12 janvier 1938 - 13 mai 1940 54 pièces in-4 ou in-8, en feuilles.
Important et émouvant dossier qui réunit les lettres, généralement longues, envoyées avant et pendant la "drôle de guerre" par André-Henri Grosdidier, dans le civil boucher chez un dénommé Mussard à Viroflay, mais à l'armée caporal-chef, puis sergent dans la 3e Compagnie du 8e Régiment de Zouaves. Cette unité devait, avec la 12e division d'infanterie motorisée, être détruite lors de la bataille de Dunkerque. Né à Boynes le 28 juillet 1918, André mourut d'ailleurs au combat lors du repli de son régiment sur Dunkerque le 27 mai 1940 à Péronne-en-Mélantois (Nord). Il est inhumé au cimetière de Péronne (à gauche, allée centrale).Les destinataires sont ses deux parents, qui vivent à Versailles, à l'exception d'une missive adressée à sa cousine Marie (cf. n° 33). La séquence temporelle couverte par cette correspondance correspond aux débuts de son service militaire (peloton effectué à Mourmelon, déjà à l'époque grand camp d'exercices), bientôt transformé en service d'active par suite des mobilisations (partielle le 23 septembre 1938, générale le 1er septembre 1939), puis de la déclaration de guerre. L'essentiel tourne, on ne s'en étonnera pas, autour des soucis du quotidien, et les colis envoyés par la famille tiennent une place d'autant plus importante qu'ils sont bien garnis et très copieux. C'est dans ce genre de petits détails que l'on peut reconstituer au plus près l'étonnante période d'inactivité et d'incroyable ennui, d'indiscipline et de combines aussi, qui a précédé l'offensive de mai 1940.[Avant la guerre :] 1. De Mourmelon [Marne], le 12 janvier 1938 : André, intégré au "peloton" (équivalent des "classes" ultérieures) pour devenir caporal, change de chambrée. - 2. De Mourmelon, le 15 mars 1939 : sur la proximité d'un examen, sur les exercices de tir. - 3. De Mourmelon, le 8 avril 1939 : André s'habitue à sa nouvelle compagnie. Reçu dix-huitième du régiment à l'examen, il effectue sa première garde. - 4. De Mourmelon, le 12 avril 1939 : André touche un nouveau paquetage, et se prépare à un déplacement imminent. - 5. De Mourmelon, le 6 mai 1939 : sur le retour du capitaine de la compagnie ("Notre capitaine est revenu, il aurait mieux fait de rester où il était. Pourtant, il ne faut pas que je me plaigne, car depuis qu'il est revenu, je l'ai pas apperçu une fois"). - 6. De Mourmelon, le 16 mai 1939 : sur les manoeuvres à venir. - 7. De Mourmelon, le 22 mai 1939 : sur un gros rhume et sa prochaine permission. - 8. De Mourmelon, le 7 juillet 1939 : sur le défilé du 14 juillet auquel le régiment participera (mais pas la compagnie d'André). - 9. De Mourmelon, le 11 juillet 1939 : sur une escapade à Reims du dimanche précédent, pour aller voir une course automobile, et sur les prochaines manoeuvres à Sissonne. - 10. De Mourmelon, le 15 juillet 1939 : ennui majeur au camp à cause de l'absence de la plupart des compagnies du régiment (qui se trouve à Paris pour le 14 juillet). - 11. De Sissonne [Aisne], le 25 juillet 1939 : sur le trajet à pieds de Mourmelon au camp de Sissonne ("Nous sommes partis de Mourmelon mardi matin à pieds. Nous avons fait 85 ks en 3 étapes, nous avons cantonné deux nuits. La marche n'était pas des plus faciles ; j'en ai bavé comme un Russe"). - 12. [De Mourmelon], le 23 août 1939 : lettre de retour de permission.[Une fois la guerre déclarée :] 13. Du 14 septembre 1939 [vers Siercq-les-Bains, Moselle] : les opérations de guerre ont commencé ("Depuis quatre jours, nous sommes en première ligne, nous sommes comme les lapins dans des trous. Le secteur est assez calme. Ce matin, nous avons progressé de 1 km sans aucun coup de fusil. Les Boches ont déménagé hier soir sous l'avance du 3e bataillon. Jusqu'ici il n'y a pas eu de casse chez nous"). - 14. Du 15 octobre 1939 : billet sur l'ordinaire en campagne. - 15. De Soupir [Aisne], le 19 octobre 1939 : sur l'amélioration du service du courrier, et l'interdiction faite désormais aux familles de venir visiter les zouaves dans la zone des armées. - 16. De Soupir, le 21 octobre 1939 : l'ennui s'installe ("Avec leur coup de ne pas donner de perm, il commence à y avoir pas mal de cafareux et pas mal de types qui se cuitent"). - 17. De Soupir, le 27 octobre 1939 : réception d'un généreux colis. - 18. De Braye-en-Laonnois [Aisne], le 1er novembre 1939 : sur le déménagement depuis Soupir (Braye se situe à seulement six kilomètres). André a quartier libre en ce jour de la Toussaint, et il fait connaissance avec d'autres camarades. - 19. De Braye-en-Laonnois, le 6 novembre 1939 : "On se croirait presque en temps de paix". - 20. De Braye, le 19 novembre 1939 : porte essentiellement sur les travaux de la maison de campagne de ses parents (à Reverseaux, dans l'Yonne). "Par moments, je voudrais avoir dix ans de plus pour savoir si un jour j'arriverai à quelque chose. Tu me dis qu'il y aura une pièce pour ma femme et mes gosses, je suis bien content en ce moment de ne pas être marié comme certains, et même de n'avoir aucune attache". - 21. D'Obréchies [Nord], le 20 novembre 1939 : le nouveau séjour d'André,à dix kms de la frontière belge, ne le réjouit guère, comme on peut le lire : "Nous sommes maintenant dans la région du Nord, et dans un vrai trou. Nous sommes dans un pays de deux cents habitants (...) et je crois même que les habitants sont ravitaillés par les corbeaux en hiver". - 22. D'Obréchies, le 26 novembre 1939 : installation dans une grange glaciale, colis (dont un très généreux de Mme Mussard, patronne d'André) et projets de permission. - 23. D'Obréchies, le 28 novembre 1939 : envisage l'invasion de la Belgique (mais "nous n'en sommes pas encore là"). - 24. D'Obréchies, le 1er décembre 1939 : "Nous faisons des travaux à 4 kms de la frontière belge, tout baigne dans l'eau, c'est très intéressant, nous suivons les traces du Zouave de l'Alma. De la façon dont nous sommes placés, si la Belgique se trouvait envahie, nous nous trouverions en première ligne pour changer ..." - 25. D'Obréchies, le 4 décembre 1939 : sur un dimanche passé au cinéma de Ferrières-la-Grande. - 26. D'Obréchies, le 8 décembre 1939 : sur une prime de 105 francs versée pour le séjour sur la ligne. - 27. Du 12 décembre 1939 : sur l'installation d'une cantine de compagnie, dont André assure la tenue. - 28. Du 17 décembre 1939 : sur la poursuite de ses activités de cantinier ("Je ne suis pas guerrier pour deux sous"). - 29. De Sars-Poteries [Nord], le 23 décembre 1939 : sur le nouveau déménagement et le cantonnement dans une ancienne verrerie en démolition, endroit lugubre et en partie effondré. - 30. De Sars-Poteries, le 27 décembre 1939 : voeux de bonne année et repas de Noël ("Le 24 soir et 25 qu'est-ce qu'il y a eu comme viande saoûle .."). - 31. De Sars-Poteries, le 1er janvier 1940 : sur un prochain changement de cantonnement. - 32. De Sars-Poterie, le 3 janvier 1940 : réception de colis ; tristesse du jour de l'an. - 33. De Sars-Poterie, le 4 janvier 1940 [à sa cousine Marie] : voeux et nouvelles du cantonnement (lettre transmise par la destinataire à la mère d'André, désormais "Madame veuve Grosdidier" en juillet 1962). - 34. De Sars-Poteries, le 8 janvier 1940 : André repasse chef de groupe et s'ennuie de plus en plus ("Malgré que le pays soit mieux que les autres, il me dégoûte de plus en plus. L'on ne peut pas sortir sans se retrouver dans un bistro, c'est tout ce qu'il y a dans le pays comme distraction. Il y a cinq ou six épiceries, l'on n'y trouve que ce que nous n'avons pas besoin, ils manquent de tout"). Multiplication des punitions et consignes. - 35. De Sars-Poteries, le 9 janvier 1939 : sur la prochaine remontée en ligne. - 36. De Sars-Poteries, le 11 janvier 1940 : sur une prise d'armes au QG anglais d'Arras où le 8e Zouaves est intervenu. - 37. [De Sars-Poteries], le 15 janvier 1940 : "Je ne sais pas trop quoi vous raconter aujourd'hui tellement c'est toujours pareil". - 38. De Levergies [Aisne], le 22 janvier 1940 : nouveaux déplacements et cantonnements, le groupe s'occupe à faire des crêpes. - 39. [De Levergies], le 24 janvier 1940 : froid, neige et colis ("C'est tout de même révoltant de voir des embusqués se plaindre. Je serais Daladier, je les mettrais à la gamelle et quinze sous par jour comme les copains, et j'estime qu'ils n'auraient même pas le droit de se plaindre, car ils auraient encore l'avantage de coucher et d'être chez eux pendant leurs heures de loisir"). - 40. Du 25 janvier 1940 : réception de colis. - 41. Du 29 janvier 1940 : réception de nouveaux uniformes. - 42. Du 1er février 1940 : "Je ne vois rien d'extraordinaire à vous dire, notre vie est toujours calme et uniforme". - 43. Du 4 février 1940 : détail du repas du dimanche (sardines, asperges, civet de lapin, purée et deux tartes). - 44. Du 29 février 1940 : reprise de la correspondance après une permission de dix jours. - 45. Du 15 mars 1940 : chute de neige et rhume. - 46. Du 18 mars 1940 : André réagit avec étonnement à la nouvelle que son père, ancien de 1914 (et né en 1894) pourrait de nouveau être mobilisable. - 47. Du 21 mars 1940 : sur une manoeuvre de nuit. - 48. Du 26 mars 1940 : colis et marches. - 49. Du 4 avril 1940 : sur une permission très proche. - 50. Du 20 avril 1940 : sur un supplément de solde de 2.50 francs par jour. - 51. Du 1er mai 1940 : sur sa nomination comme sergent, et son premier repas au mess.[Une fois commencée l'offensive des Ardennes :] 52. Du 10 mai 1940 : sur la suppression de toutes les permissions (la percée allemande est de ce jour). - 53. Du 11 mai 1940 : "Nous sommes tranquilles en ce moment. Le temps passe assez vite, nous jouons à la belote, au jaquet, un peu à tout quoi". - 54. Du 13 mai 1940 : "Nous sommes toujours dans le même pays pour le moment. Je ne sais pas si nous y moisirons encore longtemps. Nous sommes pénards : plus d'exercices, rien, c'est du vrai repos, boire, manger, dormir, nous allons engraisser".Cette missive au contenu incroyablement insouciant semble bien être la dernière de l'infortuné sergent auquel ne restaient que 15 jours de vie. Une phrase surlignée d'encre violette a beau préciser : "Sommes en état d'alerte depuis jeudi". Ses parents ne devaient plus avoir de nouvelles. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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BILLY (André), ARNOUX (Alexandre), MAC ORLAN (Pierre), WARNOD (André).
Reference : 227478
Paris, S.I.P.E., s.d. (1947) in-4, 208 pp., [2] ff. n. ch., avec des illustrations dans le texte et 10 planches à pleine page, sous serpente, n'interrompant pas le chiffrage, demi-toile Bradel verte à coins. (reliure de l'époque).
Un des exemplaires numérotés sur papier chiffon (33/1000). Unique édition de cet album conçu par le Comité de libération du Ier arrondissement.Vignette ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[PÉRIODIQUE SATIRIQUE]. GILL (Louis-Alexandre Gosset de Guines, dit André), [CHAMPSAUR (Félicien), VANIER (Léon)].
Reference : 240010
Paris, A. Cinqualbre, s.d. (13 septembre 1878-1881) 206 fascicules en 4 vol. in-4, [2] ff. n. ch. (faux-titre et titre illustré d'une vignette en couleurs), puis ff. n. ch., brochés sous couvertures illustrées en couleurs. Déchirures à la livraison 101 (avec perte de texte).
Tête de collection de ce périodique satirique et propagandiste.La collection complète comprend 469 livraisons réunies en dix volumes, parus de 1878 à 1899.Chaque livraison de 4 pp. n. ch. comprend un texte généralement composé par Félicien Champsaur, ou Léon Vanier (sous le pseudonyme de Pierre et Paul), et, en première page, une grande caricature en couleurs de Gill, offrant une petite monographie mordante (mais pas trop) sur une personnalité contemporaine des arts, des lettres, et aussi du monde politique, du monde scientifique et technique ou de la religion (très rare dans ce dernier cas de figure), avec une prédilection des plus marquée pour les coryphées républicains et les auteurs anticléricaux, même les plus obscurs et les plus médiocres, à condition qu'ils soient bien fanatiques ... Conformément au titre, il s'agit presque uniquement de célébrités masculines françaises, à l'exception des livraisons 103 (Maria Deraismes), 118 (Juliette Lamber) et 170 (Clémence Royer), ainsi que de la 162 (Bradlaugh). Dans l'ensemble, on a ici un bon exemple des figures - plus ou moins mythologiques dans les biographies exposées - que les Républicains désiraient proposer à l'admiration, dans le but de changer les mentalités et l'esprit public au moment de l'installation du régime de la Troisième.La date figure en haut seulement à partir de la sixième livraison (18 octobre 1878), pour redisparaître à la vingt-cinquième.I. Premier volume : 1. Victor Hugo. - 2. Léon Cladel. - 3. Constant Coquelin. - 4. Émile Zola. - 5. Léon Gambetta. - 5. Aurélien Scholl. - 7. Sarah Bernhardt. - 8. Nadar. - 9. Auguste Vacquerie. - 10. André Gill. - 11. Émile de Girardin. - 12. 12. Victor Capoul. - 13. Louis Blanc. - 14. Paul de Cassagnac. - 15. Edmond About. - 16. Sophie Croizette. - 17. Grévin. - 18. Émile Littré. - 19. Francisque Sarcey. - 20. M. Bardoux. - 21. Olivier Métra. - 22. Challemel-Lacour. - 23. Alphonse Daudet. - 24. Giuseppe Garibaldi. - 25. Jules Grévy. - 26. Ernest Hamel. - 27. Charles Floquet. - 28. Saint-Genest. - 29. Édouard Lockroy. - 30. Georges Clemenceau. - 31. Hector Pessard. - 32. Charles Monselet. - 33. Le docteur Pajot. - 34. Arthur Ranc. - 35. Jules Claretie. - 36. Jules Ferry. - 37. Erckmann-Chatrian. - 38. Spuller. - 39. Victor Poupin. - 40. Le général de Wimpffen. - 41. Ferdinand de Lesseps. - 42. Anatole de La Force. - 43. Édouard Siebecker. - 44. Jean Macé. - 45. Vaucorbeil. - 46. Un vieux petit employé (Yves Guyot). - 47. Étienne Carjat. - 48. Emmanuel Vauchez. - 49. Victor Schoelcher. - 50. Castagnary. - 51. Alexis Bouvier. - 52. Touchatout (Léon Bienvenu). II. Deuxième volume : 53. Alfred Naquet. - 54. Cantin. - 55. Paul Arène. - 56. Jobbé-Duval. - 57. Charles Lecoq. - 58. Hérold. - 59. Pierre Véron. - 60. Théodore Aubanel. - 61. Mario Proth. - 62. Alphonse Humbert. - 63. Théodore de Banville. - 64. Olivier Pain. - 65. Allain-Targé. - 66. Tony Révillon. - 67. Dumaine. - 68. * rédacteur au Rappel [= Henri Rochefort]. - 69. Laisant. - 70. Farcy. - 71. Léo Taxil. - 72. Achille de Secondigné. - 73. Wladimir Gagneur. - 74. Arsène Houssaye. - 75. Laurent-Pichat. - 76. André-Saturnin Morin. - 77. XXX (Hector France). - 78. Benjamin Raspail. - 79. Castellani. - 80. Edmond Turquet. - 81. Gustave Rivet. - 82. Francis Pittie. - 83. Désiré Barodet. - 84. Claude-Anthime Corbon. - 85. Martin Nadaud. - 86. Le Père Gérard (Elphège Boursin). - 87. Général Farre. - 88. Charles Lauth. - 89. Émile Deschanel. - 90. N. Blanpain. - 91. Louis Greppo. - 92. Thomas Grimm (H. Escoffier). - 93. Paul Nicole. - 94. Henri Brisson. - 95. Jules Roche. - 96. Noël Parfait. - 97. Arthur Arnould. - 98. Frébault. - 99. Léon Richer. - 100. François-Jean Cantagrel. - 101. Cochery. - 102. Alfred Leconte (de l'Indre). - 103. Maria Deraismes. -104. Victor Meunier.III. Troisième volume : 105. Ernest d'Hervilly. - 106. Tomain. - 107. Edmond Lepelletier. - 108. Camille Pelletan. - 109. Camille Flammarion. - 110. Alphonse Peyrat. - 111. Emmanuel Gonzalès. - 112. Charles Hérisson. - 113. Severiano de Hérédia. - 114. Édouard Cadol. - 115. Denis Poulot. - 116. Hector Malot. - 117. Paul Saunière. - 118. Juliette Lamber (madame Edmond Adam). - 119. Jules Vallès. - 120. Le colonel Jung. - 121. Eugène Bonnemère. - 122. Charles Boysset. - 123. Jules Verne. - 124. Pierre-Jules Stahl (Hetzel). - 125. Louis Ulbach. - 126. Édouard de Pompéry. 127. Lepère. - 128. Alexandre-Abel Hovelacque. - 129. Jules Cazot. - 130. Sigismond Lacroix. - 131. Henri-Camille Margaine. - 132. Alfred Talandier. - 133. Germain Casse. - 134. Hector Depasse. - 135. J.-L. de Lanessan. - 136. Jean-Théoxène Roque (de Fillol). - 137. Maurice Engelhard. - 138. Guillaume Maillard. - 139. Marmottan. - 140. Jules-François Viette. 141. Charles Beauquier. - 142. Gustave Hubbard. - 143. Victor Guichard. - 144. Thulié. - 145. Henri de Lacretelle. - 146. Albert Pétrot. - 147. Ernest Camescasse. - 148. Edgar Monteil. - 149. Justin Labuze. - 150. Lucien Delabrousse. - 151. Eugène Delattre. - 152. Henri Rabagny. - 153. Francis Charmes. - 154. Lafont. - 155. Henry Maret. - 156. Edmond Thiabudière.IV. Quatrième volume : 157. Désiré-Magloire Bourneville. - 158. Édouard Millaud. - 159. Ernest Lefèvre. - 160. Bouteiller. - 161. Dionis Ordinaire. - 162. Charles Bradlaugh. - 163. Arthur Chalamet. - 164. Gustave Isambert. - 167. Henry Marsoulan. - 168. Léon Delhomme. - 169. Léon Margue. - 170. Clémence Royer. - 171. Waldeck-Rousseau. - 172. Jean-Baptiiste-André Godin. - 173. Henri de Lapommeraye. - 174. Henri Martin. - 175. Cadet. - 176. Jean-Marie-Arthur Labordère (en deux exemplaires). - 177. Eugène de Ménorval. - 178. Paul Meurice. - 179. Ferdinand Le Lièvre. - 180. A. Dréo. - 181. Cattiaux. - 182. Louis Amagat. - 183. Mathurin Moreau. - 184. Turigny. - 185. Rémy Jacques. - 186. Émile Jullien. - 187. Alfred Letellier. - 188. Scheurer-Kestner. 189. Jean-Jacques-Joseph Forné. - 190. Arrmand Lévy. - 191. Riu. - 192. Émile Martin-Landelle. - 193. Eugène Ténot. - 194. Ernest Blum. - 195. Songeon. - 196. Henri-Émile Villeneuve. - 197. Théophile Marcou. - 198. Honoré Pontois. - 199. Madier-Montjau. - 200. Henri Demare. - 201. Louis Bizarelli. - 202. Émile Corra. - 203. Catulle Mendès. - 204. Bertholon. - 205. Albert Regnard. - 206. Jean Destrem. - 207. Sextius Michel. - 208. Ernest Figurey. Manquent les numéros 165 et 166. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, chez l'auteur, 1908 in-8, [2] ff. n. ch., 164 pp., un f. n. ch., avec 107 figures en noir dans le texte, demi-chagrin cerise à coins, dos à nerfs, tête dorée, couverture et dos conservés (reliure de l'époque). Petits frottements mais bon exemplaire.
Exemplaire numéroté à la main (293) et comportant la signature de l'auteur.Unique édition. André Schulz (1854-1932) était dessinateur et graveur d'ex-libris. Il a été l'un des fondateurs de la Société des collectionneurs d'ex-libris et a réalisé également de nombreux dessins publicitaires. Exemplaire truffé de deux documents annexes : 1. Une recension de l'ouvrage signée A. W. et extraite de la Chronique médicale. - 2. Un article de Francisque Sarcey, toujours extrait de la Chronique médicale et intitulé L'Argot de la mort (sur les expressions du décès). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, chez l'auteur, 1908 in-8, [2] ff. n. ch., 164 pp., un f. n. ch., avec 107 figures en noir dans le texte, demi-chagrin brun, dos à nerfs, couverture conservée (reliure de l'époque). Les deux charnières frottées.
Exemplaire numéroté à la main (76) et comportant la signature de l'auteur.Unique édition. André Schulz (1854-1932) était dessinateur et graveur d'ex-libris. Il a été l'un des fondateurs de la Société des collectionneurs d'ex-libris et a réalisé également de nombreux dessins publicitaires. Exemplaire du docteur Eugène Olivier (1881-1964), avec belle vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. La carrière médicale pourtant riche de ce médecin a été éclipsée par sa passion de collectionneur : intéressé par tout ce qui comporte des armoiries, il réunit une vaste collection de reliures et de livres armoriés, ce qui l’amena à rédiger le célèbre Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises en 30 volumes avec la collaboration de Georges Hermal et du capitaine Robert de Roton (dit OHR). En parallèle, il réunit une collection de plus de 25 000 ex-libris. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Corrêa [Imprimerie André Tournon], 1945 in-12 carré, 61 pp., un f. n. ch., broché, non coupé.
Unique édition séparée, posthume (le texte sera repris en 1946 dans le recueil Cinq poètes assassinés). André Chennevière était le nom de plume d'André Debille (1908-1944), résistant dans les réseaux du NAP (noyautage des administrations publiques), chargé de reprendre avec un groupe de journalistes l'agence de presse Havas, et abattu par un soldat allemand devant la gare de l'Est lors de la Libération de Paris le 20 août 1944. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Presses Universitaires de France 1966 151 pages in8. 1966. Broche. 151 pages.
Bon état
S.l., s.d. (janvier-avril 1828) 7 parties en un vol. in-4, titre, [111] ff. n. ch., dont certains vierges entre les cahiers, écriture fine, cursive, mais lisible, environ 30 lignes par page, biffures et ratures occasionnelles, avec des figures géométriques dans le texte, demi-basane fauve modeste, dos lisse orné de filets dorés, titre poussé sur le dos "Analyse & mécanique I", coins en vélin rigide (reliure de l'époque). Dos très frotté.
Très intéressante prise de cours par un certain Allix, qui a signé l'initium de tous les cahiers, et qui, en 1828, était l'élève d'André-Marie Ampère (1775-1836), alors professeur d'analyse et de mécanique à l'École polytechnique (depuis 1809). Il s'agit probablement de Georges-Baptiste-François Allix (1808-1881), entré à l'École polytechnique précisément en novembre 1827, et qui fera une carrière d'ingénieur militaire du Génie maritime.À partir du troisième cahier, les différentes parties sont datées (février 1828, mars 1828, avril 1828).À LA SUITE, de la même main : Cours de Mr. Ampère. Mécanique. Statique. [Dynamique]. Avril [- mai / - juin] 1828. Premier [- second / - troisième / - quatrième / - cinquième / - sixième / - septième / - huitème] cahier : [116] ff. n. ch., 5 ff. vierges.Le CCF présente une pièce manuscrite se rapprochant de la nôtre, mais légèrement antérieure et correspondant aux débuts de la carrière d'Ampère : "Analyse", d'après les leçons d'André Ampère à l'École Polytechnique, rédigé en 1811 par le futur astronome Philippe-Gustave Le Doulcet de Pontécoulant, 1795-1874 (Institut, ms. 4068-1). Entré à Polytechnique à l'âge de 16 ans, il s'était épris des sciences mathématiques. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., s.d. (1793) in-8, 96 pp., demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs orné, tranches dorées (rel. du XIXe). Rousseurs.
Célèbre rapport donné le 9 septembre 1793 devant la Convention Nationale, dans lequel était retracé l'historique du passage de Toulon à l'escadre anglaise.Martin & Walter, 17275.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Strasbourg, Dannbach et Ulrich, s.d. (1796) 2 vol. in-8, 10 pp., 30 pp., 76 pp. (manquent les pp. 69-72), 230 pp., 56 pp. ; titre, 352 pp., cartonnage de papier marine, dos lisses ornés de filets dorés, pièces de titre cerise (rel. du XIXe s.). Déchirure au dernier f. du vol. I, avec perte de lettres.
Il s'agit du fameux Livre bleu, source de premier ordre pour l'histoire révolutionnaire, réunissant près de 3000 pièces concernant les événements strasbourgeois de 1789 à 1795, et qui fit grincer bien des mâchoires jacobines encore en exercice.La première édition fut publiée par le même André Ulrich à la fin de 1795 d'après F.-E. Sitzmann, "Dictionnaire de biographie des hommes célèbres de l'Alsace", II, 904.André Ulrich (1761-1834) était journaliste, imprimeur, secrétaire-interprète de la municipalité, officier municipal, membre du conseil du département ; il fut suspendu et incarcéré pendant la Terreur, mais revint au conseil municipal après Thermidor.Voici la composition de notre recueil : le premier volume du Livre Bleu s’ouvre sur une Copie de deux lettres sur la situation de la Commune de Strasbourg, écrites au Comité de sûreté générale de la Convention nationale, le 26 Prairéal et le 15 Thermidor de l’an 2e de la République par Frédéric Burger(pp. 2-10), qui donne le ton, immédiatement suivi de l’Appel de la Commune de Strasbourg de 30 pages, complété par : 1. Copie figurée des procès-verbaux du Comité de surveillance et de sûreté générale du département du Bas-Rhin, établi par ordre des représentans du peuple Milhaud et Guyardin (76 pp.). - 2. Pièces à l’appui de l’appel de la Commune à la République et à la Convention nationale (arrêtés des représentants, procès-verbaux divers, lettres, discours, dénonciations, ordres d’arrestation, listes de suspects, d’incarcérés, etc.), soit 119 pièces sur 230 pages.Le second volume de 352 pages est plus homogène et comporte 165 documents supplémentaires divers, venant tous à l’appui de l’Appel de la Commune, tels le Procès-verbal dressé sur des effets trouvés dans les appartemens de l’ex-maire Monet (p. 1-8), le Compte général de la caisse de la Trésorerie Révolutionnaire (p. 24-38), un Extrait des minutes de quelques séances de la Société des Jacobins de Strasbourg (p. 291-326), etc. Exemplaire de l'industriel Léon-Auguste Baumgartner (1828-1884), maire de Mulhouse à partir de 1879, avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, chez l'auteur, 1907 in-folio, [2] ff. n. ch., 58 pp., [18] ff. n. ch., avec 90 planches hors texte, chiffrées 1-100 (nombreuses planches à deux illustrations), demi-chagrin ivoire à coins, dos à nerfs cloisonné et fleurdelisé, simple filet doré sur les plats, tête dorée, couverture et dos conservés (Richardot). Dos légèrement passé.
Tirage limité à 125 exemplaires numérotés à la presse (12/125).Unique édition, peu commune, de ce magnifique album qui constitue surtout un exceptionnel ensemble de fac-similé d'iconographie relative à la cathédrale parisienne : on notera spécialement une reproduction de sceaux sous passe-partout cartonné et dépliant ; ainsi qu'une impression sur soie (planche 29 / 25). André Marty (1857-1928) - qu'il ne faut évidemment pas confondre avec l'agitateur communiste homonyme - fut un éditeur d'estampes reconnu : c'est sur ses propres presses qu'il fit paraître cet ouvrage.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
New York, George Simpson Eddy, 1922 in-12, [2] ff. n. ch., ii pp., [2] ff. n. ch., 23 pp., un f. n. ch., 24 pp., un f. n. ch., 46 pp., 46 pp., 4 pp., [5] ff. n. ch., avec 2 fac-similés dépliants hors texte, demi-toile bleue, étiquette de titre (reliure de l'éditeur).
