Paris, Chez Duprat-Duverger, Chez H. Nicolle, 1808, in-8, pleine basane à dos long décoré, pièces de titre et de tomaison. Coiffes supérieures frottées, coins légèrement émoussés, , 583, 608 pages. Bon exemplaire solide et frais. Impression sur papier vergé. Exemplaire exempt de rousseurs.
Henri de Régnier. Michel Davet. Gaston Rageot. Henri-Robert. Georges Girard. Funck-Brentano. Louis Bertrand. Emile Baumann. Lucie Delarue-Mardrus. Henry Bordeaux.
Reference : 84198
(1934)
Paris Editions Albin Michel, 1934-1941, in-12, broché, Ensemble en bon état. Certains exemplaires non découronnés.
Textes de Jules Romains, André Siegfried, Jean Cassou et Georges Friedman. Photographies de Nora Dumas, Ergy Landau, Robert Doisneau, Fregnack, F. Girard, J. Lang, Raux, René Jacques, Pierre Jahan, Willy Ronis, Roger Schall, Steiner, Jean-Pierre Sudre, René Zuber
Reference : 84275
Paris, Draeger, 1951. In-4, cartonnage éditeur, 251p. Impression en héliogravure. Intérieur de toute fraîcheur. Premier plat défraîchi.
Paris, Editions André Bonne, 1951, in-8, broché, Bon état.
Paris, Julliard, mai 1953, 14x19cm, broché, 276p. Bel exemplaire.
Paris, André Bonne, 20 mars 1950, 135x195mm, demi-basane, dos a nerfs, 375p. Edition originale. Envoi de l'auteur.
Khrouchtchev. Introduction, commentaires et note de Edward Crankshaw. Trad. de Paul Chwat, Pierre GIrard et Raymond Olcina, sous la direction de Jacques Michel.
Reference : 79275
(1971)
Paris, Editions Robert Laffont, 1971, in-8, broché, 589 pages. 2 pages annotées au stylo (p.455/456), sinon bon état.
Paris, Les Presses françaises, 1923, in-12, Broché, 87 pages. Bon état.
Georges Salamon, P. Peretti-Viton, J. Faure, L. Delannoy, L. Fan, N. Girard, P. André
Reference : 15564
(1992)
Paris, Springer-Verlag. Euthérapie., 1992, Broché, 396 pages. 330 illustrations. TBE
Paris, Edité par l'auteur, 1971, in-8, broché, 503 pages Envoi de l'auteur. Bon état.
Paris, Le Livre de Poche, Pluriel, 1980, poche, broché, 534 pages. Bon état.
Paris, Les Belles Lettres, 1926, in-12, Broché, 91 pages. Bon état. Sous cristal.
Paris, Berger Levrault et Cie, 1909, in-8, Broché , 380 pages. Nbr. croquis, diagrammes, photographies. Dos insolé. Intérieur très frais. Bel exemplaire.
Paris, M21 EDITIONS, 2008, in-8, Broché, 214 pages. Très bon état.
Paris, M21 Editions, 2006, in-8, Broché, 227 pages. Très bon état.
Paris, Payot, 1976, poche, Broché, 381 pages. Couverture légèrement défraîchie, plis au dos. Bon et solide exemplaire.
Paris, Imprimerie de Ch. Jouaust, (1860). 7 pieces in 1 volume. 2 pp.; 16 pp.; 24 pp.; 13, (1) pp.; 14 pp.; (4), 71, (1) pp.; 40 pp. 4to. Modern half morocco, marbled boards, spine lettered in gilt. Not in Siegelaub, Bibliographica Textilia historiae; Hoefer, vol. xx, cols. 668-678; Dictionnaire de Biographie Française, vol. 16, cols 168-170. Philippe de Girard invented the machine for spinning linen along principles still valid today. He was awarded a million francs by Napoléon and, in anticipation started three factories. But due to political circumstances and the fact that Napoléon did not keep his promise, his factories, very succesful from the start, faced soon ruin and de Girard was imprisoned. Ruined and betrayed by two collaborators, he accepted an invitation by the Austrian government. He again set up a factory and was again succesful. When de Girard was awarded the gold medal given by the Société d'encouragement pour l'Industrie nationale, he returned to France. Despite his brilliant discoveries (de Girard was the inventor of many more novelties) and the intervention on his behalf by journalists, politicians and intellectuals, the government refused to give him any financial help or reward. De Girard died in 1845 and his niece continued to find a way to get the money once awarded to de Girard. Also Charles Dupin appealed to the government, but all to no avail. - A few pieces have contemporary underlining and handwritten notes and comments in the margins, three texts have been bound with their original, printed covers, the last text has a handwritten dedication to Monsieur Gudin or Godin by the Comtesse Vernède de Corneillan, née de Girard.
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Fribourg, St-Paul, 1953, gr. in-8°, 436 p. + 15 planches et illustrations, non coupé, reliure en d.-cuir aux coins dos avec titre or (bel exemplaire) / privater Halbledereinband schönes Exemplar.
