Grenoble, Arthaud, 1934, in 8° broché, 7 feuillets non chiffrés - 154 pages et 2 feuillets non chiffrés (errata) ; couverture illustrée (légèrement fanée).
"Prix Littéraire des Alpes Françaises 1934". Illustré de dessins de Jan MARY. Tirage limité à 600 exemplaires numérotés, celui-ci un des 585 sur vélin Beaux Pays (n°101). ...................... Photos sur demande ..........................
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VREDEMAN DE VRIES, Jan (1527-1609), FLORIS, Cornelis (1514-1575) et GALLE, Philippe (1537-1612).
Reference : LCS-18476
Provenance: Rothschild; Baron Alexis de Rédé. Vredeman de Vries, Jan (1527-1609), Floris, Cornelis (1514-1575) et Galle, Philippe (1537-1612). - Hortorum viridariorumque elegantes & multiplicis formae… Anvers, Philippe Galle, 1583. In-folio oblong (260 x 323 mm). Titre-frontispice et 20 planches de jardins, numérotées. Edition originale. Berlin Kat. 3390 ; Hollstein XLVIII, 470-490. - [Relié avec] : du même : Jardins. Anvers, Philippe Galle, c. 1583. 6 gravures numérotées. Edition originale. - [Relié avec] : du même : Artis Perspectiuae plurium generum elegantissimae Formulae, [graphic], multigenis Fontibus, nonnullisq[ue] Hortulis affabre factis exornatae, in comodum Artificum, eorumq[ue] qui Architectura, aedificiorumq[ue] comensurata uarietate delectantur, antea nunquam impressae. Anvers, Gerardus de Jode, 1568. Titre-frontispice et 17 gravures. Edition originale. - [Relié avec] : du même : Puits et fontaines. Anvers, Philippe Galle, 1573. 24 gravures numérotées sur 12 feuillets, minime déchirure à une planche. - [Relié avec] : Floris, Cornelis. Veelderleij niewe inventien van antijcksche sepultueren diemen nou zeere ghebruijkende is met noch zeer fraeije grotissen... Anvers, Jerôme Cock, 1557. Titre et 15 planches gravées montrant des décorations fantastiques, et des monuments funéraires dans le style grotesque. Edition originale rarissime. Reliure en vélin ancien, gardes renouvelées. Titre de la première suite frotté et effrangé avec déchirures marginales et pliure et joint à la garde ; taches à quelques planches. 257 x 326 mm.
“Important album of 5 suites of 16th century Dutch engravings by Vredeman de Vries et Conerlis Floris comprising 3 engraved titles and 82 engravings of gardens, fountains and wells, and grotesque tombs. All bound in an old parchment binding». Rare première édition de cette série de 20 planches de jardins associées aux ordres dorique (6), ionique (7) et corinthien (7) : parterres, allées, cours, avec en arrières plans de beaux édifices. Beau titre gravé, sur fond architectural fleuri. Le graveur n'a pas été identifié. Some of the plates have later been copied by Hans Puechfelder and are used in his work on gardens, published in 1591. «Un cabinet de curiosités à ciel ouvert. La Nature conduite par la providence Divine est admirable, en comprenant sous la connexité des cieux, sur la superficie & estendue de la terre tant de sortes d’animaux & vegetaux. Des Vegetaux & plantes, eu esgard aux diverses parties du monde & provinces, le nombre n’en peut estre exprimé, & en une telle multitude & amas il y auroit de la confusion, n’estoit que l’art & industrie humaine, pour perfectionner la Nature a excogité divers compartimens & parterres en forme de croix, de roses, de cœur &c. quelques fois separés, quelquefois entremeslés, pour loger lesdites plantes, comme dans des chambrettes & lieux de reserve.» Daniel Loris, Le thrésor des Parterres de l’univers, 1629. Dans Le thrésor des Parterres de l’univers Daniel Loris, médecin des ducs de Wurtemberg, invoque la nécessité de perfectionner la nature en compartimentant l’espace, en concevant des «chambrettes » et « lieux de réserves » jardinés destinés à recevoir une collection de végétaux cultivés remarquables. Un « programme » pour « Jardins de plaisir, tracés en compartimans, & garnis de plantes, & arbres curieux » nous est donné, il s’apparente à celui des cabinets de curiosités. Le mot allemand Wunderkammer signifie « chambre de merveilles » et désigne les collections des princes d’Europe à partir des années 1560-1570. Ce phénomène repose sur un regain d’intérêt pour l’antique, pour les sciences naturelles et la géographie. L’organisation du jardin, telle qu’on la perçoit notamment dans les œuvres de du Cerceau, s’établit clairement selon une composition à un ou plusieurs axes de fuite. Mais cette perspective n’unifie pas la surface du jardin d’une façon tout à fait linéaire. La juxtaposition des parterres, comme le pavement des scènes de Serlio préfigurées par les peintures du quattrocento, compartimente et séquence l’espace du jardin. Le livre IV du Regole generali di architettura publié en 1537 comprend six illustrations de parterre, quatre carreaux rompus et deux dédales. Serlio produit les plus anciens modèles pour la compartimentation et l’ornementation des jardins qui nous soient parvenus. De fait, il s’intéresse à la scénographie de ces espaces et il l’écrit : Li giardini sono ancor l’oro, parte de l’ornamento della fabrica, per il che queste quatro figure differente qui sotto, sono per compartimenti d’essi giardini, ancora che per altre cose potrebbono seruire, oltra li dua Labirinthi qui adietro che a tal proposito sono. Ainsi, le jardin de la Renaissance, lieu théâtral a fortiori, est une scène d’illusion en perspective. Dans ce « site idéal », ce microcosme, espace fictif unifié par la « construction perspective », chaque chose, même la plus curieuse, peut trouver sa place. Les premiers jardins botaniques naquirent à partir du milieu du XVIe siècle et se multiplièrent sur une période assez courte. L’invention des jardins botaniques résulte d’un projet de « didactique du regard» qui s’appuie sur un dispositif scénographique. Rappelons que Daniele Barbaro, un des concepteurs de l’Horto de’i simplici de Padoue (1545), est un traducteur de Vitruve. Dans La Prattica della Perspettiva (1569), il est aussi l’auteur d’une réflexion sur la scénographie comme perspective artificielle ; mais ce n’est pas cet effet de scène qui domine à Padoue. Le jardin est compris dans un cercle de 84 mètres de diamètre, qui symbolise l’univers. À l’intérieur du cercle est inscrit un carré divisé en quatre Spaldi représentant les quatre continents d’où proviennent les plantes. Vus à vol d’oiseau, les Spaldi offrent une profusion de formes et de couleurs obtenues par le fractionnement caractéristique du Parterre de carreaux rompus – ainsi nommé par Charles Estienne dans La Maison rustique (1583). De fait, la parcelle cultivée dessinée à partir d’un pourtraict devient un ornement du jardin. Mais à Padoue, le parterre n’est pas seulement l’élément d’une architecture de jardin à effets décoratifs. Les formes particulières et diverses des Compartiments aident à reconnaître et à situer les espaces. Ainsi, la scénographie codifierait visuellement l’emplacement où se cultive telle ou telle plante et faciliterait l’apprentissage de la botanique basé sur l’identification des végétaux ; il pourrait s’agir d’une forme d’Art de la mémoire ou de méthode des lieux. L’ordonnancement mis au point à Padoue va se retrouver dans presque tous les jardins botaniques fondés aux XVIè et XVIIè siècles. Les formes élaborées dans ces institutions sont les modèles de la plupart des jardins de plantes médicinales et de plantes curieuses. Le succès de ces « théâtres de terre » encourage donc à la création de collections privées. Selon Claudia Lazzaro, ces espaces nommés giardini variati par Ulisse Aldrovandi, se distinguent des giardini volgari et des medicinali purement pratiques. Agostino del Riccio recommande de suivre le modèle du jardin des plantes de Florence pour la plantation de végétaux exotiques et nouveaux. Une série de planches exécutée pour le jardin botanique de Pise comprend certains modèles de parterres répétant exactement les motifs de Serlio. D’après Lucia Tongiorgi Tomasi cet exemple montre le transfert de l’institution vers le jardin aristocratique. En effet, cette compilation est à la base d’une autre série de dessins réalisée par Bartholomeus Memkins, et destinée au jardin de l’électeur Palatin Ludwig VII de Bavière, amateur de plantes rares. Memkins propose de cultiver une seule plante sur chaque planche du compartiment. Les travaux de Lucia Tongiorgi Tomasi et d’Ada Segré ont montré le détail de la composition des parterres. Sur la période qui nous intéresse, plusieurs traités d’architecture, d’agriculture ou d’horticulture - Serlio (1537), Estienne (1584), de Serres (1600), Vinet et Mizault (1607), Lauremberg (1631-2), Ferrari (1633) - montrent des plans destinés au dessin des parterres. Un recueil de projets de jardins dessiné par Hans Vredeman de Vries (1587) demeure un précieux témoignage et une source d’inspiration. Un seul véritable livre de modèles rédigé par Daniel Loris en 1629 est connu, il rassemble une suite de plus de deux cents motifs. Des compositions complexes, raffinées et souvent « contre-nature» qui nient parfois l’ordre régulier de la perspective artificielle. Ces modules juxtaposés à l’échelle du jardin, la virtuosité du tracé convertissaient certainement un certain aspect répétitif en une profusion de formes et de couleurs, probable allégorie de « la puissance germinative de la nature ». Aussi, la multiplicité des éléments perceptibles devait effacer et dissoudre dans la masse le dessin des motifs. De fait, la compartimentation en des carreaux garnis de plantes rares cultivées sur des planches aux formes chaotiques, est aussi, en tant que « processus sériel », un phénomène excessif. La compartimentation, outil de la pensée rationnelle, fut-elle détournée par le mouvement maniériste ? Compartir un jardin en diverses fleurs et figures. Durant la deuxième moitié du XVIe siècle les compositions à base de fleurs se caractérisaient certainement par leur légèreté. Les floraisons encore très proches de leurs parentes sauvages étaient relativement discrètes tant par la taille que par l’abondance. En résumé, l’évolution des parterres de fleurs se fait du Préau, d’origine médiévale, vers le parterre de bulbes des premières années du XVIIesiècle. Dans les années 1550 on fabrique encore les couronnes et les bouquets de fleurs sauvages dans des préaux en carreaux rompus. On y apprécie l’effet mil fleur ou esmaillé qu’évoque ici Maurice Scève et ailleurs Ronsard ou Catherine des Roches : Les jardins agencer en maints lieux tournoyés De promenoirs croisés de berseaux voutoyés, D’herbes, plantes, semés communes, & satives, Et odorantes fleurs de mille couleurs vives. À propos de la dernière suite, de Cornelis Floris: «These panels belong to a series of sixteen diverse ornament and tomb designs after drawings by one of the most prominent architects and sculptors in the Netherlands at the time, Cornelis Floris. Floris drew inspiration from the grotesque ornamentation unearthed in Roman ruins and from the work of contemporary Italian artists influenced by the motifs. These lighthearted inventions were intended to inspire craftsmen and artists”. (Met Museum). Exceptionnel ensemble à grandes marges réunissant 5 éditions originales rares et rarissimes ornées de 82 gravures du XVIe siècle sur les jardins, et leur embellissement: puits, fontaines etc… Provenances: Rothschild; Baron Alexis de Rédé.
Leuven, Uitgeverij Jan van Helmont, 2005. In-8 broché, couv. imprimé + 22 planches de reprod. en coul. du codex en feuilles, le tout sous chemise, 143 pp., bibliographie, index des noms et des armes. 1 des 500 ex. numérotés et signés par l'auteur.
Bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à gauche de la planche. Une petite tache violette du côté droit de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions musicales Paul Beuscher | Paris 1952 | 24.70 x 32.20 cm | une feuille rempliée
Edition originale de cette partition piano et chant, premier plat illustré d'un montage photographique de Jan-Mich représentant Edith Piaf de profil regardant un avion. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Flammarion | Paris s. d. [1901] | 11.50 x 18 cm | relié
Edition originale sur papier courant de la traduction française établie par E. Halperine Kaminsky. Reliure en demi toile noisette, dos lisse, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures illustrées conservées, reliure de l'époque. Ouvrage orné d'illustrations de Jan Styka. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Félix Alcan | Paris 1930 | 12 x 18.50 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Deux manques en tête et en pied du dos, petits manques marginaux sur les plats, une déchirure recollée en pied d'un mors. Rare envoi autographe signé de Jan-Topass au professeur Louis Eisenmann, étiquette de librairie encollée juste au dessus de l'envoi. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1926 P., Flammarion, sans date (1926), in 12 broché, 254 pages ; couverture illustrée en couleurs.
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P., Flammarion, sans date, in 12 relié demi-chagrin violet, dos lisse orné, tête dorée, couverture illustrée en couleurs conservée, 254 pages ; minuscules défauts à la reliure.
Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
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12 estampes du XVIe siècle en premier tirage. S.l.n.d. [Antwerp, 1570-1580]. Suite de 12 gravures originales au burin (sur 13 ?) montées sur papier fort en un album in-4. La suite a été reliée sans le feuillet de titre. Vélin ivoire rigide, triple encadrement de filets dorés sur les plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, coupes décorées, roulette dorée intérieure, tranches rouges. Reliure du XIXe siècle. Dimensions des gravures : 161 x 111 mm. Dimensions des pages : 220 x 156 mm.
Premier tirage des 12 estampes composant cette rare suite de la Passion. Superbe suite gravée par Jan Sadeler (1550-1600) d’après Marcus Geeraerts l’ancien (1530-1590) dans des médaillons ovales, dans laquelle les personnages, d’une extrême finesse d’exécution, sont intégrés dans un décor grotesque foisonnant. Elles sont l’œuvre du peintre de la reine Elisabeth d’Angleterre, Marcus Geeraerts le Vieux, né à Bruges vers 1530. Peintre et graveur, il fut élève de son père, Egbert Gérards, dans la Gilde à Bruges en 1558, puis de Martin de Vos. En 1571 il était peintre de la reine Elisabeth d’Angleterre. Les 12 planches représentent la Cène, la Prière dans le Jardin de Gethsémani, l’Arrestation du Christ, le Christ emmené par les soldats, le Christ devant Pilate, le Christ insulté par les soldats, le Portement de Croix, le Christ déshabillé par les soldats, la Crucifixion, la Descente de la Croix et la mise au tombeau, la Descente aux enfers, la Résurrection. Parmi les 4 exemplaires que nous avons pu localiser dans les collections publiques, ceux conservés à la National Gallery of Art de Washington, au Rijksmuseum d’Amsterdam et à la Bibliothèque centrale de Zurich comportent un titre et 13 planches (la planche supplémentaire représentant la Flagellation du Christ) tandis que celui du British Museum comporte 12 planches. Quant au seul exemplaire passé sur le marché public depuis le début des relevés, il fut vendu comme complet par Christie’s le 29 novembre 1991 (Manhattan College Rare book collection) et comportait un titre et 12 planches. Un chef-d’œuvre de la gravure de la fin du XVIe siècle. Une note manuscrite sur la garde indique « Suite fort rare, épreuves du 1er état ». Références: Hollstein, F W H, Dutch and Flemish etchings, engravings and woodcuts, 87-99; Hollstein, Dutch & Flemish, vol. XXI, S. 114, Nr. 207; Hollstein, Dutch & Flemish, vol. XXII, S. 124, Nr. 207; Hollstein, Dutch & Flemish, vol. VII, S. 102, Nr. 87-99; Thieme-Becker, vol. XIII, M. Geeraerts.
Très séduisant exemplaire à grandes marges conservé dans sa reliure de vélin de l’époque. Leide, Jan de Meurs, 1665. 2 parties en 1 volume in-folio de (9) ff. préliminaires y compris le titre et le frontispice, le portrait gravé et la dédicace, 290 pages, 1 carte dépl., 31 planches sur double-page, marges plus courtes à 1 planche ; 1 f. de titre, 134 pp., 1 f. d’avertissement, 3 planches sur double-page. 114 gravures en tout. Pte. restauration en marge du frontispice, pte. brulure dans la pl. p. 118. Vélin ivoire rigide, tranches jaspées, dos lisse. Reliure de l’époque. 390 x 232 mm.
Première édition française du voyage de Pierre de Goyer et Jacob de Keyser envoyés par le conseil des Indes orientales en Chine. Elle parut la même année et chez le même éditeur que l’édition en hollandais. Chadenat, I, 140 ; Tiele, p. 179, Cordier, Bibliotheca Sinica, 2341. En 1655 le gouvernement général nomma Nieuhoff intendant de l’ambassade envoyée en Chine avec Goyer et de Keyser à sa tête. Les ambassadeurs débarquèrent à Canton le 29 juillet 1655 et y restèrent jusqu’au 17 mars 1656. Ils passèrent par Nankin et durent triompher de l’hostilité des jésuites pour parvenir à être admis le 1er octobre 1656 devant l’empereur de Chine. Revenu à Canton, Nieuhoff s’embarqua pour l’Europe le 31 mars 1657. Dédié à Colbert et orné d’un grand portrait du ministre, l’ouvrage est réputé et recherché pour son iconographie très riche de la Chine connue à l époque. Outre un frontispice gravé et une grande carte dépliante de la Chine, 114 jolies gravures dont 34 sur double-page représentent ainsi les paysages, vues de ports et villes, costumes, faune et flore des contrées visitées par l’auteur. Le tirage, très encré, est superbe. Très séduisant exemplaire à grandes marges conservé dans sa reliure de vélin de l’époque. Il porte un ex-libris armorié du XVIIIe siècle et provient de la bibliothèque Johan August Gylling, 1869 avec ex-libris manuscrit et de la librairie H. P. Kraus, avec étiquette.
Leuven, Jan van Helmont, 2004. In-8, cart. éd., 448 pp., index. With a large section representing a colour facsimile of the heraldic manuscript. Carte-hommage ms de l'auteur.
Comme neuf. As new. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
1931 Bruxelles, Maurice Lambertin, 1931, in 4° broché, 84 pages ; index ; petit manque de papier angulaire à la page de titre.
Illustré de 18 planches hors-texte. ...................... Photos sur demande ..........................
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A. Wohlfeld, Jan Boterenbrood, H. Th. (Hendrik) Wijdeveld, Pieter Lodewijk (Piet) Kramer, De Hooge Brug, Richard Roland Holst, Hendrik Albertus van den Eijnde, Jacobus Wilhelmus (Jaap) (Jacobus Wilhelmus) Gidding, Jan Frederik Staal, Johannes Ludovicus Mattheus (Jan) Lauweriks, Drukkerij A. Wohlfeld, Jan Boterenbrood, H. Th. (Hendrik) Wijdeveld, Pieter Lodewijk (Piet) Kramer, De Hooge Brug, Richard Roland Holst, Hendrik Albertus van den Eijnde, Jacobus Wilhelmus (Jaap) (Jacobus Wilhelmus) Gidding, Jan Frederik Staal, Johannes Ludovicus Mattheus (Jan) Lauweriks
Reference : 64658
Amsterdam, De Hooge Brug, 1921 Softcover, Japanse binding, 26 pagina's, 33.5 x 33.2 cm.
Een exemplaar van het tijdschrift Wendingen. Nummer 6, 1921 uit de derde jaargang. Thema van dit nummer: Landhuis te Oostvoorne van architecten Vorkink en Wormser. Wendingen is het maandblad voor bouwen en sieren van architectura et amicitia. Redactie , J.G. Boterenbrood, H.A. van den Eynde, J.F. Staal, P.L Kramer, J.L.M. Lauweriks, R.N. Roland Holst, H. Th. Wijdeveld, Hoofdredacteur. Uitgegevens door Uitgevers-mschij "De Hooge brug", Druk: Drukkerij A. Wohlfeld Omslag ontwerp door Jaap Gidding.
Dibbets (Jan), sur - Rudi Fuchs, Tracy Metz, Monseigneur Philippe Verrier et Gert Jan van Rooij
Reference : 87306
(2000)
Editions du Regard Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2000 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur, sous jaquette imprimée éditeur rouge, noir et blanche, illustrée d'un vitrail de Jan Dibbets In-4 1 vol. - 80 pages
très nombreuses illustrations en couleurs des vitraux de Jan Dibbets pour la cathédrale de Blois 1ere édition, 2000 Contents, Chapitres : Rudi Fuchs : La splendeur à Blois - Tracy Metz : Entretien avec Jan Dibbets - Jean Mauret : Maitre-verrier - Gert Jan van Rooij : Photographies - Rudi Fuchs : De luister in Blois (Texte en flamand) - Biographie, liste des expositions de Jan Dibbets - Jan Dibbets est un artiste néerlandais né le 9 mai 1941 à Weert. Il vit et travaille à Amsterdam. Il est connu pour ses photographies. On peut le rattacher au Land art, mais aussi à l'Art conceptuel. On lui doit les vitraux de la cathédrale de Blois. Après des études artistiques, il est parti pour Londres et a commencé à faire des travaux conceptuels dans des parcs, des jardins et sur des plages. La reconnaissance internationale est venue avec ses perspectives corrigées en 1969. Il a fait, à l'aide de la photographie, des anamorphoses de formes simples qu'il avait dessinées sur des planchers, des murs ou tracées dans l'herbe ou dans le sable. Avec l'assemblage de plusieurs photos au sein d'un travail il fait des panoramas que lui-même range dans les lointaines vues adaptées (Dutch Horizons). L'espace et la perception jouent un rôle important dans son travail, tout comme le temps qui s'écoule. Sa réputation internationale l'a conduit à réaliser d'importantes commandes comme la création de 33 vitraux, réalisés par Jean Mauret, destinés à la cathédrale St Louis de Blois. Il a réalisé, au titre de la commande publique et à la demande de la Délégation aux arts plastiques et de la Ville de Paris, L'hommage à Arago, une série 135 médaillons de bronze placés sur le tracé du méridien de Paris. Les uvres de Dibbets utilisent souvent la photographie. Ses uvres sont exposées tant dans son pays d'origine, au DePont Museum à Tilburg et au Van Abbe Museum qu'ailleurs en Europe, par exemple au Musée d'Art contemporain de Turin ou au Tate Modern à Londres ainsi qu'aux États-Unis, par exemple dans la collection permanente du Walker Art Center de Minneapolis. En outre, la Galerie Lelong représente et expose depuis 1989 l'uvre de Jan Dibbets. (source : Wikipedia) bel exemplaire, tres frais et propre
, Pandora / Van de Velde , 2013 Hardback, folio- 420x297mm, 260 pages, 110 colour illustrations, NL / FR / English edition. New . ISBN 9789053253625.