Édition entièrement bilingue, tant de l'introduction que du texte. L'essentiel de l'opuscule est évidemment formé par la réimpression anastatique du Conciliateur de toutes les nations d'Europe, ou projet de paix perpétuelle entre tous les souverains de l'Europe & leurs voisins, paru en 1782 par les soins de Benjamin Franklin.Pierre-André Gargaz ou Gargas (1728-1801) était un pamphlétaire autodidacte condamné à vingt ans de galère à Toulon pour meurtre (1761-1781), crime dont il se déclara avec constance innocent, sans obtenir jamais sa réhabilitation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Nantes, Biroché et Dautais, 1913 in-8, paginé 239 à 278, broché, couverture muette.
Extrait de toute rareté publié par le baron Gaëtan de Wismes (1861-1944) à partir d'un manuscrit commencé en 1807 ; en 1915, le même éditeur donnera dans le Bulletin de la Société archéologique de la Loire-Inférieure, la suite du texte, concernant 1815 et l'organisation de la résistance monarchique en Vendée pendant les Cent-Jours.Alexandre de La Roche Saint-André (1785-1852), en dépit de convictions royalistes prononcées, s'engagea dans la Garde d'honneur de la Vendée en 1813, et raconte ses pérégrinations dans ce journal.Absent de Tulard, qui ne connaît (845) que la partie de 1815., de même que Lemière (p. 393). Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Armand Colin, 1926 in-8, XXI-210 pp., 24 planches, broché sous couverture rempliée.
La première publication avait eu lieu en 1915 sous la forme d'un tiré-à-part de la Revue historique, dans laquelle cette contribution avait d'abord paru (tome CXVIII).Disparu à trente ans, Robert André-Michel (1884-1914) fut un des plus brillants chartistes de sa génération. Il s'intéressa particulièrement à l'histoire médiévale d'Avignon à la suite de son séjour à l'Ecole française de Rome, et il a multiplié les monographies, parues en général uniquement dans les périodiques spécialisés. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Tours, Imprimerie Ladevèze, 1864 in-8, XLIV pp., 118 pp., un f. vierge, pp. 121-245, avec un fac-similé dépliant, cartonnage Bradel modeste de papier crème (reliure de l'époque). Manque la pièce de titre, dos frotté.
La première édition remonte à 1845, et ne comprenait que 118 pp. Il s'agit de la publication du Liber de servis Majoris Monasterii, manuscrit du XIIe siècle sur parchemin (in-4 de 44 ff.), conservé à la Bibliothèque de la ville de Tours.André Salmon (1818-1857) connut une brève carrière (1843-57) pendant laquelle il fut archiviste de Tours.Stein, Cartulaires, 2352. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Hachette, s.d. (1909) petit in-4 oblong, [6] ff. n. ch. (faux-titre & titre, préface, avant-propos), avec des illustrations dans le texte, 30 reproductions de vues aériennes photographiques, un f. n. ch. de table, percaline noisette, dos lisse muet, premier plat illustré d'une scène aérienne (l'Arc de triomphe vu d'un ballon en ascension), tête dorée (reliure de l'éditeur).
Unique édition de ce bel album de vues aériennes de Paris, Versailles, Compiègne, Chantilly, Saint-Germain et Fontainebleau. Les 30 photographies aériennes ont été prises par deux membres de l'Aéro-Club de France, André Schelcher (1876-1942) et Omer-Decugis (1871-1937), à bord des ballons "Le Vagabond" et le "Quo Vadis".Cf. Gervais (Thierry) : , "Un basculement du regard : les débuts de la photographie aérienne 1855-1914", in : Études photographiques, n ° 9, mai 2001.Ex-libris Yves Louis Mongrolle. Ex-Libris D. Pasquet.Bel envoi d'André Schelcher à D. Pasquet - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Montpellier, Jean Martel aîné, 1876 - 1878 2 vol. in-8, [2] ff. n. ch., IX pp., 298 pp., [5] ff. n. ch. de table ; [2] ff. n. ch., 292 pp., [4] ff. n. ch. de table, demi-chagrin vert, dos à nerfs ornés de filets à froid, têtes mouchetées (reliure de l'époque). Dos uniformément insolés, coiffes et charnières frottées.