Indices: Préf. par P. Grég. Bettin / Egger, E.: P. Girard und Pestalozzi / Wicki, H.: P. Girard und die Freiburger Bischofswahl von 1814/15. Ein Beitrag zur Frage nach Girards Weltanschauung / Müller, A.: P. Girard in Luzern 1824-1834 / Rüegg, F. P. Gregor Girards Abschiedsrede: ‘Mes adieux à mes auditeurs de philosophie à Lucerne’ / Egger, E.: P. Girard und die soziale Frage seiner Zeit / Rüegg, F.: Kult. Zustände im Freiburgischen zur Zeit Pater Girard's. Der Anteil seines Schülers Joseph Balthasar Muggly (Mugglin), Arzt zu Rechthalten, an ihrer Verbesserung / Charrière, Mgr F.: Le Père Girard, éducateur chrétien / Vauthey, Léon: La pédagogie du Père Girard. / Girolamo, Moretti: Examen de l'écriture du Père Girard. Analyse graphologique scientifique / Ruffieux, Roland: Le Père Girard et la politique fribourgeoise (1846-1850) / Moullet, M.: Iconographie du Père Grégoire Girard / Bibliographie : Père Girard / Régistre / Table.
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Plon, 1951, in-8°, x-320 pp, préface de Paul Desachy, broché, couv. illustrée lég. salie, bon état. Edition originale
"Etienne-François Girard, d'une famille de vignerons de Châteaudun, s'engagea en 1784, à moins de dix-huit ans, au régiment de Neustrie qui, peu après, alla tenir garnison à Wissembourg. Sur la vie dans les régiments à la fin de l'ancien régime, les Cahiers apportent d'intéressantes précisions. Le jeune soldat était alors complètement illettré, mais il avait la ferme volonté de s'instruire et de gagner des grades. De fait la Révolution aidant, Girard, en 1793, devint officier et fut affecté à l'état-major, ce qui prouve qu'il avait perfectionné son instruction. Il fut blessé au siège de Toulon, envoyé à l'armée des Pyrénées orientales, à celle d'Italie sous Bonaparte, puis en Bretagne. En 1805, sur sa demande, il est affecté à la Grande Armée, à l'état-major de Ney ; il est à léna, à Eylau, à Friedland, assiste à l'entrevue de Tilsitt. Après quoi, toujours avec Ney, il passe en Espagne où il combattra jusqu'en 1813 et deviendra chef de bataillon. A peine revenu en France, il prend part à la campagne de France en 1814. Promu colonel il quittera définitivement le service et, sous la Restauration, sera pendant quelque temps maire de Toulon. Remplis de « choses vues », de faits bien observés, les Cahiers du colonel Girard méritent de prendre place sur le rayon des meilleurs mémoires militaires relatifs à la Révolution et à l'Empire." (Revue des Deux Mondes, 1952) — "Collaborateur du maréchal Ney, souvent en contact direct avec l'Empereur, il a participé aux campagnes d'Allemagne, de Pologne et d'Espagne (où il s'est opposé à Marmont). Ses savoureux mémoires apportent d'intéressants détails sur les états-majors des armées napoléoniennes." (Tulard, 628) — "... Des Mémoires passionnants sur les guerres napoléoniennes, ce sont les Cahiers du colonel Girard publiés par Paul Desachy qui en a découvert à Châteaudun le manuscrit jauni..." (André Billy, Le Figaro) — Nombreux sont les soldats de Napoléon qui ont raconté les événements extraordinaires auxquels ils ont pris part. La plupart des récits parvenus jusqu'à nous n'étaient pas destinés à la publicité, mais au cercle familial et à la descendance des mémorialistes. Découverts plus d'un siècle après leur rédaction, les cahiers d'Etienne-François Girard sont un témoignage exceptionnel sur la vie militaire de la fin de l'Ancien Régime à la chute de l'Empire. Cette autobiographie emporte le lecteur de Châteaudun, où l'auteur voit le jour dans une famille pauvre de la paysannerie beauceronne, à Toulon, ville dont il est trois fois le maire sous la Restauration et le régime suivant. De 1784 à 1814, de quels faits d'armes l'ascension du soldat de métier Girard est-elle jalonnée ! Orphelin, analphabète, engagé comme simple fantassin au régiment de Neustrie, qui devient le 10e d'infanterie après la Révolution, il fait avec cette unité les premières campagnes de la République. Au siège de Toulon, il est de ceux qui conquièrent au sabre et à la baïonnette une redoute anglaise. A l'armée des Pyrénées-Orientales, à celle d'Italie, à la Grande Armée – il est à Iéna aux côtés de l'Empereur – en Espagne et pendant la campagne de France, où il commande une brigade, Girard risque mille morts. La modestie qui caractérise son témoignage n'en donne que plus de force à ces pages d'héroïsme.
Bâle, Emanuel Tourneisen, 1787, gr. in-8°, XXVIII + 321 p., p. de titre bruni, nom manuscrit ‘Briere’ petit manque de papier dans la marge du titre (sans perte de texte), bruni vers la fin, non rogné, sur premier ff. bl. ms. ‘Rarissime, très estimé, par l'Abbé Girard de Fribourg’, sur titre nom ms. ‘Briere’, brochure en papier dominoté. Sur couverture ms. ‘Rare’. Dos restauré et renforcé, plats en papier dominoté d’origine conservées. Emboitage en toile sur carton récente.
Cet ouvrage contient uniquement les 50 familles nobles suisses commençant par la lettre A (Aa-Ayent). Suivies de 64 preuves et qqs additions. Signalons 8 noms du canton de Fribourg: Affry, Agnens de Delley, Alex, Alt de Tieffenthal, Arconcié, Avenches et Autigny. “Citant parfois les origines légendaires de certaines races helvétiques (dans son «Histoire abrégée des officiers suisses»), l'abbé n'échappe pas à leur séduction ni à l'emphase qu'il sied d'user à l'égard de leurs rejetons en place. Si bien qu'il se ravisera dans son «Nobiliaire militaire suisse» en commençant à en vérifier sérieusement l'origine et à apporter les preuves nécessaires.” (Ecrivains milit. fribourg.). L'abbé François Girard, frère du célèbre pédagogue et grammairien, le Père Grégoire Girard, fut professeur au Collège de St.-Michel à Fribourg en Suisse. L’ouvrage les ‘Ecrivains militaires fribourgeois p. 31-36 et 188’ (mentionne encore un 2e vol. paru en 1790); BCF 1381 (nom d'auteur Jean-François Girard); DHBS III/423, n° 6 (Jean-François Girard, und gibt für dieses Werk an: 2 Bde. 1787); Barth 10652 (sans nom d'auteur); Barbier III/416d (par J.-Fr. Girard. Basle, 1776-1787 sic). Image disp.
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1731 Aix : impr. de D. David, 1731; etc- 1 fort vol. in-folio, précédées d'un feuillet de titre général et d'un feuillet de table, veau brun trés abimé, dos orné à nerfs en partie manquant,plats trés usés ; tranches rouges (reliure de l'époque). contenant 28 des pièces en premier tirage (liste sur demande). total = 881 pp.,paginations separées - titre identique à l'exemplaire de la BNF du premier factum seul (58p.).- + copie manuscrite époque in fine: les lettres au Chancelier: magistrat à M. le président de Maliverny, la réponse de ce juge, et celles des autres messieurs qui ont été de son opinion (11 octobre-23 novembre 1732). 22 pp.; bon état,reglé - Sorcellerie et possession à Aix en Provence; Ollioules ; la Cadière.- Trés rare, rèstaurable.-
Recueil de pièces en originale ; du procès en sorcellerie du père Girard accusé d'avoir ensorcelé, violé et fait avorter une jeune fille de Toulon, Catherine Cadière. Sur les instances des frères de Catherine Cadière, il fut accusé de séduction et de magie lors d'un long procès à Aix qui passionna les foules. Mais, soutenu par les Jésuites, d'accusé il devint accusateur et le parlement d'Aix qui voulait sa mort le renvoya aux juges ecclésiastiques, qui se hatèrent de l'absoudre.Celebre affaire qui a suscite la curiosite de nombreux ecrivains, historiens, romanciers de 1731 jusqu’a nos jours. Catherine Cadiere, alors agee de 19 ans a ete seduite par le jesuite Girard, age de 48 ans. Manipulee par ses freres, folle et hysterique, elle fut accusee de sorcellerie en 1731. Ses convulsions en partie mises en scene ont attire l’attention de la justice. Un premier jugement la condamne a la potence. Elle est innocentee par un deuxieme jugement.« Ce procès qui retint l'attention de toute l'Europe scandalisée, se termina par l'acquittement de Girard, accusé "d'enchantement, rapt, inceste spirituel, avortement et subornation de témoins". Voici ce que semblent avoir été les faits, ce qu'attestèrent de nombreux témoins, dans un procès fort confus et que le père compliqua à souhait, dans une défense toute jésuitique. A dix-huit ans, Catherine Cadière prend comme directeur de conscience le père Girard, qui un jour, se penche sur sa bouche et lui jette un souffle. Dès lors, elle se sent transportée d'amour pour lui, elle est possédée. Elle a des extases, des visions, des crises convulsives où elle crie et blasphème. Certaines sont si violentes qu'elle doit garder le lit, ce qui permet au père de s'enfermer avec sa pénitente dans sa chambre. il profite de la violence d'un "accident d'obsession" qui la met hors de l'usage de ses sens pour se livrer à tous les attraits de la volupté et pour commettre les "crimes les plus infâmes". Elle fut enceinte, il la fit avorter. Il la fit enfin enfermer dans un couvent où il continua de la rencontrer jusqu'au jour où elle raconta tout à un autre confesseur » (Dictionnaire des oeuvres érotiques, 418). - Caillet n°1887 - Yves-Plessis sorcellerie n°1408 à 1454. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
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