie de Boucher-Moreau, Anzin, 4 pp. [ Suivi de : ] Dernières Productions de la Compagnie d'Anzin, relatives à la Concession de Vieux-Condé, et Observations sur l'avis du Conseil-Général des Mines, du 30 octobre 1844, Imprimerie de Boucher-Moreau, Anzin, et Imprimerie de Marc-Aurel, s.d., 31-31 pp. [ Suivi de : ] A Monsieur le Ministre Secrétaire d'Etat des Travaux Publics, Paris, le 7 mai 1845, 12 pp. [ Suivi de : ] Les Associés régisseurs de la Compagnie des Mines d'Anzin à Son Excellence Monsieur le Ministre des Travaux Publics, Imprimerie de Marc-Aurel, s.d., 7 pp. [ Suivi de : ] Requête Sommaire pour la Compagnie Propriétaire des Mines d'Anzin, poursuites et diligences de M. Lebret, l'un des associés, s.l.n.d., 36 pp. [ Suivi de : ] Défense pour les Sociétés réunies de Thivencelles, Fresnes-Midi et Condéenne-Saint-Aybert, poursuite et diligence de M. Julien Lenglé, l'un des associés, Imprimerie de Boucher-Moreau, s.d., 15 pp. [ Suivi de : ] Réplique pour la Compagnie Proprétaire des Mines d'Anzin, Me. Chambaud et P. Fabre Avocats aux Conseils, Imprimerie Typographique et Lithographique de A. Prignet, Valenciennes, 1849, 100 pp. et 1 f. n. ch., 1 f. blanc [ Suivi de : ] Réplique pour les Sociétés réunies de Thivencelles, Fresnes-Midi et Condéenne-Saint-Aybert, contre la Compagnie d'Anzin, Imprimerie de Boucher-Moreau, s.d., 27 pp. [ Suivi de : ] Réponse de la Compagnie d'Anzin, Imprimerie de Marc-Aurel, s.d., 55 pp. Imprimerie de Boucher-Moreau, s.d., 15 pp. [ Suivi de : ] Consultation de Me Duvergier pour les Cies réunies de Thivencelles, Fresnes-Midi et Condéenne, et Réfutation de la Consultation de Me Billault en faveur de la Compagnie d'Anzin, Imprimerie de Boucher-Moreau, s.d., 42 pp. [ Suivi de : ] Consultation de Me Duvergier en date du 28 avril 1847 pour les Compagnies réunies de Thivencelles, Escaupont et Saint-Aybert avec annotations pour la Compagnie d'Anzin, Imprimerie de Marc-Aurel, s.d., 40 pp. [ Suivi de : ] Consultation de Me Duvergier en date du 28 avril 1847 pour les Compagnies réunies de Thivencelles, Escaupont et Saint-Aybert et réfutation de la Consultation de Me Billault en faveur de la Compagnie d'Anzin, Imprimerie de Marc-Aurel, s.d., 93 pp. [ Suivi de : ] etc. etc.
La Compagnie des mines d'Anzin est l'une des plus anciennes compagnies minières françaises, créée en 1757. Elle a lancé l'exploitation du charbon dans le Nord de la France et fut l'une des premières grandes sociétés industrielles françaises. Dirigée par les grands noms du capitalisme et de la politique française du XIXe siècle (Casimir-Perier ou Adolphe Thiers), elle est décrite dans le roman Germinal d'Émile Zola, et est devenue un symbole social et politique du capitalisme français du XIXe siècle. L'arrêt final concluant cet impressionnant recueil est très remarquable, en ce qu'il se fonde sur les droits de haute justice accordés dans la première du XVIe siècle aux Seigneurs de Croy par Charles Quint ! Bon état (dos lég. frotté, un mors frottéen queue, bon exemplaire par ailleurs).
Saint-Foix (Germain-François Poullain de) [exceptionnalle reliure signée BRADEL LE JEUNE].
