8 books for « grouchy marechal de »Edit

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‎GROUCHY (Maréchal de)‎

Reference : 181284

‎Mémoires 1792-1840 ; publiés par son petit-fils le marquis de Grouchy‎

‎Paris, Dentu, 1873-1874 5 vol. in-8, broché.. Dos abîmé aux tomes 4 et 5. Rousseurs.‎


‎Mémoires dont la lecture permet de redonner toute sa valeur militaire à l'un des grands chefs de guerre du Premier Empire. Outre la justification de sa conduite à Waterloo, qui occupe la fin du tome 3 et le tome 4 de l'ouvrage, le témoignage s'étend des événements de Vendée (1793) à la campagne de France (1814), où il fut grièvement blessé.Fierro, 676. Tulard, 655.Mémoires dont la lecture permet de redonner toute sa valeur militaire à l'un des grands chefs de guerre du Premier Empire. Outre la justification de sa conduite à Waterloo, qui occupe la fin du tome 3 et le tome 4 de l'ouvrage, le témoignage s'étend des événements de Vendée (1793) à la campagne de France (1814), où il fut grièvement blessé.Fierro, 676. Tulard, 655. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR800.00 (€800.00 )

‎(Maréchal Grouchy).‎

Reference : 19491

‎Faire-part de décés de la veuve du Maréchal Grouchy.Monsieur François Saint Maur, ancien Président de la Cour d'Appel de Pau, madame L. Guillemard [...] ont l'honneur de vous faire part de la perte [...] de madame Joséphine Fanny Hua, veuve de monsieur le Marquis de Grouchy, Maréchal et Pair de France [...] décédée en sa villa de Pau, le 20 juin 1889 dans sa 87e année [...].‎

‎ Pau, imprimerie Bérot, 1889, 1 1 feuillet imprimé. ‎


‎Le Maréchal Grouchy, entré dans l'Histoire pour être arrivé trop tard à Waterloo."A Waterloo, Napoléon attendait Grouchy (il mangeait... des fraises d'ou le retard)... et ce fût Blücher qui arriva".Familles citées: Saint Maur, Guillemard, Fombert de Villers, Charles Le Cour Grandmaison député de la Loire Inférieure, Bartet, Général de Moncets, Duret, Hua, le Marquis de Grouchy, le Marquis de Gouvello ancien député, la baronne de Man d'Allenrode, le Marquis d'Ormesson, le comte d'Ormesson ministre plénipotentiaire (grand-père de l'écrivain Jean d'Ormesson), de la Celle, l'Amiral de Fayolles, Desplageux. ‎

Librairie Ancienne du Vivarais - Saint Etienne de Boulogne

Phone number : 06 80 15 77 01

EUR20.00 (€20.00 )

‎HOUBIGANT (Armand Gustave) parfumeur et homme politique français, beaufrère du Maréchal Grouchy, fils du grand parfumeur Jean-François Houbigant. Il fut maire de Nogent sur Oise pendant plusieurs années (1790-1863). ‎

Reference : 159C19

‎Minute d’une lettre autographe signée au fils du Maréchal Grouchy, Victor, comte puis marquis de Grouchy. Paris, 3 décembre 1847. 2 pp. in-8 avec nombreux repentirs et corrections. On joint la lettre autographe signée de la réponse du marquis de Grouchy. Paris, le 6 janvier 1848. 1 pp. in-8. ‎

‎Très intéressant ensemble. « Dans une lettre que Madame la Maréchale de Grouchy vient d’adresser à sa sœur (Céleste Houbigant), elle me prie de réclamer auprès de vous deux objets qui étaient autrefois dans ses appartements et auxquels elle attache un intérêt tout particulier. Le premier est un médaillon en bronze, par David le sculpteur qui a le mérite de rappeler parfaitement les traits du Maréchal dans les dernières années. Vous savez qu’on peut très facilement multiplier ces médaillons-bas-reliefs, alors qu’on possède un premier modèle. Soyez donc assez bon pour faire faire à son intention un exemplaire de ce médaillon et si vous ne vouliez pas nous donner cet exemplaire, je me chargerai de le faire faire […] Le second objet est une petite table en bois de spa décorée de quelques fleurs peintes par ma femme. Comme objet d’art, cette table est sans valeur ; elle a été donnée par ma femme à sa sœur Fanny… ». En réponse, le fils du maréchal regrette que la maréchale se soit manifestée si tardivement. « La petite table en bois de spa a malheureusement été vendue à l’hôtel des Commissaires priseurs, ou envoyée à la campagne parmi quelques meubles que ma femme a gardée […] Notre intention est de faire trois lots : 1° du portrait de mon père ; 2° de son buste ; 3° de la statuette et du médaillon en bronze par David. Ces lots seront tirés au sort, et celui qui obtiendra le médaillon en bronze, « s’empressera, sans nul doute de la mettre à la disposition de Madame la Maréchale, pour en faire une copie… ». ‎


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Phone number : 33 01 45 66 48 65

EUR780.00 (€780.00 )

‎[GROUCHY] Noémie GROUCHY, fille du Maréchal d'Empire emportée par la maladie à l'âge de 13 ans (1830-1843) ‎

Reference : 123C17

‎Réunion de 7 lettres décorées adressées à elle, par son oncle Armand Gustave Houbigant (3), ses tantes Céleste Houbigant (2) et Aglaé (1) et par sa cousine Louise (1). Adresse et marques postales.‎

‎Armand Gustave HOUBIGANT( 1790-1863), beau-frère du Maréchal Grouchy, était le fils du grand parfumeur Jean-François Houbigant, fournisseur de Marie-Antoinette, également de Mme du Barry, de Napoléon 1er et de la reine Victoria. Lui-même parfumeur, historien et homme politique, il fut maire de Nogent sur Oise pendant plusieurs années. Ces lettres sont datées de 1839, 1840, 1842, et de 1843 formant 15 pp. in-8. Belle correspondance composée de lettres pleines de tendresse pour le « petit ange », avec de magnifiques illustrations où l'on retrouve Pierrot, Polichinelle et Arlequin, ainsi que des décors de fleurs et d'un singe dans divers attraits, évoluant dans des métiers variés.‎

‎L'ensemble des 7 lettres‎


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EUR1,450.00 (€1,450.00 )

‎GROUCHY (Emmanuel de) général français de la Révolution et maréchal d’Empire (1766-1847) ‎

Reference : 157C19

‎Lettre autographe signée de sa griffe à sa femme Fanny. La Ferrière, 19 mars 1836. 3 pp. in-8. Adresse et marques postales. Légère déchirure provoquée par la brisure du cachet de cire‎

‎Il se trouve à la Ferrière, et annonce à Fanny que l’arrivée de ses deux lettres l’ont soulagé car il les attendait avec « une douloureuse impatience », sur l’état de santé de « notre chère enfant ». Noémie Grouchy, fille du maréchal née en 1830 devait succomber à une maladie en 1843. « Toutefois je suis encore tracassé de ce qu’aucune cause ne puisse être assignée à cette fièvre, si forte, si soudaine et qui cesse aussi inopinément, qu’elle est venue ! Comment d’ailleurs n’être pas dans de continuelles anxiétés en voyant le développement prématuré de cette pauvre petite, sa dévorante activité, sa sensibilité nerveuse, la faiblesse de son estomac… ». Faire voyager Noémie, par la malle-poste lui parait peu recommandé. « Le mieux me semblerait donc que je t’allasse te retrouver, la première semaine d’avril : nous passerions à Paris, le reste de ce mois et le deux may ; lendemain de la fête du roy, nous répartirions pour la Ferrière. » Sa santé passée s’améliore et il a pu remonter à cheval sans fatigue, « et avec un vrai plaisir physique mais l’exercice à pied me peine beaucoup et mes jambes sont toujours enflées ». Le printemps est prononcé ajoute-t-il, « tout pousse, pourvu que ces beaux jours ne soient pas suivis de biens vilains, le mois prochain ! ». Il lui demande de lui apporter plusieurs choses, un nouveau serre-bras, du papier et du thé. ‎


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EUR180.00 (€180.00 )

‎GROUCHY (Fanny de, née Hua) épouse le maréchal de Grouchy en 1827 (1802-1880). ‎

Reference : 157BC19

‎Lettre autographe signée à son beau-frère Armand Gustave Houbigant. Groussay, 3 décembre. 3 pp. in-8. Adresse. ‎

‎En lui remémorant le triste voyage il y a maintenant 9 années, elle lui avoue qu’elle vit plus avec les morts, qu’avec les vivants. Au-delà de ce triste déplacement, elle le remercie des détails sur son installation de son « charmant Nogent (Nogent sur Oise, habitation devenue la Mairie actuelle). Vous avez raison de penser que je m’y intéresse, c’est un endroit que j’ai toujours aimé que je trouve délicieux et que je vous envierais si je pouvais envier quelque chose de ce monde. J’espère l’année prochaine voir par moimême tous vos embellissements mais je pense comme Céleste (sa sœur et l’épouse d’Armand Gustave Houbigant), qu’il est désespérant d’abattre d’aussi beaux arbres et malgré votre bon goût ordinaire (et qui m’est bien connu) je pense qu’il y aurait un moyen d’épargner ces arbres ou du moins d’en conserver quelques uns. ». Elle lui apprend que le maréchal chasse chaque semaine. « Il est revenu hier soir de Rambouillet et repart demain matin pour Pontchartrain. Il s’amuse comme un bienheureux et se porte fort bien… ». ‎


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EUR280.00 (€280.00 )

‎GROUCHY (Emmanuel de) général français de la Révolution et maréchal d’Empire (1766-1847) ‎

Reference : 156C19

‎Ensemble de 8 lettres autographes signées « Em. Gr » à son épouse Fanny. 31 p. in-8. De juillet à décembre 1829. Adresses et marques postales. ‎

‎On ne connaît que peu de chose sur l’activité et sur la postériorité du maréchal après la bataille de Waterloo, épisode tellement controversé, à propos de son rôle dans cette bataille, que l’on accuse communément d’avoir fait perdre, par son inertie. Dans cette copieuse correspondance, on ne peut que constater que ces lettres sont chargées d’un contenu, évoquant une grande tendresse. Elle nous révèle une admiration et un attachement partagé par le couple Grouchy. Il est dans son château de la Ferrière et informe Fanny de toutes les obligations liées à ce domaine et lui retrace ses déplacements à Paris, en particulier d’un dîner chez le père de Fanny en présence de plusieurs convives et des Dupaty (l’auteur et chansonnier Emmanuel Dupaty) dont la soirée se termina avec lui, par une partie d’échecs, après une visite aux Tuileries. « Hier nous fûmes comme des aventuriers aux Tuileries et Mr de Saint Joseph qui vient causer avec nous m’a dit que sa femme était grosse et qu’elle regrettait fort de t’avoir si peu vu à l’époque de son mariage », l’amenant à lui faire part de son observation concernant la multitude de femmes enceintes qu’il rencontrait au hasard de ses promenades. « Je ne sais pas comment seront les bals cet hiver, mais bien surement bon nombre de danseuses n’y seront pas. ». Il lui donne des nouvelles de l’élevage de Chevreuils qui « sont superbes » lui parle de leurs chevaux, des chiens « qui se portent bien », enfin d’une manière générale de la vie dans la ferme du château. La présence de Fanny loin de la Ferrière le désole. « J’y ai trouvé tout en bon ordre mais tu n’y es point : c’est te dire que je ne puis y goûter de satisfaction, ni m’y plaire. C’est pour moi une triste solitude que ce lieu quand je l’habitais sans ma bien aimée […] Me voilà ici depuis hier, ma chère femme : la route de Caen à Villiers est si mauvaise que je me suis bien félicité en la parcourant que tu n’es plus à le faire, dans ton état. Je ne sais en vérité comment tu t’en serais tirée : mes chevaux m’attendaient à Aunay (Aunay sur Odon), et dans les deux heures j’étais à la Ferière (sic). ». Concernant la vente de son bois, les marchands sont venus et ont signé les billets (à ordre), « Voilà une affaire finie », affaire qui le désolera suite au retour de ces billets, « escomptés à notre départ sont revenus protestés et voilà un nouvel embarras pécuniaire ». Cette situation a nécessité une démarche près de leur avocat « pour commencer un procès à ces gueux de marchands de bois…Tu juges combien je suis contrarié de cette anicroche, heureusement que ces marchands là ne sont pas au nombre des acquéreurs des coupes dernièrement vendues. ». Mi-novembre 1829, il est rassuré de la santé de Fanny, la sienne en revanche n’est pas fameuse, son rhumatisme dans la tête le fait encore souffrir ajouté à un mal de gorge. « Sans doute que le temps qui est devenu inopinément très vigoureux contribue principalement à ce mal… ». Il l’informe de ses contrariétés. « j’en éprouve de toutes les couleurs depuis mon arrivée, toujours les mêmes embarras, avec les fermiers de Surlemont : ils ne fournissent ni le bled, ni l’avoine qu’ils doivent : on ne sait comment nourrir les chevaux, il faut tout acheter… ». Le froid et la gelée l’empêcheront de se rendre à l’Hermitage « où mes chiens sont déjà rendus… Si cela dure, adieu la chasse pour cette année. Tu sais que le désir de pouvoir m’occuper de ma lettre aux auteurs du petit poème de Waterloo, entrait au nombre des motifs qui m’amenaient à la Ferière […] J’ai oublié de te donner des nouvelles des paons, et du cygne, ils se portent bien, et les poneys sont grands comme père et mère… ». Il abandonne son idée d’aller à la chasse. « Je ne vois que trop combien tu souffres de mon absence, je vais t’en faire le sacrifice et envoyer en express, dire à mon équipage dès ce soir - la peine que me fait de ma priver d’un plaisir si vif maintenant pour moi sera bien vite passé en songeant à la satisfaction que tu en auras n’est-ce-pas qu’elle sera réelle, ma bien aimée et que cette preuve d’affection te touchera un peu. ». La rejoindre est conditionné à « des rentrées de fonds » qui ne dépendent pas de lui, « sont-ce qui m’arrête ; tu dois bien croire que seul ici, ne pouvant sortir ni chasser, et n’ayant plus d’ouvriers puisqu’ils sont partis aux bois, le séjour de la Ferière, n’a rien qui soit propre à me faire désirer d’y rester ». Il ne voit dans les journaux, « qu’histoires de voleurs » et revient vers des nouvelles plus réjouissantes. « Les 3 paons sont chaque jour sous mes fenêtres, attendant leur petite redevance du matin… Les petits chiens sont gras comme père et mère et aucun n’est malade jusqu’à ce jour… ». Il lui adresse pour l’imprimeur, « deux nouvelles feuilles à envoyer de suite chez Didot (imprimeur, éditeur, Firmin Didot) : fais les y porter immédiatement après les avoir reçues, car ils sont très lents dans cette imprimerie, et je voudrais n’avoir que les épreuves à revoir à mon arrivée ». Il pense la retrouver à Paris, vers le 5 (décembre), et lui demande de faire retenir la malle-poste pour la veille « et m’envoyer un cabriolet à Aunay, le trois, la pensée de se voir enfin, le moment où je te presserai contre mon cœur me fait du bien : elle me fait oublier que je suis encore bien dolent, car le soir presque ridiculement exagéré que j’ai près de ma vieille carcasse, a prévenu une forte attaque de rhumatismes, mais n’a pu suffire pour me désarmer de douleurs vagues, et de cette tristesse provenant du dérangement physique nerveux qui en ce moment m’accable et ne prend assurément pas sa source dans les sentiments des souvenirs qui ne m’occupent pas plus ici qu’ailleurs. D’ailleurs, chère et vertueuse épouse, crois bien qu’ils n’ont de pénible depuis que tu me fais si complètement oublier les amertumes de ma vie, que le chagrins qu’ils te causent : ils sont à mes yeux, l’acquittement d’une dette sauvée : mais non une prolongation de regrets qui soient même à t’affliger ou à te blesser – avec le temps, tu les approuveras mieux que tu ne peux encore le faire. Je vais envoyer à Mr Longchamps surement cette explication pour qu’il tache d’envoyer, ce que tu désires, la non venu de ton mari à Paris… ». Il la remercie pour l’envoi de la brochure du général Gérard, « J’y répondrai, c’est nécessaire, de toutes les manières - Gardes les épreuves de ma lettre…Je les recorrigerai à mon arrivée et avant mon départ je t’expédierai la fin de cette réponse, que j’aurais voulu faire courte mais c’est chose impossible ; J’espère que désormais que tu la trouveras mesurée. Si d’ailleurs elle n’est pas bien, j’y ferai, à Paris, les changements que nous croyons devoir améliorer : il est trop tard pour renvoyer ici les épreuves…». ‎


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EUR1,250.00 (€1,250.00 )

‎HOUBIGANT (Armand Gustave) parfumeur et homme politique français, beau-frère du Maréchal Grouchy, fils du grand parfumeur Jean-François Houbigant, fournisseur de Marie-Antoinette, également de Mme du Barry, de Napoléon 1er et de la reine Victoria. Il fut maire de Nogent sur Oise pendant plusieurs années (1790-1863). ‎

Reference : 158C19

‎Lettre autographe signée à sa belle-sœur, la maréchale Fanny de Grouchy. Paris 5 janvier 1863. 3 pp. in-8. ‎

‎[WATERLOO] Dernière lettre adressée à sa belle sœur d’après une note écrite par la maréchale. Son beau-frère décèdera quelques jours plus tard, le 12 janvier suivant. Il pense que la lettre accompagnée du petit almanach a été perdue par la poste. Céleste, son épouse et sœur de Fanny, espère que les tracasseries domestiques de l’année passée ne se renouvelleront pas. « Vous avez du être contente des articles de Mr A. nettement sur Waterloo. Mr de Grouchy y est pleinement, et simplement justifié. Pour mon compte j’en ai été si parfaitement satisfait, qu’après les avoir extraits tous des journaux où on nous les a donnés que je les ai réuni en un corps de volume et que je vais les faire relier avec le travail d’Edgard qui le premier, a tenté de donner une idée plus exacte des causes de la bataille de Waterloo que ne l’avait fait Mr Thiers, qui ne veut pas que son héros se soit trompé, et qui comme lui, rejette sur les lieutenants les fautes commises par lui-même. ». Il lui apprend qu’il va certainement mieux « et cependant je ne saurais dire que je vais bien - J’ai à l’estomac un état nerveux qui me donne un état d’anxiété insupportable puis un embarras gastrique qui m’ôte toute espèce d’appétit. Le Docteur me dit ce sera long… ». ‎


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