Montluçon, Chez l'Auteur, s.d. (1953) ; in-12, broché, XI-279 pp. Couverture illustrée en noir, dos muet. Légers frottements sur la couverture, bon état.
Seconde édition, augmentée de plusieurs textes inédits. Victor Martin (1881-1963) est né à Bizeneuille près de la forêt de Tronçais qui le passionnera toute sa vie. Il fut instituteur dans la région de Montluçon et dans la ville même. Daniel Halévy évoque sa rencontre avec Victor Martin dans ses "Visites aux paysans du centre" (1934). V. Martin publia ce récit en 1940 et reçu à cette occasion le prix Robichon (1941) et celui de l'Académie du Vernet (en 1955). Ce livre a été réimprimé en 1953.
Paris, Librairie de France, 1927, 1928 et 1929. 10 forts vol. au format pt in-4 (243 x 193 mm) de xi - 446 pp. ; 498 pp. ; 470 pp. ; 412 pp. ; 484 pp. ; 327 pp. ; 346 pp. ; 312 pp. ; 228 et 265 pp. Reliures uniformes de l'époque de demi-chagrin maroquin marine à coins, filets à froid portés sur les plats, dos à nerfs ornés de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, filets dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin cerise, titre doré, couvertures conservées, têtes dorées sur témoins.
Ensemble - sous reliures décoratives du temps - complet des 10 volumes le constituant. ''Ouvrage recherché et coté, illustré par un artiste de talent''. (in Carteret). Il s'agrémente - ici en premier tirage - de 150 planches (dont 110 en couleurs) par Charles Martin. ''Natif de Montpellier, Charles Martin collabora au Sourire et à La Vie parisienne. Il a illustré un certain nombre d'ouvrages''. (in Bénézit). Carteret IV, Le Trésor du bibliophile / Illustrés modernes, p. 301 - Mahé, Répertoire des éditions de luxe, p. 165 - Bénézit VII, Dictionnaire des peintres, p. 211. Angles très légèrement élimés. Petites abrasions affectant quelques pièces de titre. Très rares rousseurs dans le texte ; exception faite des premiers et derniers feuillets de quelques volumes. Du reste, belle condition.
MILLAS-MARTIN (José) - L'ANSELME (Jean, préf. de) - FERRE (Christian, ill. de).
Reference : 7731
(1987)
Paris, Les Editions La Bruyère, (1987). Un vol. au format gd in-8 (218 x 168 mm) de 131 pp. Pleine percaline sable de l'éditeur, dos lisse, titre frappé à l'oser noir.
Edition originale. Un des 30 premiers exemplaires du tirage numéroté sur Ingres Arches. Outre les illustrations à pleine-page de Christian Ferré, l'exemplaire recèle deux gravures originales volantes signées du même, dont seuls les 30 exemplaires de tête sont pourvus (et quoique le colophon ne fasse état de la présence que d'une seule gravure). Exemplaire agrémenté d'un bel envoi autographe signé de Millas-Martin au faux-titre.
Montluçon, Chez l'Auteur, (imp. Eyboulet), s.d. [vers 1936] ; in-8, broché. XI-211pp. Bon état.
Edition originale, précédée d'une préface de Jacques Chevalier (qui ne sera pas réimprimée dans la réédition de 1953). Victor Martin (1881-1963) est né à Bizeneuille près de la forêt de Tronçais qui le passionnera toute sa vie. Il fut instituteur dans la région de Montluçon et dans la ville même. Daniel Halévy évoque sa rencontre avec Victor Martin dans ses "Visites aux paysans du centre" (1934). L'ouvrage fut couronné par le prix Robichon (1941), avait paru au moins en 1936 d'après la dédicace rencontrée sur un exemplaire communiquée par M. L. Combémorel.
Paris, Librairie de France, (1930). 2 forts vol. au format in-4 (283 x 237 mm) de xx - 249 pp. et 361 pp. Reliures de l'époque de demi-maroquin lie-de-vin à coins, filets gras à froid portés sur les plats, dos à nerfs ornés de filets en noir, titre doré, tomaison dorée, têtes dorées sur témoins, couvertures et dos conservés.