Reference : AMO-4503
(1778)
A Paris, chez la veuve Duchesne, 1778 [de l'imprimerie de Claude Simon] [de l'imprimerie de Clousier]. 6 volumes in-8 (21,5 x 13,5 cm) de XVI-594, 600, 479, 462, 472 et 524-(3) pages. 1 portrait de l'auteur en frontispice et 2 figures d'après Marillier. Reliure de l'époque plein maroquin rouge à grain long, dos lisses richements ornés aux petits fers typiques de l'époque Directoire (1795-1799), pièces de titres (auteur et titre de chaque volume) en maroquin vert, roulette dorée en encadrement des plats et sur les coupes, doublures et gardes de papier marbré, encadrement intérieur de roulettes dorées, tranches dorées (reliure signée Bradel le Jeune, rue d'Ecosses, n°1, quartier Ste Geneviève, à Paris - avec son étiquette contrecollée au verso de la garde du premier volume). Impression sur papier fort à belles marges (grand papier). Excellent état de l'ensemble des volumes, reliures et intérieur. Très frais. Quelques infimes marques et ombres aux reliures qui sont néanmoins dans un splendide état de conservation.
Edition originale posthume des Œuvres complètes de l'auteur. Les deux premiers volumes contiennent des pièces de théâtre (comédies, comédie-ballet et tragédie) ainsi que les Lettres turques. Les troisième, quatrième et cinquième volumes contiennent les Essais historiques sur Paris. Enfin le sixième et dernier volume contient l'Histoire de l'Ordre du Saint-Esprit. Poullain servit jusqu’à trente-six ans dans les mousquetaires, se distinguant à Guastalla en 1734, puis il quitta l’armée et acheta une charge de maître des eaux et forêts à Rennes. Il avait publié en 1721 une première comédie, Pandore. En 1740, il décida de se consacrer aux lettres et vint s’installer à Paris où il devint un auteur à la mode. Il écrivit une vingtaine de comédies. D’un caractère querelleur, Poullain de Saint-Foix est aussi connu pour ses reparties et duels que pour ses productions littéraires. Ainsi un jour, au café Procope, un garde du roi entra et demanda une tasse de café au lait et un petit pain. Saint-Foix s’exclama : « Voilà un fichu dîner ! », et le répéta à plusieurs reprises, si bien que le garde finit par se fâcher et le provoquer en duel. Ils se battirent, Saint-Foix fut blessé et fit ce commentaire : « M’eussiez-vous tué, vous n’en auriez pas moins fait un mauvais dîner. » Il lui survint une autre aventure où, cette fois les rieurs ne furent pas du côté du spadassin : un jour qu’il s’était pris de querelle avec un provincial qu’il ne connaissait pas, au foyer de l’Opéra, Saint-Foix lui assigna un rendez-vous. « Quand on a affaire à moi, dit le provincial, on vient me trouver : c’est ma coutume. » Le lendemain, Saint-Foix se présente chez l’inconnu, qui l’invite à déjeuner. « — Il bien question de cela. Sortons ! — Je ne sors jamais sans avoir déjeuné : c’est ma coutume. » L’inconnu, toujours accompagné de Saint-Foix, entre dans un café, joue une partie d’échecs et va faire un tour de promenade aux Tuileries, en répétant à chaque chose : c’est ma coutume. Enfin, à bout de patience, Saint-Foix lui propose de passer aux Champs-Élysées. « — Pour quoi faire ? — Belle demande ! pour nous battre. — Nous battre ! s’écria l’autre. Y pensez-vous, Monsieur ? Convient-il à un trésorier de France, à un magistrat, de mettre l’épée à la main ? On nous prendrait pour des fous ! » L’aventure courut la ville. Dans une des répétitions de l’Oracle, l’actrice mademoiselle de Lamotte jouant la fée sur le ton d’une harengère, l’auteur lui arracha la baguette qu’elle tenait dans la main, et