JUBINAL, Michel-Louis-Achille, Paris, 24 octobre 1810, 23 décembre 1875, Membre de la Société des antiquaires de France, Médiéviste et Homme politique, Auteur de travaux importants sur les tapisseries, manuscrits & la littérature médiévale - Grégory, docteur en Médecine, traduction de l'anglais par A. Morellet.
Reference : 49280
(1835)
1835 PARIS, Librairie Greque-Latine Anglaise et Départementale de J. Albert Merklein, 1835 - Edition Originale - In-8 - Reliure demi-percaline rouge - Dos à nerfs orné de caissons dorés -Tranches jaspées - Signet - non rogné - Mention: "Ce livre rare na été tiré quà petit nombre, dont 20 exemplaires sur Hollande, 12 sur Chine, 3 sur peau de vélin et les autres sur papier ordinaire" - 190 pages - Très propre, Bel exemplaire - Relié avec 70 pages, 28 pages, Complet, pagination 49 à 260 - Très frais - Réf. 49280
Jongleurs et Trouvères :Belle typographie de Crapelet..Un des premiers livres de lauteur, âgé de 25 ans; il date du temps où il soccupait de chartes du Moyen Age et ne se souciait pas encore de politique. JUBINAL (Michel-Louis-Achille)Un parfait « arriviste » ! Une girouette politique du XIX° siècle qui a toujours su sattirer les protections les plus efficaces. Chartiste, il publia dans sa jeunesse des ouvrages littéraires du Moyen Age et fut nommé en 1839 professeur de littérature étrangère à la Faculté de Montpellier.Il collectionna les décorations et les médailles, légion dhonneur et autres encouragements rémunérés. Orléaniste fervent, il vira républicain en 1848 et fut un partisan fanatique de Ledru-Rollin. Il présida alors le club de lEgalité au salon de Mars. Le 2 décembre il fit acte dadhésion complète au Coup dEtat. En récompense de cette nouvelle conversion il reçut lestampille gouvernementale et put se présenter en 1852 devant les électeurs des Hautes-Pyrénées. Il siégea à la Chambre jusquà la fin de lEmpire, applaudissant tous les ministères successifs.La révolution du 4 septembre 1870 la rendu à la vie privée. Ses relations dans le monde des artistes lui permirent de se constituer une impressionnante collection de tableaux, à fort bon marché ! Il fut lauteur dun très grand nombre de livres et le collaborateur de nombreuses revues : Le Voleur, le Revue rétrospective, le Messager, lArtiste et même le Journal des demoiselles.Monselet la fort bien épinglé dans sa Lorgnette : « Frères, il faut mourir ! » se disent entre eux les Trappistes. La devise de M. Jubinal ne serait-elle pas plutôt : « Frères, il faut se nourrir ! ». - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris, Merklein, Paris, Merklein1835 ; in-8, demi-chagrin vert, coins, dos orné à la grotesque, tête dorée, non rogné, (Reliure de l’époque) 190 pp.Très belle typographie de Crapelet.Ce livre rare n’a été tiré qu’à petit nombre, dont 20 exemplaires sur Hollande, 12 sur Chine, 3 sur peau de vélin et les autres sur papier ordinaire.Un des premiers livres de l’auteur, âgé de 25 ans; il date du temps où il s’occupait de chartes du Moyen Age et ne se souciait pas encore de politique. Bel exemplaire.JUBINAL (Michel-Louis-Achille).Un parfait « arriviste » ! Une girouette politique du XIX° siècle qui a toujours su s’attirer les protections les plus efficaces. Il naquit à Paris en 1830. Chartiste, il publia dans sa jeunesse des ouvrages littéraires du Moyen Age et fut nommé en 1839 professeur de littérature étrangère à la Faculté de Montpellier.Il collectionna les décorations et les médailles, légion d’honneur et autres encouragements rémunérés. Orléaniste fervent, il vira républicain en 1848 et fut un partisan fanatique de Ledru-Rollin. Il présida alors le club de l’Egalité au salon de Mars. Le 2 décembre il fit acte d’adhésion complète au Coup d’Etat. En récompense de cette nouvelle conversion il reçut l’estampille gouvernementale et put se présenter en 1852 devant les électeurs des Hautes-Pyrénées. Il siégea à la Chambre jusqu’à la fin de l’Empire, applaudissant tous les ministères successifs.La révolution du 4 septembre 1870 l’a rendu à la vie privée. Ses relations dans le monde des artistes lui permirent de se constituer une impressionnante collection de tableaux, à fort bon marché ! Il fut l’auteur d’un très grand nombre de livres et le collaborateur de nombreuses revues : Le Voleur, le Revue rétrospective, le Messager, l’Artiste et même le Journal des demoiselles.Monselet l’a fort bien épinglé dans sa Lorgnette : « Frères, il faut mourir ! » se disent entre eux les Trappistes. La devise de M. Jubinal ne serait-elle pas plutôt : « Frères, il faut se nourrir ! ». Cet homme si bien nourri quitta le festin en décembre 1875. Poulet-Malassis a permis, sous son nom, une remise en vente de l’un de ses livres.
3 pp., in-8Au sujet de la Revue du Midi par M. Gras. La lettre est adressée à un collaborateur de cette revue, dans laquelle Jubinal écrivait aussi. Il laisse entendre que les collaborateurs doivent également s’abonner. Il annonce aussi à son correspondant que son article sur les Voyageurs allemands allait paraître le 30 juin.JUBINAL (Michel-Louis-Achille)Un parfait « arriviste » ! Une girouette politique du XIX° siècle qui a toujours su s’attirer les protections les plus efficaces. Il naquit à Paris en 1830. Chartiste, il publia dans sa jeunesse des ouvrages littéraires du Moyen Age et fut nommé en 1839 professeur de littérature étrangère à la Faculté de Montpellier.Il collectionna les décorations et les médailles, légion d’honneur et autres encouragements rémunérés. Orléaniste fervent, il vira républicain en 1848 et fut un partisan fanatique de Ledru-Rollin. Il présida alors le club de l’Egalité au salon de Mars. Le 2 décembre il fit acte d’adhésion complète au Coup d’Etat. En récompense de cette nouvelle conversion il reçut l’estampille gouvernementale et put se présenter en 1852 devant les électeurs des Hautes-Pyrénées. Il siégea à la Chambre jusqu’à la fin de l’Empire, applaudissant tous les ministères successifs.La révolution du 4 septembre 1870 l’a rendu à la vie privée. Ses relations dans le monde des artistes lui permirent de se constituer une impressionnante collection de tableaux, à fort bon marché ! Il fut l’auteur d’un très grand nombre de livres et le collaborateur de nombreuses revues : Le Voleur, le Revue rétrospective, le Messager, l’Artiste et même le Journal des demoiselles.Monselet l’a fort bien épinglé dans sa Lorgnette : « Frères, il faut mourir ! » se disent entre eux les Trappistes. La devise de M. Jubinal ne serait-elle pas plutôt : « Frères, il faut se nourrir ! ». Cet homme si bien nourri quitta le festin en décembre 1875. Poulet-Malassis a permis, sous son nom, une remise en vente de l’un de ses livres.
in-4, 2 ff.2 ff. in-4 dont 1 page avec le texte; cachets et timbres postaux.Lettre circulaire envoyée par Jubinal alors député de Bagnères. Désirant enrichir la bibliothèque municipale de Bagnères-de-Bigorre pour satisfaire la clientèle cultivée qui vient aux eaux thermales, il prie ses correspondants de bien vouloir envoyer gratuitement leurs ouvrages : “... j’ai résolu de faire tous mes efforts pour arriver à rendre promptement respectable la très minime collection de livres que nous avons, et que la ville est trop pauvre, en ce moment, pour augmenter elle-même...”JUBINAL (Michel-Louis-Achille)Un parfait « arriviste » ! Une girouette politique du XIX° siècle qui a toujours su s’attirer les protections les plus efficaces. Il naquit à Paris en 1830. Chartiste, il publia dans sa jeunesse des ouvrages littéraires du Moyen Age et fut nommé en 1839 professeur de littérature étrangère à la Faculté de Montpellier.Il collectionna les décorations et les médailles, légion d’honneur et autres encouragements rémunérés. Orléaniste fervent, il vira républicain en 1848 et fut un partisan fanatique de Ledru-Rollin. Il présida alors le club de l’Egalité au salon de Mars. Le 2 décembre il fit acte d’adhésion complète au Coup d’Etat. En récompense de cette nouvelle conversion il reçut l’estampille gouvernementale et put se présenter en 1852 devant les électeurs des Hautes-Pyrénées. Il siégea à la Chambre jusqu’à la fin de l’Empire, applaudissant tous les ministères successifs.La révolution du 4 septembre 1870 l’a rendu à la vie privée. Ses relations dans le monde des artistes lui permirent de se constituer une impressionnante collection de tableaux, à fort bon marché ! Il fut l’auteur d’un très grand nombre de livres et le collaborateur de nombreuses revues : Le Voleur, le Revue rétrospective, le Messager, l’Artiste et même le Journal des demoiselles.Monselet l’a fort bien épinglé dans sa Lorgnette : « Frères, il faut mourir ! » se disent entre eux les Trappistes. La devise de M. Jubinal ne serait-elle pas plutôt : « Frères, il faut se nourrir ! ». Cet homme si bien nourri quitta le festin en décembre 1875. Poulet-Malassis a permis, sous son nom, une remise en vente de l’un de ses livres.
Paris : Merklein, 1835 In-8, 190-(2) pages. Cartonnage muet de l'époque, pièce de titre de basane rouge au dos.
Cartonnage un peu sali ; rousseurs. Edition originale.