Tirage limité à 207 exemplaires numérotés à la presse. Celui-ci sur Hollande format carré (49/207).Édition procurée par L. Gaudin, qui ne peut être considérée comme inédite que parce que la publication légèrement antérieure de Coulet (1876) s'arrête en 1691 et élimine tout ce qui contrarie le parti-pris protestant de l'éditeur. Les deux versions sont d'autant plus à comparer soigneusement que le manuscrit original a disparu et que le texte ne se présente que sous la forme de copies de valeur inégale.SHF, André, 7832 ; cf. SHF, Bourgeois & André, 721. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
4 cahiers manuscrits de format 22,5cmX17cm 285, 280, 284 et 273 pages dans une boite relure titrée André Carnège carnets de route 1890-1961 manuscrit inédit
Mémoires d'André Carnège pseudonyme d'E.A Cargemel né à Nancy le 20/12/1890 décédé à Lagny sur Marne le 12/05/1969.Le premier cahier concerne son enfance à Nancy puis son apprentissage aux verreries Daum sous la direction du père Dammann (Brutus Camille Damman, premier décorateur engagé par Antonin Daum). Il y rencontrera entre autre Paul Colin et le peintre Lorrain Emile Wiste (1884-1953). Il quitte les verreries Daum pour s'installer à Montmartre et débute dans le théâtre professionnel. Après son conseil de révision en 1911, il rejoint le 153eme d'Infanterie puis il est incorporé en août 1914 et ne sera démobilisé qu'en 1919 après avoir fait les campagnes de la Somme, la Champagne, l Alsace, les Vosges et Verdun..Le second cahier est entièrement consacré au théâtre et à la vie théâtrale après la guerre de 14. Il est ponctué d'anecdote comme la grève des acteurs, les manifestations de l'action Française, le scandale de la pièce "La Garçonne". Nombreuses tournées en France ainsi qu'en Amérique du Sud, voyages en Espagne, en Tunisie et en Algérie.Troisième cahier, seconde tournée en Amérique du Sud. Il tourne dans de nombreux films sous la direction d'Harry Baur ou de Marcel Lherbier ainsi qu'avec Jean Gabin dans "Gueule d'amour". Quelques notes concernant les manifestations du 6 Février 1934 (Colonel La Roques) et la fin de la guerre d'Espagne. Il se rend à Berlin en 1937 : "Je compris à quelle température on avait élevé la fièvre guerrière de l'armée d'Hitler. Tournée en Roumanie et en Grèce.Quatrième cahier : théâtre pendant la guerre, bombardement des usines Renault, Radio Paris, obsèques d'Harry Baur, libération de Paris, occupation de l'Odéon, du Palais, réunion clandestine des acteurs....
1933 Librairie Larousse Paris sans date (1933) In4 cartonnage éditeur a l italienne dos toilé non paginé illustrations andré hellé
bon état les images coloriées aux crayons de couleur comme il se devait mais par un jeune coloriste assez bontrès rare
éditions des portiques 1933 in 12 broché 187 pages
envoi d andré devaux au poete andré de nicolai
Gallimard 1928 116 pages in12. 1928. demi cuir plats marbrés dos à nerfs. 116 pages.
Bon état
Editions G.L. Arlaud 1930 66 pages Lyon. 1 VOL. in4. 1930. Broché couverture souple crème illustrée. 66 pages.
Bon état
Publications Andre FIGUERAS 1991 222 pages in8. 1991. broché. 222 pages.
Bon état
Tours, Mame, 1828 in-8, 125 pp., demi-basane cerise, dos lisse orné de filets dorés, tête mouchetée (rel. de la fin du XIXe s.). Coiffe supérieure frottée.
Très rare. Le comte Chabrol de Crouzol (1771-1836), préfet du Rhône depuis le 22 novembre 1814, rejoignit le comte d'Artois pendant les Cent-Jours après avoir vainement tenté de mettre Lyon en état de défense face à l'avancée de Napoléon. Revenu dans sa préfecture le 17 juillet 1815, il dut affronter une situation très délicate, les troupes autrichiennes commandées par le comte de Bubna ayant procédé à l'occupation de la ville. D'où l'intérêt de cette correspondance qui va du 19 août au 28 décembre 1815.Absent de Davois. Au CCF, exemplaires seulement à la BnF (qui en attribue un des deux à André-Louis-Marie Tassin de Nonneville, préfet de la Loire à partir de juillet 1815, ce qui est incompréhensible).Relié avec : I. [LEDOUX (Emile-Honoré) : ] Le Lieutenant Bonaparte à Besançon en 1791. Besançon, Imprimerie de Paul Jacquin, s.d. [1901], 12 pp. - II. Faits relatifs à la captivité de Pie VI, avec des notes sur celle de Pie VII. Paris, marchands de nouveautés, 1814, 32 pp. - III. LE MOINE (Olivier) : Une page de l'histoire de Napoléon Ier. Le capitaine Bonaparte à Avignon (juillet-août 1793). Passage de Napoléon à Avignon en 1814. Paris-Limoges, Henri Charles-Lavauzelle, s.d. [1899], 68 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT