Joseph-Félix Bouchor (1853-1937), peintre. L.A.S., Freneuse, 2 septembre 1926, 1p in-4. A l'écrivain et avocat Jean-Bernard (1857-1936). Réponse à une enquête « si vous aviez à recommencer la vie, la conduiriez-vous comme vous l'avez fait ? ». Il serait encore peintre, « ne pouvant supporter l'idée de faire autre chose que peintre, qu'essayer de traduire la beauté de la vie qui passe. Ma discipline serait : nulla dies sine linea ». Il parle ensuite du rôle d'André Gill (1840-1885) dans sa carrière de peintre. Beau document. [399]