Paris, Pigoreau, Sérier, 1821. in 12, broché, couverture muette, non rogné. (2)ff.-287 pp.,
frontispice de Fragonard lithographié par Villain. EDITION ORIGINALE. “ Il est impossible (dit la Quotidienne), de ne pas prendre le plus vif intérêt à Marguerite d’Alby, dont les malheurs et la vertu font couler les larmes du lecteur le moins sensible. Beaucoup de simplicité dans les récits, un charme extrême dans les détails et une grande variété dans les épisodes ; telles sont les qualités particulières qui recommandent cette production, vraiment remarquable, à tous les gens de goût. Observons deux choses qui nuiront à ce livre : il est en un volume, il est en style épistolaire ; on ne veut point de lettres ; on ne se soucie pas de romans en un volume ”. (Pigoreau, p. 10). (Barbier III, 62 ; Quérard III, 329 ; manque à Giraud).
Paris, Pigoreau, Sétier, 1821. in 12, broché, couverture muette, non rogné. (2)ff.-287 pp., frontispice de Fragonard lithographié par Villain.
EDITION ORIGINALE. Jeune veuve de 22 ans Marguerite d’Alby trouve refuge dans le château de sa sœur. Le beau-fils de celle-ci, une jeune et beau hussard vient y passer sa convalescence… « Il est impossible (dit la Quotidienne), de ne pas prendre le plus vif intérêt à Marguerite d’Alby […] Beaucoup de simplicité dans les récits, un charme extrême dans les détails et une grande variété dans les épisodes ; telles sont les qualités particulières qui recommandent cette production, vraiment remarquable, à tous les gens de goût. Observons deux choses qui nuiront à ce livre : il est en un volume, il est en style épistolaire ; on ne veut point de lettres ; on ne se soucie pas de romans en un volume ». (Pigoreau, p. 10). (Barbier III, 62 ; Quérard III, 329 ; manque à Giraud).