Museum to scale 1/7 is een initiatief van Ronny Van de Velde dat vorm gegeven wordt door kunstenaar Wesley Meuris en waarin het museum naar goede postmoderne traditie subject en object is. Het Museum op schaal beslaat meer dan honderd miniatuurzalen op schaal 1/7 gewijd aan Belgische kunstenaars en Belgische artistieke bewegingen. Na een hommage aan Marcel Duchamp en diens Boite-en-valise gaat het parcours van start met de illustraties van Grandville voor de 'Reizen van Gulliver', het befaamde boek waarin schaal een belangrijke rol speelt. Thematische en historische ensembles rond het symbolisme, het surrealisme, de fotografie, de Cobra-beweging, de abstracte en minimale kunst leiden naar Belgische hedendaagse kunstenaars die elk hun eigen zaal op een originele manier ingericht hebben. De deelnemende Belgische kunstenaars zijn o.a. Jan Fabre, Jan De Cock, Pierre Alechinsky, Koen Van Mechelen, Ann Veronica Janssens, Michel Francois, en ook Angel Vergara, Johan Muyle, Luc Deleu, Luc Tuymans en vele anderen. Tekst van Jan Ceuleers en tekst van Stef van Bellingen over het werk van Wesley Meuris. Drie-talige editie. Spectaculaire lay-out met alle 110 mini-musea full page afgebeeld. Le Musee a l'echelle 1/7 est une initiative de Ronny Van de Velde mise en forme par l'artiste Wesley Meuris et ou, dans la plus pure tradition postmoderne, le musee est a la fois sujet et objet. Le Musee a l'echelle comprend plus de cent salles miniatures a l'echelle 1/7 consacrees a des artistes belges et a des courants artistiques belges. Apres un hommage a Marcel Duchamp et sa Boite-en-valise, le parcours s'ouvre sur les illustrations de Grandville pour les 'Voyages de Gulliver', ouvrage celebre dans lequel l'echelle joue un role important. Des ensembles thematiques et historiques autour du symbolisme, du surrealisme, de la photographie, du mouvement Cobra, de l'art abstrait et de l'art minimaliste introduisent le spectateur aupres d'artistes belges contemporains, chaque artiste ayant amenage sa propre salle de facon originale. Parmi les participants citons e.a. les artistes belges Jan Fabre, Jan De Cock, Pierre Alechinsky, Koen Van Mechelen, Ann Veronica Janssens, Michel Francois, et aussi Angel Vergara, Johan Muyle, Luc Deleu, Luc Tuymans et plusieurs autres. Texte de Jan Ceuleers et texte de Stef van Bellingen consacres a l'ouvre de Wesley Meuris en Neerlandais / Francais/Anglais. Lay-out spectaculaire reproduisant en pleine page les 110 mini-musees. 'Museum to Scale 1:7' was initiated by Ronny Van de Velde and designed by the artist Wesley Meuris and is a project in which, in the proper postmodern tradition, the museum is both subject and object. The 'Museum to Scale' comprises more than a hundred miniature rooms at a scale of 1:7, devoted to Belgian artists and Belgian artistic movements. After a tribute to Marcel Duchamp and his Boite-en-valise, the exhibition starts with Grandville's illustrations for Gulliver's Travels, the celebrated book in which scale plays an important part. A series of thematic and historical ensembles on Symbolism, Surrealism, photography, the Cobra movement, abstract art and Minimal Art provide a lead-in to contemporary Belgian artists, each of whom has arranged their own room in an original manner. The Belgian artists taking part include Jan Fabre, Jan De Cock, Pierre Alechinsky, Koen Van Mechelen, Ann Veronica Janssens and Michel Francois, as well as Angel Vergara, Johan Muyle, Luc Deleu, Luc Tuymans and many others. There is a written contribution by Jan Ceuleers and also a piece by Stef van Bellingen on the work of Wesley Meuris, in Dutch, French
Johannes Müller | Amsterdam 1914 | 18.50 x 27.50 cm | relié
Edition originale de la traduction anglaise. Reliure à la bradel en plein papier peigné, dos lisse, pièce de titre de maroquin noir, couvertures conservées (premier plat comportant de petites restaurations marginales), élégante reliure pastiche signée de Thomas Boichot. Hommage autographe signé de Josselin de Jong en tête du premier plat de couverture. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1975 Paris, Payot (Bibliothèque Historique, Collection "Les Religions de l'Humanité"), 1975, in 8° broché, 279 pages ; cartes et figures dans le texte ; bibliographie et index in-fine ; couverture illustrée.
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Lucien Vogel éditeur | Paris Juin 1914 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe double originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.co
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Gallimard | Paris 1972 | 15 x 22 cm | broché
Edition originale de la traduction française. Iconographie en début de volume. Dos légèrement insolé, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Stock | Paris 1968 | 15 x 21 cm | broché
Édition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grand papier. Dos et plats légèrement et marginalement éclaircis, bel exemplaire. Iconographie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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