lui dit : « J’ai besoin d’une fée et non d’une sorcière. » L’actrice voulut insister et crier, mais Saint-Foix lui répondit : « Vous n’avez pas de voix ici : nous sommes au théâtre et non au sabbat. » Il fut nommé, en 1764, historiographe de l’ordre du Saint-Esprit. Il est le frère du juriste Auguste-Marie Poullain-Duparc. Les traits de Poullain de Saint-Foix nous restent fixés par le portrait gravé par Noël Le Mire (avec ornements de Clément-Pierre Marillier) d'après Claude Pougin de Saint-Aubin, en frontispice des Œuvres complètes de M. de Saint-Foix, historiographe des Ordres du Roi (6 volumes, Veuve Duchesne, Paris, 1778). Son ouvrage Essais historiques sur Paris a pour objet « de faire connaître par des faits et des anecdotes le caractère, les mœurs et les coutumes » de la France. C’est une succession d’observations et d’anecdotes qui visent à montrer, par-delà les différences des usages, l’unité de l’espèce humaine. Pour autant, l’auteur se tient à bonne distance de l’esprit philosophique de son temps, n’hésitant pas à défendre, par exemple, l’immortalité de l’âme. Reliure : A propos de la reliure d'une très grande qualité qui habille cet ouvrage, signalons que Bradel le Jeune était le frère de Bradel l'Aîné qui était lui-même successeur de son oncle, Derome le Jeune. On dit que c'est Bradel l'Aîné qui mit au point le cartonnage à gorge (et à dos non collés aux fonds de cahiers) connu de nos jours sous le nom de cartonnage à la Bradel. Pierre-Jean, dit Bradel le Jeune, notre relieur, établi également au XVIIIe siècle, exerçait au 1 rue d'Ecosses en 1799 (signalé par Fléty dans son Dictionnaire des relieurs), mais ne figure plus dans l'almanach du commerce de 1804. (Cf. Julien Fléty, Dictionnaire des relieurs, p. 33). Notre exemplaire est relié avec un système à dos mobiles (les fonds de cahiers ne sont pas collés au cuir des dos. De même la gorge bien que peu prononcée est bien présente et l'on ne distingue pas de ficelles pour la jonction avec les plats au niveau de la doublure. Nous sommes dons bien en présence d'un des premiers types de reliures dites "à la Bradel", ici dans une luxueuse version en maroquin aux dos richement décorés aux petits fers dorés. Cet exemplaire d'exception aurait toute sa place dans un musée d'histoire de la reliure française. Splendide exemplaire parfaitement établi à l'époque par Bradel le Jeune.
Phone number : 06 79 90 96 36
[FMR Franco Maria Ricci] - Collectif ; Saint Luc ; Saint Marc ; Saint Matthieu ; Saint Jean
Reference : 58473
(2004)
Texte latin dans l'édition critique d'Oxford établie par J. Wordsworth et H. White, avec les planches du Mömpelgarder Altar, 1530-1550, 4 vol. grand in-4 reliure éditeur pleine soie noire, sous étui commu,, F.M.R., Franco Maria Ricci, 2004, avec le fasciule de présentation joint. Rappel du titre complet : Les Quatre Evangiles. Evangile selon Saint Matthieu. Evangile selon saint Marc. Evangile selon saint Luc. Evangile selon Saint Jean (4 Tomes - Complet) Texte latin dans l'édition critique d'Oxford. Texte français dans la traduction de Port-Royal
Magnifique ensemble, illustré de 157 reproductions tirées du "Retable de Montbéliard", monumental chef-d'oeuvre composé de 157 panneaux, oeuvre longtemps attribuée à Dürer, mais probablement peint entre 1530 et 1550 par le peintre Souabe Heinrich Füllmaurer. Bon exemplaire (qq. très rares frott., très bel état par ailleurs) de ce superbe ouvrage, imprimé sur papier Ingres vergé bleu des papeteries Miliani de Fabriano, et relié à la main dans les ateliers Arte del Libro.
Les Evangiles selon Saint Matthieu - Saint Marc - Saint Luc - Saint Jean
Reference : 49678
in-4 reliure éditeur - dos à nerfs - exemplaire numéroté N°843- tranche supérieure dorée - premier plats orné aux quatre coins - non daté - Ed. Editions de l'Odéon, Paris
bon état
Saint Clément - Saint Athanase - Saint Proclus - Saint Jean Chrysostome - Saint Nilus - Leon l'Empereur.
Reference : 78152
Chez André Pralard, Libraire, 1696, 1 volume de 130x200 mm environ, (1) f., (4) ff. (titre, avertissement, privilège), 626 pages, (3) ff. (table), (1) f., dos à 5 nerfs portant titres dorés sur pièce de titre bordeaux, orné de caissons à riches motifs dorés, tranches finement mouchetées de rouge. Nom et date sur la première garde blanche et la page de titre, tampon de bibliothèque au début et à la fin du volum, coiffe inférieure ébréchée, début de fente sur les mors, manque de cuir sur un coin, édition originale de la traduction.
Table des ouvrages contenus dans ce volume : Traité de S. Nilus sur les pechez capitaux; Le pédagogue de S. Clément d'Alexandrie (en trois livres); Instructions du bienheureux Hyperechius prestre; Sermons de Saint Proclus; Sermons de Saint Athanase; Sermon de S. Jean Chrysostome; Sermon de Leon Empereur; Discours de S. Jean Chrysostome et de plusieurs pères grecs. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Première édition, dans une reliure de présent en maroquin rouge.Envoi autographe signé. Exemplaire Pierre Bergé. Paris, De l'Imprimerie de Monsieur, 1789. 1 vol. (75 x 130 mm) de 1 f., xxxv et 243 p. Maroquin rouge, deux filets dorés bordant une chaînette d'encadrement dorée sur les plats, dos lisse orné, pièce de titre de maroquin vert, monogramme doré « SM » au centre des plats, roulette intérieure (reliure de l'époque). Première édition séparée. Elle est ordonnée par Pierre François Didot, le jeune, avec une édition luxueuse sur un papier de choix provenant de ses papeteries d’Essonne, qu’il enrichit d’illustrations – l’édition sur papier ordinaire n’en contenant pas : 4 figures de Moreau le Jeune, la dernière en collaboration avec Joseph Vernet, gravées sur cuivre par Girardet, Halbou et Longueil. Envoi signé : « pour Mademoiselle Mesnard de Conichard, par l’auteur, De Saint-Pierre ».
Paul et Virginie est une œuvre difficile à définir, y compris pour son auteur qui y voyait un « petit ouvrage », une « fable essai » et même une « espèce de pastorale ». L’ouvrage fut d’abord écrit comme un complément à une deuxième édition à Voyage à l’île de France, puis à la troisième édition des Études de la nature, dont il devait illustrer les thèses par la fiction. Il entendait mettre en application « les lois des Études de la nature au bonheur de deux familles malheureuses » par le dénouement tragique qu’il donne à son récit, en brisant le rêve d’un idylle. Il se démarque ainsi du goût de l’époque pour la pastorale, même s’il applique les règles de simplicité du genre : deux jeunes gens grandissent ensemble dans le cadre enchanteur et paisible de l’île de France, l’île Maurice actuelle, s’aiment, sont séparés par la civilisation, avant d’en être définitivement écartés au cours du drame du Saint-Géran. Bernardin de Saint-Pierre – formé aux récits de Daniel Defoe et de son Robinson Crusoé – embarqua, à douze ans, pour la Martinique sur le bateau d’un de ses oncles : une révélation, mais aussi la découverte du gouffre séparant l’imagination de la réalité, supportant mal les ardeurs du climat, les fatigues du voyage et surtout la discipline des navires. Après cette déconvenue, ses parents le mettent au collège des jésuites de Caen, où il caresse un temps l’idée de devenir missionnaire, puis à Rouen, avant d’entrer en 1757 à l’École nationale des ponts et chaussées. Il intègre à la fin de ses études le corps des ingénieurs militaires. Dès 1773, il dénonce le crime de l’esclavage dans son Voyage à l’Ile de France, à l’Ile Bourbon, au cap de Bonne-Espérance : il fait partie des auteurs qui s’opposent alors sans ambiguïté à l’esclavage et au racisme au nom de l’égalité de tous les hommes, d’autant que, natif du Havre, l’un des principaux ports où transitent les esclaves, il n’a eu de cesse d’en voir les ravages. Il y reviendra dans Paul et Virginie, faisant des esclaves Marie et Domingue, qui vivent en harmonie avec leurs maîtres, des figures importantes de son récit. Ce récit, aux influences rousseauistes évidentes, inspirera nombre d’écrits postérieurs, de l’Atala de Chateaubriand au Cœur simple de Flaubert. « Comme la plupart des chefs-d’œuvre, celui-ci apporte au genre et à la mode qu’il illustre à la fois son accomplissement et son démenti. » (Jean Favre) Paul et Virginie connut un vif succès dès sa publication et fut un des livres les plus réédités jusqu’au début du XXe siècle ; et preuve de son immense réussite, Lamartine, Balzac et Flaubert ont fait de leurs héroïnes, Graziella, Véronique et Emma Bovary, des lectrices de Paul et Virginie : « Emma cherchait à savoir ce que l’on entendait au juste dans la vie par les mots de félicité, de passion et d’ivresse, qui lui avaient paru si beaux dans les livres. Elle avait lu Paul et Virginie et elle avait rêvé la maisonnette de bambous, le nègre Domingo, le chien Fidèle, mais surtout l’amitié douce de quelque bon petit frère, qui va chercher pour vous des fruits rouges dans des grands arbres plus hauts que des clochers, ou qui court pieds nus sur le sable, vous apportant un nid d’oiseau. » (Madame Bovary, [1857], p. 36). Très bel exemplaire, de grande rareté avec envoi circonstancié et des plus pertinents : Mlle Mesnard était la fille d’un correspondant et ami proche de Bernardin de Saint-Pierre, François Mesnard de Conichard (1727-1792), premier commis des Finances. Ce dernier était intervenu en faveur de Bernardin de Saint-Pierre pour l’obtention d’une gratification annuelle à son retour de l’Île Bourbon ; la correspondance entre les deux hommes témoigne d’une longue amitié et d’une relation quasi-familiale. C’est à François de Conichard que l’auteur, à l’automne 1784, envisage et propose de dédicacer ses Études de la nature. Très élégamment, il la refusa, ayant « toujours évité par-dessus tout de faire parler de moi et je suis trop vieux pour changer ma marche à cet égard, je vous supplie donc qu’il ne soit plus question de cette dédicace […]. N’en parlons plus je vous prie » (lettre à Bernardin de Saint-Pierre, octobre 1784). L’auteur respecta la demande et offrit la dédicace à un autre de ses amis, Hennin. Néanmoins, lors de la troisième édition, parue en 1788 et contenant au quatrième tome le roman de Paul et Virginie, Bernardin de Saint-Pierre réussit discrètement à faire imprimer sa reconnaissance envers « mes respectables amis MM. Hennin & Mesnard de Conichard » ; et à offrir, l’année suivante et pour cette première édition séparée du roman, cet exemplaire à la fille de son dédicataire. Une lettre de Mesnard à Bernardin en date du 30 avril [1773] fait mention de sa fille pour la première fois, et Bernardin de Saint-Pierre lui-même parle de « Mlle Mesnard fille d’un de mes meilleurs amis et que j’ai vu naître » dans une lettre à l’auteur du poème Le Tombeau de Virginie en 1789 (citée dans Rebecca Ford, « Une correspondance amicale : Bernardin et Mesnard de Conichard », Autour de Bernardin de Saint-Pierre, Mont-Saint-Aignan, P.U. de Rouen et du Havre, 2010). Cette dernière n’a, au moment de la parution du volume, que dix-sept ans : soit l’âge exact de l’héroïne de Bernardin de Saint-Pierre, puisque Virginie quitte l’île à quinze ans pour n’y revenir que deux ans et demi plus tard pour la fin tragique que l’on sait. Marie-Françoise Mesnard de Conichard épousera quelques années plus tard Jean-François Pierre Puy de Rosny, futur baron d’Empire. En 1792, Bernardin de Saint-Pierre épousera quant à lui la fille de son imprimeur Didot, avec laquelle il aura deux enfants qu’il prénommera, naturellement, Virginie (née en 1794) et Paul (né en 1798). Des bibliothèques Marie-Françoise Mesnard de Conichard ; Pierre Bergé (ex-libris ; II, n° 191). Tchemerzine V, p. 649 ; Cohen, 931.
Librairie Plon Collection Jacques Haumont | Paris 1953 | 13 x 20 cm; (dessin : 20,3x26,2cm) | broché
Première édition sous ce titre avec les illustrations de Saint-Exupéry, un des 20 exemplaires numérotés sur madagascar, tirage de tête. Parue quelques jours après lédition originale sans illustrations, publiée chez Gallimard (Lettres de jeunesse 1923-1931). Ouvrage illustré de 10 dessins en couleurs dAntoine de Saint-Exupéry ainsi quune vignette de couverture aussi daprès un dessin de lauteur. Louvrage est enrichi dun exceptionnel dessin au crayon bleu et rouge dAntoine Saint-Exupéry sur un papier filigrané avec une inscription au crayon au verso Donné à Léon Werth [dédicataire du Petit Prince]. Pli horizontal et infime décharge de rouille en partie inférieure, sans atteinte au dessin. * Bien que Léon Werth nait jamais attaché de valeur aux éditions bibliophiliques des uvres de son cher ami, il a vraisemblablement gardé avec révérence cet exemplaire en grand papier, comme il lavait fait avec ceux personnellement reçus de lauteur. Ces livres avaient bravé avec lui lexode et les persécutions antisémites?: Je nai quun souci cest demporter Terre des hommes. Non pas parce que cet exemplaire est de luxe, de haut luxe. Je nai quun maigre respect pour les belles éditions. Mais parce que Saint-Exupéry me la donné, parce que le beau papier, les pages non rognées ne sont pas richesse et vanité, mais amitié. (33 jours, Paris, Ed. Viviane Hamy, 1992, p. 48) Cette belle tradition des « pages damitié » semble être perpétuée ici par Werth, qui a sans doute reçu un exemplaire de tête offert par léditeur en lhonneur de son ami disparu. Faute de dédicace, il aurait ajouté ici un cadeau graphique de lauteur du Petit Prince à cette édition posthume de la correspondance de Saint-Exupéry avec Rinette (Renée de Saussine) la sur dun de ses camarades au lycée Saint-Louis. Le personnage de ce croquis est par ailleurs assez proche stylistiquement des dessins pour Rinette au crayon bleu et rouge qui figurent en illustration de ce même ouvrage. On y retrouve lhabituelle silhouette zoomorphe faites de traits décisifs, marquée par une touche de rouge vif et affublée dune cravate pratique courante chez Saint-Exupéry qui samusait à créer des personnages fantastiques aux proportions étranges, portant souvent des cols de manteau, nuds papillon, et autres cravates qui évolueront vers la fameuse écharpe du Petit Prince. Des croquis de camarades de caserne que le jeune conscrit réalise à Casablanca lors de son service militaire aux aquarelles du Petit Prince, la vie de Saint-Exupéry est rythmée par cette activité marginale mais omniprésente, le dessin. Sur les lettres à ses amis, dans les marges de ses manuscrits, en tête de ses livres offerts, sur les télégrammes reçus, les factures, les nappes, les prospectus, sur tout ce qui lui passe par la main et offre un support à son imaginaire, Saint-Exupéry dessine, esquisse, caricature, croque, illustre, invente, griffonne des êtres vivants ou imaginaires, des amis et des amies. Hormis ceux réalisés en marge de lettres et manuscrits ou offerts à des proches, la plupart de ses dessins antérieurs à son exil américain furent jetés par Saint-Exupéry. Exemplaire en tirage de tête de cette importante correspondance de jeunesse accompagné dune précieux dessin coloré et contrasté de Saint-Exupéry offert au dédicataire du Petit Prince. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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novembre 1870 | 33.20 x 24.50 cm | un bifeuillet