''Edition recherchée, surtout en grand papier''. (in Carteret). Ensemble - revêtu de délicates reliures du temps de plein maroquin - complet des deux volumes le constituant. Un des 300 exemplaires du tirage numéroté sur Arches ; venant après les 65 exemplaires de tête sur Japon et Hollande. Celui-ci, le n°CCLXXXI. Outre de nombreux ornements typographiques, l'ouvrage s'agrémente - en premier tirage - de 64 intéressantes compositions par Charles Martin ; dont 32 mises en couleurs au pochoir. Le conteur eclipse ici le fabuliste... La crispation religieuse de la fin du règne de Louis XIV, et plus tard la pudibonderie du xixesiècle, ont mis dans l’ombre ces contes licencieux dont le défi poétique consiste à jouer de l’implicite pour (ne pas) nommer la sexualité, à «dire sans dire», dans un jeu de dérobade et de provocation reposant sur la complicité du lecteur. La Fontaine a mené simultanément ces deux activités, jusqu’à joindre des contes à l’ultime recueil de fables de 1693: bien plus qu’un laboratoire de la narration enjouée des Fables, les Contes pourraient bien participer d’une même entreprise, celle d’une narration poétique sous le signe d’une gaieté sans illusions. Ces récits paillards, imités pour beaucoup d'entre eux de l'Arioste, Boccace, ou de François Rabelais feront dire à leur auteur dans sa préface : "...et puis ce n'est ni le vrai ni le vraisemblable qui font la beauté et la grâce de ces choses-ci ; c'est seulement la manière de les conter." L’œuvre de La Fontaine offre la figure, exemplaire, d’une sagesse désabusée: elle choisit, comme le Démocrite de la fable Démocrite et les Abdéritains, la retraite méditative plutôt que la vie de la cité d’Abdère soumise aux pensers du vulgaire, et, face à la violence forcenée du réel elle préfère, contre l’Héraclite de l’Histoire, le rire plutôt que les pleurs. Monod II, Manuel de l'amateur de livres illustrés modernes, 6685 - Bénézit VII, Dictionnaire des peintres, p. 211 - Carteret IV, Le Trésor du bibliophile / Illustrés modernes, p. 226. Infimes marques d'usage affectant les reliures. Rares autant que claires rousseurs dans les corps d'ouvrages ; exception faite des feuillets du relieur. Nonobstant, belle condition.
Paris, La Roseraie, 1925 ; petit in-4. 165 pp.-1 f. 16 planches hors-texte en couleurs. Plein maroquin brun, dos lisse, titre doré, tranches dorées. Contreplats et gardes doublés de veau vert amande ornés cercles de petits soleils dorés. Couvertures et dos conservés. Etui. (Rel. signée H. Lapersonne). Très bel exemplaire.
Belle et très soignée édition tirée à 291 exemplaires, un des 200 sur vélin de Rives, illustrée de 16 él2gantes eaux-fortes en couleurs de Charles MARTIN, dans un style art-déco qui fit son succès dans les revues La Gazette du Bon Ton, VanityFair, Fémina. Il illustra une vingtaine de livres dont Sports et divertissements, sur la musique d'Erik Satie, Monsieur le vin, Les Fable de La Fontaine... (Carteret, IV, 334). "Je ne voudrais pas laisser paraître ce petit livre sans avertir le lecteur quil ny trouvera rien qui se rapporte aux événements actuels. La vocation héroïque que relate ce récit ne lest point au sens où lon saviserait peut-être de lentendre si lon donnait à ces mots leur acception dà présent. Que le bon Tito Bassi soit un héros, on verra comment et en quoi, si lon veut bien parcourir ces pages qui ne contiennent, je le répète, aucune allusion daucune sorte à létat où nous vivons en ce moment.Écrit au printemps de lannée 1914 et inséré dans une revue avant la date mémorable où le bulletin de nos armées devint notre seule lecture, ce court roman se rattache à des préoccupations qui nous semblent dun autre âge, tant leur recul sest fait vite dans le passé. Malgré cet anachronisme et surtout peut-être à cause de cet anachronisme même, jai cru pouvoir livrer au public ce témoignage dune époque déjà lointaine. Quon le prenne donc comme un des fragments de ce miroir, maintenant brisé, où notre fantaisie dalors aimait à considérer le visage de ses rêves !Car, je ne saurais trop le redire, tout est imaginaire dans cette histoire, sinon les lieux où en est située laction. Jajouterai que ce sont ces lieux mêmes qui en ont déterminé les événements et men ont proposé les personnages. Tito Bassi est né à Vicence et de Vicence et cest à elle que je le dois." (Avant-propos paru dans l'édition originale au Mercure de France en 1916).
Paris, Gallimard, (1953). 7 vol. au format in-12 (181 x 119 mm) de 273, 370, 308, 257, 320, 300 et 300 pp. Reliures uniformes d'édition de pleins cartonnages crème, plats agrémentés de filets stylisés dorés et en couleurs, dos lisses à l'identique, titre doré, tomaison dorée, date dorée en queue.
