13 books for « ibels henri gabriel »Edit

‎4 chansons et un monologue interprétés par Mévisto à la Scala et au Concert de l’Horloge, 4 plaquettes grand in-8 illustrées en lithographie par Ibels.‎

‎ Henri-Gabriel Ibels (Paris 1867-1936) est un dessinateur et lithographe, caricaturiste, illustrateur d’affiches, de livres, de journaux libertaires. Il découvre la lithographie en 1892 et collabore avec Toulouse-Lautrec pour illustrer le Café Concert de G. Montorgueil. Ibels a contribué à de nombreux journaux illustrés et a fondé l’un d’entre eux, Le Sifflet. Il a illustrée des livres du courant naturaliste, c’est aux côtés de son ami Zola qu’il se lance dans la lutte politique dans le parti des Dreyfusards à partir de 1898. L’essentiel de son œuvre est constituée d’affiches pour le théâtre. Il a donné 23 couvertures de chansons et monologues, la plupart pour Mévisto. Jules Mévisto (1857-1918) est un mime et chansonnier au registre social et sombre fort prisé à cette époque tant dans la pantomime que dans la chanson réaliste.- La Danse des Ventres. Chanson crée par Jules Mévisto au Concert de l’Horloge, paroles d’Étienne DECREPT, musique d’Anatole LANCEL. Couverture illustrée en bleu d’après IBELS (Henri-Gabriel) montrant Mévisto en Pierrot, un couteau à la main s’apprêtant à agresser un dîneur. Paris, G. Ondet, [1892] ; 4 pp. y-compris la couv., paroles et musique en regard en pages centrales, catalogue des chansons publiées par Georges Ondet en 4e de couverture.- Mimi. Chanson créée par J. Mévisto, paroles de MONTOJA, musique de Gaston MAQUIS. Paris, La Chanson Moderne, [189-] ; 4 pp. y compris couv. Couverture illustrée en couleurs d’Henri-Gabriel IBELS montrant Mévisto en Pierrot. Texte et partition, catal. de La Chanson Moderne en 4e de couv. Fentes (traces de brochage) à la pliure du dos.- La Mort des Gueux. Monologue crée par Mévisto à la Scala, poésie d’Etienne Decrept. Paris, Émile Benoit, [189-] ; 4 pp. y compris couv. Couverture illustrée en noir par Ibels, texte sur double page, catal. à la dernière p.- Les mal Tournés chanson crée par Mévisto à la Scala, paroles de René ESSE, musique de Léopold GANGLOFF. Paris, G. Ondet, [189-] ; 4 pp. y compris couv. Couverture illustrée en noir, texte, catal. à la dernière p.- Sus l’trimard. Chanson-monologue crée par Mévisto à la Scala, paroles de SAIMBAULT, musique de Léopold GANGLOFF. Paris, Émile Benoit, [189-] ; 4 pp. y compris couv. Couverture illustrée en couleurs par IBELS. Paroles et musique, petites fentes aux bords, papier jauni.Fonds Français XI, p. 21‎

