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Monsieur Quatorze.
Bernard Grasset, 1923. Petit in-8, demi-veau brun à coins, dos à 4 nerfs avec titre doré, plats et gardes marbrés, tête dorée, couverture conservée. Non rogné.
Edition originale au tirage limité à 60 exemplaires numérotés seulement, celui-ci un des 50 sur vélin pur fil Lafuma (36). Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de l'auteur, postérieur puisque mentionnant "ce livre où l'auteur a voulu mettre beaucoup de bonne humeur (. . .) plus nécessaire encore en 1944 qu'en 1923 ! » A noter que la tentative est couronnée de succès ! François Fosca fut l’un des pseudonymes de Georges de Traz.
L'homme qui tua napoléon.
Genève, Les Editions Utiles, collection "L'Enquête", 1943. In-12 broché de 165-[11] pages.
Edition originale de ce roman policier rédigé par Georges de Traz sous un de ses pseudonymes: outre Fosca, il utilisera également le nom de Peter Coram, pour faire anglo-saxon. D'ailleurs les dernières pages du volume sont un catalogue des éditions Utiles qui font entre autre la réclame pour un livre intitulé "Ces messieurs de la famille" signé Peter Coram. Bel envoi autographe de l'auteur (qui signe Fosca) daté du 27 août 1943 adressé à Jiji qui n'est autre que Jean-Jérôme Secretan, son neveu. De toute rareté.
Louis II de Bavière inconnu.
Maurice d'Hartoy, 1944. In-12 broché de 153-[5] pages, couverture illustrée à rabats, un peu défraîchie et tachée.
Rare édition originale au tirage limité à 952 exemplaires numérotés, le nôtre ne l'étant pas.
C'était hier l'été.
Paris, Librairie Plon, 1933. In-12 de [10]-259 pages, demi-basane verte, dos à nerfs complètement passé, couvertures et dos conservés, tête verte.
Édition originale sur papier d'édition, agrémentée d'un bel envoi autographe de l'auteur de dix lignes, à Madame Chessex.
