12245 books for « james e o »Edit

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‎Lord, James (préf.)‎

Reference : 6844

‎Henri Cartier-Bresson Drawings 1970-1996‎

‎Berggruen & Zevi Limited, London, 1996. In-8, broché sous couverture illustrée, 44 pp. Introduction, by James Lord - Catalogue - List of Plates [35 n°] - Selected Exhibitions.‎


‎Avec 34 planches en noir en hors texte.Texte en anglais. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR20.00 (€20.00 )

‎Rothschild, Mrs James de‎

Reference : 3991

‎The Rothschilds at Waddesdon Manor‎

‎Collins, London, 1979. In-4, reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleur, titre doré sur le dos, 175 pp. Introduction - Baron Ferdinand de Rothschild 1874-1898 - Miss Alice 1847-1922 - James de Rotschild 1922-1957 - The National Trust - Appendices - Family Tree of the Rothschilds mentioned in this book - Index.‎


‎Nombreuses illustrations en noir et en couleur. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR22.00 (€22.00 )

‎Thompson, James et al.‎

Reference : 7752

‎Eugène Fromentinau musée des Beaux-Artsde La Rochellesuivi d'une évocation sommaire desœuvres de son père‎

‎Musée d'Art et d'Histoire de La Rochelle, 1988. In-8 format à l'italienne, broché sous couverture illustrée en couleurs, 127 pp. Introduction, par Michel Crépeau - Avant-propos, par Thierry Lefrançois - Préface, par Jacques Foucart - Biographie sommaire - Eugène Fromentin au musée des Beaux-Arts de La Rochelle - Notes - Evocation sommaire desœuvres de Pierre-Samuel-Toussaint Fromentin-Dupeux - Bibliographie sélective - ...‎


‎Nombreuses illustrations et planches en noir et en couleurs. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR26.00 (€26.00 )

‎Richard Emerson et James Holloway‎

Reference : 4022

‎Treasures of Fyvie‎

‎Scottish National Portrait Gallery, Edinburgh, 1985. In-8, broché sous couverture illustrée en couleur, 79 pp. Sponsor's Foreword - The Building of Fyvie Castle, Richard Emerson - The Collection of Paintings at Fyvie Castle, James Holloway - Catalogue of Paintings [66 n°]. - Furniture, Sculpture, Ceramics and Glass, and Arms and Armour [25 n°].‎


‎Nombreuses illustrations en noir et en couleur. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR19.00 (€19.00 )

‎James, Philip‎

Reference : 3995

‎Waddesdon Manor Buckinghamshire‎

‎Pitkin Pictorials Limited, London, 1959. In-8, plaquette agrafée sous couverture illustrée en noir et blanc,36 pp. Waddesdon Manor, a short guide by Philip James. - Foreword : Waddesdon Manor and the Rothschild Family - The National Trust : Waddesdon Manor Buckinghamshire : the description of the rooms follows the order in which they are viewed by ...‎


‎Illustrations en noir et en couleur. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR10.00 (€10.00 )

‎Ensor, James‎

Reference : 3074

‎La Mangeuse d'huîtres - Schilderijen, Aquarellen, Tekeningen... Catalogus 356 - Sotheby Mak Van Waay - 1982‎

‎Kunstveilingen Sotheby Mak Van Waay, B. V., Amsterdam, 9 et 10 novembre 1982. In-4, broché sous couverture illustrée en couleur, 112 pp. ‎


‎Nombreuses illustrations en noir in texte et 8 planches couleur en hors texte.Catalogue en néerlandais. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR28.00 (€28.00 )

‎Ensor, James‎

Reference : 2169

‎Lettres à André de Ridder‎

‎Librairie des Arts, Anvers, 1960. In-8, broché sous couverture rempliée et illustrée en noir, 78 pp. Introduction, par André de Ridder - Lettres - Table des matières.‎


‎Avec un frontispice et une planche en noir et blanc.Un des 500 exemplaires numérotés sur vergé supérieur [ex. n° 191] après 10 exemplaires sur Hollande Impérial et 30 exemplaires sur Ingres à la forme. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR38.00 (€38.00 )

‎Richards, Sir James‎

Reference : 2228

‎English Architecture‎

‎The National Trust, Weidenfeld and Nicolson, London, 1981. In-4, reliure toile éditeur sous jaquette illustrée en couleur, 288 pp. Part One : The Age of Religion : 1. Early Church Building : Saxon and Norman. - 2. Fortresses of the Feudal Age. - 3. Gothic Architecture : the Great Abbeys and Cathedrals. - 4. The Parish Church : Regional ...‎


‎Ex-dono en page de garde. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR20.00 (€20.00 )

‎Kettlewell, James K.‎

Reference : 1952

‎The Art of Henry Ossawa Tanner (1859-1937) from the collection of the Museum of African Art/Frederick Douglass Institute, Washington, D.C.‎

‎The Hyde Collection, Glens Falls, New York, 1969. In-8, plaquette agrafée sous couverture illustrée en noir, 32 pp. The Hyde Collection, Glens Falls, New York, A. Morton Raych - The Studio Museum in Harlem, New York City, William H. Burgess, III - Museum of African Art/Frederick Douglass Institute, Washington, D.C., Warren M. Robbins - The Art of Henry ...‎