Ensemble complet des 7 volumes le constituant. Un des 1.050 exemplaires sur vélin ivoiré reliés d'après une maquette de Paul Bonet. C'est tout particulièrement cette vaste saga qui valut à Roger Martin du Gard d'être lauréat du prix Nobel de littérature en 1937. Ce roman se déroule du début du xxesiècle jusqu'à la fin de la Grande Guerre et narre l'histoire de deux familles de la bourgeoisie française. Oscar Thibault est un despote qui traite ses enfants durement, mais qui les aime. Antoine et Jacques Thibault sont ses fils, les frères «que tout oppose». Antoine est médecin, Jacques, son cadet de neuf ans, est un militant socialiste. Cette famille est catholique. Antoine peine à comprendre Jacques et à prendre part à ses préoccupations, il est tout à son travail et à ce qu'il est censé faire au point d'être aveugle à ce qui est en jeu dans les événements précédant 1914. Ils semblent étrangers l'un à l'autre jusqu'à un événement qui provoquera chez Antoine une grande remise en question. Les Fontanin quant à eux, sont les membres d'une famille protestante: Jérôme de Fontanin, qui a quitté le domicile conjugal, est le mari de Thérèse de Fontanin qui s'occupe seule de ses deux enfants Daniel et Jenny. Huret, Les Cartonnages NRF, 343-b. Coiffes très légèrement élimées et brunies. Du reste, très belle condition.
P., A l'Enseigne du Pot cassé, coll. "Lumen Animi", 1933 ; 2 vol. in-16, brochés ( 20 x 14 cm). 202 pp.-2 ff. - 204 pp.-1f. Couvertures illustrées, Gravures et ornements par A.-F. Cosÿns. Très bon état.
Edition tirée à 2500 exemplaires, un des 50 de tête sur Japon impérial. Traduit de l'allemand par Charles de Mellert.
Carouge / Genève, Editions Michel Bettex / Collection Astrologie, (1991). Un vol. au format in-12 (198 x 134 mm) de 109 pp., broché.
''Dans ce dernier volume de la série Astrologie karmique, Martin Schulman nous propose de considérer les planètes dans leur réalité présente. Cette description des planètes nous permet d'envisager de les vivre à chaque instant, sans référence au passé, ni au futur, dans un présent éternel où seuls comptent Le pouvoir créatif solaire La fluidité lunaire La clarté de perception mercurienne Une harmonie vénusienne La spontanéité martienne La plénitude jupitérienne La pleine conscience saturnienne Le détachement uranien Le grand pardon neptunien La régénération plutonienne. Ce livre ne nous propose pas un savoir astrologique sur les planètes mais un savoir vivre dans la dimension de "l'ici-maintenant"''. Nombreux passages stabilotés ou annotés à la mine de plomb. Du reste, belle condition.
A Rouen, chez Clément Malassis, 1660. Un vol. au format pt in-12 (138 x 87 mm) de 144 pp. Reliure ''à la hollandaise'' de l'époque de plein vélin ivoire à coutures apparentes et recouvrements, dos lisse, titre anciennement calligraphié à l'encre.
L'exemplaire s'ouvre sur un joli portrait-frontispice gravé. Rare édition rouennaise. ''Louis Martin a choisi de pimenter ici à sa façon les vieilles recettes de l'Ecole de Salerne ; il y donne des avis généraux sur la santé, parle de l'air et des aliments, de la qualité des mets, des quatre saisons, du souper et du dessert, des herbes et des légumes, des fleurs et des graines, des fruits, de la viande, des plats de saison''. (in Oberlé). Quoique l'ouvrage renferme bien les textes - complets - de L'Ecole de Salerne puis du Poème macaronique, saut de pagination entre les feuillets 80 et 100 ; particularité également rencontrée dans l'édition de Paris, chez Jean Cochart en 1664. Barbier II, Dictionnaire des ouvrages anonymes, 16-c - Brunet V, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 1231 (pour une édition de 1651) - Oberlé, Les Fastes de Bacchus et de Comus, 325 (pour l'originale de 1650) - Cioranescu, Bibliographie de la littérature française au XVIIème, 46313. Feuillets liminaires et finaux très légèrement effrangés. Présence de quelques rousseurs ou tâches claires dans le corps d'ouvrage. Du reste, bonne condition.
[BANIER (François-Marie)] - SABATO (Ernest) - ROEGIERS (Patrick) & ORGEVAL (Martin d', textes de).
Reference : 2574
(2003)
S.l., Gallimard, (2003). Un fort vol. in-4 (327 x 254 mm) de 343 pp., broché.
Superbe recueil au format des plus attractifs recelant de nombreux clichés en noir et couleurs de François-Marie Banier. L'ouvrage a été publié à l'occasion de l'exposition qui lui a été consacrée à la Maison européenne de la Photographie. Très belle condition.
A Paris, aux dépens de la Communauté, 1744. Un fort vol. au format in-12 (173 x 98 mm) de xxiv - 456 pp. et 15 ff. n.fol. Reliure de l'époque de pleine basane marbrée blonde, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, jeu de petits filets verticaux dorés sur les nerfs, caissons d'encadrement dorés, filets en pointillés dorés, larges fleurons dorés, semis de fleurettes et de pointillés dorés, pièce de titre de maroquin havane, titre doré, palette dorée en tête et queue, toutes tranches rouges.
Edition originale rare de cet important ouvrage codifiant - sous l'impulsion de d'Aguesseau - les obligations des libraires et imprimeurs, tout en coordonnant leur législation respective, afin de mettre fin aux ''conflits de compétence et aux prétentions du Parlement de l'Eglise à jouer un rôle de censeur.'' L'ouvrage recèle ainsi une intéressante liste chronologique de textes concernant les infractions de presse actuelles dont on comprend mieux l’origine historique. Table : Des franchises, exemptions et immunités des imprimeurs et des libraires de Paris - Des imprimeurs et des libraires en général - Des souscriptions - Des apprentis libraires, et des apprentis imprimeurs - Des compagnons imprimeurs et des compagnons libraires - De la réception des libraires et de celle des imprimeurs - Des veuves des libraires et des veuves des imprimeurs - Des correcteurs - Des fondeurs de caractères d’imprimerie - Des colporteurs - Des libraires forains - Des Syndic et adjoints, et des administrateurs de confrérie - De la visite des imprimeries et librairies, et de celle des livres venants de dehors en la chambre syndicale - Des libelles diffamatoires, et autres livres prohibés et défendus - Des privilèges et continuations d’iceux pour l’impression des livres - Des ventes, inventaires et prisées des bibliothèques et des fonds d’imprimeries et de librairies. Barbier I, Dictionnaire des ouvrages anonymes, 623-a -Bigmore & Wyman II, 296. Angles et coupes élimés. Coiffe supérieure arasée. Dos présentant quelques frottements et dont les ors sont ternis. Manque affectant la pièce de titre. Quelques feuillets très légérement brunis. Claires rousseurs dans le texte. Nonobstant, belle condition.
[Paris, Imprimerie Motteroz et Martinet, s.d; (1909 ou 1910)] ; plaquette in-8, brochée. 1 portrait-42pp.-1f. Couverture légèrement jaunie. Bon état.
Gabriel Moreau est né à Montmarault en 1847. Orphelin dés l'adolescence il intègre le petit séminaire d'Yzeure, puis le séminaire français de Rome. il est reçu prêtre par Mgr de Dreux-Brézé en 1872. Mais il obtient un congé pour soigner son frère a Hyères tout en devenant précepteur des enfants du Comte de Guichen. A Son retour dans l'Allier il est nommé Supérieur du Petit séminaire de Moulins dont il assure la réorganisation après le départ des Jésuites et le développement. Atteint de cessité, il devient chanoine trésorier du bureau de l'administration des biens du séminaire diocésain., de 1894 à 1907. Il meurt en juin1908 après avoir accompli une oeuvre au service de l'éducation des jeunes gens.
P., Charles Carrington, 1906 ; in-8. XLVIII-328pp. - 21 planches hors-texte. Veau brun marbré, dos lisse, titre doré, tête dorée, non rogné, couverture conservée. Quelques rares rousseurs. Légers frottements sur les plats. Bon exemplaire.
Traduction de Jean Montlyard. Préface de Jules de Marthold. Tiré à 750 exemplaires numérotés, celui-ci N°9, illustré de 21 eaux-fortes hors-texte sous serpentes légendées, et de culs-de-lampe tirés en noir, des lettrines et bandeaux tirés en rouge et noir.Van Maele (1863-1926 ; de son vrai nom Alfred MARTIN), est né à Boulogne sur Mer d'un père graveur. Il utilise le nom de sa mère comme nom d'artiste, et signe des planches dans le Monde illustré ou le Magasin pittoresque. A partir de 1901, il collabore avec l'éditeur de curiosa Charles Carrington.
MAISON ST-MARTIN , "A ST-MARTIN", 33 boulevard St Martin, paris 1856
Reference : 22838
(1856)
Paris 1856 une carte de visite avec nom et adresse et la déclinaison de ce que la MAISON ST-MARTIN , "A ST-MARTIN", 33 boulevard St Martin, Paris vend et peut fabriquer, imprimée en noir sur papier bristol crème et orné d'une vignette représentant "Saint-Martin fendant son manteau pour le donner à un pauvre" au centre en noir, médaillon en haut à gauche avec le profil de napoléon III gravé en noir, noté Exposition Universelle Paris, médaillon en haut à droite (côté pile) gravé en noir noté : "Mention Honorable 1855", et illustré sur l'envers d'une gravure de la vitrine du magasin gravée en noir, format : 11,3 x 7,9 cm, sans date (1856 environ), OBERTHÜR Rennes, Maison à Paris Rue des Blancs Manteaux Editeur,
Bel Exemplaire..en trés bon état (very good condition). en trés bon état NOUS SOMMES EN CONGÉ DU 29 AVRIL 2025 AU 13 MAI 2025 merci de votre compréhension!