‎Kam-Hill - Le Café Concert ‎

‎L'Estampe originale, Paris 1893, 31,5x43cm, en feuilles.‎

‎Estampe originale d'Henri-Gabriel Ibels, de la série Le Café-Concertéditée par les Publications de l'Estampe Originale. Très rare et belle lithographie faisant partie des 500 épreuves originales tirées sur vélin par l'imprimerie d'Edouard Ancourt. Portrait de l'artiste de cabaret Camille Périer, dit Kam-Hill, par Henri-Gabriel Ibels. Se produisant à cette période à la Gaîté-Montparnasse, il était connu pour agrémenter son chant par des sauts, des gambades et des coups en tous sens. Il est dessiné par Ibels vêtu de son costume de scène habituel: des gants blancs, une capote et des pantalons de soie noire. Souvent accompagné de la célèbre Yvette Guilbert, ils dominèrent ensemble la scène des café-concerts durant la fin du siècle. Véritable ode au café-concert, cette série réalisée par Toulouse-Lautrec et Henri-Gabriel Ibels capture l'essence de la vie parisienne et le dynamisme de ses nuits. Les planches étaient accompagnées d'un pamphlet de l'écrivain Georges Montorgueil chantant les louanges de ces établissements injustement méprisés, qu'il qualifie de «toniques pour la vie moderne». Bien loin de l'atmosphère empesée des salles de théâtre ou de concert, ces lieux du «sans-gêne» prennent un essor considérable à la Belle Epoque et lancent des artistes d'une remarquable modernité. Les deux peintres dressent ici le portrait des vedettes de cabaret les plus célèbres de l'époque, dans le mouvement de leur «chorégraphie épileptique» ou la grâce de leurs poses. Les grands noms des cafés-concerts, dont Jane Avril, Yvette Guilbert - devenue muse de Toulouse-Lautrec - ou Aristide Bruant apparaissent sous des traits francs et assurés, inspirés des gravures sur bois japonaises. En filigrane,l'influence de l'impressionnisme est également palpable - le style prenant un élan à la fin du siècle. Toulouse-Lautrec figure d'ailleurs régulièrement au salon des Indépendants depuis 1889 et y livre sa vision du Tout-Paris, allant des salons de la haute société aux bordels de la capitale en passant par les cabarets dont le Moulin Rouge, pour qui il réalise une affiche restée célèbre. Autre maître de l'affiche et du dessin, Ibels aura plusieurs collaborations avec les éditions de l'Estampe Originale, dont une série de dessins sur le cirque et réalise en parallèle de nombreuses illustrations pour des journaux populaires, dans un style vigoureux et incisif. Rare estampe en parfait état de conservation, qui renvoie aux fastes du "Paris by night fin de siècle". - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Mévisto - Le Café Concert ‎

‎L'Estampe originale, Paris 1893, 31,5x43cm, en feuilles.‎

‎Estampe originale d'Henri-Gabriel Ibels, de la série Le Café-Concertéditée par les Publications de l'Estampe Originale. Très rare et belle lithographie faisant partie des 500 épreuves originales tirées sur vélin par l'imprimerie d'Edouard Ancourt. Acteur acclamé dans les cabarets, Mevisto fit sensation dès son arrivée sur les planches. La description du personnage par Montorgueil dans la préface se marie parfaitement avec ce portrait d'Ibels : «La boule rasée de frais, une boule de guillotiné sur un cou de taureau, la bouche sensuelle, la mâchoire avancée comme pour mordre, la voix rauque sinistrement, il nous fit passer un frisson dans la moelle. Le nom de Mévisto flamba dans les feuilles.» Véritable ode au café-concert, cette série réalisée par Toulouse-Lautrec et Henri-Gabriel Ibels capture l'essence de la vie parisienne et le dynamisme de ses nuits. Les planches étaient accompagnées d'un pamphlet de l'écrivain Georges Montorgueil chantant les louanges de ces établissements injustement méprisés, qu'il qualifie de «toniques pour la vie moderne». Bien loin de l'atmosphère empesée des salles de théâtre ou de concert, ces lieux du «sans-gêne» prennent un essor considérable à la Belle Epoque et lancent des artistes d'une remarquable modernité. Les deux peintres dressent ici le portrait des vedettes de cabaret les plus célèbres de l'époque, dans le mouvement de leur «chorégraphie épileptique» ou la grâce de leurs poses. Les grands noms des cafés-concerts, dont Jane Avril, Yvette Guilbert - devenue muse de Toulouse-Lautrec - ou Aristide Bruant apparaissent sous des traits francs et assurés, inspirés des gravures sur bois japonaises. En filigrane,l'influence de l'impressionnisme est également palpable - le style prenant un élan à la fin du siècle. Toulouse-Lautrec figure d'ailleurs régulièrement au salon des Indépendants depuis 1889 et y livre sa vision du Tout-Paris, allant des salons de la haute société aux bordels de la capitale en passant par les cabarets dont le Moulin Rouge, pour qui il réalise une affiche restée célèbre. Autre maître de l'affiche et du dessin, Ibels aura plusieurs collaborations avec les éditions de l'Estampe Originale, dont une série de dessins sur le cirque et réalise en parallèle de nombreuses illustrations pour des journaux populaires, dans un style vigoureux et incisif. Rare estampe en parfait état de conservation, qui renvoie aux fastes du "Paris by night fin de siècle". - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎ Ouvrard - Le Café Concert ‎

