Paris, Société de publications périodiques, 1883. Grand in-4, en feuilles sous chemise de percaline grise, titre doré au dos et au premier plat, reproduction de la signature de Victor Hugo en noir au premier plat, ses initiales au dos.
Illustré de 27 planches hors-texte, fac-similé du manuscrit de Victor Hugo et de compositions de J.-P- Laurens, Henri Meyer, Emile Bayard, Lavastre, John Sargent, A. Marie, Rubé et Chaperon et Olivier Merson. Chacune des planches est protégée par une serpente avec légende imprimée (sauf les pl. 3, 6, 11, 13, 17, 21, 23, 25 à 27). Luxueuse édition publiée pour le cinquantenaire de la création de la pièce. Tiré à 201 exemplaires, le nôtre est un des 50 sur Japon imprimé pour le petit-fils de Victor Hugo, Georges Hugo. C'est lui, fils de Charles Hugo et orphelin de père à 3 ans, qui sera élevé par son grand-père. De cette expérience, Victor Hugo écrira d'ailleurs le livre L'art d'être grand-père. Il a ensuite appartenu au fils de Georges: François Hugo (1899-1982) qui fut orfèvre. C'est donc ce dernier qui fit l'envoi autographe, au faux-titre "à Alix Le [illisible] notre ange gardien François Victor Hugo". On y trouve, outre le texte du drame, la préface de 1832, le discours de Victor Hugo devant le Tribunal de commerce en 1832, le procès de la pièce et des notes et variantes. Chemise fatiguée. Vicaire, IV, 276. Du lundi 9 au mardi 17 juin nous ne serons pas en mesure de répondre aux commandes en raison de notre participation au Salon du livre rare de Paris qui se tiendra au Carreau du Temple du 13 au 15 juin. Retrouvez-nous au stand C 24 ! From Monday, June 9th to Tuesday, June 17th, we will not be able to fulfill orders due to our participation in the Paris Rare Book Fair, which will be held at the Carreau du Temple from June 13th to 15th. Find us at stand C 24!
L'un des 18 exemplaires confiés par Victor Hugo avec la note autographe Hierro, pour Auguste Vacquerie. Genève et New-York [Jersey, Imprimerie universelle, Saint-Hélier], [1855]. 1 vol. (70 x 110 mm) de 1 f. (titre) et 53 p. Demi-maroquin rouge à coin, dos à nerfs, titre et tête dorés, couvertures conservées (reliure signée de P. L. Martin). Édition originale. Exemplaire sur papier bleu, commun à l'ensemble du tirage. Inscription autographe : «Hierro, 1867 ». Un des 18 exemplaires confiés par Victor Hugo à l'attention d'Auguste Vacquerie, à Paris, pour ses amis, pour la reprise d'Hernani, qui sera interdite quelques mois plus tard.
L'injonction « hierro », est, depuis la bataille d'Hernani, le cri de ralliement de Victor Hugo pour fédérer ses fidèles. Le poète avait acheté plusieurs mains de papier rouge, et y découpa plusieurs petits carrés sur lesquels il imprima avec une griffe le mot espagnol qui veut dire fer : Hierro, et les distribua aux chefs des groupes de ses amis : « Nous ne croyons pas avoir éprouvé de joie plus vive en notre vie que lorsque Gérard, détachant du paquet six carrés de papier rouge, nous les tendit d'un air solennel, en nous recommandant de n'amener que des hommes sûrs. Nous répondions sur notre tête de ce petit groupe, de cette escouade dont le commandement nous était confié» (Théophile Gautier, « Première rencontre », in Le Bien public, 3 mars 1872). Depuis l'instauration du Second Empire, le théâtre de Victor Hugo était censuré sur toutes les scènes françaises, et aucune de ses pièces n'avait donc été représentée depuis Marion de Lorme en juin 1852. Mais en 1867, ses relations avec le pouvoir semblent s'améliorer et l'on annonce la reprise d'Hernani au Théâtre-Français, qui serait même venu d'une demande personnelle de l'impératrice Eugénie, à la veille de l'Exposition universelle. Hugo y est invité, mais refuse de quitter Guernesey, où il est isolé depuis l'amnistie de 1859 dont nombre de proscrits avaient profité. A distance, Victor Hugo veut rester le maître des opérations et reste en contact permanent avec ses deux indéfectibles amis, Auguste Vacquerie et Paul Meurice, qui suivent pour lui les répétitions d'Hernani. 37 ans après la première bataille, les dix textes de combat écrits pendant l'exil regroupés ici ne pouvaient pas recevoir meilleure note autographe de la part du plus célèbre des écrivains : ces fascicules des Discours seront longtemps distribués par Hugo, tout le temps de l'exil à Guernesey. Le 12 mai, il informe Vacquerie de l'envoi de 18 de ces plaquettes, toutes enrichies du même mot autographe d'encouragement : « un voyageur dont je vous ai parlé vous remettra dix-huit fascicules signés Hierro. 1867. Un pour vous. Un pour Meurice. - Les seize autres seraient répartis par vous, comme cartes de visite de moi, à nos meilleurs amis : Henri Rochefort, Pierre Véron (et les rédacteurs du Charivari), Ph. Audebrand, Jules Lermina, Benjamin Gastineau, Montrosier, Carjat, Amédée Blondeau, Mario Proth, Eug. Pelletan, etc. Vous savez mieux que moi à qui cela conviendra le plus. Et de cela, comme de tout, je me repose absolument sur vous. » (Correspondance de Victor Hugo, Hauteville-House, 112 mai 1867). La pièce sera jouée le 20 juin 1867, et reçoit un triomphe. De courte durée : « Les 3 et 4 novembre 1867, Garibaldi est vaincu à Mentana par les troupes pontificales, épaulées par les troupes françaises envoyées en renfort par Napoléon III sous le commandement du général de Failly. Garibaldi est condamné au bagne. Pour lui apporter son soutien, Victor Hugo écrit en trois jours, du 16 au 18 novembre, « La Voix de Guernesey ». En la faisant imprimer à son compte à Saint-Pierre-Port et en s'occupant activement de sa diffusion clandestine, il affiche une nouvelle fois haut et fort son opposition républicaine au pape et à l'empereur (...) Les représentations d'Hernani au Théâtre-Français sont interrompues. La pièce aura été jouée soixante et onze fois entre le 20 juin et le 27 décembre» (Jeanne Stranart, « L'interdiction de Ruy Blas et l'interruption d'Hernani en 1867, vues par Juliette Drouet »). Jean-Marc Hovasse, (sous la dir. de). Correspondance et théâtre, Presses universitaires de Rennes, 2012. Les pièces contenues dans cette plaquettes sont les suivantes : Les Etats-Unis d'Europe [En quittant la Belgique, 1er août 1852] ; Union [En arrivant à Jersey, 5 août 1852] ; Insurrection [Au Peuple, 31 octobre 1852] ; Martyre et vitalité des peuples [Anniversaire de la Révolution de Pologne, 29 novembre 1852] ; Pas de représailles [Sur la tombe de Jean Bousquet, 20 avril 1853] ; Le Droit de la femme [Sur la tombe de Louise Julien, 26 juillet 1853] ; La Guerre d'Orient [23° Anniversaire de la Révolution de Pologne] ; Inviolabilité de la vie humaine [Aux habitants de Guernesey, janvier 1854] ; Les Hommes du vieux monde [A Lord Palmerston, 11 février 1854] ; La Révolution future [Banquet anniversaire du 24 février 1854]. Ils seront repris en 1875 dans Actes et paroles, II, sous des titres différents indiqués ici entre crochets.
Précieux exemplaire A. Claudin, Jules Claretie et P. Villeboeuf cité et décrit par Carteret. Paris, au Bureau du Conservateur littéraire, 1819-20. 3 volumes in-8 de : I/ (1) f., 404 pp., 2 portraits hors-texte dont un à double page ont été ajoutés au début du volume ; II/ (2) ff., 404 pp. mal ch. 504 ; III/ 416 pp. Relié en demi-maroquin vert à grain long à coins, dos lisses ornés d’un motif romantique doré en long, filets dorés sur les plats. V. Champs. 197 x 125 mm.
Edition originale « extrêmement rare » (Clouzot, Guide du Bibliophile Français, p. 142) contenant notamment l’édition originale de Bug-Jargal. En 1819, par le conseil de Chateaubriand, qui avait deviné le talent littéraire des trois frères Hugo et qui s’intéressait à leur avenir, Abel fonda, de concert avec Eugène et Victor, Le Conservateur littéraire. Cette revue devait être, dans sa pensée, le complément indispensable du Conservateur politique, auquel la collaboration de Chateaubriand avait donné tant de vogue et tant d’éclat. Les trois frères qui vivaient dans une touchante harmonie, et qui n’avaient pas d’autre rivalité que l’amour des lettres, étaient à peu près les seuls rédacteurs du Conservateur littéraire, dans lequel chacun d’eux reparaissait continuellement sous différents pseudonymes et sous des initiales différentes. Chacun d’eux était tour à tour critique, poète, romancier, moraliste, pour varier la rédaction des livraisons hebdomadaires, qui produisaient toujours beaucoup d’effet dans le petit monde des écrivains, sans amener les abonnés à l’aide desquels le recueil aurait pu continuer. Enfin après dix-huit mois de persévérance et d’effort, il fallut renoncer à une publication qui ne faisait pas ses frais. « Il n’a paru de cette Revue que trente livraisons formant trois volumes in-8, Paris, A. Boucher, 1819-20. On lit dans une note du ‘Catalogue de livres provenant de la bibliothèque de M. de N***’ (1856) ‘Victor Hugo écrivait sous son nom et sous diverses initiales pseudonymes la plupart des articles de critique littéraire qu’il n’a pas recueillis dans ses Mélanges. On y trouve aussi la première édition de Bug-Jargal et des pièces de vers qui manquent encore à ses œuvres complètes. Victor Hugo signe tantôt V., tantôt H., tantôt V. d’Auverney, tantôt M., et quelquefois il ne signe pas du tout. Son frère Abel signe A. ; son frère Eugène, E. Parmi les rédacteurs, on reconnaît Theodore Pavie, Ader, J. Sainte-Marie, etc. Il faut signaler la fameuse épître Les Vous et les Tu, signée Aristide ; la Lettre de Publicola Petissot, les traductions de Virgile, de Lucain et d’Ossian, qu’on voudrait voir ajoutées aux œuvres de Victor Hugo’. » Cette revue, dit Charles Asselineau, dans sa Bibliographie romantique, 2ème édition, p. 265, « a été fondée par Eugène et Victor Hugo et rédigée, pour la plus grande partie, par celui-ci. Alfred de Vigny collabora à cette revue. » Cette édition originale est infiniment rare. Vicaire dans le Manuel de l’Amateur imprimé en 1895, ne cite qu’un seul exemplaire, incomplet, adjugé cependant 810 F Or à la Vente Noilly de 1886, enchère considérable pour l’époque. « Paul Lacroix avait acheté son exemplaire du Conservateur littéraire 80 fr. à une vente de la salle Silvestre ; cet ex. avec une nouvelle reliure en maroquin myrte jans. tr. dor. (Marius Michel) a été adjugé 810 fr., Noilly » Il était incomplet de la table du tome Ier. Carteret, dans Le Trésor du bibliophile imprimé en 1924, ne cite que deux exemplaires complets dont le nôtre « Claretie, 1918 , 3 vol. in-8, demi-maroquin de Champs vendu 3 055 F en 1918 » et un second exemplaire, dédicacé à Juliette Drouet, adjugé 46 000 F il y a 50 ans, en 1972, enchère alors considérable ; proche du prix obtenu cette même année 1972 par le superbe exemplaire des Œuvres de Louise Labé imprimées à Lyon en 1556 revêtu d’une reliure doublée aux écussons pour Charles Nodier (références : Bibliothèque R. Esmerian. Première partie, 6 juin 1972. Paris, n°82). Un tel exemplaire se négocierait aujourd’hui 300 000 €. Superbe exemplaire cité par Carteret dans lequel on a relié en tête deux portraits de Victor Hugo : l’un à la manière noire par Célestin Nanteuil, daté 1832, l’autre lithographié sur double page par V. Ratier, provenant des bibliothèques A. Claudin, célèbre bibliographe, enrichi de deux billets autographes qui lui furent adressés en juin 1900 par le romancier Paul Meurice (1818-1905), ami intime de Victor Hugo. Paul Meurice emprunte ces volumes à Claudin - son propre exemplaire étant prêté pour « l’exposition centenale du livre » - puis le complimente sur son « précieux exemplaire… avec sa reliure dans le goût du temps et les deux portraits… il est parfait » ; Jules Claretie (vendu 3 055 F en 1918) et P. Villeboeuf, éminent bibliophile du siècle dernier avec ex-libris.
Paris, Chez Persan, 1823. 4 vol. (95 x 165 mm) de VIII-316, 237, 237 et 347 p. Bradel papier caillouté, pièce de titre ornée, dos orné en tête et en pied (reliure XIXe). Édition originale.
C'est après de longues fiançailles avec Adèle Foucher puis un mariage célébré le 12 octobre 1822 que Victor Hugo remania Han d'Islande (entamé dès 1820). Il vendit l'usage de son manuscrit pour mille francs à Persan, un marquis ruiné, qui s'était improvisé libraire : Han d'Islande parut le 8 février 1823, sans nom d'auteur, et plein de coquilles. « Un article bienveillant de Charles Nodier dans ‘La Quotidienne' fut le début des rapports avec Hugo et de l'étroite amitié qui s'ensuivit. » (Carteret) On connaît la genèse de ce roman : l'amour de Victor Hugo pour Adèle Foucher. Après de longues fiançailles, le mariage a lieu le 12 octobre 1822 grâce à une pension accordée par Louis XVIII. C'est dans le contexte de ces soucis financiers et sentimentaux que Victor Hugo écrit, puis remanie Han d'Islande, qui reflète en quelque sorte cet amour contrarié. Le Réveil, dès son numéro du 23 janvier, publiait la note suivante : " On nous annonce aujourd'hui (...) un nouveau roman qui va paraître dans quelques jours chez les libraires du Palais-Royal et dont le sujet, tiré de l'histoire de la Norvège, offre un intérêt aussi dramatique que les principaux ouvrages de l'illustre romancier écossais. Cette composition singulière, signée Han d'Islande, est, dit-on, le premier ouvrage en prose d'un jeune homme connu déjà par de brillants succès poétiques. Nous verrons bien. " La mèche est vendue dès le mois suivant, lorsque Le Constitutionnel publie le 15 février la note suivante : " On vient de mettre en vente chez Persan, rue de l'Arbre-Sec, no 22, un roman intitulé : Han d'Islande, en quatre volumes in-12. Prix : 10 francs. On attribue ce roman à M. Victor Hugo, auteur d'un recueil d'odes". Cette première édition est annoncée dès le 8 février 1823 (n° 619), dans la Bibliographie de France. Elle fait de Victor Hugo, à 21 ans, l'initiateur du premier romantisme. Bien qu'il considérât cette oeuvre naïve, Hugo resta attaché par sentimentalisme à ce mélodrame de jeunesse. Plusieurs scènes seront d'ailleurs reprises dans Notre-Dame de Paris. Hugo ne sera pas satisfait en raison des nombreuses coquilles laissées par l'apprenti imprimeur-libraire, et dont il souhaitera une nouvelle édition corrigée chez Eugène Renduel dix ans plus tard, en mai 1833. Agréable exemplaire en cartonnage de l'époque : les exemplaires de qualité de cette première édition en reliure d'époque sont fort rares. De la bibliothèque Frédéric de Pourtalès (ex-libris). Vicaire, IV, 236 ; Carteret, I, 390, « Ouvrage très rare et fort estimé. »
[Nicétas Periaux Ponthieu ; Baudry ; Levavasseur] - NICOLAS, Adolphe ; BARTHELEMY ; HUGO, Victor ; DELAVIGNE, Casimir ; LE COUPEUR, Victor-Eugène
Reference : 35574
(1830)
1 vol. in-8 reliure demi-basane marron, Chants du Siècle (par Adolphe Nicolas), Ponthieu et Cie Paris, Ponthieu, Michelsen et Ce, Leipzig, 1828, 2 ff. 194 pp. et 1 f. blanc / 1830. Satire Politique (par Barthélémy), A.-J. Dénain, Paris, 1830, 59 pp. / Discours en l'Honneur de Pierre Corneille (par Casimir Delavigne), F. Baudry, Rouen, 1829, 13 pp. et 1 f. n. ch. / L'Aumône (par Victor Hugo), Imprimé chez Nicétas Periaux, Rouen, Février 1830, 13 pp. et 1 f. blanc / Elégies (par Victor-Eugène Le Coupeur), Chez Levavasseur, Paris, Mars 1830, 2 ff., 31 pp. / Le Bal de l'Aumône (par Victor-Eugène Le Coupeur), Imprimé chez Nicétas Periaux, Rouen, Mars 1830, 9 pp
Très intéressant et rare recueil de plaquettes romantiques proposant notamment le très rare exemplaire de l'édition originale de "l'Aumône" de Victor Hugo (publié à Rouen au bénéfice de l'association de bienfaisance de la commune de Canteleu). Toutes les autres pièces ici présentes sont également en édition originale, ainsi de "1830, Satire Politique" ou des deux rares titres publiés par Victor-Eugène Le Coupeur, à l'instar du Hugo, chez l'imprimeur rouennais Nicétas Périaux. Quant au discours de Delavigne, il a été composé à l'occasion de la Souscription ouverte par la Société libre d'Emulation de Rouen pour éléver un monument à la gloire de Corneille. Etat très satisfaisant (rel. frottée avec fentes en mors, qq. rouss.) Escoffier, 809 (Hugo) ; Nauroy, 13 (Hugo) ; Carteret, I, 400 ; Vicaire, VI, 69 (Nicolas) ; Nauroy, 110 (Barthélémy)
(Collectif) Raymond Escholier - G. Brito - Bertrant Guégan - Louis Jouvet - Heilbrun - P. Noriey - Sergent - G. Rhum - Charles Peignot - Jean Hugo - Victor Hugo -
Reference : AMG04
(1935)
Arts et métiers graphiques, dir. Charles Peignot, juin 1935. In-4 broché, couverture illustrée tirée sur les presses lithographiques de Mourlot frères, 81 p. Bien complet des 6 hors texte : "Hommage à Victor Hugo (Gil Blas, 1885), Portrait de Victor Hugo par Charles Hugo (litho. Mourlot), Hugo et la musique, Arbre généalogique de la famille Hugo par Jean Hugo (litho. Mourlot), Quelques pages d'un livre de Auguste Vacquerie, Hugo sur son lit de mort, par Nadar. Accroc à la coiffe supérieure, quelques frottements aux angles, oales rousseurs sur les contreplats, intérieur bon. On joint le carton d'invitation pour l'exposition Victor Hugo qui s'est tenue à la bibliothèque nationale, pour le cinquantenaire de la mort de Victor Hugo.
Lettre suivie France métropolitaine; 6,80 euros
1862 1862 Paris, Librairie de L.Hachette & Cie 1862 2 in 12 Reliure demi basane dos à nerfs 280-319 [pp] (Notre-Dame de Paris - 1482,paru chez Gosselin, 1831).Incipit "L'homme qui a écrit ce mot sur le mur s'est effacé, il y a plusieurs siècles au milieu des générations, le mot s'est à son tour effacédu mur de l'église, l'église elle-même s'effacera bientôt peut-être de la terrec'estsur ce mot qu'on a fait le livre" Victor Hugo Mars 1832.
