1958 1 P., Mercure de France, 1958, 2 volumes in-8° brochés de 319 & 329 pages.
Première édition. Sept illustrations hors-texte en noir dont le portrait-frontispice de l'écrivain au tome 1. Table générale au tome 2.
MERCURE DE FRANCE. 1958. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 319 pages + 329 pages - quelques illustrations en noir et blanc hors texte - pages non coupées.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Publiée et annotée par A.B.Duff avec la collaboration de R.Rancoeur. Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
GOBINEAU (Joseph-Arthur, comte de) et et GOBINEAU (Caroline de, en religion mère Bénédicte de).
Reference : 101482
(1958)
Mercure de France, 1958, 2 vol. in-8°, 319 et 329 pp, 7 planches hors texte, dont le frontispice du tome I, brochés, bon état. Première et unique édition
223 lettres (154 de Gobineau, 69 par sa sœur Caroline). Cet ouvrage contient aussi 4 importants fragments des souvenirs de la comtesse de La Tour sur les dernières années de Gobineau. La Correspondance de Gobineau est en grande partie inédite, à l’exception de celle échangée avec sa sœur et de celle avec Tocqueville. — "Ces deux cent vingt-trois lettres ont été échangées en l'espace de dix ans entre Gobineau et sa sœur, religieuse bénédictine à Sainte-Cécile de Solesmes. Au début de cette correspondance l'auteur de l'Essai sur l'inégalité des races humaines était ministre de France à Stockholm. De part et d'autre les lettres sont extrêmement affectueuses : Gobineau prend sa sœur pour confidente, l'entretient de ses soucis de famille (il vivait séparé de sa femme), de ses fonctions de diplomate, de ses travaux littéraires. En 1877, la « carrière » lui réservait une amère déception : il était assez brusquement mis à la retraite. D'un caractère maladif et d'une médiocre santé, il allait en outre souffrir d'embarras d'argent. Il alla vivre en Italie, à Rome, où il fréquentait la haute société cosmopolite, se consolant de n'être qu'un écrivain méconnu en s' adonnant à la sculpture. Malade, assombri, il devait mourir en octobre 1882." (Revue des Deux Mondes, 1958)