‎L'Estampe originale, Paris 1893, 31,5x43cm, en feuilles.‎

‎Estampe originale d'Henri-Gabriel Ibels, de la série Le Café-Concertéditée par les Publications de l'Estampe Originale. Très rare et belle lithographie faisant partie des 500 épreuves originales tirées sur vélin par l'imprimerie d'Edouard Ancourt. Portrait par Ibels de l'acteur, auteur et compositeur Eloi Ouvrard, inventeur du comique troupier. Ce « pantomime des doigts» fut le premier à exploiter l'édit de 1891 autorisant les acteurs à porter l'uniforme militaire sur scène et mimer l'attitude martiale des troupes françaises. Cet acteur «dont les doigts sont dotés d'une curieuse puissance de raisonnement» (Montorgueil) fascina et hypnotisa la foule de spectateurs des cabarets par ses mimiques et ses centaines de chansons. Véritable ode au café-concert, cette série réalisée par Toulouse-Lautrec et Henri-Gabriel Ibels capture l'essence de la vie parisienne et le dynamisme de ses nuits. Les planches étaient accompagnées d'un pamphlet de l'écrivain Georges Montorgueil chantant les louanges de ces établissements injustement méprisés, qu'il qualifie de «toniques pour la vie moderne». Bien loin de l'atmosphère empesée des salles de théâtre ou de concert, ces lieux du «sans-gêne» prennent un essor considérable à la Belle Epoque et lancent des artistes d'une remarquable modernité. Les deux peintres dressent ici le portrait des vedettes de cabaret les plus célèbres de l'époque, dans le mouvement de leur «chorégraphie épileptique» ou la grâce de leurs poses. Les grands noms des cafés-concerts, dont Jane Avril, Yvette Guilbert - devenue muse de Toulouse-Lautrec - ou Aristide Bruant apparaissent sous des traits francs et assurés, inspirés des gravures sur bois japonaises. En filigrane,l'influence de l'impressionnisme est également palpable - le style prenant un élan à la fin du siècle. Toulouse-Lautrec figure d'ailleurs régulièrement au salon des Indépendants depuis 1889 et y livre sa vision du Tout-Paris, allant des salons de la haute société aux bordels de la capitale en passant par les cabarets dont le Moulin Rouge, pour qui il réalise une affiche restée célèbre. Autre maître de l'affiche et du dessin, Ibels aura plusieurs collaborations avec les éditions de l'Estampe Originale, dont une série de dessins sur le cirque et réalise en parallèle de nombreuses illustrations pour des journaux populaires, dans un style vigoureux et incisif. Rare estampe en parfait état de conservation, qui renvoie aux fastes du "Paris by night fin de siècle". - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Polin - Le Café Concert ‎