Partition autographe signée et inédite de Camille Saint-Saëns. Deux pages de musique manuscrite pour voix seule et piano à l'encre noire sur un bifeuillet oblong à vingt portées, enrichies d'un envoi autographe signé de Saint-Saëns sur la première page, avec sa signature et date autographe ("nov. 1870") à nouveau sur la seconde page. Trace de pli vertical, avec une minuscule déchirure le long du pli, une petite déchirure marginale sur 1 cm de la première page, sans atteinte au manuscrit. Exceptionnel manuscrit autographe d'une mélodie persane inédite pour voix et piano, composée par Camille Saint-Saëns pendant le siège de Paris en novembre 1870, enrichie d'un envoi signé : «A Geneviève Bréton / Hommage de respectueux dévouement », signé et daté sur la deuxième page «Nov 1870 C. Saint Saëns ». Les paroles de l'oeuvre sont directement inspirées par sa dédicataire, la fiancée du peintre et ténor Henri Regnault, «le plus musicien de tous les peintres» (cf. Saint-Saëns, Ecole buissonnière)qui fut le premier interprète de plusieurs autres Mélodies persanes. * Geneviève Bréton, femme cultivée et passionnée, fréquentait les salons littéraires et artistiques des compositeurs, peintres, et jeunes poètes parnassiens de sa génération. Saint-Saëns fit probablement sa connaissance par l'intermédiaire de son ami le peintre orientaliste Henri Regnault, lauréat du prix de Rome, dont elle était tombée éperdument amoureuse en 1867 en Italie. Beau jeune homme déjà célèbre pour son pinceau, Regnault fascina le compositeur par son «exquise voix de ténor, voix au timbre enchanteur, à l'irrésistible séduction» se souviendra Saint-Saëns en 1913. Regnault crée plusieurs de ses compositions: «En 1868, Regnault avait été le premier à incarner le rôle de Samson dans le deuxième acte du célèbre opéraSamson et Dalila, créé lors d'une soirée privée. Saint-Saëns renouvelle leur collaboration en confiant à l'artiste deux desMélodies persanescomposées pour voix de ténor» (Manon Bertaux). Les Mélodies persanesop. 26, sur des vers du poète parnassien Armand Renaud, se composent dans leur version publiée, de trois uvres pour ténor(Sabre en main,Au Cimetière,Tournoiement) et trois pour contralto(La Brise,La Splendeur vide,La Solitaire). Elles forment l'un des plus célèbres cycles de Saint-Saëns et viennent s'inscrire dans la période de l'âge d'or de la mélodie française. Le présent manuscrit pour voix et piano, au ton ardent et coloré, peut indiscutablement être rattaché à cet ensemble de mélodies débuté en juin 1870, vendu par Saint-Saëns à son éditeur Hartmann peu après. Cependant les recherches de Manon Bertaux ont démontré que «le compositeur a vendu à Hartmann un cycle incomplet, ayant composé ses dernières mélodies au début du siège de Paris [à partir de septembre]». Datée de novembre 1870, notre mélodie - à notre connaissance inconnue des biographes et musicologues - fait partie de ces compositions réalisées en pleine guerre franco-prussienne: «Engagé en tant que garde national pendant le siège de Paris, [Saint-Saëns] continue son activité de musicien et de compositeur parallèlement à ses missions à la garde des remparts». Il semble que l'ensemble, parole et musique, de cette composition soit demeuré totalement inédit et n'ai jamais été communiqué à Hartmann. De son côté, le peintre Henri Regnault, engagé comme franc-tireur, risque aussi sa vie pour tenter de briser le siège, au grand dam de Geneviève qui confia son inquiétude dans son journal intime devenu célèbre (Ramsay, 1985). Les jeunes amoureux venaient finalement de se fiancer après de longues années d'opposition de la mère de la jeune femme. Saint-Saëns a probablement adressé cette délicieuse mélodie à Geneviève Bréton comme cadeau de fiançailles. Un morceau de chaleur revigorante pour la jeune femme éplorée, dont voici le premier des deux couplets: «Ka-douja la chanteu-se Au manteau noir Qu'on trouve sous l'y-eu-se Quand vient le soir, chante au guerrier mo-ro-se, P
Phone number : 01 56 08 08 85
- Notice de 4 pages, avec 1 gravure du saint en première page. 18 x 25 cm.
Vieux papier. Vie de saint extraite de "Vies de saints Illustrées". Vies de saints, Fin XIXe. Vers 1900.
Par la Compagnie des Libraires, 1698, complet en 2 volumes in-4 de 250x180 mm environ, Tome I : 1f.blanc, une page de titre, 540 pages, 1f. (table), suivi Nouvelles Oeuvres mélées de Saint-Evremont, de la page 489 à 658, 1f. blanc, - Tome II : 1f.blanc, 6ff. ( page de titre, avertissement et table), 488 pages, 1f.blanc, la suite du volume de la page 489 à 658 sont placées à la fin du tome I, plein veau granité fauve, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de caissons à riches motifs dorés, coupes dorées (dorures un peu effacées par endroits), texte orné de lettrines, bandeaux et culs-de-lampes magnifiques. Coins émoussés, cuir frotté avec petites taches et trous de ver, début de fente sur un mors externe, coiffes manquantes, taches de cire sur page 47 du tome II, 3 petites auréoles page 387 du même tome, bon état pour le reste. Relié de manière peu conventionnelle (la fin du tome II se trouve à la fin du tome I).
Charles Le Marquetel de Saint-Denis, seigneur de Saint-Évremond, ondoyé le 5 janvier 1614 et baptisé le 20 janvier 1616 à Saint-Denis-le-Gast (aujourd'hui dans la Manche) et mort le 29 septembre 1703 à Londres, est un moraliste et critique libertin français. La première Edition in-4 date de1689 pour le tome I et 1692 pour le tome II. Il existe une édition en 3 volumes in-12 parue en 1699.Il existe plusieurs Editions des Oeuvres de Saint-Evremond sous le titre Oeuvres Meslées : dont Amsterdam, 1691, 2 volumes in-12, et une cinquième édition revue et corrigée fut publiée à Paris, en 1698, 2 volumes in-4 et à Amsterdam chez Mortier en 1699, 2 volume in-12. Aucune de ces éditions n'est aussi complète que celles qui ont été publiées depuis, mais elles ont l'avantage d'avoir été publiées du vivant de Saint Evremond et par conséquent de ne renfermer que des écrits avoués par Lui (Quérard T.8). Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Revue de 30 pages, format 210 x 310 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état
Concerne la région de Saint-Marcellin, en Isère. Au sommaire : Le Château de Murinais, mille ans d'histoire ; Hortense Sirand, une vie au service de l'enfance ; Rififi sur le vieux pont suspendu de Saint-Gervais en 1842 ; Eugène Poubelle relança la culture du tabac isérois
Phone number : 04 74 33 45 19