Couverture souple. 4 pages. 38 x 52 cm.
Périodique. Portrait gravé du général Cavaignac. Moniteur Universel, 1848.
Hippolyte-Jules Demolière (1802-1877), écrivain, secrétaire du gouvernement provisoire puis du général Cavaignac en 1848.
Reference : 013502
Hippolyte-Jules Demolière (1802-1877), écrivain, secrétaire du gouvernement provisoire puis du général Cavaignac en 1848. P.A.S., Paris, 26 mars 1848, 1p in-8. Laissez-passer imprimé avec les trous remplis par Demolière pour le citoyen Eugène-Emile Lenglet qui « désire s'entretenir d'affaires urgentes » avec Barthélémy Saint Hilaire, secrétaire du gouvernement provisoire. Le document porte le cachet du secrétariat. Lenglet était premier adjoint au maire d'Arras. Il fut désigné le 27 février 1848 pour porter au gouvernement provisoire l'adhésion de ses compatriotes. On peut supposer que c'est suite à cette mission qu'il arriva à Paris. Elu député le 23 avril 1848, il devint secrétaire du gouvernement provisoire, comme le prouve d'autres documents en notre possession. Ce fait semble peu connu dans sa biographie. [304-2]
PLON. 1848. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Jacques-Marie, vicomte Cavaignac de Baragne (1773-1855), général de la Révolution et de l'Empire.
Reference : 010420
Jacques-Marie, vicomte Cavaignac de Baragne (1773-1855), général de la Révolution et de l'Empire. L.A.S., Paris, 29 juin 1835, 3pŒ In-4 (45 lignes environ). Il écrit à Victor Joinville, sous-intendant militaire, qui fut aussi secrétaire d'une commission formée par le ministre de la guerre en 1834 pour examiner « divers systèmes d'alimentation », tout comme Onésime Delafond, vétérinaire important du XIX° et professeur à l'école d'Alfort (plus vieille école vétérinaire du monde), dont il est question dans cette lettre. Joinville a appuyé une demande de Delafond qui veut percevoir des « indemnités de frais de déplacement », mais Cavaignac trouve « exagérée la somme réclamée ». Delafond étant en effet fonctionnaire au ministère du commerce, il ne peut refuser de travailler pour le ministère de la guerre. Cavaignac n'est donc d'accord que pour lui rembourser les trajets Paris - Charenton, soit 10 francs par jour. Après avoir signé, il reprend sa plume et précise qu'étant donné qu'il a eu moins de temps pour ses autres travaux, et qu'il peut être dédomagé. Lettre renforcée au niveau du pli par un petit papier ; petit papier collé en bas de la première page, avec la mention de l'auteur de cette lettre. Belle et longue lettre de Cavaignac. [165]