‎L'Estampe originale, Paris 1893, 31,5x43cm, en feuilles.‎

‎Estampe originale d'Henri-Gabriel Ibels, de la série Le Café-Concertéditée par les Publications de l'Estampe Originale. Très rare et belle lithographie faisant partie des 500 épreuves originales tirées sur vélin par l'imprimerie d'Edouard Ancourt. Portrait par Ibels de Polin en costume militaire. Célébrité du comique troupier, Polin est l'auteur de succès du genre, dont «La Ballade du Conscrit», «L'Ami Bidasse» ou «La Petite Tonkinoise». Tête d''affiche aux café-concert des Ambassadeurs alors dirigé par Ducarre, il passe ensuite à la Scala où il resta vingt ans. Véritable ode au café-concert, cette série réalisée par Toulouse-Lautrec et Henri-Gabriel Ibels capture l'essence de la vie parisienne et le dynamisme de ses nuits. Les planches étaient accompagnées d'un pamphlet de l'écrivain Georges Montorgueil chantant les louanges de ces établissements injustement méprisés, qu'il qualifie de «toniques pour la vie moderne». Bien loin de l'atmosphère empesée des salles de théâtre ou de concert, ces lieux du «sans-gêne» prennent un essor considérable à la Belle Epoque et lancent des artistes d'une remarquable modernité. Les deux peintres dressent ici le portrait des vedettes de cabaret les plus célèbres de l'époque, dans le mouvement de leur «chorégraphie épileptique» ou la grâce de leurs poses. Les grands noms des cafés-concerts, dont Jane Avril, Yvette Guilbert - devenue muse de Toulouse-Lautrec - ou Aristide Bruant apparaissent sous des traits francs et assurés, inspirés des gravures sur bois japonaises. En filigrane,l'influence de l'impressionnisme est également palpable - le style prenant un élan à la fin du siècle. Toulouse-Lautrec figure d'ailleurs régulièrement au salon des Indépendants depuis 1889 et y livre sa vision du Tout-Paris, allant des salons de la haute société aux bordels de la capitale en passant par les cabarets dont le Moulin Rouge, pour qui il réalise une affiche restée célèbre. Autre maître de l'affiche et du dessin, Ibels aura plusieurs collaborations avec les éditions de l'Estampe Originale, dont une série de dessins sur le cirque et réalise en parallèle de nombreuses illustrations pour des journaux populaires, dans un style vigoureux et incisif. Rare estampe en parfait état de conservation, qui renvoie aux fastes du "Paris by night fin de siècle". - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Libert - Le Café Concert ‎

‎L'Estampe originale, Paris 1893, 31,5x43cm, en feuilles.‎

‎Estampe originale d'Henri-Gabriel Ibels, de la série Le Café-Concertéditée par les Publications de l'Estampe Originale. Très rare et belle lithographie faisant partie des 500 épreuves originales tirées sur vélin par l'imprimerie d'Edouard Ancourt. Portrait de Xavier Marie Alphonse Libermann, dit «Libert», chanteur et interprète célèbre des café-concerts parisiens. Il fut acclamé par Montorgueil dans sa préface à ces lithographies («Libert - l'un de ceux qui furent vraiment créateurs»), et par Paulus, autre grand nom des cabarets, dans ses Mémoires: «une voix chaude, vibrante, un masque très comique, une originalité d'allure particulière». Véritable ode au café-concert, cette série réalisée par Toulouse-Lautrec et Henri-Gabriel Ibels capture l'essence de la vie parisienne et le dynamisme de ses nuits. Les planches étaient accompagnées d'un pamphlet de l'écrivain Georges Montorgueil chantant les louanges de ces établissements injustement méprisés, qu'il qualifie de «toniques pour la vie moderne». Bien loin de l'atmosphère empesée des salles de théâtre ou de concert, ces lieux du «sans-gêne» prennent un essor considérable à la Belle Epoque et lancent des artistes d'une remarquable modernité. Les deux peintres dressent ici le portrait des vedettes de cabaret les plus célèbres de l'époque, dans le mouvement de leur «chorégraphie épileptique» ou la grâce de leurs poses. Les grands noms des cafés-concerts, dont Jane Avril, Yvette Guilbert - devenue muse de Toulouse-Lautrec - ou Aristide Bruant apparaissent sous des traits francs et assurés, inspirés des gravures sur bois japonaises. En filigrane,l'influence de l'impressionnisme est également palpable - le style prenant un élan à la fin du siècle. Toulouse-Lautrec figure d'ailleurs régulièrement au salon des Indépendants depuis 1889 et y livre sa vision du Tout-Paris, allant des salons de la haute société aux bordels de la capitale en passant par les cabarets dont le Moulin Rouge, pour qui il réalise une affiche restée célèbre. Autre maître de l'affiche et du dessin, Ibels aura plusieurs collaborations avec les éditions de l'Estampe Originale, dont une série de dessins sur le cirque et réalise en parallèle de nombreuses illustrations pour des journaux populaires, dans un style vigoureux et incisif. Rare estampe en parfait état de conservation, qui renvoie aux fastes du "Paris by night fin de siècle". - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Allons-Y ! Histoire contemporaine racontée & dessinée par H. G. Ibels [ Edition originale - Exemplaire sur Japon ]‎

