Paris, Imprimerie de la République, s.d. (1796) in-8, titre, 17 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé. 
L'horticulteur Jacques-Martin Cels (1740-1806) avait été nommé membre de la section d'économie rurale de l'Académie des sciences en 1795.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait les prairies artificielles. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Metz, Imprimerie de Behmer, an 4 ou 1796 in-12, iv pp., pp. 5-263, broché sous couverture d'attente de papier bleu. Petits manques au dos, rousseurs.
Troisième édition, après celles de 1789 et 1795 (la première sous le titre de Traité des prairies artificielles ou Recherches sur les espèces de plantes qu’on peut cultiver avec le plus d’avantage en prairies artificielles, dans la généralité de Paris). L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne 1790 pour l'originale, mais les exemplaires de la BnF sont bien de 1789).Ex-libris manuscrit Alexandre Chapotte. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, veuve d'Houry & Debure, 1789 in-8, [2] ff. n. ch., 300 pp., avec 5 tableaux dépliants hors texte, broché sous couverture d'attente de papier marbré. Dos très défraîchi, fortes mouillures.
Édition originale. L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne par erreur 1790 pour l'originale). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT