Genève, Garcin photographe, [sans date]. Photographie (12,9 x21,6 cm.) montée sur carton fort (27 x 39 cm), inscription " A. GARCIN phot. à Genève".
Prise de vue après 1865 à 10h13! On peut lire la réclame sur la façade de la tour "Fabrique d'horlogerie Vacheron Constantin. Vve C. Vacheron & Cie". Auguste-Louis Garcin (1816 -1895), associé dès 1845 au moins et jusqu’en 1854 environ au photographe Auguste Meylan, avec lequel il mène une activité de daguerréotypiste itinérant. Il s’associe en 1854 environ au photographe François Poncy (1822-1884) avec lequel il partage un atelier à la rue du Rhône qui sera repris par Poncy seul. De 1857 à 1864, Garcin s’installe dans l'immeuble des Trois-Rois à la place Bel-Air, atelier qui est repris vers 1866 par Henri-Antoine Boissonnas. Mais, dès 1860, Garcin occupe un atelier aux Eaux-Vives, d'abord au Pré-l'Évêque, puis à la rue de la Mairie; il vendra son fond vers 1885 à John Jullien; dès 1886, il est désigné comme rentier dans les annuaires. En 1860, il est primé par la Société des Arts (2e prix de la commission d’archéologie artistique), en 1867 et 1878 aux expositions universelles de Paris (médaille de bronze et médaille d’argent). Il expose en 1870 ses paysages de Suisse et de Savoie à Paris, à la Société française de photographie. (BGE).
Genève, Garcin photographe, [sans date]. Photographie (13,2 x 22,3 cm) montée sur carton fort (27,3 x 39,4 cm), inscription " Vues panoramiques A. GARCIN phot. à Genève".
Prise de vue vers 1880 (?). Joli cliché très animé, les élèves jouent aux billes, à l'épée ? lise ou regardent le photographe. Auguste-Louis Garcin (1816 -1895). Associé dès 1845 au moins et jusqu’en 1854 environ au photographe Auguste Meylan, avec lequel il mène une activité de daguerréotypiste itinérant. Il s’associe en 1854 environ au photographe François Poncy (1822-1884) avec lequel il partage un atelier à la rue du Rhône qui sera repris par Poncy seul. De 1857 à 1864, Garcin s’installe dans l'immeuble des Trois-Rois à la place Bel-Air, atelier qui est repris vers 1866 par Henri-Antoine Boissonnas. Mais, dès 1860, Garcin occupe un atelier aux Eaux-Vives, d'abord au Pré-l'Évêque, puis à la rue de la Mairie; il vendra son fonds vers 1885 à John Jullien; dès 1886, il est désigné comme rentier dans les annuaires. En 1860, il est primé par la Société des Arts (2e prix de la commission d’archéologie artistique), en 1867 et 1878 aux expositions universelles de Paris (médaille de bronze et médaille d’argent). Expose en 1870 ses paysages de Suisse et de Savoie à Paris, à la Société française de photographie. (BGE).