‎Un des 50 exemplaires sur Japon grand format numérotés à la presse et signés par l'auteur (exemplaire n°4 mais non signé), 1 vol. in-8 reliure bradel de l'époque plein maroquin brun, plats polis et biseautés, triple filet doré d'encadrement en plats, petit monogramme HM poussé en plat, gardes richement dorées, couvertures conservées, P.-V. Stock, Paris, 1898, 111 pp.‎

13 Images

‎Cette édition comprend toute la collection des dessins de H.-G. Ibels parus dans le journal le Sifflet, lequel avait été créé pour défendre Alfred Deyfus. L'ouvrage est dédié à Emile Zola. Membre des Nabis, ami de Pierre Bonnard, Vuillard, Maurice Denis ou Paul Sérusier, Henri-Gabriel Ibels (1867-1936) soutenait des opinions libertaire. Rare exemplaire du tirage de tête sur beau papier Japon, établi dans une curieuse reliure. Etat très satisfaisant (dos et coupes frottées, bon état par ailleurs, très bon état intérieur)‎

‎Les demi-cabots. Le café-concert - le cirque - les forains‎

‎G. Charpentier & E. Fasquelle, Paris 1896, 12x18,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Dos et plats légèrement et marginalement insolés sans gravité, quelques légères rousseurs intérieures. Agréable exemplaire présenté broché tel que paru. Contributions littéraires de André Ibels, Georges d'Esparbès, Georges Montorgueil. Ouvrage orné d'illustrations de Henri-Gabriel Ibels qui a également illustré la couverture. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Carton d'invitation à l'exposition H.G. Ibels à la Bodinière‎

‎Théâtre d'application "La Bodinière", Paris 1894, 15x12cm, une feuille.‎

‎Rare carton d'invitation à l'exposition des oeuvres d'Henri-Gabriel Ibels présentées au théâtre d'application de Charles Bodinier, dit "La Bodinière", du 6 Novembre au 15 Décembre 1894. Bel exemplaire, trace de colle au verso du carton d'invitation. Carton d'invitation illustré d'un dessin d'Ibels. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Escarmouche. Première année N°3‎

‎ Paris, 26 novembre 1893. In-folio, (8) pp. (dos largement fendu, petits manques, papier bruni).‎

4 Images

‎Éphémère revue satirique hebdomadaire (du 2 novembre 1893 au 16 mars 1894). Troisième numéro, illustré de compositions de Toulouse-Lautrec (1), Ibels (2) et Valloton (1).* Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous. ‎

‎L'Escarmouche. Première année N°4‎

‎ Paris, 3 décembre 1893. In-folio, (8) pp. (dos coupé, petits manques, papier bruni).‎

‎Éphémère revue satirique hebdomadaire (du 2 novembre 1893 au 16 mars 1894). Quatrième numéro, illustré de deux compositions de Toulouse-Lautrec et une de Ibels.* Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous. ‎

‎L'Escarmouche.‎

‎Affiche de librairie lithographiée en couleurs de H.-G. IBELS pour L’Escarmouche (1893) ; 15 rue Baudin ; directeur Georges Darien ; dessins de Anquetin, H.G. Ibels, de Toulouse-Lautrec, Vuillard, Willette ; le numéro 20 centimes ; cette affiche ne peut être apposée qu'à l'intérieur elle ne peut être vendue. Format 64 x 49,5 cm, présenté sous encadrement de bois clair. Quelques petites restaurations anciennes. L’Escarmouche, revue pamphlétaire et satirique dirigée et entièrement rédigée par Georges DARIEN paraitra du 12 novembre 1893 j’usqu’au 16 mars 1894. Rare et beau document.‎

‎Allons-y‎

‎Stock, paris, 1898. Edition originale. Envoi au critique et homme de lettre Roger MARX. Broché in-8, textes et illustrations d'Ibels. Bel état général. Rare revue dreyfusarde dédiée à Zola.‎