"Même s'il l'écrit en six mois, il passe trois ans à étudier et à rassembler tous les documents dont il avait besoin pour son roman. C'est dire le soin historique qu'il y met. Le roman fait revivre le Paris de Louis XI (ce Paris dont il nous retrace les grandes lignes du haut des tours de Notre-Dame, dans un long chapitre intitulé Paris à vol d'oiseau qui se termine par l'évocation d'un gigantesque opéra orchestré par le carillonnement des cloches de toutes les églises de Paris), dans un décor où l'imaginaire et le fantastique occupent une place centrale. L'archidiacre Claude Frollo est féru d'alchimie, et il tombe amoureux de la belle bohémienne Esméralda, et dont Quasimodo, le carillonneur de Notre-Dame - un nain difforme -, est aussi amoureux. Quant à Esméralda, elle rêve d'épouser Phoebus, le beau capitaine des archers de l'ordonnance du roi. Le livre eut un grand succès à son époque, même si l'on critiqua son aspect peu catholique. Cette histoire d'un prêtre féru d'alchimie et dévoré de désir pour une bohémienne ne pouvait pas être du goût de l'Église romaine qui mit le livre à l'Index, en juillet 1834. Comment en pouvait-il être autrement, puisque son auteur était pour une religion sans prêtres Notre-Dame de Paris raconte la lutte contre la fatalité (qu'il traduit par le mot grec Ananké dans le roman). Fatalité et non Providence, comme lui reprocheront de nombreux catholiques. Victor Hugo en expliquera le sens en mars 1866, dans la préface des Travailleurs de la mer : Une triple ananké pèse sur nous, l'ananké des dogmes, l'ananké des lois, l'ananké des choses. Dans Notre-Dame de Paris, l'auteur a dénoncé la première; dans Les Misérables, il a signalé la deuxième; dans ce livre, il indique la troisième. A ces trois fatalités qui enveloppent l'homme se mêle la fatalité intérieure, l'ananké suprême, le cur humain. On voit ici, le lien qui unit les trois grands romans de Victor Hugo. Celui-ci reviendra dessus dans une correspondance au journaliste Durandeau : Toutes les fois que la nécessité empiète sur la liberté et l'opprime, elle s'appelle fatalité. Le poète dénonce cet abus de l'inconnu. C'est ce que je fais dans Notre-Dame de Paris, dans Les Misérables, dans Les Travailleurs de la mer. (11 juillet 1867). D'ailleurs dans la préface de Notre-Dame de Paris, Hugo signale que c'est sur ce mot d'Ananké qui se trouvait gravé sur le mur d'une des tours de la cathédrale et qui aurait disparue (mais a-t-elle vraiment existé ?), qu'il a écrit le livre." Patrick Maunand Bon, pages avec rousseurs et taches mais exemplaire agréable, reliure en bon état pour son âge malgré un dos insolé. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
"J.Hetzel - A.Quantin. 1881. In-8. Broché. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 335 pages - dédicace de Victor Hugo sur la page de faux titre ""A Léon Richer, Victor Hugo"" (photo disponible) - plats du livre désolidarisés - dos fendu avec des manque, ouvrage désolidarisé - coiffes abîmées - quelques rousseurs sur les pages ne gênant pas la lecture.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi"
"dédicace de Victor Hugo sur la page de faux titre ""A Léon Richer, Victor Hugo"" - Léon Richer : né le 19 mars 1824 à l'Aigle et mort le 15 juin 1911 à Paris, est un journaliste libre-penseur et féministe français. Hubertine Auclert le considérait comme le père du féminisme et Simone de Beauvoir comme son véritable fondateur. Victor Hugo : est un poète, dramaturge, écrivain, romancier et dessinateur romantique français, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris. Il est considéré comme l'un des plus importants écrivains de la langue française. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi"
Toulouse, M.J. Dalles, 1818. 1819. 1820. 1821. 1 vol. in-8. Demi-veau brun moderne, dos lisse, filet doré et médaillon encadrant le titre, tête dorée. 12pp, XVIpp, 77pp ; Titre, LXXIIpp, 93pp, [4]pp ; 10pp, XXXIXpp, 53pp, [3]pp ; Faux-titre, titre, 8pp, LXXVIpp, 74PP, [2]pp.
les débuts poétiques de Victor HugoPrécieuse réunion des quatre premières années auxquelles le jeune Victor Hugo a participé. Il s’agit des éditions originales des premiers poèmes de Victor Hugo.L’Académie de Toulouse, l’une des plus anciennes sociétés littéraires d’Europe, organisait un concours de poésie et décernait des prix. Victor Hugo, alors âgé de 18 ans, soumet quatre poèmes en 1818 puis trois en 1819. Trois autres suivront en 1820, un en 1821 et un en 1822. Après une amarante d’or pour son ode Les Vierges de Verdun lors de sa première participation, Victor Hugo, en course, sans le savoir, avec Lamartine, obtient un lys d’or, la plus haute distinction, pour Le Rétablissement de la statue de Henri IV. La suprême récompense du Lys d’or n’avait été décernée qu’une seule fois avant lui, en 1776. Depuis, elle n’a jamais été à nouveau distribuée. Sont publiés également Les Derniers bardes, poëme, en 1819, Moïse sur le Nil, Ode, qui a obtenu une amarante réservée, Le jeune banni - Raymond à Emma, Héroïde, en 1820, et Quiberon, Ode, en 1821.Il est nommé Maître ès Jeux floraux, aux côtés desquarante académiciens que comptait la prestigieuseinstitution, fondée en 1323. Victor Hugo parvint ainsi à convaincre son père du sérieux de sa vocation littéraire contrariée par des études de droit entreprises sans enthousiasme.Escoffier, Le Mouvement romantique, n° 278 : « Cerecueil est très rare ».Exemplaire grand de marges.Mouillures touchant la moitié de la page, des pagesXXVII à LXIV de l’année 1821. Taches aux troisderniers feuillets.
Paris, (Firmin Didot pour) Auguste Boulland, 1824, pt. in-8vo, Tome 1) XXXII + 371 p., une pet. tache d'encre, 2 ff. déliées / T. 2) 2 ff. + 355 p. / T. 3) 2 ff. + 355 p. / T.4) 2 ff. + 392 p., qqs lég. rousseurs, reliures en plein veau marbré, pièces de titre et de tomaison vertes aux dos, tranches marbrées. Bel exemplaire.
Bibl. Nat. de France (BN Opale Plus) donne la description de deux exemplaires différents, sous la même date; le premier correspond à notre exemplaire. Notre exemplaire ne comporte pas non plus le portrait annoncé dans les titres des volumes 3 et 4:- Notice n° : FRBNF31605503: Voltaire: Choix moral de lettres de Voltaire, précédé d'une Notice sur la vie et les ouvrages de cet écrivain célèbre, par M. Victor-M. Hugo... [Texte imprimé]. Paris, A. Boulland, 1824, 4 vol. in-12. (Bengesco 2104.). Les titres des 2 derniers t. portent : “Choix moral... précédé d'une Notice sur la vie et les ouvrages de cet écrivain célèbre et orné de son portrait". La "Notice", en tête du t. 1er est signée "Victor-M. Hugo": la "Préface de l'éditeur" qui la précède est également de V. Hugo, des fragments en ont été reproduits en effet, ainsi que la "Notice", dans "Littérature et philosophie mêlées". Une partie de ce texte, intitulée "Sur Voltaire, fragment", a paru en décembre 1823, dans le n 6 de "La Muse française", éditée par Amédée Tardieu, successeur de Boulland, avec une note annonçant la publication, chez Boulland et Cie, d'une collection de choix de lettres avec notices et portraits, destinée à la jeunesse ; choix et notices étaient confiés à V. Hugo qui, d'après "Victor Hugo raconté"..., aurait abandonné l'entreprise aussitôt après la rédaction de la "Notice" sur Voltaire. - Exemplaire ... ne comportant pas le portrait annoncé".- Notice n° : FRBNF31605504: Voltaire: Choix moral de lettres de Voltaire, précédé d'une Notice sur la vie et les ouvrages de cet écrivain célèbre et orné de son portrait... [Texte imprimé]. Paris, A. Boulland, 1824, in-12, portrait gr. par A. Tardieu, d'après La Tour. (Bengesco 2104.). Édition en 4 vol., le 4e vol. mq. ainsi que les couv. originales. - La "Notice" ... est ici anonyme. Bengesco 2104. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Genève et New-York, sans nom [Bruxelles, Henri Samuel] [imprimerie de Saint-Hélier], 1853 sur le titre, 1854 sur la couverture. Tirés à part: Jersey, novembre 1852 (Nox), décembre 1852 (Joyeuse vie), janvier 1853 (A l'obéissance passive), 30 novembre 1853 ( L'Expiation). 20 novembre 1853 pour le Discours. 24 février 1854 pour le banquet (Jersey, Genève et New-York). Un volume in-32 & la très rare collection complète des quatre imprimés des pièces extraites de l'édition non expurgée des Châtiments. Elles sont imprimées en une feuille non coupée de 16 pages in-32 y compris le titre Châtiments par Victor Hugo sauf A l'obéissance passive. Nox au-dessous duquel on lit: "Ce grand poète-orateur républicain...". Joyeuse Vie (Titre Châtiments). A l'Obéissance passive (sans titre général). L'Expiation (Titre Châtiments). Broché non coupé à l'état neuf pour les Châtiments avec sa couverture à la date de 1854 comme il se doit (Clouzot), parfait état pour les pré-originales.
Première édition complète des Châtiments en premier tirage. Joint quatre très rares éditions pré-originales parues quelques semaines seulement avant la publication des célèbres Châtiments de Victor Hugo. Ces pré-originales se composent en réalité de quatre plaquettes : "Nox" et "Joyeuse Vie", ainsi que "A l'obéissance passive" et "Expiation" qui ont été publiées séparément et clandestinement durant l'exil de leur auteur à Guernesey. « De l'édition non expurgée [de Châtiments], Hugo fit tirer quatre extraits destinés à être introduits en France par lettre. L'Expiation ; Joyeuse Vie ; À l'obéissance passive & Nox. Les deux premiers de ces extraits, Expiation et Joyeuse Vie ont été tirés à 2 000 exemplaires, les deux derniers A l'Obéissance passive et Nox à un nombre infime (10 ou 12 peut-être ?) sans qu'on en comprenne la raison. Ils sont restés longtemps inconnus » (Clouzot, Guide du bibliophile français, 149). Bien que le nombre d'impressions annoncé par Clouzot soit invérifiable, il n'en demeure pas moins que l'imprimeur belge Samuel indique à Victor Hugo avoir imprimé les deux premières à 2000 exemplaires chacune, alors que la troisième, Joyeuse vie, ne sera en fait imprimée qu'à tout petit nombre, quelques dizaines et la quatrième, A l'Obéissance passive, passera à la trappe. Pas de trace d'exemplaire dans la collection Zoummeroff, inconnu de Carteret et jamais vu par Vicaire, qui ne connaissait de visu que les deux premières. Carteret, Vicaire, IV, col. 312 et 313, Clouzot.
4 volumes in-8° , reliure en demi-chagrin brun , vers 1850, dos à nerfs plats cernés de filets à froid , filets maigres dorés en tête et pied et soulignant les 2 caissons où auteur et titres sont dorés.Reliure un peu frottée aux coiffes et coins et papier de certains plats, mais en bon état général. Piqûres à plusieurs textes dont "Odes et Ballades", éparses aux" Contemplations", piqûres aux deux premiers et trois derniers feuillets des " Orientales", sinon rares; papier jauni pour les " Chants du Crépuscule", avec manque en bordure de 3 feuillets, dont un angulaire sans aucune perte de texte; quelques piqûres aux " Voix intérieures".
Ensemble composé comme suit : 1er Volume, titre au dos " Odes", renferme : Odes et Ballades . Paris, Houssiaux, 1857; ( 4), XLVI, (II), 339pp. et 1 frontispice et 3 gravures hors texte. Suivi de : Les Contemplations. Tome I. Autrefois .1830 - 1843. Deuxième édition. Paris, Michel Lévy, Hetzel, Pagnerre, 1856; ( 4), 223pp. 2ème Volume , titre au dos " Les Contemplations ", renferme : les Contemplations. Tome II. Aujourd'hui. 1843 - 1856. Deuxième édition. Paris, Michel Lévy, Hetzel, Pagnerre, 1856 ;( 4), pp. 225 - 408pp. Pour les Contemplations, mention de Deuxième édition, mais parues la même année et chez les mêmes éditeurs que l' Edition origionale.3ème Volume, titre au dos " Les Orientales - Les Feuilles d' Automne", renferme : Oeuvres Complètes de Victor Hugo. Poésie III. Les Orientales. Paris, E. Michaud éditeur, 1844; XVIII, 368pp. et Oeuvres Complètes de Victor Hugo. Poésie IV. Les Feuilles d'automne. Douzième édition. Paris, Delloye, 1841; (4), XII, 316pp.4ème Volume , titre au dos les " Chants du Crépuscule - Les Voix intérieures " , renferme : Oeuvres Complètes de Victor Hugo. Poésie V Chants du crépuscule . Paris,Renduel Delloye, 1839; 336pp. et Oeuvres Complètes de Victor Hugo. Poésie VI. Les Voix intérieures. Paris, Renduel, 1837; XIV, 320pp. Edition originale pour le dernier titre : Les Voix Intérieures. ( Reu-CO1)
1885 Saint-Prix. (Charles Gadala). 1885. 1 volume in-8, plein maroquin rouge, dos à nerfs, tranches dorées, dentelle intérieure dorée. Reliure signée Joly. 452 pp.
Illustré de 3 portraits de Victor Hugo, dont 1 sur Chine d'une gravure à pleine page d’Albert Maignan, montrant l'esprit d'Hugo éclairant Paris.Exemplaire enrichi :- d’une lettre autographe signée de Victor Hugo, sur 2 feuillet à l’actrice et poétesse Clara Francia Mollard, qu’il aurait voulu « remercier autrement qu’en triste prose » mais il se plaint d’être souffrant. A celle dont il est le maitre à penser, il écrit « vous avez l’âme qui comprend le coeur ». (Janv. 1836) Elle fit paraitre en 1840 Grains de sable, un recueil de poésies, et décédera en 1843. - d’une lettre de Charles Hugo à Hector Carlin, maire de Saint-Prix, ami proche dont il se désespère de ne pas avoir de nouvelles. (Juin 1843)Adèle et les enfants de Victor Hugo séjourneront plusieurs années en vacances à Saint-Prix, dans la vallée de Montmorency.Exemplaire offert par Charles Gadala à sa soeur, Claire Labbé, accompagné d'un envoi autographe : « Recevez et conservez, ma bien chère soeur, ce livre, souvenir d’un frère qui vous aime bien tendrement ». Belle édition confidentielle que le collectionneur Charles Gadala publia pour ses proches, l'année de la mort d'Hugo. Rare impression de Saint-Prix, dans une belle reliure en plein maroquin.
Paris, Librairie internationale, 1866, , 3 vol. in-8. I : VIII-328 pp.; II : [3]-327 pp.; III : [3]-279 pp, demi-maroquin rouge, dos à nerfs, titre et tomaison dorés au dos, tête dorée, couverture conservée, Édition originale du roman de Victor Hugo, parue simultanément à Paris et Bruxelles selon la volonté de leur auteur, alors en exil à Guernesey. Si l'idée d'écrire un tel roman point dans l'esprit de Victor Hugo dès mars 1859, quelques mois avant la parution de la Légende des siècles (première série), sa rédaction ne débute que bien plus tard en 1864, pour être terminé l'année suivante. Le 2 janvier 1866, il écrit à Auguste Vacquerie : "J'ai la conscience de n'avoir rien fait qui dépasse ce livre ". Cette fesque sur fond marin est très attendue, avant même sa publication. En effet, deux propriétaires de journaux de l'époque, Hippolyte de Villemessant et Moïse Polydore Millaud demandent à Hugo de publier ce roman en feuilleton dans leurs journaux respectifs : L'Événement et Le Soleil. Millaud offre la somme de 500 000 francs à l'auteur, qui refuse. Il décide de contourner le poète pour s'adresser à son éditeur, Lacroix qui, lui accepte, et la diffusion du feuilleton des Travailleurs de la mer débute dans Le Soleil à partir du 17 avril 1866. Après avoir également essuyé un refus de la part d'Hugo, Villemessant riposte en offrant le livre en volumes aux acheteurs de L'Événement et aussi à ceux de la revue Le Soleil. Une bataille qui aura été fort profitable pour Hugo et son roman. Étiquette L. H. Vicaire, IV, 336; Ellisson, Les Modernités de Victor Hugo, Paris, Presses de la Sorbonne, 2004, p. 49-51. Taches et petites rousseurs, petits accrocs marginaux à la couverture, du faux-titre et du titre du tome III et quelques feuillets des autres tomes. Couverture rigide
Bon 3 vol. in-8. I : VIII-328
Genève, Ghisletty, 1870. Plaquette in-8 de 16 pages. Broché, couvertures vertes conservées (manque à la 1ère), au dos de la 4 ème la liste des brochures politiques de la Librairie Ghiletty de Genève, interdites en France sous l'Empire
Rare édition imprimée pour être expédiée clandestinement en France. Le texte de Victor Hugo est situé à Hauteville-House le 6 novembre 1867. Ce poème, anticlérical et opposé au gouvernement de Napoléon III, fut composé par Victor Hugo après la bataille de Mentana (1867) au cours de laquelle les troupes Françaises et Pontificales mirent en déroute les Chemises Rouges de Garibaldi. Il conduisit à l'arrêt des représentations d'Hernani à Paris: «Ces jeunes gens, ces fils de Brutus, de Camille, De Thraséas combien étaient-ils ? Quatre mille. Combien sont morts ? Six cents. Six cents ! Comptez, voyez. Une dispersion de membres foudroyés, Des bras rompus, des yeux troués et noirs, des ventres". La librairie Ghisletty annonce dans son catalogue en 4ème de couverture des brochures interdites pour la France: Victor Hugo: Napoléon le Petit ou Le Crime du Deux-Décembre, Les Châtiments, Le Christ au Vatican et La Voix de Guernesey. Pas dans Vicaire ; pour les autres éditions, cf. Vicaire, IV, 339-340.
Paris Calmann Levy, Editeur. Ancienne Maison Michel Lévy Frères 1882 in 12 (18,5x13) 2 volumes reliures demi chagrin maroquiné rouge de l'époque, dos à nerfs, 130 pages [2]. Edition originale de la mise en scène par Paul Meurice du drame d'après le roman de Victor Hugo, présentée au Théâtre de la Gaîté, 24 décembre 1881. François Paul Meurice, Paris 1818-1905, romancier et dramaturge français, ami de Victor Hugo et fondateur en 1902 de la Maison de Victor Hugo à Paris. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
# AUTEUR: Hugo Victor # ÉDITEUR: Ollendorff # ANNÉE ÉDITION: 1910 # ENVOI, BEAUX PAPIERS: Papier Japon # COUVERTURE: conservée # DÉTAILS: Fort in 8° relié 3ff.+ 783pp.+ 2ff. 22 hors-texte illustrés (dont le frontispice). Premier volume des 9 tomes des romans de l'édition des oeuvres complètes de Victor Hugo en 45 volumes, imprimés par l'imprimerie nationale de 1904 à 1952. Exemplaire de 1910, un des cinq sur papier Japon: n°4. Plein Chagrin marron, dos à 5 nerfs, titre doré, tête dorée, couverture et dos conservés. Illustrations par: Nanteuil, Cruikshank, Demarest, Rochegrosse, Boulanger, Devéria, Vogel, Gavarni, Steinlen. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
1ere édition critique (1902-1952) de Victor Hugo dite de ”l'imprimerie nationale” en 45 volumes. Chaque volume comprend une ”étude du manuscrit”, le texte proprement dit, les variantes et fragments, l'histoire du texte, des notes, une notice bibliographique sur les différentes éditions, une notice iconographique et une sélection de critiques contemporaines. Elle est illustrée de dessins de Victor Hugo, de couvertures des éditions originales, de vignettes, portraits, fac-similés et gravures d'époque. Cet exemplaires est un des 5 sur papier Japon.
Paris, Eugène Renduel, 1833 In-8 de (3) ff., XXIII, XXV-XXXIX, 183 pp., broché, entièrement non rogné avec témoins, couverture muette de papier rose, chemise-étui demi-maroquin havane à grain long.
"Exemplaire de deuxième émission avec les titres renouvelés à la date de 1833 afin d'intégrer le volume aux oeuvres complètes de Victor Hugo. Drame en cinq actes et en vers, Le Roi s'amuse, représenté pour la première fois le 22 novembre 1832 à la Comédie-Française, fut interdit dès le lendemain ; le pouvoir louis-philippard goûtant très modérément les critiques à l'encontre de la monarchie et de la noblesse. ""Cette cause, Messieurs, n'est pas une cause ordinaire. […], c'est le procès d'un citoyen à un gouvernement. Au fond de cette affaire, il y a une pièce défendue par ordre ; or, une pièce défendue par ordre, c'est la censure […]"". Hugo intenta alors un procès au gouvernement, devant le tribunal de Commerce. Plaidant lui-même, il y prononça le 19 décembre 1832, un discours, véhément manifeste politique pour la défense des libertés, imprimé par Renduel pour s'adjoindre à la préface de l'édition. On retiendra notamment cette déclaration prophétique : ""Aujourd'hui on me fait prendre ma liberté de poète par un censeur, demain on me fera prendre ma liberté de citoyen par un gendarme ; aujourd'hui on me bannit du théâtre, demain on me bannira du pays ; aujourd'hui on me bâillonne, demain on me déportera […]"". Au-delà de la formidable tribune qu’elle offrit à un Hugo libéral, la censure, paradoxalement lui épargna la prolongation d’un monumental four. Destinée à sombrer dans les oubliettes du théâtre romantique, Le roi s’amuse atteindra une postérité aussi inattendue qu’universelle, à partir de 1851, grâce à l’opéra de Verdi, Rigoletto, dont le livret de Francesco Maria Piave reprend l’histoire, transposée de la cour de François Ier à celle du duc de Mantoue. Titre, à la date de 1832, illustré d'une vignette gravée sur bois par Andrew, Leloir et Best d'après un dessin de Tony Johannot et tirée sur chine appliqué. Cette composition représente Triboulet reconnaissant le corps de sa fille Blanche (acte V, sc. 4), avec au fond la grève de la Seine et la porte des Tournelles illuminée par l'éclair. Exemplaire unique tiré sur papier de Chine pour l'éditeur Eugène Renduel, enrichi de deux pièces additionnelles : - reçu autographe à l'encre brune daté du 6 janvier 1836, signé de Camille Rogier, de “trois cents francs, valeur de trois aquarelles pour Cromwel, le roi s'amuse et angelo” (un demi-feuillet in-8). - Discours prononcé par M. Victor Hugo le 19 décembre 1832, dev le tribunal du commerce, pour contraindre le Théâtre-Français à représenter, et le gouvernement à laisser représenter Le Roi s'amuse, imprimé à part et distribué “gratuitement aux personnes qui ont acheté les précédentes éditions du drame” (cahier volant de 8 pages, également sur chine, paginé XXV-XXXIX). Bel exemplaire cité par Vicaire et faisant alors partie de la bibliothèque Adolphe Jullien , dispersée en 1933. G. Vicaire, Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle, Paris, 1900, t. IV, 380. - H. Talvart et J. Place, Bibliographie des auteurs modernes de langue française, Paris, 1949, t. IX, p. 22, 30A. - É. Bertin, chronologie des livres de Victor Hugo … 1819-1851, [Alfortville], J. Doucet, 2013, p.104."
Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59
Cercle du bibliophile 1970 in8. 1970. broché. 35 volumes des Oeuvres romanesques dramatiques et politiques de Victor Hugo du n°1 au n° 37 - n°19-30-31 manquants --- livres illustrés en noir et blanc : Tome 1 à 10: Oeuvres romanesques: Les misérables (T. 1 à 4) Notre Dame de Paris Hans d'Islande Bug-Jargal Le dernier jour d'un condamné Claude Gueux Les travailleurs de la mer L'homme qui rit Quatre vingt treize. Tome 11 à 16: Oeuvres dramatiques: Cromwell Le château du diable Amy Robsart Marion de Lorme Hernani Irtamène Le roi s'amuse Lucrèce Borgia Marie Tudor A.Q.C.H.E.B. (à quelque chose hasard est bon) Angelo Tyran de Padoue La esmeralda Ruy Blas Inez de Castro Les burgraves Mille franc de récompense Torquemada Le théâtre en liberté Les jumeaux Athélie Tome 17 à 28 (Tome 19 manquant): Odes et ballades Les orientales Les feuilles d'automne les chants du crépuscule les voix intérieures les rayons et les ombres Les contemplations La légende des siècles (T. 21 et 22) les chansons des rues et des bois les années funestes l'âne la pitié suprême les quatre vents le pape religions et religion La fin de Satan Dieu Toute la lyre l'art d'être grand père dernière gerbe océan vers dictés par les tables tournantes de jersey Tome 29: Oeuvres critiques: William Shakespeare le tas de pierre /tomes 30 et 31 manquants/ Tome 32: Oeuvres politiques diverses: actes et paroles pendant l'exil 1852-1870 (suite) Depuis l'exil 1870-1884 Tome 33: Voyages: Le Rhin lettres à un ami Paris Tome 34 à 37: Témoignages: Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie Le livre de l'anniversaire Le tas de pierres mes fils mort de Victor Hugo Choses Vues (T.35-36-37): Carnets albums journaux littérature et philosophie mêlées les tables tournantes de Jersey
Bon état général qq rousseurs dans les plat intérieurs sur qq livres intérieurs globalement propre et frais bonne tenue des reliures en bon état dorure sur tranches supérieures - circa 1970
Rare édition originale « tirée à 500 exemplaires seulement » (Clouzot, 145). Paris, Eugène Renduel, 1832. In-8 de (2) ff. de faux-titre et titre, xiii pp. dont un frontispice, (1) f. (second faux-titre), 387 pp., (2) ff. de table. Qq. rares piqûres. Relié en demi-maroquin vert, dos lisse orné de fleurons dorés et mosaïqués de maroquin rouge, pièce de titre de maroquin rouge, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 203 x 127 mm.
Rare édition originale « tirée à 500 exemplaires seulement » (Clouzot, 145). Carteret, I, 403; Vicaire, IV, 272. « Rare sans mention d’édition » souligne Clouzot. « Il a été tiré quelques très rares exemplaires en grand papier dont on ignore le nombre … Ouvrage capital parmi les poésies de Victor Hugo, très rare, en bel état. » (Carteret). « Recueil de poèmes de Victor Hugo qui précède ‘les Chants du crépuscule’ et ‘les Rayons et les Ombres’. Le caractère de ce recueil semble défini par l’auteur lui-même dans sa préface : ‘Des feuilles tombées, des feuilles mortes, comme toutes feuilles d’automne. Ce n’est point là de la poésie de tumulte et de bruit ; ce sont des vers secrets et paisibles, des vers comme tout le monde en fait ou en rêve, des vers de la famille, du foyer domestique, de la vie privée ; des vers de l’intérieur de l’âme. C’est un regard mélancolique et résigné, jeté çà et là sur ce qui est, surtout sur ce qui a été. C’est l’écho de ces pensées, souvent inexprimables, qu’éveillent confusément dans notre esprit les mille objets de la création qui souffrent ou qui languissent autour de nous : une fleur qui s’en va, une étoile qui tombe, un soleil qui se couche, une église sans toit, une rue pleine d’herbe [...]’. Jamais Victor Hugo n’a été plus heureux dans l’expression, plus tendre et plus vrai que lorsqu’il parle de son enfance. Les grâces, les jeux des enfants, les regrets, les affections familiales, n’ont jamais été chantés par ce poète avec autant de pathétique [...] Ces vers sont de 1830 ; Victor Hugo avait donc 28 ans quand il les écrivait. Fallait-il qu’il eut déjà plongé au fond de toute chose pour en rapporter avant le temps ces fruits amers ! Aussi cette âme d’une trempe extraordinaire ne pouvait-elle se contenter, malgré les confidences de la préface, d’une poésie au caractère purement intimiste. [....] En un mot, ses extraordinaires talents de peintre, son besoin de grandiose, de l’épique ne peuvent se donner libre cours que s’il fait assumer aux moindres souvenirs et circonstances de sa vie, un caractère héroïque, une signification exemplaire [...] C’est ainsi qu’à la voix moelleuse et tendre de Lamartine répond cette voix ardente et rauque : le légitimiste de 1820 s’apprête à devenir le chantre des grandes convulsions historiques, le poète de la tragédie des peuples. Aussi ce ‘paisible’ recueil s’achève-t-il sur une vision apocalyptique de l’Europe qui frémit encore sous la tyrannie et s’apprête à la révolte. Sainte-Beuve jugeait ainsi ‘les Feuilles d’automne’ ‘Exquis pour les gens du métier, original et essentiel entre les autres productions de l’auteur, le recueil des ‘Feuilles d’automne’ est aussi en parfaite harmonie avec ce siècle de rénovation confuse’. Le style, le rythme, y ont pris toute leur perfection. Le poète s’est surpassé en aisance et en naturel. Parmi les poèmes devenus célèbres il faut citer ‘Prière pour tous’, qui renferme des pages d’une rare beauté [...] » (Dictionnaire des Œuvres, III, pp. 89-90). Très bel exemplaire cette originale recherchée conservé dans son élégante reliure de l’époque. Ex-libris Dousse est l’amitié.
Bibliothèque mondiale. 1953. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Papier jauni. 318 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Situation de Victor Hugo par André Maurois - Seule vraie source de quatrevingt-treize : Victor Hugo par Raymond Escholier - Quatrevingt-treize par Victor Hugo - Victor Hugo au centre du romantisme par Henri Clouard.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[Imprimerie de Béthune et Plon, Royer, Delloye, Rossignol et Cie, Chez tous les Marchands de Nouveauté, Chez L. Hachette, Tresse] - NUS, Eugène ; FERTIAULT, François ; HUGO, Victor ; BARTHELEMY ; LEGOUVE, Ernest ; RIQUIER-ALDEE, M. H. ; BERNOT, J.-B.
Reference : 35575
(1840)
1 vol. in-8 reliure demi-basane marron, dos lisse, contient : Le dix-neuvième Siècle. Satires (par Eugène Nus et François Fertiault), A. Royer, Paris, 1840, 2 ff., 54 pp. et 1 f. n. ch. [ Suivi de : ] Le Retour de l'Empereur (par Victor Hugo), Delloye, Libraire, Paris, 30 pp. et 1 f. blanc [ Suivi de : ] Syphilis (par Barthélémy), IV-80 pp. sans titre ni faux-titre [ Suivi de : ] La Colonne de Mazagran (par Barthélémy), Imprimerie de Béthune et Plon, Paris, 1840, 16 pp. [ Suivi de : ] Paris. Revue satirique. A. M. G. Delessert, Préfet de Police (par Barthélémy), Rossignol et Cie, Paris, 1838, 24 pp. [ Suivi de : ] L'Orthographe vengée (par Barthélémy) Imprimerie de Béthune et Plon, Paris, 1837, 15 pp. [ Suivi de : ] Le Mardi des Cendres (par Barthélémy), Chez tous les Marchands de Nouveauté, Paris, 1841, 24 pp. [ Suivi de : ] Guerrero ou la Trahison, Tragédie en cinq actes et en vers (par Legouvé), Tresse, Paris, 1845, 194 pp. [ Suivi de : ] Héli, Tragédie en cinq actes et en vers tirée de l'Ecriture Sainte (par Riquier-Aldée), Tresse, Paris, 1844, 78 pp. [ Suivi de : ] Oedipe à Colone, Tragédie de Sophocle, traduite en vers français avec notes et rapprochemenbts littéraires, par J. B. Bernot, Chez L. Hachette, Paris, Chez Deville, Macon, 1845, 108 pp.
Très intéressant et rare recueil de plaquettes romantiques proposant notamment le très rare exemplaire de l'édition originale du "Retour de l'Empereur" de Victor Hugo (bien complet du dernier feuillet blanc). TLa quasi totalité des pièces ici présentes sont également en édition originale. Etat très satisfaisant (rel. lég. frottée, petit mq. en mors en queue). Escoffier, 1393-1394 (Hugo) ; Vicaire, IV, 296 (Hugo) ; Nauroy, 115 (Barthélémy, Paris) ; Nauroy, 116 (Barthélémy, Mazagran) ; Nauroy, 116 (Barthélémy, Mardi).
Paris, Eugène Renduel, 1833. 2 vol. in-8, XVI-414 pp. + 422 pp., demi-veau à coins bleu de l'époque, filets dorés sur les plats, dos à nerfs orné de caissons et filets dorés, tranches mouchetées (épidermure).
Quatrième édition du texte de Victor Hugo qui constitue le VIe romans des Oeuvres de Victor Hugo publiées par Eugène Renduel. Ce roman écrit dans sa prime jeunesse, Victor Hugo ayant dix-huit ans lors de la rédaction de sa première version, parait en 1820 dans Le Conservateur littéraire, sans nom d'auteur. La première édition en volume date de février 1823, toujours sans nom d'auteur mais elle est fautive. Alors en avril de cette même année, Hugo fait paraître une version dont il a corrigé les coquilles et remanié quelques passages. C'est en 1832 qu'Hugo et Renduel, son éditeur, envisagent la présente édition. Elle paraîtra l'année suivante avec ses trois préfaces datées respectivement de mai 1833, janvier 1823 pour la première édition et avril 1823 pour la seconde. Ex-libris Bibliothèque de M. Choppin, Avocat. Han dIslande, Texte établi par Gustave Simon, Ollendorff, 1910, pp. 347-350. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Imprimé par l'Imprimerie Nationale, édité pour la Librairie Ollendorff, 1906. Grand in-8, broché, 557 pp., couverture imprimée. (Paul Meurice, par Georges-Victor Hugo). Préface (1842),
Ce volume comprend : une lettre et des fragments de lettres se rattachant au voyage, une suite d'études pour une histoire du Rhin : inédit. Des illustrations : Couverture de l'édition originale (1842). Et plusieurs planches de dessins au crayon de Victor Hugo. . Deux fac-similé de la lettre manuscrite Saint Goar, avec dessins de Victor Hugo : Le Theinfels et le Reichenberg. Bel ex. Photos sur demande.
--Ouvrage capital parmi les poésies de Victor Hugo-- HUGO (Victor).
Reference : 10471
P., Eugène Renduel, éditeur, rue des Grands-Augustins, n° 22, (Imprimerie Everat), MDCCC.XXXII (1832), 1 vol. in-8 (201 x 127) relié 1/2 veau marron, dos lisse avec fleurons à froid et filets dorés, reliure de l'époque, de (2) ff. (faux-titre " uvres de Victor Hugo " et titre) - XIII pp. (Frontispice orné d'une vignette de Tony Johannot gravée sur bois par Porret, daté " Novembre 1831 " et préface) - (1) f. (second faux-titre) - 387 pp. - (2) ff. (table). Bel exemplaire dans une reliure d'époque
Edition originale avec mention fictive de " Deuxième édition " en page de titre. " Tiré à 500 exemplaires + 235 de exemplaires de passe. Deux éditions fictives, tirées et mise en vente en même temps que la première tranche, portent les mentions : deuxième ou cinquième édition ". (Clouzot). Réf. biblio. : Vicaire IV, 271-272 - Carteret I, 403 - Clouzot 87-88 - Bertin " Chronologie des livres de Victor Hugo ", N°65, page 97.