‎Avec 11 illustrations en noir et blanc in et hors-texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR20.00 (€20.00 )

‎James (William) - Floris Delattre et Maurice Le Breton eds. - Préface de Henri Bergson‎

Reference : 86314

(1924)

‎William James - Extraits de sa correspondance choisis et traduits de l'anglais par Floris Delattre et Maurice Le Breton , Préface de Henri Bergson (Lettres de William James)‎

‎Librairie Payot à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1924 Book condition, Etat : Moyen broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en rouge et noir grand In-8 1 vol. - 347 pages‎


‎ 1ere traduction en français, 1924 Contents, Chapitres : Préface de Henri Bergson (6 pages) - Note des traducteurs et Introduction - 1861-1864. Etudes de chimie et d'anatomie comparée à la Lawrence Scientific School à Harvard - 1864-1866. L'Ecole de médecine d'Harvard, le voyage au Brésil - 1866-1867. Les études médicales à Harvard - 1867-1868. Dix huit mois en Allemagne - 1869-1872. Années de maladie à Cambridge ( 1872-1878. Premières années d'enseignement - 1878-1883. Mariage, préparation de la Psychologie, les collègues d'Europe - 1883-1890. La composition des Principes de psychologie, Etudes psychiques, La maison de campagne de Chocorua, la maison d'Irving street, le Congrès de psychologie de Paris, 1889 - 1890-1893. Le Précis et le Laboratoire, une année de congé en Europe - 1893-1899. William James se tourne vers la philosophie, Impressions d'un étudiant, Conférences publiques, Chautauqua - (suite). La volonté de croire, Causeries à l'adresse des maitres, la fatigue des excursions aux monts Adirondacks - 1899-1902. Deux années de maladie en Europe, la première et la seconde série des Gifford's Lectures à Edimbourg - 1902-1905. La dernière période, travaux philosophiques, Déclaration sur la croyance religieuse - 1905-1907. En Italie et en Grèce, le Congrès de philosophie à Rome, les conférences à l'université de Stanford en Californie, James abandonne sa chaire de Harvard - 1907-1909. Les Hibbert Lectures à Oxford - 1910. Les derniers mois, la fin - Appendices : Lettre à une étudiante - Refus de contribuer à l'érection d'un monument à Schopenhauer - Liste chronologique des oeuvres de William James - Index - William James (né le 11 janvier 1842 à New York, mort le 26 août 1910 à Chocorua dans le New Hampshire) est un psychologue et philosophe américain, fils d'Henry James Sr., le disciple de Swedenborg, et frère aîné d'Henry James, romancier célèbre. James est un des membres les plus éminents de la génération de penseurs qui ont contribué à donner à la pensée américaine sa propre tonalité. Il est non seulement un des fondateurs du pragmatisme mais également de la philosophie analytique. William James est souvent présenté comme le fondateur de la psychologie en Amérique. Son premier grand livre, publié en 1890, est intitulé The Principles of Psychology (Les principes de psychologie). Ce livre présente une psychologie basée sur l'évolutionnisme et axée sur la réflexion philosophique. La théorie de la signification constitue le cur du pragmatisme de James. Pour lui, il est inutile et vain de tenter de se focaliser sur les définitions abstraites. Pour comprendre un énoncé, il faut en étudier les conséquences, les soumettre à expérience pour tester leur vérité, prise au sens d'adéquation à la réalité. James accorde une place importante à la croyance, c'est-à-dire à des hypothèses qu'on va chercher à tester pour vérifier leur vérité. Pour lui, les croyances ont un effet d'entraînement. En conséquence, ce qui intéresse James dans la religion, ce n'est pas la doctrine en elle-même mais les conséquences pratiques de la croyance en cette doctrine. - William James (né le 11 janvier 1842 à New York, mort le 26 août 1910 à Chocorua dans le New Hampshire) est un psychologue et philosophe américain, fils d'Henry James Sr., le disciple de Swedenborg, et frère aîné d'Henry James, romancier célèbre. James est un des membres les plus éminents de la génération de penseurs qui ont contribué à donner à la pensée américaine sa propre tonalité. Il est non seulement un des fondateurs du pragmatisme mais également de la philosophie analytique. William James est souvent présenté comme le fondateur de la psychologie en Amérique. Son premier grand livre, publié en 1890, est intitulé The Principles of Psychology (Les principes de psychologie). Ce livre présente une psychologie basée sur l'évolutionnisme et axée sur la réflexion philosophique. La théorie de la signification constitue le cur du pragmatisme de James. Pour lui, il est inutile et vain de tenter de se focaliser sur les définitions abstraites. Pour comprendre un énoncé, il faut en étudier les conséquences, les soumettre à expérience pour tester leur vérité, prise au sens d'adéquation à la réalité. James accorde une place importante à la croyance, c'est-à-dire à des hypothèses qu'on va chercher à tester pour vérifier leur vérité. Pour lui, les croyances ont un effet d'entraînement. En conséquence, ce qui intéresse James dans la religion, ce n'est pas la doctrine en elle-même mais les conséquences pratiques de la croyance en cette doctrine. Un autre point important chez James est la notion de « tempérament ». Pour lui, les tempéraments doux vont vers l'idéalisme tandis que les esprits forts sont plus matérialistes, plus tournés vers la nouveauté, le risque. Si James reproche aux matérialistes leur manque de spiritualité et si, pour lui, un pragmatiste est plutôt doté d'un tempérament médian, il n'en demeure pas moins que pour lui, la nouveauté et l'imagination sont importantes. Sa théorie de l'histoire n'est pas celle des lois éternelles de la nature mais celle qui est faite par les hommes, notamment par les grands hommes. De même ce qui est important dans la liberté, pour lui, c'est la possibilité de faire du nouveau, du non nécessaire. Dans sa conception, l'homme coopère avec Dieu pour créer un monde en évolution permanente. infimes déchirures sur les bords des plats, très nombreuses rousseurs sur la couverture, la couvrture reste en état correct, intérieur propre, papier un peu jauni, trou de ver dans la marge supérieure en début d'ouvrage, cela ne concerne pas le texte qui est complet mais le bibliophage a fait son chemin marginalement sur le coin supérieur et un autre chemin sur le haut des pages, l'exemplaire serait sinon en bon état.‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR15.00 (€15.00 )

‎[André-Pierre Arnal] - ‎ ‎James Sacré & André-Pierre Arnal‎

Reference : DMI-1123

(2022)

‎Un Rectangle de toile peinte est là Édition originale de ce livre d'artiste avec un fragment de toile peinte par l'artiste et des poèmes de James Sacré. Exemplaire unique. ‎

‎« Il y a ce rectangle de toile, couleur et forme pas prévues Qu'on peut regarder à l'envers comme à l'endroit. Je regarde. » James Sacré MAGNIFIQUE LIVRE D'ARTISTE DE JAMES SACRÉ ET ANDRÉ-PIERRE ARNAL COMPOSÉ D'UN FRAGMENT AUTHENTIQUE DE TOILE LIBRE DE L'ARTISTE ET DE POÈMES DE L'AUTEUR EXEMPLAIRE ABSOLUMENT UNIQUE James Sacré & André-Pierre Arnal, Un Rectangle de toile peinte est là, Vallon Pont d’Arc, Éditions du Bourdaric, collection D’un jardin à l’autre vol. 48, 2022, 27x29cm. Édition originale. Exemplaire unique. Un beau volume sous papier crystal dans un coffret en toile rouge de l’éditeur, couvertures imprimées à rabats, en feuilles, 8 doubles f. + 1 fragment de toile originale de l'artiste de 57,5x28cm. Ce livre d'artiste, le 48e de la collection "D'un jardin à l'autre", a été publié par Renaud Vincent pour les Éditions d'art de la Galerie du Bourdaric le 21 mars 2022 à Vallon Pont d'Arc. Il est composé de poèmes de James Sacré, imprimés en édition originale sur vélin d'Arches expression crème 270g, d'un fragment de toile de l'année 1973 de l'artiste André-Pierre Arnal et de deux photographies documentaires prisées et tirées par Jean-Luc Meyssonnier. Il a été tiré de cet ouvrage 17 exemplaires. Tous sont numérotés et signés par l'artiste et l'écrivain. Le nôtre est justifié à la mine de plomb 2/17. * ** Né en 1939, à Nîmes, André-Pierre Arnal vit et travaille à Paris. Son travail est reconnu dès les années 1966-1968 alors qu'il joue un rôle fondateur au sein du groupe Supports/Surfaces. Novateurs, les artistes de ce groupe s'inscrivent en rupture avec l'art figuratif ainsi que son utilisation trompe-l'oeil de la perspective qu'ils qualifient de trompe-l'esprit. Ils affirment la fonction non représentative de la peinture et orientent leurs recherches sur les deux éléments constituants de l'œuvre : le support et l'inscription de la couleur. Ainsi, dès ses débuts l'artiste André-Pierre Arnal s'engage dans le domaine du signifiant en art. Depuis les années 1980, son œuvre s'est complexifiée grâce à des recherches et expérimentations toujours inventives où parti pris matérialiste, empreinte de l'aléatoire et curiosité tiennent une place majeure. Féru de musique et de littérature, André-Pierre Arnal considère la peinture comme une sorte d'écriture - où le support est abstrait qu'une feuille blanche pour l'écrivain et la page de livre pour le lecteur. Son œuvre se veut une série de variations picturales, violente et subtile, autour de la réflexion de Victor Hugo : "Les mots sont les passants mystérieux de l'âme". Après son exposition remarquée au musée Fabre de Montpellier en 2021, puis tout récemment sa présence aux côtés de Simon Hantaï dans l'exposition "Au coeur de l'abstraction", à la fondation Maeght en 2022, les contributions de André Pierre ARNAL au monde du livre d'artiste se poursuivent avec l'ouvrage que nous présentons, mais également avec une suite inédite de poèmes donnés par Vénus Khoury Ghata, poétesse libanaise et francophone, aux Éditions du Bourdaric. Le livre édité par Renaud Vincent nous replonge au tout début de la période post-Support/Surface de l'artiste avec un fragment authentique de toile libre de l'année 1973 sous forme de pliage saturé formé à l'époque par Arnal et formant la plus petite unité de toile de l'artiste, soit 28x57,5 cm ici. Chaque exemplaire du livre contient un fragment unique. Les 17 exemplaires édités sont autant de pièces découpées de la toile originale. Les photos de Jean-Luc Meyssonnier permettent au lecteur-spectateur de se figurer à quelle part de l'oeuvre totale son "morceau" appartient. Ce jeu de fragmentation et de pliage de l'oeuvre d'art ne pouvait qu'attirer la plume du poète James Sacré, lui aussi né en 1939, et dont les trois parties du poème constituent à la fois une lecture approfondie de l'oeuvre d'Arnal, aux confins de l'ekphrasis et de la transposition d'art, mais aussi une réflexion sur la poésie et le faire poétique : James Sacré souligne d'abord le procédé d'Arnal et relève qu'une telle méthode de fragmentation de la toile n'aurait pas été possible avec une peinture figurative, à part peut-être avec une oeuvre de Chagall, des paysages de primitifs italiens ou "des parois de pierre animées de pétroglyphes" comme on en trouve à Capitol Reef dans l'Utah. Et le poème, interroge James Sacré ? "Mais découper un poème ? / Plier, déplier un poème". L'art du découpage et du collage de poème donne plus à voir qu'à lire, "mais que voit-on?". Des couleurs, au premier chef, et surtout celles de la nature comme source d'inspiration du fragment de toile d'Arnal, mais aussi la géométrie naturelle qui guide la