P., Imprimerie Schneider et Bouillet, s.d. (1895), gr. in-8°, 404 pp, un portrait de Félix Faure héliogravé en frontispice, 2 autographes en fac-similé, reliure demi-chagrin carmin à coins, dos à 5 nerfs guillochés soulignés à froid, titres, filets et fleurons dorés, frise dorée et à froid sur les plats (rel. de l'époque), rousseurs (assez fortes par endroit), bon état. Très bien relié. Peu courant
Tome I (seul paru). Dans un autre ouvrage paru en 1905, l'auteur annonce comme étant “sous presse” le tome II : Trois ans de Présidence (1895 à 1898), mais il n'est jamais paru. — "La 5e Chambre du Tribunal civil avait à juger hier un petit procès fort amusant d'où il appert que, plus heureux que Louis XIV, M. Félix Faure a eu des historiens même avant d'être... Président. C'était la veille des dernières élections présidentielles de janvier 1895. Pendant qu'un peuple entier, debout, haletant, suivait une à une les péripéties de la course à l'Elysée où tantôt M. Charles Dupuy, tantôt M. Félix Faure tenaient la corde, deux hommes eurent une idée de génie : écrire d'avance les monographies des deux concurrents pour publier, le lendemain, celle de celui qui aurait décroché la timbale ! Ces deux hommes étaient l'un M. Martin-Ginouvier, secrétaire général du Crédit mutuel à prêts gratuits, et l'autre le docteur Genesteix, candidat lui-même aux dernières élections municipales du sixième arrondissement. Tous deux écrivirent donc à la fois une « Vie de M. Charles Dupuy, Président de la République » et une « Vie de M. Félix Faure, également Président de la République ». Et à ce moment, M. Félix Faure n'était encore rien. Le lendemain, on sait qu'il était tout. Aussi MM. Martin-Ginouvier et Genesteix s'empressèrent-ils, après l'élection, de déchirer la «Vie» du blackboulé et de porter chez l'éditeur la «Vie» de l'élu. La brochure fut appelée “Félix Faure devant l'histoire”, avec, pour sous-titre : “De son berceau à l'Elysée, 1841-1895”. Malheureusement, avant la publication, un dissentiment s'éleva entre les deux collaborateurs. Le docteur Genesteix accusa M. Martin-Ginouvier d'avoir fait, en cours d'impression, des retouches à la brochure, retouches personnelles et qu'il jugeait de fort mauvais goût. De quel droit M. Martin Ginouvier avait-il ajouté, par exemple, des phrases comme celles-ci ? “M. Brisson est la pintade du parti radical. ... M. Godefroy Cavaignac apparaît comme l'âne de Buridan des partis avancés.” Cela, au dire du docteur Genesteix, ne regardait en rien Félix Faure et cela pouvait compromettre la vente de l'ouvrage : il y aurait au moins deux acheteurs de moins, MM. Brisson et Godefroy Cavaignac..., sans compter leurs amis. Et le docteur demanda à son collaborateur de supprimer ses retouches. Celui-ci ayant refusé, la discussion tourna à l'aigre et l'on se sépara un peu froidement. La rupture éclata définitivement le soir du vendredi saint. M. Martin-Ginouvier faisait prendre l'air à son chien sur la place Saint-Germain-des-Prés, lorsqu'il crut apercevoir, sortant de l'église avec sa femme, le docteur Genesteix, président, comme on sait, du Comité socialiste du sixième arrondissement et, paraît-il, laïcisateur à outrance. Altercation très vive à la suite de laquelle M. Martin-Ginouvier publia seule la brochure présidentielle. D'où procès devant la 5e Chambre civile, où le docteur Genesteix reprochait hier à M. Martin-Ginouvier de lui avoir enlevé sa part de collaboration et surtout d'avoir supprimé sur la couverture le nom de Genesteix, qui y eût fait si bien. Et pour ce préjudice tant matériel que moral il lui demandait, par l'organe de Me Lemarinier, son avocat, 10,000 francs de dommages-intérêts. Après une très spirituelle plaidoirie de Me Deligand pour M. Martin-Ginouvier, le Tribunal a renvoyé les deux plaideurs dos à dos. Certes M. Martin-Ginouvier a eu tort de ne mettre que son nom sur le livre, au mépris des droits de son collaborateur mais, d'un autre côté, M. le docteur Genesteix n'a éprouvé aucun préjudice, puisque la fabrication de la monographie de Félix Faure (c'est dur à constater) s'est traduite par des pertes et non par des bénéfices, et puisque, en définitive, M. Martin-Ginouvier n'a pas eu plus que le docteur Genesteix le moindre bout de ruban que ces Mécènes eussent pu cependant attendre d'Auguste. Et c'est bien là le côté le plus triste de cet amusant procès : MM. Martin-Ginouvier et Genesteix, oubliés à l'Officiel, en ont été pour leur frais avec leur littérature, et ils n'en ont pas moins été condamnés hier chacun à la moitié des dépens du procès. M. Félix Faure, au nom de son Histoire, leur devrait bien un décret spécial les graciant tous deux de ces malencontreux dépens !" (Le Figaro, 13 février 1897)
Knaur TB 2023 368 pages 12 7x18 9x3 1cm. 2023. pocket_book. 368 pages.
Etat correct
[Charles Martin] - LA FONTAINE, Jean de | MARTIN, Charles (illustrateur)
Reference : AMO-4515
(1930)
Librairie de France, 110, Boulevard Saint-Germain, Paris, 1930 2 volumes grands in-4 (28,5 x 13 cm) brochés de (6)-XXI-249-(6) et (6)-361-(1) et (17) pages d'introduction signée André Fontainas. Avec 64 illustrations hors-texte de Charles Martin dont 32 rehaussées en couleurs au pochoir à l'aquarelle, les 32 autres étant en noir. Les aquarelles originales de l'artiste ont été reproduites par la photogravure (non interprétées donc). Couvertures imprimées en brun et bleu à rabats. Le texte est imprimé en noir avec encadrements, ornements et décors imprimés en bleu ciel. Exemplaire encore protégé par son papier cristal d'origine et dans son emboîtage spécial en papier bleu titré imprimé. Partiellement non coupé (presque entièrement). Petites amorces de fente du papier au dos du premier volume, sans aucune gravité. Beau papier d'Arches fort resté bien blanc sans rousseurs. Le tirage a été de 3.000 exemplaires. Celui-ci est un des 350 exemplaires sur papier d'Arches. Il a été tiré 15 ex. sur Japon, 50 ex. sur Hollande, 350 ex. sur Arches, 1500 ex. sur vélin pur fil Lafuma et 1500 ex. sur vélin d'alfa Navarre. Notre exemplaire porte le numéro CCCXVII. Notre exemplaire contient livré à part la suite des 15 eaux-fortes libres tirées à très petit nombre. Elles sont tirées en noir sur papier d'Arches également. Notre exemplaire contient livré à part la suite complète des 64 hors-texte (32 coloriés et 32 en noir). Enfin, notre exemplaire contient livré à part 8 aquarelles originales ayant servies à l'impression de l'ouvrage (dont une seule est signée et est l'aquarelle définitive ayant servie au clichage pour l'impression) et une esquisse d'une illustration de la suite libre. Soit un total de 9 oeuvres originales de l'artiste présentes avec cet exemplaire.
Inutile de revenir sur le texte des Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, paru pour la première fois entre 1665 et 1671 (sans illustrations) et pour la première fois illustré en 1685. Aquarelle originale monogrammée Aquarelle originale signée (définitive) ayant servi au clichage De nombreux artistes ont illustré ces Contes et Nouvelles en vers, toujours lestes ou grivois, avec ou sans l'inspiration délibérément érotique que chacun a pu y mettre depuis la première édition illustrée de 1685. Aquarelle originale monogrammée Les Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, inspirés de plusieurs œuvres françaises et italiennes des XVe et XVIe siècles, dont le Décaméron de Giovanni Boccace, Orlando furioso de Ludovico Ariosto, le recueil anonyme des Cent Nouvelles Nouvelles et l'œuvre de Bonaventure Des Périers, sont mille fois plus réjouissant à lire que les célèbres Fables dont on a rebattu les oreilles de tout élève en devenir d'être un homme. Les Contes et Nouvelles avaient sans l'ombre d'un doute mille fois plus de raisons pour forger un homme près à affronter son destin croisant celui des dames. Chacun cherche son chat ... Aquarelle originale monogrammée Cette édition est à tort négligée des bibliophiles du fait d'un tirage trop important. Il faut rechercher comme ici les exemplaires de luxe. Aquarelle originale monogrammée Les aquarelles originales de Charles Martin sont très prisées des amateurs. Il fut un des grands illustrateurs de la période Art Déco. Charles Martin est né à Montpellier en 1884 et mort à Paris en 1934 à l'âge de 50 ans seulement. Sa production est très importante. Il a contribué à l'illustration de nombreuses revues d'art et de mode depuis 1912 (Gazette du Bon Ton, Femina, etc). La guerre où il sert comme simple soldat d'infanterie stoppe nette sa carrière mais il continue malgré tout à dessiner et à envoyer ses travaux à la presse, tant qu'il peut. Lors d’une permission, il montre son travail à Lucien Vogel, le créateur de la révolutionnaire Gazette du Bon Ton. Enthousiaste, l’éditeur lui propose d’en tirer un album. Sous les Pots de Fleurs (le terme désigne le casque Adrian qui équipe l’armée française) paraît le 1er décembre 1917. Comme un Laboureur ou un Chas Laborde, Martin refuse de se soumettre à la « culture de guerre ». On ne trouve chez lui aucune des outrances et conventions du dessin naturaliste et de son pseudo réalisme. Il revient de la guerre. Le style de Charles Martin, au trait délicat, excelle dans les techniques de l'eau-forte et du pochoir rehaussé d'un trait typographique. Influencé par le cubisme, son style devient épuré et se caractérise par un trait précis, efficace et joyeux. Il s'oriente rapidement vers le luxe et l'art décoratif. Il exerce son talent dans les domaines les plus variés : mode, flacons de parfumerie, meubles, papiers peints, affiches, etc. Charles Martin a illustré une vingtaine de livres dont les Contes et Nouvelles de La Fontaine que nous présentons ici. Nous soupçonnons par ailleurs Charles Martin d'avoir illustré un clandestin totalement érotique en 1926 dont le trait est vraiment typique de l'artiste (mais ...). Aquarelle originale monogrammée Exceptionnel exemplaire contenant 8 aquarelles originales abouties et 1 esquisse pour une composition libre, une suite libre de 15 eaux-fortes en noir et une suite complète des 64 compositions hors-texte (soit 143 estampes au total). Très bon exemplaire tel que paru.
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Paris chez Giguet et Micha 1804 - An XII 4 volumes in-8, demi-maroquin vert bouteille, plats entièrement recouverts d'une laque rouge foncé et ornés d'un personnage vêtu à l'antique, différent sur chaque plat, traité or et bronze dans un encadrement de deux filets dorés; dos finement recouverts d'or, laissant ressortir en réserve le titre de l'ouvrage, la tomaison, des filets et des arabesques; doublures et gardes de papier marbré, tranches lisses dorées (reliures au vernis Martin).Exceptionnel exemplaire de cette première traduction de l'Enéide par Jacques Delille, publiée en quatre volumes, chacun illustré d'un frontispice gravé sur acier par Pierre-Charles Baquoy, Jean Baptiste Simonet et Jean Louis Delignon d'après Jean-Michel Moreau. L'ouvrage a été relié selon la technique du vernis Martin avec un décor exécuté en partie à l'aide de gravures et les huit plats ont été illustrés d'une composition différente représentant un ou deux personnages antiques traités or et bronze et les dos de maroquin vert ont été recouverts d'or en laissant en réserve une très délicate ornementation. Les reliures au vernis Martin sont extrêmement rares. Très précieux exemplaire portant sur la première doublure l'étiquette du relieur donnant ces précisions: Brevet d'invention. Reliures au vernis sans odeur établies au Grand Châtelet, Quai de la Mégisserie, vis-à-vis le Quai aux Fleurs.Une étude publiée par la Bibliothèque nationale de France, révèle que Théodore-Pierre Bertin (1751-1819) est l'inventeur des reliures au vernis sans odeur, improprement appelé vernis Martin par référence au vernis mis au point à Paris en 1728 par les frères Martin pour imiter la laque orientale décorant les meubles et les objets d'art. Ce procédé fut utilisé jusqu'au XIXe siècle. Le secret des frères Martin consistait à coller des feuilles de papier, à les passer au four pour les durcir, à les peindre de toutes les couleurs, à les vernir à la résine copal et à les glacer à la gomme arabique.Théodore-Pierre Bertin fit breveter ses reliures en vernis Martin en mai 1811.Il semblerait que nos quatre reliures in-8 constituent l'ensemble le plus important parmi toutes les reliures au vernis Martin dépistées et qui sont très souvent d'un format plus petit. Exemplaire d'autant plus remarquable qu'il renferme l'édition originale de la traduction par Delille d'un des grands textes de la littérature.Des bibliothèques Serrigny (ex-libris) et René Descamps-Scrive (ex-libris).
GUNNARSSON (Torsten) - OLIN (Martin) - DELERM (Philippe, préf. de) - [LARSSON (Carl)].
Reference : 30880
(2014)
S.l., Paris Musées, (2014). Un vol. au format in-4 (282 x 223 mm) de 191 pp., broché sous couverture à rabats rempliés.
L'ouvrage s'agrémente d'une abondante iconographie. ''Conçu dans l'esprit des albums illustrés par Carl Larsson dans les années 1900, cet ouvrage est l'occasion de découvrir ce peintre encore méconnu en France''. Très belle condition.
Corrard Pierre Modes et manières d'aujourd'hui Plaque de graveur 1913 "EXCEPTIONNEL ET SANS ÉQUIVALENT ! ""Modes et manières d'aujourd'hui"" est la publication du meilleur de la mode du début du XXe siècle, par les artistes l'ayant faite, au plus haut de leur art. Le projet est porté par Pierre Corrard, écrivain et éditeur de grand talent. Afin d'accompagner la révolution artistique et vestimentaire des années folles, il publie, en 1912, une première chemise, avec des illustrations de Georges Lepape. Devant l'accueil fait à cette première publication, il décide, chaque année, de proposer une chemise identique, avec des auteurs et des artistes différents. Pour la deuxième année, il demande à Nozière et à Charles Martin. Nous proposons ici certaines des plaques de zinc ayant servi à imprimer les compositions de Charles Martin pour la chemise de 1913. Ces 3 plaques ont permis de reproduire 5 des 12 gravures réalisées par Charles Martin (2 présentent deux illustrations, et 1 en présente une seule), à savoir : une plaque pour les planches II (La Neige) et XI (Les Cerises), une pour les planches VIII (Les Lucioles) et IX (La Passerelle), et enfin une pour la planche X (L'Orage). La provenance de cet ensemble est exceptionnelle : il provient directement de la famille Corrard. Nous joignons à ces planches, qui plus est, un bon de commande à l'entête de ""Modes et manières d'aujourd'hui"", vierge, ainsi qu'une carte à l'entête des ""Collections Pierre Corrard"", vierge également. /////// EXCEPTIONAL AND ONE OF A KIND ! “Modes et manières d’aujourd’hui” showcased the best of early twentieth century fashion through artists at the height of their talent. This project was led by Pierre Corrard, author and publisher of great renown. In 1912, in order to promote the revolution of arts and fashion of the Jazz Age, he published a first portfolio containing illustrations by Georges Lepape. Following the enthusiastic reception of this first issue, he decided to release each year an identical portfolio featuring different authors and artists. For the second year, he asked Nozière and Charles Martin. We offer for sale three of the zinc plates used for the reproduction of the works of Charles Martin for the 1913 issue. These 3 plates have been used for the reproduction of 5 of the 12 engravings by Charles Martin (two of them have two distinct illustrations, the third one has one illustration only): one zinc plate for illustrations: II (La Neige / Snow) and XI (Les Cerises / The Cherries), one plate for illustrations: VIII (Les Lucioles / The Fireflies) and IX (La Passerelle / The Walkway), and one plate for the illustration X (L’Orage / The Storm). The provenance of these plates is itself exceptional, as they came to us directly from the Corrard Family. We add to this ensemble an order slip bearing the header of “Modes et manières d’aujourd’hui”, as well as a card with the “Collections Pierre Corrard” header, both blank. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Paris, Librairie Gallimard, (1931). Un vol. au format pt in-12 (168 x 128 mm) de 110 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Edition originale. Un des 400 exemplaires numérotés du tirage de presse ; imprimés sur alfa Lafuma-Navare. « Je lisais tranquillement : tout à coup, je l'ai vue écarter mon rideau, bondir vers moi et renverser mon chandelier d'un coup de poing. Ah, ça n'a pas été long ! Je ne me possédais plus. En deux secondes j'étais debout et je l'empoignais à bras-le-corps. Que s'est-il passé au juste ? J'essaye de me rappeler tout, le mieux possible. On était dans l'obscurité. Je rageais pour de bon. Elle aussi. C'était une gaillarde solide. Je m'efforçais de la maîtriser, de la jeter par terre, avec le désir très net de cogner dessus et de lui enlever l'envie de recommencer. On était tous les deux en chemise, pressés l'un contre l'autre dans le noir, et on luttait comme deux forcenés. » Marge du premier plat très légèrement effrangée. Petits défauts au dos. Du reste, très belle condition.
A Paris, chez J. Chardin / Durand, 1742. Un vol. au format in-12 (173 x 103 mm) de 1 f. bl., xii - 449 pp., 2 ff. n.fol. et 2 ff. bl. Reliure de l'époque de plein veau glacé et marbré blond, plats jansénistes, dos à nerfs orné d'un semis de petits filets obliques à froid soulignant les nerfs, caissons d'encadrement dorés, filets verticaux en pointillés dorés, larges fleurons dorés, semis de petits cercles dorés, pièce de titre de maroquin vieux-rouge, titre doré, palette dorée en tête et queue, jeu de petits filets dorés sur les coupes, tranches saumon.
Edition originale. ''Je le dis avec la plus amère douleur, c'est le défaut de charité qui perd et damne le plus grand nombre de Chrétiens : hélas ! beaucoup oublient souvent ce que la charité, une charité chrétienne exige d'eux. C'est ce qui m'engage à traiter à fond les motifs, les devoirs de cette charité et les défauts qui lui sont contraires.'' Absent de Quérard, La France littéraire. Coiffes légèrement élimées. Quelques passages surlignés à la mine de plomb. Quelques rousseurs dans le corps d'ouvrage ; davantage marquées aux premiers et derniers feuillets. Du reste, belle condition. Peu courant.
Marseille, Laffitte Reprints, 1982 ; in-8. 301 pp.-18 planches hors-texte. Skivertex brun de l'éditeur. Bon état.
Réimpression du tome 2 de cette série de 5 initialement paru au Cahier Bourbonnais en 1967 (pour ce présent texte). Il s'intéresse aux communes aux alentours de Montmarault : Sazeret, Blomard, Saint-Bonnet-de-Four, Saint-Marcel-en-Murat, Saint-Prejet, Vernusse, Beaune, Louroux-de-Beaune.
Paris, Natiris, 1982 ; in 4. 24 feuillets non chiffrés. 40 reproductions en noir à pleine page. Cartonnage d'éditeur illustré en noir.