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- author : jacques aupick 1789 1857 general homme politique beau pere de baudelaire ministre plenipotentiaire a constantinople
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Jacques Aupick (1789-1857), général, homme politique, beau-père de Baudelaire, ministre plénipotentiaire à Constantinople.
Reference : 014911
Lettre signée
Jacques Aupick (1789-1857), général, homme politique, beau-père de Baudelaire, ministre plénipotentiaire à Constantinople. L.S., [Turquie], 5 août 1848, 1p in-4. Il répond à une dame, Honorée Soulier, qui cherche des nouvelles de son fils, Louis Soulier parti à Constantinople. Selon Aupick, il a quitté Constantinople quatre ans plus tôt pour la Valachie (Roumanie actuelle) puis Vienne. Et depuis, plus de nouvelles. [362]
Jacques Aupick (1789-1857), général, homme politique, beau-père de Baudelaire, ministre plénipotentiaire à Constantinople.
Reference : 017001
Lettre autographe signée à Adolphe Barrot
Jacques Aupick (1789-1857), général, homme politique, beau-père de Baudelaire, ministre plénipotentiaire à Constantinople. L.A.S., Paris, 8 juin 1853, 2p 1/2 in-8. A Adolphe Barrot (1801-1870), diplomate, homme politique. Belle lettre de recommandation pour Ernest Breton (1812-1875), peintre et archéologue. « Mr Breton est un jeune savant, lauréat de l'académie des inscriptions [en 1839], membre de précieuses sociétés savantes, etc. Il se rend en Italie autant dans l'intérêt de la science archéologique que pour le rétablissement de la santé de sa jeune femme ». Petits manques en bordure. Belle lettre. [396]
Jacques Aupick (1789-1857), général, homme politique, beau-père de Baudelaire, ministre plénipotentiaire à Constantinople.
Reference : 017004
Lettre autographe signée à Ernest Breton
Jacques Aupick (1789-1857), général, homme politique, beau-père de Baudelaire, ministre plénipotentiaire à Constantinople. L.A.S., Paris, 14 décembre 1855, 2p 1/2 in-8. Au peintre et archéologue Ernest Breton (1812-1875). Très belle lettre de remerciements pour l'ouvrage de Breton, Pompeia décrite et dessinée, mentionnant ses regrets de ne pas avoir été à Honfleur en même temps que Breton. Il mentionne aussi son épouse, Caroline Dufaÿs, la maman de Baudelaire : « Ma femme, fort souffrante,[..] est revenue ici mieux portante ». [397]