confection du rectangle de toile. Et la technique qui conduit ce rectangle de toile à devenir peinture, interroge Sacré ? Au diable la technique ! "L'étonnement devant ce qui se donne / en matière pénétrée de couleurs", voilà tout ce qui compte. Dans la deuxième partie du poème, James Sacré interroge le revers de la toile qui, dans une savante conception de mise en page de Renaud Vincent s'affiche en regard du poème, sous nos yeux contemplatifs : "Au revers d'un paysage (tu le regardes, là devant) [...] un poème aussi décoloré, confus / sans dessin qu'on pourrait facilement repérer / comme ce qu'on peut voir / au verso d'une toile dont le recto / fut imbibé de rouge ou de sombre vert / par des pliages qui affirment des formes." Si le verso d'un poème ne fait pas sens et ne ressemble qu'à une masse d'encre confuse, illisible, le verso de la toile d'Arnal est un nouveau poème parfaitement lisible qui fait jaillir, ici et là, "une touffe de bougainvilliers rouge dans le vert de son feuillage / qui enjambe le mur d'un cimetière / un peu à l'écart du quartier de Douar Jdid / A Sidi Slimane au Maroc". Le poème devient alors réflexif et la toile d'Arnal, son recto comme son verso, engage Sacré sur une réflexion quant à l'envers et l'endroit de la poésie : "l'énigme de son dire redouble celle de son faire / redouble l'énigme de son envers / qui te permet de la récrire encore" ou encore "D'un envers à son endroit, ou l'inverse / d'un recto à son verso, du monde vu de face / A ce qu'il est derrière son dos, / On ne sait pas trop ce qui se passe. Du moins peut-on dire cela / et tenter d'en montrer l'énigme. / Le monde est ce qu'il est / mais pas forcément ce qu'on en voit." La dernière partie du poème s'attache au tout que forment la quinzaine de fragments découpés. Si la géométrie d'ensemble saute au yeux, l'oeuvre recèle encore bien des énigmes, permettant la rêverie et la divagation du poète, notamment celle "de diverses taches qui sont comme des traces / d'anciens travaux, ou de maladresse quand on a manipulé la toile. / Évidemment que ça n'est pas ça du tout / Mais le sourire de la Joconde aussi / N'est qu'un peu de peinture sur un bout de toile." Le poème reprend alors son chemin sur la route de la perception des énigmes des rectangles de toile peinte : "On voit du ciel dans l'eau d'un boire / en bord de route pas loin d'Angers" ou encore "un souvenir des coquelicots de Monet / alors qu'au revers on dirait plutôt / le rouge écorché de Soutine". Ainsi va la toile-poème : "L'histoire de la peinture ainsi continuée / dans ses gloires déconstruites / mais des reprises de savoir-faire maintenus." Une nouvelle fois, la rencontre entre l'artiste peintre et le poète, d'un jardin à l'autre, est une invitation à la rêverie plastique et poétique dans un va-et-vient constant entre la toile et le texte. Jubilatoire ! Magnifique exemplaire en parfaite condition, absolument unique, fort désirable. État de fraicheur irréprochable. Envoi soigné, assuré. Livraison en main propre possible sous condition. ‎


Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

Phone number : 06 22 83 47 26

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Charles James Fox‎

Reference : CZC-10644

‎History of the early part of the reign of James the Second‎

‎with and introductory chapter bythe right hon. Charles James Fox reliure cartonnée, 30x20, beau papier, bel état intérieur, complet de son frontispice, 273pp + fragments et appendice, dont correspondance entre Louis XIV et Barillon entre 1684 et 1685, etc.. London, printed for William Miller, 1808. Edition Originale. "History of the Early Part of the Reign of James the Second" is a historical work written by Charles James Fox, a prominent British statesman and politician of the late 18th century. The book was published posthumously in 1808 and focuses on the early years of the reign of James II of England, who ruled from 1685 to 1688. In this work, Fox provides a detailed account of the political and religious developments during James II's reign. He examines the policies and actions of the king, including his attempts to strengthen Catholicism in England and his clashes with Protestantism and Parliament. Fox also discusses the controversies surrounding James II's attempts to expand his royal prerogative and his strained relationship with the English nobility and the Church of England. Fox's "History of the Early Part of the Reign of James the Second" offers a critical perspective on the reign of James II and the events leading up to the Glorious Revolution of 1688. It provides insights into the political, religious, and constitutional issues of the time, as well as the broader implications for the balance of power between the monarchy and Parliament. The book is regarded as an important historical account and a valuable source for understanding the political and religious conflicts of 17th-century England.‎


Livres & Autographes - La Madeleine

Phone number : 06 35 23 34 39

EUR135.00 (€135.00 )

‎ COOK, Capt. James, Captain James King. ‎

Reference : 4671

‎Voyage to the Pacific Ocean. 2nd Edition ‎

‎ " undertaken by the command of his majesty, for making discoveries in the Northern Hemisphere. Performed under the direction of captains Cook, Clerke and Gore, in his majesty's ships the Resolution and Discovery; in the years 1776, 1777, 1779, and 1780. IN THREE VOLUMES : Volume 1- 3; Vol. I and II written by Captain James Cook; Published by Order of the Lords Commissioners of the Admiralty, Vol. III by Captain James King . Second edition."‎


‎Ces trois livres sont brochés , ils sont à relier , un manque de pages de garde sur un tome ,beaucoup de cartes et croquis , photos sur demande ‎

Phone number : 06 12 23 97 16

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎LAWRENCE James‎

Reference : 76800

(1817)

‎[FEMINISME] Le Panorama des boudoirs, ou l'Empire des Nairs‎

‎ChezPigoreau, Paris 1817, 9,5x16cm, 4 volumes reliés.‎


‎Édition originale d'une insigne rareté, avec une nouvelle page de titre à l'adresse de Pigoreau et enrichie de quatre frontispices rehaussés en couleur, dont un dépliant. Reliures de l'époque en demi basane blonde, dos lisses ornés de fers et filets dorés et de pièces de titre et de tomaisons de maroquin rouge, plats de papier à la cuve. Un infime trou de ver en queue du premier tome, dont le mors de tête du plat supérieur est très légèrement fendu. Ce long roman, maquillé en recueil érotique, est en réalité l'un des plus importants textes féministes du début du XIXè siècle. Malgré une aventure éditoriale chaotique et fortement entravée par la censure, cette uvre d'un jeune Anglais, se réclamant de Mary Wollstonecraft, exercera une influence considérable sur quelques-uns de plus éminents esprits européens, dont Percy et Mary Shelley, Goethe, Schiller, Aaron Burr, Thomas Carlyle et Flora Tristan. Bien que parue en trois versions, allemande, française et anglaise, chacune étant une réécriture complète de l'ouvrage par l'auteur polyglotte, cette uvre majeure et subversive fut très rapidement supprimée des catalogues de librairie, et son auteur disparut de l'histoire littéraire de 1840 à la fin des années 1970. «?Aujourd'hui, après avoir été longtemps connu des seuls spécialistes de Shelley, Lawrence commence à bénéficier d'une visibilité au sein des travaux sur le radicalisme anglais. [...] Il figure en bonne place parmi les radicaux féministes anglais des années 1790 et [...] est considéré comme l'un des précurseurs, avec Shelley et Owen, de la lutte contre le mariage et pour la réforme sexuelle.?» (Anne Verjus, Une société sans pères peut-elle être féministe?? L'Empire des Nairs de James H. Lawrence.) Malgré la douzaine de rééditions parues au XIXè siècle, nous n'en avons trouvé aucune sur le marché international. Lawrence est à peine âgé de dix-huit ans lorsqu'il rédige «?un premier essai sur le «?système?» des Nairs, une société matrilinéaire située sur la côte de Malabar, en Inde, dans laquelle le mariage et la paternité ont été abolis. Le jeune universitaire adjoint à sa présentation une critique sévère des pratiques sexuelles et matrimoniales de ses contemporains. Un de ses professeurs communique le manuscrit à Christoph Wieland, éditeur de la revue Der Neue Teutsche Merkur. Après l'avoir encouragé à le traduire en allemand, celui que l'on nomme le «?Voltaire allemand?» l'édite (anonymement) dans sa revue en juin 1793, à Weimar. Le texte est aussitôt traduit par le groupe des radicaux du Newgate, qui le publient sans son aval et sans nom d'auteur une première fois en 1794, puis avec son nom en 1800.?» Enthousiasmé par le succès d'estime rencontré par son essai, James Lawrence compose en 1800 une première version romanesque illustrant ses thèses. À la lecture du manuscrit, Schiller l'aurait incité à la réécrire en allemand. C'est donc dans cette langue que paraît, en 1801, la première version du roman sous le titre Das Paradies der Liebe puis en 1809, sous un nouveau titre?: Das Reich der Nairen or Das Paradies der Liebe. Présent en France en 1803, James Lawrence est fait prisonnier comme la plupart des Anglais, puis est détenu à Verdun pendant plusieurs années. C'est dans ces circonstances qu'il entame la réécriture complète de son roman directement en français. Il l'intitule L'Empire des Nairs, ou Le Paradis de l'amour et le fait publier, en 1807, par Maradan, l'éditeur de Wollstonecraft et de Hays. À peine sorti de presse, l'ouvrage, considéré comme «?attentatoire aux bonnes murs?», est saisi par la police. Les exemplaires sont restitués sous la condition qu'on exporterait l'édition entière. L'ouvrage est alors diffusé en Allemagne et en Autriche où il a pour ambassadeur Johann Wolfgang von Goethe, dont Lawrence fit la connaissance en 1799, lorsque le poète romantique l'invita à Weimar pour la représentation du Mahomet de Voltaire. Dans son recueil de souvenirs, Frédéric Soret rapportera la critique de Goethe sur l'ouvrage de son ami?: «?C'est selon Goethe le travail d'un fou de beaucoup d'esprit et il ferait beaucoup plus de cas des écrits de Lawrence, si sa manière d'envisager les rapports entre les sexes n'était pas devenue chez lui une espèce d'idée fixe.?» (Soret, Conversations avec Goethe, 1932) L'amitié entre les deux hommes ne sera pas affectée par cette «?obsession?» et dans une lettre de 1829 à Thomas Carlyle, Goethe évoque encore Lawrence, comme étant «?un ami de longue date?». Goethe fut par ailleurs le commanditaire du seul portrait de J. Lawrence, réalisé à la demande du philosophe par Johann Joseph Schmeller. La première version anglaise, «?translated, with considerable alterations, by the author?» paraît à Londres en 1811 avec un titre bien plus explicite que la version française?: The Empire of the Nairs; or, The Rights of Women. An Utopian Romance, in Twelve Books. Elle sera rééditée en 1824 avec un nouveau titre?: The Empire of the Nairs; or, the Panorama of Love, Enlivened with the Intrigues of Several Crowned Heads; And with Anecdotes of Courts, Brothels, Convents, and Seraglios; The Whole Forming a Picture of Gallantry, Seduction, Prostitution, Marriage, And Divorce in All Parts of the World. En France, ce n'est qu'en 1814, après la chute de Napoléon, que Maradan est autorisé à écouler ses exemplaires rapatriés de l'étranger, dont il remplace la page de titre, précisant toutefois en pied, la date de l'achevé d'imprimer de 1807 (erronément imprimé «?1087?»). Même après la levée de la censure, la diffusion fut si modeste qu'aujourd'hui, il ne subsiste aucun exemplaire à la date de 1807, et seulement quelques rares 1814 dans les grandes institutions européennes et américaines. De fait, en 1817, Pigoreau, l'héritier de Maradan, détient encore suffisamment d'exemplaires pour envisager une nouvelle remise en vente. (Quérard annonce 1816, mais il s'agit manifestement d'une erreur) Il décide pour cela d'utiliser une ruse. Reprenant les exemplaires originaux de 1807, il change à nouveau la page de titre et la remplace cette fois par un titre très suggestif?: Le Panorama des boudoirs qu'il illustre en frontispices de quatre gravures érotiques superbement rehaussées en couleur, insinuant ainsi une tout autre littérature. L'édition originale française parut donc sous trois pages de titre distinctes en 1807, 1814 et 1817. Après une interdiction, une expatriation, une première remise en vente, ce n'est qu'au prix de cet ultime subterfuge que furent écoulés les derniers exemplaires de cet ouvrage trop progressiste. Cette idée sera d'ailleurs déclinée sous plusieurs formes puisqu'en 1831 le Baron d'Hénin publie une refonte du texte en 16 pages, avec un titre aux accents religieux?: Les Enfants de Dieu ou La Religion de Jésus réconciliée avec la philosophie (il annonce d'ailleurs dans la préface que des exemplaires de l'édition originale sont toujours disponibles). Puis, en 1837, le roman est à nouveau modifié par l'auteur et paraît cette fois sous un titre de vaudeville?: Plus de maris?! plus de pères?! ou Le Paradis des enfants de Dieu. En cinquante ans, cet ouvrage multiforme connait au moins sept parutions en français - et une douzaine dans les trois langues. Cependant, nous n'avons pu référencer que deux exemplaires passés en vente de l'édition française (une de 1814 et une de 1817), présentés comme des ouvrages érotiques à la suite de la notice fautive de la Bibliographie des ouvrages relatifs à l'amour de Gay-Lemonnyer. Ces péripéties éditoriales autant que la disparition quasi complète des exemplaires et l'effacement de l'auteur de l'histoire littéraire témoignent des obstacles dressés devant l'émergence d'une conscience qui allait devenir l'enjeu des siècles à venir?: la lutte nécessaire et toujours inachevée pour l'égalité et le droit des femmes. Si la France choisit d'interdire tout simplement l'ouvrage en invoquant son immoralité et le danger qu'il représente pour les lecteurs français, l'Angleterre, déjà aux prises avec les écrits de Mary Wollstonecraft, autorise la publication de ce nouveau brûlot, mais déchaîne la critique. En 1811, «?The Critical Review lui consacre plusieurs pages mordantes, s'attendant à ce que ses lecteurs, et surtout ses lectrices, rejettent avec «?dégoût et indignation?» un texte aussi «?absurde, improbable, indécent, immoral et seulement bon pour le feu?» (Anne Verjus, ibid.). Ainsi, grâce à ces manuvres, l'ouvrage passera à peu près inaperçu du grand public, malgré une diffusion internationale. La circulation du roman de Lawrence sera donc confidentielle, mais son influence sera pourtant majeure dans les milieux intellectuels progressistes. Le premier converti est sans doute le gendre de Mary Wollstonecraft, le poète Percy Shelley. Une partie de son uvre, en particulier Queen Mab (1813), Laon and Cythna (1817) et Rosalind and Helen (1819), serait inspirée de cette apologie de l'amour libre et même plus particulièrement de quelques scènes du roman. Peut-être en conseille-t-il la lecture à sa nouvelle conquête et future épouse, la très jeune Mary Godwin Wollstonecraft qui cite l'uvre dans son journal du 27 septembre 1814 et dans sa liste de lecture de 1814, c'est-à-dire juste après sa rencontre avec Percy Shelley. Loin de partager l'enthousiasme de son jeune compagnon, la jeune fille de 17 ans se révèle très critique envers l'ouvrage de James Lawrence. La future Mary Shelley n'est pas moins profondément bouleversée par ce roman qui aura une importance majeure dans l'écriture de son chef-d'uvre, Frankenstein. Dans son étude, The «?Paradise of the Mothersons?»?: «?Frankenstein?» and «?The Empire of the Nairs.?», publiée dans The Journal of English and Germanic Philology, (1996), D.S. Neff analyse l'influence de James Lawrence sur Mary Shelley et montre «?qu'une lecture attentive des deux romans révèle même que Mary a emprunté plusieurs éléments d'intrigues (key plot) et thématiques aux Nairs. Elle s'est néanmoins sentie obligée d'écrire un anti-Nairs, une monstrueuse parodie de la romance de Lawrence tandis que Percy Shelley utilisait les Nairs comme source d'inspiration de ses poèmes composés durant l'écriture de Frankenstein.?» Anne Verjus, pour sa part, relate les nombreux autres effets de cette publication?: «?L'Américain Aaron Burr, héros de la guerre d'indépendance, concurrent de Jefferson lors de l'élection présidentielle de 1800, admirateur lui aussi des principes éducatifs de Wollstonecraft, raconte dans son journal de voyage que, lors de son séjour à Londres, il s'est fait prêter le livre par son ami [le philosophe William] Godwin, [père de Mary Shelley et ami de Lawrence depuis 1796]. Après avoir passé deux nuits à le lire, il s'est rendu au domicile de Lawrence pour en discuter, concluant qu'ils seront certainement amenés à se revoir. Lawrence, flatté d'une visite aussi prestigieuse, raconte que l'Américain l'a invité à retourner avec lui aux États-Unis pour y établir une république nairaise. En revanche, Burr l'ayant recommandé à son amie Mme Thorpe, se voit répondre que, même si elle admire la libéralité de ses idées sur l'éducation des femmes, c'est là un «?abominable?» système et que certainement personne ne voudra de tels droits pour les femmes. Quelques années plus tard, à la toute fin de l'année 1828, Le Lion de Richard Carlile publie de larges extraits de l'introduction à l'Empire des Nairs. D'après les spécialistes de Carlile, celui-ci aurait lu L'Empire des Nairs bien avant d'en publier ces extraits. Beaucoup de détails laissent penser que Richard Carlyle s'est inspiré de Lawrence en écrivant son livre Every Woman's book en 1826.?» Enfin, c'est sans doute sur les féministes saint-simoniennes que James Lawrence exercera la plus grande influence, laissant dans leurs écrits de nombreuses traces relevées par Anne Verjus. Ainsi en 1832, Suzanne Voilquin décrit longuement L'Empire des Nairs dans L'Apostolat des femmes; en 1833, Claire Demar cite le roman à quatre reprises dans Ma loi d'avenir. De même, en 1834, Mme E.A. Casaubon dans Le Nouveau Contrat social, ou Place à la femme, reproduit un large extrait de la version de 1831 Les Enfants de Dieu, tandis que Flora Tristan invoque Lawrence dans une pétition de 1838 (Pétition contre la peine de mort, À messieurs les membres de la chambre des députés). Malgré l'ascendance de sa pensée sur les premiers féministes et, généralement, sur les plus éminents représentants de l'intelligentsia européenne progressiste du début du XIXè siècle, on ne connait presque rien de ce précoce défenseur du droit à l'éducation des filles et de la reconnaissance de l'égalité homme-femme. L'histoire éditoriale hors du commun de cette uvre, de son interdiction première à ses travestissements multiples et à sa lente mais inexorable disparition des mémoires, est sans doute aussi instructive que les idées défendues par son auteur sur le pouvoir phallocrate à l'uvre dans la société. Et l'on aurait tort de croire que 200 ans après sa publication, le texte de James Lawrence, prônant la désacralisation du mariage, de la filiation et des relations amoureuses, a perdu de sa puissance subversive?: «?Eh bien?! que ce mot père soit rayé de nos institutions, et que marqué d'un signe de réforme, ainsi que ceux de mari et d'époux, il ne soit conservé dans nos dictionnaires que pour expliquer les usages et nous rappeler la simplicité des siècles passés. Que tout enfant soit laissé aux soins de sa mère, et qu'il n'ait d'autre héritage que celui qu'elle lui transmettra. Que toute femme soit affranchie sans restriction de la domination des hommes, et puisse exercer tous les droits dont ils ont exclusivement joui jusqu'ici. Qu'il lui soit permis de changer d'amans à son gré, et de les prendre indistinctement dans toutes les classes de la société.?» Son long discours préliminaire de soixante et onze pages, notamment, s'avère être un véritable essai exposant son projet d'une société égalitaire et dénonçant un système où, malgré une parfaite parité intellectuelle, la femme est élevée plus qu'éduquée afin de la maintenir dans une infériorité artificielle?: «?Les divers ouvrages à l'aiguille [...] ne feront jamais prendre un grand essor à ses idées. Elle ne voit d'autres hommes que ses maîtres. [...] Le moment arrive enfin où elle fait son entrée dans le monde; mais la liberté, si chère à tous les curs, fuit devant elle comme une ombre?: elle existe encore moins pour elle que pour un garçon de dix ans. [...] l'homme a décidé en maitre absolu que l'ignorance consoliderait son autorité [...] Or, si elle naît avec autant d'esprit que lui, pourquoi la femme obéirait- elle à l'homme, plutôt que l'homme à la femme?? Il est vrai que, selon Moïse, elle ne fut regardée, durant les premiers siècles, que comme la servante de son orgueilleux associé?: mais si au lieu d'avoir été rédigée par un homme, la bible l'eût été par une femme, on aurait pu avoir une narration bien différente.?» Exceptionnelle et rarissime édition originale de l'une des premières grandes uvres féministes du XIXè siècle, qui, malgré son influence considérable, fut parfaitement effacée de l'histoire littéraire et intellectuelle. Le peu d'exemplaires subsistant dans les grandes institutions étant pour la plupart classés au rayon des livres érotiques?! - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎JAMES Henry‎

Reference : 3409

(1929)

‎Le tour d'écrou, suivi de: Les papiers de Jeffrey Aspern. Traduit de l'anglais par M. Le Corbeiller. Préface de Edmond Jaloux‎

‎ 1929 Paris, Librairie Stock, Delamain et Boutelleau éditeurs, 1929, volume in-8 broché, XI-342 pages, exemplaire numéroté sur vélin d'Alfa teinté, très bon état‎


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‎CURWOOD James-Oliver‎

Reference : 6181

(1934)

‎Rapide Eclair (swift Lightning). Traduit par Louis Postif‎

‎ 1934 Paris, Hachette, 1934, volume in-12 broché, 251 pages, couverture orange illustrée, collection "les meilleurs romans étrangers", très bon état‎


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‎CAIN James‎

Reference : 3534

(1945)

‎Sérénade. Traduit de l'anglais par Sabine Berritz‎

‎ 1945 Paris, NRF Gallimard, septembre 1945, volume in-12 broché, 250 pages, édition originale, bon état‎


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‎CLEUGH James‎

Reference : 1807

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‎Le premier masochiste Sacher Masoch .‎

‎ 1969 Paris, Trésisse, 1969, volume in-8 broché, 252 pages, tache sur la derniere de couverture, sinon bon état‎


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‎EASTWOOD James‎

Reference : 6300

(1957)

‎La femme à abattre. Traduit de l'américain par Minnie Danzas‎

‎ 1957 Paris, NRF Gallimard, 1er juillet 1957, volume in 12 cartonnage éditeur sous jaquette noire blanche et jaune portant titre, 246 pages, collection "série noire" n° 378, présence du catalogue in fine, édition originale française et premier tirage, très bon état‎


‎Le catalogue in fine avec le n° à paraître ne se trouve que dans les premier tirages, ‎

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‎MARSHALL Raymond (pseudonyme de James Hadley CHASE)‎

Reference : 6255

(1948)

‎N'y mettez pas votre nez. Traduit de l'américain par Janini Roux-Plenot‎

‎ 1948 Paris, Edition du Scorpion, 1948, volume in-12 broché, 300 pages, couverture rouge et noire, collection "les romans noirs", très bon état‎


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Reference : 6256

(1949)

‎Y'a pas de justice. Traduit de l'américain par Hélène Hécat‎

‎ 1949 Paris, Edition du Scorpion, 1949, volume in-12 broché, 201 pages, couverture rouge et noire, collection "les romans noirs", très bon état‎


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‎JAMES E. O.‎

Reference : 6222

(1959)

‎La religion préhistorique. Paléolithique-Mésolithique-Néolithique. Préface de R. Lantier, traduction de S.M. Guillemin‎

‎ 1959 Paris, Payot, 1959, volume in-8 broché, 316 pages non coupées, à l'état de neuf‎


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Reference : 6213

(1922)

‎Les origines de la famille et du clan. traduction française de la Ctsse J. de Pange‎

‎ 1922 Paris, librairie orientaliste Geuthner, 1922, volume grand in-8 broché, 185 pages, très bon état‎


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‎FRAZER James George‎

Reference : 6173

(1925)

‎Le trésor légendaire de l'humanité. Feuilles détachées du Rameau d'Or par Lady Frazer‎

‎ 1925 Paris, Librairie de France, 1925, volume in-8 broché, 311 pages, très bon état‎


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‎STEVENSON-HAMILTON Major James‎

Reference : 5932

(1912)

‎Anilal life in Africa, with a forword by Theodore Roosevelt. Illustrated.‎

‎ 1912 London, William Heinemann, 1912, volume in-8 reliure cartonnage rouge de l'éditeur, XVII-539 pages, 6 cartes dont 2 dépliantes, et 50 planches photographiques hors texte, très bon état‎


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